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L’histoire de la crucifix remonte bien avant l’arrivée de Christ sur terre. Mais ce sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour utiliser les personnes. La martyr était dépendante à la tau par des cordes, ou ses paluches y étaient clouées, et on le laissait choir. Même avec la chaleur des rayons du soleil, la remorquage physique et la repentir que la victime avait endurée avant d’être mise en croix, il lui fallait parfois 15 jours pour chuter. ce sont les chrétiens qui commencèrent à utiliser une tau comme personnalisation de la chrétienté et chaque fois que l’évangile est étalé, ceux qui entendent l'information et trouvent Christ comme Sauveur s'imposent à Lui par les grandes convictions, par le moyen de la crucifix.

La crucifix basque ou lauburu est un empreinte identitaire spécialement formé de 4 « virgules », personnalité du pays euscarien, qui indiquerait dès le début le acte du temps ( valable un an ), ou les 4 éléments – l’eau, la boue, le feu tricolore et l’air. Et voilà, c’est achevé. Mais n’allez pas croire qu’il n’existe que ces croix-là, car ils sont présent bien d’autres, comme la croix catholique, la calvaire relevée, la croix de Malte, la crucifix tréflée, la tau Occitane…

La crucifix patriarcale est une sorte de croix orthodoxe possesseur la particularité d’avoir une traverse en plus. Si vous ne voyez pas de ce dont nous parlons, ce collier avec une tau patriarcale vous en tend un tres bon exemple Il existe plusieurs hypothèses qui essaient d’explique le sens de cet élément. L'une des explications particulièrement prisés est que le pélot reine, qui se trouve également sur différentes croix dont nous parlerons tout à l'heure, représente la plaque qui fut collé prééminence de Jésus lorsqu’il fut martyrisé. Il s’y subsistait de ce fait l’inscription : « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ».

pour débuter un enfant ne peut pas être roumi sans le agrément d’au moins un de ses deux parents et, selon le droit honnête français, la non-opposition de l’autre père. Le procréateur doit narrer par écrit sa non-opposition ou son annulation. Il est à constaté que, si les parents sont les seuls responsables légaux de leurs enfants, ils sont les seuls à pouvoir déterminer de leur bapteme. Une personne non prénommée peut faire qualifier son nouveau né sous quelques conditions : il faut que le second père soit protestant ou que le arrhes et la marraine soient baptisés et ce, pour que l’enfant puisse être guidé dans sa maîtrise. enfin, il est complètement possible de qualifier l'enfant adopté. Il s’agira alors d’un communion classique si les géniteurs son quelques que l’enfant n’a pas déjà été catholique ou bien d’un baptême « à l'essai » si les pères ne savent pas si l’enfant adopté a déjà été baptisé.

Le mot « Croix » dérive du voile latine Crux. Chez les personnes d'âge mûr romains, il s’agissait d’un device utile pour châtier des terribles souffrances, la crucifixion à peu près. Mais, en restant dans le contexte des symboles, rappelons-nous que dans la numération peson le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une croix. En arrivante au Christianisme, comme nous l’avons déjà avancé, la calvaire est l'essentiel symbole de cette confesses. Elle rappelle, effectivement, le coté macabre de Jésus, crucifié par ordre de Ponce Pilate, Procurateur romain de la judée, qui le condamna extrêmement. Paradoxalement, d’un fait si violent et rigoureux, la tau est née à nouveau et a assumé une valeur marchande heureuse, vu que la attention et le coté macabre de Jésus coexistant avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour hommes. Un marque identitaire d’amour intégrale, donc, de propitiation extrême.

La première grande apparition du chrisme est associée à un péripétie connu de l’histoire protestant : la modification de l’empereur romain Constantin. L’histoire raconte que l’empereur, né à nouveau il y a peu au christianisme, aurait encaissé dans un vise le symbole du chrisme, accompagné du une demande « In convenable signo vinces » ( par ce signe tu vaincras ). Après sa victoire, le chrisme est parmi les symboles officiels des empereurs romains de mémoires catholique. On le retrouve sur des ustensiles de monnaie, des capuches ou des boucliers. Le chrisme perdra ensuite en capacité en europe de l’Ouest, bienveillance évincé par le crucifix dans l’iconographie homme. Plus à l’est, il devient un personnalité très employé durant toute la fin de l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Âge. On croise fréquemment des chrismes sur les vitraux, les bas-reliefs ou les frontons d’édifices religieux. Le empreinte du Christ est également très présent dans toute la peinture d’inspiration protestant.

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