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Alors que la reprise économique se confirme, c’est le moment pour les sociétés de s’appuyer sur cette confiance retrouvée pour engager pleinement leur digitale. Contrairement aux idées reçues, la digitale concerne la totalité des domaines et des entreprises et ne consiste pas simplement à insérer de la technologie. Elle touche fortement l’organisation et interroge jusqu’à la culture de sociétés. Réussir sa à l’ère du web entraine de d'ouvrir de la valeur autrement.

La digitale est au cœur de la stratégie de tous les grands groupes, le « Chief Digital Officer » est la fonction la plus prisée maintenant mais aussi l’etat accélère sa transformation numérique. Mais qu’en est-il des petites structures ? Ont-elles les moyens d’entrer dans cette nouvelle siècle du web ? Et que peuvent-elles en attendre concrètement ? Une étude réalisée par BPIFrance il y a un an montrait que 73% des dirigeants de petites structures et ETI se disaient en retard dans la digitalisation de leur structure. Près des deux tiers n’avaient pas défini de stratégie claire. Au terminal, la société est poussée par ses clients et ses partenaires, et même ses employés, à accélérer sa mutation technologique pour répondre à leurs nouveaux manières et créer de nouvelles relations, répondant aux nouveaux emplois.

Les grandes entreprises, par l’intermédiaire de stratégies d’omnicanal, d’automatisations de tâches, ou aussi de constitutions d’écosystèmes numériques, ont d’ores et déjà franchi le pas de la digitalisation. Pourquoi pas vous ? Dans un situation concurrentiel sans frontières, aucune solution permettant d’accroître sa puissance et d’être toujours plus proches/connectés de/à ses clients n’est réservée à une caste, à des happy few. Acquérir de nouveaux marchés, accélérer les process en place, devenir plus compétitif... Chaque société a ses buts. Les pme sont les forces vives de la croissance : elles sont plus de % de la population des entreprises, 60 à % des emplois et 55 % du PIB dans les pays pensés. Elles se doivent d’avoir et des solutions à la hauteur de leurs ambitions et du lien qu’elles veulent tisser avec leurs clients, pour rentrer avec eux dans une nouvelle ère, où le digital serait au service de l’humain.

Si la digitalisation est un terme tendance, vous vous apercevrez vite que ce n’est pas une fin en soi et qu’il existe beaucoup d'autres phases pour la réussir en toute sérénité et efficacité. La question n’est plus la numérique, mais la transformation tout court comme le rappelle Juliette Jarry, Vice-Présidente de la région chargée du numérique. La vraie question est : comment est-ce qu’on intègre l’humain au sein de la ? Au sommaire : tour d’horizon des enjeux et challenges de la digitale chez les petites entreprises et ETI à travers la vision des institutions, celles des créateurs d'entreprise et des doctorants.

Désormais, c’est le client qui a le pouvoir de l’information. Ainsi, les marques se doivent d’être à l’écoute de leur lieu, et présentes à chaque étape du parcours d’achat client. Pourquoi s’intéresser au parcours d’achat ? Car internet est employé dans plus de la moitié des parcours d’achat des Français ( baromètre Google, 2016 ). Cette affirmation est aussi bien vraie en b2b qu’en B2C. Le client débute donc son process d’achat de façon pleinement autonome sur le web en collectant des infos, et si une entreprise n’est pas visible sur ce canal, alors elle se prive de ces plus de la moitié d'acheteurs potentiels ! Les sociétés françaises doivent prendre en observation le fait que le consommateur utilise différents canaux pour réaliser ses achats, et doivent ainsi être présentes aux différentes phases de ce parcours, grâce à une tactique de cross-canal : on retrouve notamment le canal physique, qui correspond au magasin, et le canal web, qui correspond au site en ligne de la structure.

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