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attentivement
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le vœu
la poursuite
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éducatif
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le point
la virgule
le point-virgule
deux points
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point d'exclamation
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le trait
l'union (f.)
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la parenthèse
le crochet
le guillemet
le week-end
le whisky
le lit
lire
l'été (m.)
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la pâte
la botte
le dos
beau
tout
tu
taire
le feu
la peur
je
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le vin
la main
un
bon
blanc
la dent
l'œil (m.)
les yeux
le pied
l'huile (f.)
oui
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le camp
qui
le kilo
la goutte
fou
la vie
la face
la maison
le chapeau
rouge
la madame
le nez
le signe
le parking
le mur
le monde
h muet
muet
aspiré
h aspiré
l'herbe (f.)
habiter
hier
la majuscule
la minuscule
l'automobile (f.)
la rapidité
machinal
mathématique
signer
l'embouchure (f.)
l'argent (m.)
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l'appartement (m.)
l'altitude (f.)
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ouvrir
public
le règlement
parler
munir
le passe
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le client
obstiné
la perspective
la promptitude
le sculpteur
le ronflement
l'instruction (f.)
contraire
l'hémisphère (m.)
la sphère
constant
le chevrier
l'instant (m.)
charitable
public
impossible
le poète
le théâtre
arrêter
téléphoner
la villa
le parti
l'armée (f.)
architectural
alterner
le plastique
l'aptitude (f.)
appliquer
aggraver
l'abri (m.)
la patrie
parler
la liaison
le téléphone
qu'est-ce que c'est ?
partir
la grand-mère
le semiconducteur
sourd-muet
ci-dessus
là-bas
au-dessous de
par-dessus
le porte-monnaie
le vis-à-vis
en dessous de
le portefeuille
Vous reste-il des tables ?
Et pourtant, si la lecture ne doit pas se contenter de redoubler le texte, elle ne peut légitimement transgresser le text vers autre chose que lui, vers un référent (réalité métaphysique, historique, psycho-biographique, etc.) ou vers un signifié hors texte dont le contenu pourrait avoir lieu, aurait pu avoir lieu hors de la langue, c'est-à-dire, au sens que nous donnons ici à ce mot, hors de l'écriture en général. C'est pourquoi les considérations méthodologiques que nous risquons ici sur un exemple sont étroitement dépendantes des propositions générales que nous avons élaborées plus haut, quant à l'absence du référent ou du signifié transcendantal. Il n'y a pas de hors-texte.

Et cela non parce que la vie de Jean-Jacques ne nous intéresse pas d'abord, ni l'existence de Maman ou de Thérèse elles-mêmes, ni parce que nous n'avons accès à leur existence dite « réelle » que dans le texte et que nous n'avons aucun moyen de faire autrement, ni aucun droit de négliger cette limitation. Toutes les raisons de ce type seraient déjà suffisantes, certes, mais il en est de plus radicales. Ce que nous avons tenté de démontrer en suivant le fil conducteur du « supplément dangereux », c'est que dans ce qu'on appelle la vie réelle de ces existences « en chair et en os », au-delà de ce qu'on croit pouvoir circonscrire comme l'œuvre de Rousseau, et derrière elle, il n'y a jamais eu que de l'écriture ; il n'y a jamais eu que des suppléments, des significations substitutives qui n'ont pu surgir que dans une chaîne de renvois différentiels, le « réel » ne survenant, ne s'ajoutant qu'en prenant sens à partir d'une trace et d'un appel de supplément, etc. Et ainsi à l'infini car nous avons lu, dans le texte, que le présent absolu, la nature, ce que nomment les mots de « mère réelle », etc., se sont toujours déjà dérobés, n'ont jamais existé ; que ce qui ouvre le sens et le langage, c'est cette écriture comme disparition de la présence naturelle.
face à face
Anne-Marie
Jean-Pierre
accent aigu
accent grave
Il est difficile de comprendre le français parlé.
été
très
j'achète
Nous ne sommes ici que pour deux jours, alors nous devons les faire compter !
à

voilà
au delà de
cela
delà
ça
zéro
le drink pour les men
Mon espace personnel : Associer mes données client à mon espace personnel
çà

tâche
être
dîner
côte
sûr
pâte
ONU
fête
maître
île
hôte
cédille
tréma
On n'est à Paris que pour deux jours, mais j'espère que pendant ce temps on pourra voir une bonne partie des choses qu'on voulait voir.
Saül
Paul
Noël
ambiguïté
aiguë
ambiguë
contiguë
figue
Saint-Saëns
madame de Staël
cher
vrai
la grande maison
les grandes maisons
je finis
il finit
je donnais
bouffer
bouteille
billet
des tripes
des cheveux
des renseignements
univers
électricité
acier
eau
ancien régime
hiver
le million

histoire
héroïsme
herbe
horrible silence
hibou
haine
hachis
honte
héros
héroïne
héroïsme
hibou
histoire
enfants
amis
héroïnes
hérissons
haricot
héros
hôtel
homard

le club
l'objectif
rendre service
la communauté
afin de
apporter
la connaissance
francophone
la région
au-delà
créer
la passion
la génération
actuel
apporter
le sens
l'adhésion
la cotisation
le section
coûteux
le frais
facultatif
au fur et à mesure
le dirigeant
le bureau
composé
le président
le vice-président
le trésorier
le secretaire
le publiciste
traduit
gratuit
la section
le devoir
le pouvoir
le président
présider
la réunion
convoquer
nommer
la commission
approuver
la décision
prendre
pris
le vice-président
accomplir
l'action (f.)
ce dernier
absent
approuver
la fonction
le trésorier
tenir
le compte
exact
la transaction
effectué
la comptabilité
les fonds (m.)
être de (+ inf.)
consister à (+ inf.)
les notes (f.)
la note
le secrétaire
détaillé
lors de
la réunion
envoyer
l'avis (m.)
le membre
créer
le bulletin
bulletin d'information
relayer
le procès-verbal
tous
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le dépliant
s'occuper de
la publicité
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l'opportunité (f.)
y compris
via
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la condition
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le bureau
année académique
l'année (f.)
académique
suivant
élire
durable
en cours
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l'étudiant (m.)
francophone
étudier
le français
l'Université de West Georgia

précédemment
un autre
étudiant
actuellement
inscrire à
la Géorgie
occidental
le candidat
désigner
la manière
suivant
présenter
l'assemblée (f.)
le vote
se faire
le bulletin
oral
à main levée
selon
décider
le club
la majorité
exprimé
exprimer
nécessaire
l'activité (f.)
l'idée (f.)
reçu
le pamphlet
la note
la constitution
être en vigueur
à partir de
septembre (m.)
le type
le repas
français
quotidien
le ramequin

Une majorité de 51% de tous les votes exprimés est nécessaire pour être élu.
Article 5 : Agent fiscal/ consultant de la faculté
Section 1 : La sélection d'un consultant de la faculté est requise pour chaque organisation étudiante sur le campus.
Section 2 : Toutes les organisations étudiantes enregistrées qui reçoivent des cotisations étudiantes doivent avoir un agent fiscal. Cet agent est sélectionné conformément aux règlements de l'université.
Article 6 : Réunions
Section 1 : Le Club Français de l'Université de West Georgia se réunira au moins une fois par mois, sinon toutes les deux semaines. La date et l'heure des réunions seront décidées en fonction du nombre de personnes présentes.
Article 7 : Quorum
Section 1 : 51% des membres de cette organisation constituent un quorum pour traiter des affaires.
Article 8 : Amendements
Section 1 : Les propositions d'amendement doivent être présentées par écrit et lues lors d'une réunion ordinaire et doivent être traitées lors de la réunion suivante.
Section 2 : Cette constitution peut être amendée par un vote majoritaire des 2/3 des personnes présentes à la réunion.
Article 9 : Ratification
Section 1 : Une majorité de 2/3 des personnes présentes à la première réunion de l'organisation nouvellement formée sera nécessaire pour ratifier cette constitution.



Bien que "La Mer" soit plus connue du public, j'ai toujours préféré cette chanson, une exploration nostalgique de l'enfance, sujet éternel de l'art français. Pour un pays détruit par la guerre, je pense que Trenet a trouvé un écho auprès de la population française d'une manière que le public moderne peut ne pas comprendre.
Bien que «La Mer» soit mieux connu par la population, j'ai toujours préfèré cette chanson, une exploration nostalgique de l'enfance, sujet éternel de l'art français. Pour un pays detruit par la guerre, je pense que Trenet a trouvé un écho avec la population Française que le publique moderne peut échouer à comprendre.
Un repas est un moment spécifique, dans le cycle des activités journalières; consacré à l'alimentation. Dans les sociétés humaines, le repas est généralement ritualisé. La grande majorité des cultures distingue plusieurs types de repas, selon le moment de la journée et la quantité d'aliments qu'ils comportent, les plus importants correspondant aux moments de convivialité les plus intenses et possédant une forte charge symbolique ou religieuse.

La quantité d'aliments varie selon le repas, et les nutritionnistes recommandent des apports en calories, vitamines, protéines, lipides, glucides et fibres qui correspondent à l'activité physique et intellectuelle que l'on devra fournir avant le prochain repas. En moyenne, le premier repas de la journée doit apporter 25% des quantités nécessaires, le repas du milieu de journée doit en apporter presque la moitié, et le dernier repas peut être plus léger pour faciliter la digestion pendant le sommeil.

Le nom des repas rythme la journée. Mais selon les époques, les repas n'ont pas toujours été pris aux mêmes moments. Ainsi au Moyen Âge, le dîner, premier repas du jour, était pris dans la matinée, comme le rappelle l'aphorisme: Lever à cinq, dîner à neuf / Souper à cinq,coucher à neuf / Font vivre d'ans nonante et neuf.

Le premier repas du jour est généralement pris peu après le réveil; c'est donc celui qui rompt le jeûne. De là vient l'appellation déjeuner courante en Belgique, au Canada (surtout dans la classe sociale moyenne), en Suisse et dans le sud de la France. Hors de ces régions, il prend le nom de petit déjeuner. L'importance du petit déjeuner tend à diminuer, ce qui renforce le rôle des deux autres repas principaux.

En Occident, on distingue traditionnellement deux grands types de petit déjeuner: le petit déjeuner continental, et le petit déjeuner anglo-saxon. Le petit déjeuner continental est un repas sucré. Il est composé d'une boisson chaude (lait, café, thé ou chocolat au lait)accompagnée de tartines (pain; beurre; confiture ou miel..., ou simplement pâtes à tartiner industrielles). Peuvent s'y adjoindre, surtout les jours fériés, des viennoiseries (croissant, pain au chocolat, brioche...), du jus d'orange, un yogourt ou des céréales sucrées (muesli ou créations des marques Kellogg's, Jordan's, Nestlé...). Le petit déjeuner anglo-saxon est plus copieux, comprenant le plus souvent des oeufs et de la charcuterie. Il peut prendre la forme d'un brunch pris en milieu de matinée qui tiendra lieu à la fois de repas du matin et de celui de midi. Cette distinction reste cependant conventionnelle. En Allemagne par exemple, le petit déjeuner traditionnel est également copieux; il peut contenir des oeufs à la coque, des charcuteries et des fromages à pâte cuite.

Dans les régions où le terme déjeuner est réservé au repas du matin, on appelle celui de midi le dîner; ailleurs, c'est simplement le déjeuner. Il est généralement pris entre midi et treize heures. En France, même si c'est le repas qui est le plus souvent pris en dehors du domicile familial, il garde encore souvent une stucture traditionnelle avec une entrée; un plat principal; et un fromage ou un dessert. Seul le plat principal est obligatoire; les autres dépendant de l'appétit et du budget de chacun: Du hors-d'oeuvre au fromage, la plupart des Français consommeront du pain. Ce repas est traditionnellement accompagné de vin(s) ou de bière selon les lieux, cette consommation quotidienne de boissons alcoolisées étant de plus en plus souvent remplacée par de l'eau.

Les régions qui réservent le terme de dîner au repas de midi désignent ce repas du soir comme le souper; ce terme, issu du latin sub vesperas (après les vêpres) indique que l'on mangeait peu après 17 heures. Cela se fait encore dans de nombreuses régions d'Europe et d'Amérique du Nord, dans les hôpitaux et maisons de repos. Le travail féminin hors domicile a cependant provoqué le report de ce repas qui se prend de plus en plus souvent après 18 heures 30. En Allemagne, où le repas de midi est bien plus souvent pris à domicile, on mange le soir plus frugalement (charcuteries et salades). En France, le repas du soir (nommé dîner) est souvent comparable dans sa composition au repas de midi, quoique souvent plus simple. Il est l'occasion de se retrouver en famille autour de la table. Dans ce pays, le souper est un repas léger pris en fin de soirée, mais son usage est tombé en désuétude.

Le repas peut être fort modeste,parfois simplement constitué de croûtes de pain. De là viennent le terme croustille, synonyme de petit repas, et la locution Passer à la croustille; appliquée à ceux qui reçoivent une aide en vivres. Du repas de croûtes de pain vient le casse-croûte.

Au Canada et en Belgique, on parle de collation pour désigner les légers repas entre les trois repas principaux. En France on parle aussi d'en-cas. Dans l'après-midi, le goûter (ou quatre heures) est un en-cas sucré proposé habituellement aux enfants. La consommation de pâtisseries avec un thé ou un café en milieu de journée est également répandue chez de nombreux adultes quand leurs occupations leur en laissent le loisir. Ces en-cas ont tendance à se multiplier, et les modes de vie urbains ne respectent parfois pas du tout les repas traditionnels.



Histoire du baccalauréat en France

Les premiers baccalauréats datent en France du XIIIe siècle avec l'apparition de l'Université de Paris. Le baccalauréat est alors conféré dans les quatre facultés : faculté des arts, de médecine, de droit et de théologie. Il s'agit alors du premier grade obtenu dans chacune de ces facultés, la faculté des arts étant généralement un préalable aux autres facultés. Le bachelier peut ensuite préparer la licence afin d'obtenir le droit d'enseigner (licencia docendi : permission d’enseigner). En tant que bachelier, il peut assister un professeur pour l'enseignement en direction des candidats au baccalauréat en étant en charge des cours dit « extraordinaires ».

Après la Révolution française qui supprime les universités, le baccalauréat a été réorganisé pour les cinq disciplines d'alors (sciences, lettres, droit, médecine, théologie) par Napoléon Ier en 1808, avec les deux autres grades, la licence et le doctorat. Le baccalauréat devient alors un grade d'État. Le décret du 17 mars 1808 fixe les règles à suivre pour obtenir ces grades. Les deux nouveaux baccalauréats, baccalauréat ès lettres et baccalauréat ès sciences, s'inscrivent dans l'héritage de la maîtrise ès arts. Les baccalauréats de chaque discipline ne sont pas de même niveau, ainsi le baccalauréat ès lettres est un préalable à la présentation aux épreuves des autres baccalauréats. Le baccalauréat en droit est obtenu après deux années d'études dans la faculté de droit.

En 1808 il n'y eut que 21 bacheliers. En 1830, est introduite la première épreuve écrite et, en 1840, des mentions Très Bien, Bien et Assez Bien. À partir de 1852, les baccalauréats ès lettres et ès sciences deviennent symétriques, alors qu'auparavant le baccalauréat ès lettres précédait le baccalauréat ès sciences, divisé en baccalauréat ès sciences physiques et ès sciences mathématiques. Il y avait au XIXe siècle suffisamment peu de candidats pour que les professeurs de l'université fassent eux-mêmes passer les épreuves, comme on le voit dans « Le Bachelier » de Jules Vallès. Ainsi, en 1885, il y avait pour l'Académie de Paris 878 bacheliers reçus au premier baccalauréat, et 776 au second baccalauréat. En 1902, des enseignants du secondaire partagent les places au jury avec les universitaires pour la première fois.

Au cours du XIXe siècle deux groupes de baccalauréats se distinguent : les baccalauréats ès lettres et ès sciences que l'on prépare au sein des lycées, et les trois autres baccalauréats qui sont des grades intermédiaires des études supérieures menant à la licence. En 1927 les baccalauréats ès lettres et ès sciences sont remplacés par le baccalauréat de l'enseignement du second degré dont les épreuves demeureront cependant durant longtemps encore organisées par les facultés des lettres et sciences humaines et les facultés des sciences.

L'épreuve anticipée de français en classe de première est instituée en 1965, les filières A, B, C, D et E (remplacées en 1994 par les filières S, L et ES), ainsi que technologiques sont mises en place en 1968. Le bac professionnel est établi en 1985.

Il a connu plusieurs paliers dans sa diffusion parmi la population. Il était initialement destiné aux enfants de la bourgeoisie, et plus particulièrement aux jeunes de sexe masculin. La première femme à passer le baccalauréat est Julie-Victoire Daubié en 1861. Mais c’est à partir de 1924, lorsque les programmes secondaires pour garçons et filles deviennent identiques, que le baccalauréat s’ouvre largement aux filles.

Le second palier dans la hausse du nombre de bacheliers intervient à partir des années 1930, quand le lycée public devient gratuit (il était payant auparavant, sauf pour quelques rares boursiers comme Marcel Pagnol ou Georges Pompidou, par exemple). Cependant l’explosion du nombre de bacheliers intervient réellement à partir des années 1960-1970, quand le primaire supérieur (la partie du système scolaire réservée aux familles modestes) est supprimé au profit du collège unique. Le but à atteindre, proclamé en 1985 par le ministre de l’Éducation nationale Jean-Pierre Chevènement, était d'amener 80% d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat. Cet objectif fut ramené à 74% ultérieurement. En 2008, environ 64 % d'une génération est titulaire du baccalauréat. En 2007, 54 % des bacs obtenus sont des bacs généraux, 26 % des bacs technologiques et 20 % des bacs professionnels.
Dans les étapes suivantes, vous allez associer votre passe Navigo à cet espace personnel
Le baccalauréat est ainsi passé en un peu plus d’un siècle et demi d’un diplôme élitiste et bourgeois, sélectionnant les futurs cadres de la nation, à un diplôme de base, indispensable à toute formation et à toute carrière professionnelle, remplacé dans son rôle précédent par exemple par les concours d'entrée aux grandes écoles. (...) L'examen est tous les ans très médiatisé. Le fait d'avoir son bac fait partie du passage à l'âge adulte, un peu comme le permis de conduire.
une brosse à dents
un couteau à pain
une corbeille à papiers
une cuiller à café
une planche à roulettes
une planche à voile
une tasse à café
une tasse à thé
un verre à vin
un verre à pied
une ambassade de France
une carte de visite
une carte de France
un billet de bus
un arrêt de bus
un tableau d'affichage
une question d'argent
une affaire de cœur
un problème de liquidité
une salle de classe
une salle de bains
une agence de voyages
un verre de vin
une tasse de thé
une tasse de café
au fur et à mesure que


(a) Elle balbutia. Mais lui, comprenant, s’abandonna à une colère
épouvantable.
— Quelle honte ! cria-t-il. Vous voilà voleuse, maintenant ! Et
qu’arriverait-il, si l’on vous surprenait ? Je serais la fable de la ville.
— C’est pour toi, Ovide, murmurait-elle.
— Voleuse, ma mère est voleuse ! Vous croyez peut-être que je vole
aussi, moi, que je suis venu ici pour voler, que ma seule ambition est
d’allonger les mains et de voler ! Mon Dieu ! quelle idée avez-vous
donc de moi ?
(Zola, La Conquête de Plassans)

(b) La réponse vint, catégorique:
« Non !
— Alors, qui est-ce ? On ne l’a jamais vu dans le pays ! II ne vient
pas d’étrangers ici . . .
— Je ne sais pas . . . »
Elle s’obstinait, avec une subtilité instinctive de femme.
« Le maire t’a toujours détesté . . . C’est vrai que tu as dîné chez lui
ce soir ? . . .
— C’est vrai . . . »
Elle trépigna d’impatience.
« Mais alors, dis-moi quelque chose ! Il le faut ! Ou je te jure que je
vais croire que . . . »
Elle n’allait pas plus loin.
(Simenon, Le Port des brumes)

(c) Au bout d’un moment, il m’a regardé et il m’a demandé :
« Pourquoi ? » mais sans reproche, comme s’il s’informait. J’ai dit :
« Je ne sais pas. » Alors, tortillant sa moustache blanche, il a déclaré
sans me regarder : « Je comprends. »
(Camus, L’Étranger)

(d) A la lumière du théâtre afghan, quel doit être le rôle de l’alliance
atlantique ? A la conception française s’oppose la vision américaine
d’une organisation appelée à devenir une alliance « globale », qui se
transforme peu à peu en une « communauté des démocraties ».
(Le Monde, 28 November 2006)

Nous avons pris en compte votre candidature pour la majeure que vous avez choisie, ainsi que votre second choix de majeure et toutes les autres voies d'admission si un second choix de majeure a été sélectionné. Les décisions sont basées sur la compétitivité du groupe de candidats, et nous avons eu un groupe très fort cette année. Vous pouvez lire la FAQ "Refusé" pour plus d'informations sur votre décision. Veuillez noter qu'en raison de la nature personnelle et confidentielle d'une candidature, nous ne sommes pas en mesure de discuter de votre décision par courriel.
Vous pouvez emprunter de nombreuses voies pour obtenir un diplôme de l'Université de l'Illinois. Si vous êtes intéressé par un transfert, veuillez consulter nos informations sur l'admission de transfert.

Cher Logan,
Félicitations ! J'ai le plaisir de vous informer de votre admission à l'Université de l'État du Michigan.
Vous rejoignez une communauté académique exceptionnelle de Spartans qui, comme vous, ont fait preuve d'un engagement envers la réussite. Nous sommes impatients de voir comment vous contribuerez à la mission de MSU, qui est de faire du monde un endroit meilleur.
Détails de votre admission :
Terme : Semestre d'automne 2021
Niveau : Premier cycle universitaire
Préférence majeure : Mathématiques
Cette lettre d'acceptation n'est que le début de l'aventure de votre vie qui commence à la MSU. C'est vous qui décidez de la suite de l'aventure. À chaque étape, vous pouvez compter sur un solide réseau de soutien qui s'investit dans votre réussite. Notre corps professoral et notre personnel, ainsi qu'un réseau d'anciens élèves de près d'un demi-million de Spartans dans le monde, s'engagent à vous aider à découvrir et à explorer ce qui vous passionne et à vous préparer à rivaliser avec les meilleurs du monde.
Pour garantir votre place, vous devez soumettre un dépôt d'inscription anticipé (DEA) avant le 1er mai 2021.
Veuillez noter que l'admission à la Michigan State University est subordonnée à la poursuite de votre réussite scolaire et à la satisfaction des critères d'admission de l'université dans tous les cours que vous avez suivis avant de vous inscrire à la MSU.
Au nom de toute la communauté MSU, félicitations et bienvenue dans la famille Spartan. Allez les verts !
Sincèrement,
John Ambrose
Directeur des admissions de premier cycle

Cher Logan,
Le comité d'admission a terminé l'examen de votre candidature. Je suis vraiment désolé de vous annoncer que vous n'avez pas été admis dans la classe 2025 du MIT.
Comprenez bien qu'il ne s'agit en aucun cas d'un jugement sur vous en tant qu'étudiant ou en tant que personne, puisque notre décision a plus à voir avec le nombre de candidats que n'importe quoi d'autre - beaucoup de nos candidats ne se voient pas offrir une admission simplement parce que nous n'avons pas assez de place dans notre classe d'entrée. Cette année, nous avons reçu plus de 33 000 candidats pour moins de 1 500 offres d'admission. Comme toutes nos décisions sont prises en une seule fois et que toutes les places disponibles ont été attribuées, toutes les décisions sont définitives.
Nous apprécions vraiment l'intérêt que vous portez au MIT et nous vous souhaitons le meilleur dans tous vos projets futurs.
Sincèrement,
Stuart Schmill
Doyen des admissions et des services financiers pour les étudiants

Cher Logan,
Nous vous remercions de votre candidature à l'Université du Massachusetts Amherst. Nous avons reçu plus de 40 000 demandes pour la classe qui entrera à l'automne 2021 et, par conséquent, la concurrence pour les postes disponibles dans la classe a été particulièrement vive. Malheureusement, à l'heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place dans la classe, mais nous vous offrons une place sur notre liste d'attente.
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Cordialement,
L'équipe des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst

Cher Logan,
Félicitations ! Au nom de la communauté de notre campus, j'ai le plaisir de vous annoncer que vous avez été accepté à l'Université du Massachusetts Amherst. Le processus d'admission était très compétitif, et les étudiants de cette nouvelle promotion font partie des plus performants de leur communauté, à travers les États-Unis et le monde.
À l'UMass Amherst, vous rejoindrez une communauté de campus diversifiée, composée de penseurs brillants, audacieux et non conventionnels, où l'exploration et la recherche en classe sont complétées par des centaines d'activités extrascolaires, des sports de haut niveau, des possibilités de s'engager dans la communauté locale, une nourriture extraordinaire et primée, le tout dans un cadre magnifique. Nous sommes fiers de notre tradition d'excellence et nous nous réjouissons de votre contribution à notre communauté.
Pour accepter notre offre d'admission, veuillez payer votre dépôt d'inscription non remboursable avant le 10 mai 2021. Les instructions pour le faire sont indiquées ci-dessous. Nous vous encourageons également à lire les informations et ressources supplémentaires disponibles sur notre site web d'admission pour vous guider dans cette décision importante. Si vous ne l'avez pas encore fait, veuillez soumettre et/ou ajouter l'UMass Amherst à votre Free Application for Federal Student Aid (FAFSA) dès que possible. (Le code de l'école UMass Amherst est 002221.) Pour que votre demande d'aide soit pleinement prise en compte, vos informations doivent nous parvenir au plus tard le 1er mars 2021. Des informations supplémentaires sur l'aide financière sont disponibles sur le site Web de l'UMass Amherst consacré à l'aide financière.
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Cordialement,
Michael Drish
Directeur, Admissions de première année

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Période d'entrée : Automne 2021
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Résidence
Votre lieu de résidence est hors de l'État. Cette information est importante car elle détermine le coût total de vos études et votre éligibilité à une aide financière.

Majeure
Vous avez été admis en Mathématiques au College of Natural Sciences.

Votre décision concernant le Commonwealth Honors College
Vous avez également été admis au Commonwealth Honors College (CHC) ! Le bureau des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst vous a identifié comme un étudiant ayant la formation académique et les caractéristiques personnelles pour s'épanouir au CHC. Le Commonwealth Honors College offre aux étudiants plusieurs avantages, notamment des cours dans des classes de 17 personnes en moyenne et des conseils académiques supplémentaires. Les étudiants du CHC sont tenus de réaliser un projet de thèse d'un an. Veuillez consulter la page Web du programme d'études du CHC pour de plus amples informations.

Le Commonwealth Honors College prépare les étudiants à devenir des penseurs, des leaders et des résolveurs de problèmes. Nous pensons qu'il est essentiel pour les étudiants d'être exposés à un large éventail d'expériences académiques, sociales et culturelles. Les étudiants du Honors College participent à une série de programmes spéciaux, y compris l'apprentissage par la communauté, les stages et les études internationales. Nous soutenons les ambitions des étudiants Honors en leur offrant des conseils, des bourses et des possibilités de recherche. Notre communauté résidentielle Honors offre un environnement de vie qui complète le programme académique.

Prix du Chancelier
Nous sommes heureux de vous offrir une bourse du chancelier d'un montant de 12 000 $ par année universitaire. Cette bourse est basée sur votre statut de résident hors de l'État. Votre statut de résidence détermine également le coût de votre participation et un changement de résidence est susceptible d'éliminer ou de réduire votre bourse. Votre bourse sera appliquée à vos frais de scolarité pour un maximum de quatre ans (huit semestres consécutifs) de cours de premier cycle à temps plein (12 crédits ou plus par semestre) à l'UMass Amherst, à condition que vous mainteniez des progrès universitaires satisfaisants. Cette bourse est basée sur les informations que vous avez fournies avec votre demande et le montant de la bourse n'est pas négociable. Pour plus d'informations sur les critères d'attribution, le renouvellement, etc., consultez notre page FAQ.

Cher Logan,
Nous vous contactons pour vous informer que nous sommes en train de régler certains détails de gestion de notre bassin de candidatures pour l'automne 2021. Comme nous n'avons pas eu de nouvelles de votre part avant la date limite de réponse aux candidats, nous retirons votre candidature.
Merci encore de l'intérêt que vous portez à l'UMass Amherst. Nous vous souhaitons le meilleur dans vos projets futurs.
Sincèrement,
L'équipe des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst


Cher Logan,
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'Université de Géorgie en tant qu'étudiant de première année. Après un examen approfondi de votre dossier d'admission, nous avons le regret de vous informer que nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place dans notre classe de première année pour l'année à venir.
Nous sommes conscients que cette nouvelle peut être décevante pour vous et votre famille. L'intérêt pour l'UGA est plus élevé que jamais, ce qui produit un groupe de candidats incroyablement compétitif. Veuillez comprendre que beaucoup plus d'étudiants postulent à l'UGA que nous ne pouvons en accueillir, ce qui rend chaque décision de ne pas admettre un étudiant très difficile.
Nous sommes également conscients que de nombreux étudiants et les membres de leur famille peuvent souhaiter appeler pour demander la raison pour laquelle un étudiant n'a pas été accepté. Il n'y a pas de réponse facile. Il est rare qu'un seul facteur soit en cause, par exemple une note de test trop basse ou une note spécifique insuffisante dans un cours, ou qu'un étudiant, une fois admis, ne puisse pas réussir. Votre candidature, ainsi que celle de milliers d'autres étudiants, a été examinée dans le cadre d'une procédure de plus en plus compétitive qui vise à comparer équitablement chaque candidat à tous les autres candidats pour le nombre de places disponibles dans notre classe de première année. Vous trouverez des informations sur notre processus de sélection et sur la nature compétitive de nos candidats sur notre site Internet, www.admissions.uga.edu.
Ceci met un terme à vos possibilités de candidature en tant qu'étudiant de première année à l'Université de Géorgie. Cependant, comme beaucoup d'étudiants, vous pouvez décider d'obtenir un diplôme de l'UGA en tant qu'étudiant de transfert. Gardez à l'esprit que les critères et les dates limites de transfert sont susceptibles de changer et que l'admission de transfert dépend de la disponibilité des places à l'Université en général ainsi que dans votre programme d'études prévu. Par conséquent, nous vous recommandons de consulter notre site Web au moins six à neuf mois avant la session à laquelle vous prévoyez de vous inscrire pour obtenir des conseils.
Nous vous encourageons vivement à envisager de poser votre candidature dans d'autres établissements de l'University System of Georgia. Veuillez consulter le site usg.edu/findyourschool où vous trouverez des ressources importantes pour vous mettre en relation avec les établissements de l'USG les plus à même de répondre à vos besoins universitaires, d'atteindre vos objectifs et de vous préparer à la réussite professionnelle.
Encore une fois, nous sommes très heureux que vous ayez permis à l'Université de Géorgie de vous considérer dans votre recherche d'un foyer universitaire. Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans tous vos futurs projets universitaires.
Meilleures salutations,
David R. Graves et Amanda R. Sale, Ph.D.
Directeurs exécutifs par intérim
Admissions et gestion des inscriptions
sou
Cher Logan,
Nous vous remercions de nous avoir donné l'occasion d'examiner votre demande d'admission dans la classe de première année qui entrera à l'automne 2021. Notre comité d'admission a examiné attentivement votre demande et les documents à l'appui et, malgré votre excellent dossier et vos réalisations, nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place au Mellon College of Science.
Ne considérez pas cela comme un reflet de votre talent et de vos capacités, mais plutôt comme une indication de l'énorme quantité de candidatures et de notre incapacité à offrir une place à chaque candidat sérieux. Nous sommes déçus de ne pas avoir pu accepter davantage de candidats exceptionnels qui ont postulé à Carnegie Mellon cette année. Nous espérons que vous comprenez la difficulté de sélectionner un si petit nombre de candidats parmi les nombreux candidats talentueux de la réserve de candidats de cette année.
Nous apprécions l'intérêt que vous portez à Carnegie Mellon ainsi que le temps et les efforts que vous avez consacrés à soumettre votre candidature.
Si notre bureau d'admission peut vous aider, n'hésitez pas à nous écrire ou à nous appeler. Notre personnel d'admission sera heureux de vous aider dans vos projets universitaires. Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans vos futurs projets d'éducation.
Cordialement,
Gregory A. Edleman
Directeur de l'admission

Cher Logan,
Le comité des admissions a terminé ses réunions, et je suis vraiment désolé de t'informer que nous ne pouvons pas te proposer d'être admis dans la classe de 2025. J'aurais aimé qu'une autre décision soit possible, mais j'espère que le fait de recevoir cette décision finale maintenant te sera utile pour faire tes plans d'université.
Ces dernières années, le Comité a été confronté à des décisions de plus en plus difficiles ; plus de cinquante-sept mille étudiants ont postulé pour les seize cent soixante places de la classe de première année, et la grande majorité de nos candidats pourraient réussir ici sur le plan académique. En outre, la plupart des candidats présentent de solides références personnelles et extrascolaires. Le Comité a donc été confronté à la nécessité de choisir une classe de première année parmi un grand nombre d'étudiants plus talentueux et hautement qualifiés qu'il ne peut en admettre.
Nous souhaiterions pouvoir admettre un plus grand nombre de nos excellents candidats, et nous comprenons combien le processus de demande d'admission à l'université peut être difficile pour les étudiants et leurs familles. Bien que le comité ait mené ses délibérations avec le plus grand soin, nous savons que personne ne peut prédire avec certitude ce qu'un individu accomplira au cours de ses études ou au-delà. L'expérience passée suggère que l'université particulière qu'un étudiant fréquente est beaucoup moins importante que le développement de ses forces et de ses talents au cours des quatre prochaines années.
Nous apprécions beaucoup l'intérêt que vous avez manifesté pour Harvard, et nous espérons que vous accepterez les meilleurs vœux de réussite du comité dans tous vos projets futurs.
Sincèrement,
William R. Fitzsimmons
Doyen des admissions et de l'aide financière

Cher Logan,
La commission des admissions a examiné attentivement votre demande d'admission à l'université de Columbia, et nous sommes au regret de vous informer que nous ne pouvons pas vous offrir une place dans la classe de 2025 de Columbia. Cette année, plus de 60 000 candidats ont postulé pour une place dans la classe de première année, ce qui fait de ce processus de sélection le plus difficile de notre histoire. Les nombreux points forts de l'ensemble des candidats - comme en témoignent les succès scolaires obtenus, les services rendus à la communauté, les activités pratiquées, les essais écrits et les livres lus - ont rendu le processus de sélection plus compétitif que les simples chiffres ne pourraient l'indiquer, ce qui nous oblige malheureusement à décevoir de nombreux étudiants doués.
Nous voulons que vous sachiez que cette décision ne reflète en aucun cas un manque de confiance dans votre capacité à réussir dans vos projets universitaires et au-delà. D'après notre expérience, la grande majorité des étudiants qui ne sont pas admis ici continuent à se distinguer dans les meilleurs collèges et universités du monde entier, et nous sommes convaincus que vous ferez de même. Nous devons cependant préciser qu'étant donné que nos décisions sont prises après de nombreux mois de délibérations minutieuses, le comité des admissions ne peut envisager aucune révision de cette décision.
Nous apprécions l'intérêt que vous portez à Columbia et vous souhaitons le meilleur dans la poursuite de vos études supérieures.
Sincèrement,
Jessica Marinaccio
Doyenne des admissions de premier cycle et de l'aide financière

Ch 4
Logan
1. Si Maryse pensait que la maison d’Yvelise n’était pas aussi belle que la sienne, pourquoi voulait-elle tant y vivre ?
2. Que signifie l’expression « pour un oui, pour un non » ? (At the drop of a hat.)
3. Pourquoi Lise reste-t-elle avec son mari alors qu’elle sait qu’elle serait probablement mieux sans lui ? Le texte suggère que c’est son amour que la fait rester. Pourtant, on peut imaginer d’autres mobiles – sa fille, son confort, etc.

Je pense que ce chapitre parle évoque une fois de plus à l’épigraphe parce que tout au long du chapitre, Maryse dépeint Yvelise comme laide et inintelligente -- des choses qui sont commodes et même nécessaires pour voir les actions de Maryse sous un jour positif ici -- et nous devons simplement la croire sur parole que ces choses sont vraies.
Ce commentaire n’est pas aussi développé que les autres…faute de temps ? Que voulez-vous dire en suggérant que les défauts d’Yvelise accentuent le côté positif du comportement de Maryse ? L’ensemble de votre travail est pourtant excellent. Continuez de la même façon !

Ils ne m'ont pas appelé.
Il était drôle ? Oui, il l'était.
Elle leur a donné les devoirs ? Non, elle ne les leur a pas donnés.
Tes amis vont aux États-Unis ? Ils y vont.
Je n'ai pas de frères, mais mon ami en a deux.
J'ai reçu la vidéo. Montre-la-nous !

3-1:
Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
Vous avez visité le musée du Louvre ? Oui, nous l’avons visité hier.
Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? Oui, je les ai perdues hier soir.
J’espère que vous avez réservé votre place ? Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
Tu aimes cette couleur ? Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
Tu connais cette fille ? Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.

3-2:
Il a pris la voiture ? Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
Vraiment, il n’aime pas les confitures ? Non, il n’aime pas ça.
Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? Si, je l’ai bien vu !
Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? Oui, je les ai remarquées, et alors ?
Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
Est-ce qu’il a revu Véronique ? Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
Vraiment, il déteste l’opéra ? Oui, il déteste ça !
Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? En principe, nous devrions la voir demain.
Tu crois qu’ils seront à l’heure ? Oh oui, en général, ils le sont.
Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? Oui, ils le savaient.
Vous aimez les champignons ? Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.

3-3:
Il a pris la voiture ? Non, il ne l’a pas prise aujourd’hui.
Tu savais qu’il faisait du russe ? Oui, je le savais.
Tu aimes le chocolat noir ? Oui, j’adore ça.
Quand est-ce que vous prenez vos vacances ? Nous les prenons au mois de mai.
Tu aimerais aller en France ? Oui, j’aimerais bien ça.
Tu rendras visite à tes grands-parents cet été ? Oui, je l’espère.
Est-ce qu’il a vendu sa voiture ? Oui, il l’a vendue à son frère.
Est-ce qu’ils t’ont dit qu’elle divorçait ? Oui, ils me l’ont dit.
Vous aimez le champagne ? Oui, je l’adore.
Est-ce que tu as déjà vu ce DVD ? Non, je le regarderai ce soir.

3-4:
Il parle souvent à sa voisine. Il lui parle souvent.
Cet hôtel ne convenait pas à mes parents. Cet hôtel ne leur convenait pas.
N’oublie pas d’écrire à ta grand-mère. N’oublie pas de lui écrire.
Il ne faut pas trop en vouloir à ton frère. Il ne faut pas trop lui en vouloir.
Cela ferait plaisir à Marc et Cécile. Cela leur ferait plaisir.
candidature
3-10:
Vous avez envoyé à cette cliente la réponse qu'elle attendait ? Vous la lui avez envoyée ?
Est-ce que tu nous louerais ta maison pour cet été ? Est-ce que tu nous la louerais pour cet été ?
C'est ma tante qui m'a donné cette belle gourmette en or. C'est ma tante qui me l'a donnée.
Cet agriculteur nous vend toujours les produits de sa ferme à très bon prix. Cet agriculteur nous les vend toujours à très bon prix.
N'oublie pas de souhaiter son anniversaire à ta sœur. N'oublie pas de le lui souhaiter.
Ils ne nous ont pas expliqué les vraies raisons de leur départ. Ils ne nous les ont pas expliquées.
Dois-je prêter à Jacques les cent euros dont il a besoin ? Dois-je les lui prêter ?
Réclame à ces gens l'argent qu'ils te doivent à la fin ! Réclame-leur l'argent qu'ils te doivent à la fin !
Il a racheté cette voiture à ses parents. Il la leur a rachetée.
Tu crois qu'on accordera à Luc les délais supplémentaires qu'il demande ? Tu crois qu'on les lui accordera ?

3-14:
Cette coupe de cheveux ne va pas du tout à Vanessa. Cette coupe de cheveux ne luis va pas du tout.
Reprends un peu de mousse au chocolat. Reprends-en un peu.
Va vite à la boulangerie et achète-moi deux baguettes pas trop cuites. Vas-y vite et achète-m'en deux pas trop cuites.
Flattée, l'actrice souriait aux nombreux photographes en prenant la pose. Flattée, l'actrice leur souriait en prenant la pose.
Réponds à ton père quand il t'appelle ! Réponds-lui quand il t'appelle !
J'ai deux cousins qui vivent en France depuis bientôt trois ans. J'en ai deux qui y vivent depuis bientôt trois ans.
J'ai envie de commander une douzaine d'huîtres. J'ai envie d'en commander une douzaine.
Je profite de mes vacances pour lire quelques romans policiers. J'en profite pour en lire quelques-uns.
Vous pouvez rappeler Monsieur Langlois dans la soirée si vous tenez à lui parler personnellement. Vous pouvez le rappelerdans la soirée si vous le tenez.
Ne dérange pas ta sœur pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée ! Ne la dérange pas pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée !

3-15:
As-tu montré ton nouvel ordinateur à Michel ? Oui, je le lui ai montré.
Ils vous ont indiqué la route à suivre ? Oui, ils nous l'ont indiquée.
Vous avez songé à cette alternative ? Oui, j'y ai songé.
Est-ce qu'elle t'a demandé de passer la voir ? Non, elle ne m'en a pas demandé.
Vous avez parlé de cette possibilité à votre collègue ? Oui, je lui en ai parlé.
Vous aimez le roquefort ? Ah oui, je l'aime beaucoup.
Elle t'a expliqué ce que tu dois faire ? Oui, elle l'a bien expliqué.
Tu as remis les clés à la concierge ? Oui, je les lui ai remises.
Vous vous attendiez à une telle réaction ? Non, je ne m'y attendais pas.
lexicographie
3-16:
Est-ce que tu as acheté un tapis à ce marchand ? Oui, je le lui ai acheté.
Vous vous retrouvez souvent dans ce petit café ? Oui, nous nous y retrouvons tous les mardis.
Tu as envie de faire cette excursion ? Non, franchement, je n'en ai pas tellement envie.
Est-ce qu'ils ont envoyé cette circulaire à tous les propriétaires ? Oui, ils la leur ont envoyée le mardi.
Nous irons un jour à New York ? Oui, je te promets que nous y irons.
Vous avez expliqué à vos clients que nous aurions un retard de livraison ? Oui, ne vous inquiétez pas, nous le leur avons expliqué.

3-17:
Vraiment, sa mère a dû être hospitalisée d'urgence ? Je n'en suis pas absolument sûr mais je le crains en effet.
J'ai une longue composition, alors je dois m'y mettre tout de suite, sinon je n'arriverai jamais à la terminer à temps.
J'ai cherché ce document partout dans ma chambre, mais il n'y est pas. Est-ce que quelqu'un l'aurait pris par mégarde ?
Tu veux nous accompagner ce soir ? Nous allons boire un verre avec des amis. Oui, je le veux bien, avec plaisir !
Vous pensez que vous retrouverez du travail à Lyon ? Oui, enfin je l'espère car toute ma famille y habite et je n'ai pas envie d'aller m'établir ailleurs.
La réunion a été annulée ? Ça alors ! Mais enfin, pourqoui est-ce qu'on ne me l'a pas dit ?
Mon grand-père a de moins en moins de mémoire. Il se répète de plus en plus, bien qu'il n'en soit pas du tout conscient.
J'aime beaucoup ces jens : je les admire et je leur fais entièrement confiance.
Pour faire plaisir à mes parents, nous leur avons offert un voyage en France : je crois qu'ils y iront au mois de juin.
Ne t'en fais pas ! Ça s'arrangera !
Boudreaux
3-18:
Est-ce vraiment la meilleure solution ? Je me le demande aussi. En fait j'en doute un peu, mais je n'ose le dire qu'à toi.
Il a failli oublier son rendez-vous. Il ne s'en est souvenu qu'à la toute dernière minute.
Tu as dit à Martine qu'on se retrouvait à huit heures devant le cinéma ? Non pas encore, mais je te téléphonerai tout à l'heure pour te le dire.
Eleni est brillante : elle le sait mais ne s'en vante jamais.
Vous y croyez, vous, à cette histoire ? Non, c'est une histoire à dormir debout !
Leur arrogance finira par leur nuire mais ils ne semblent pas s'en préoccuper le moins du monde.
Tu n'es pas d'accord avec moi ? Si, si, je le suis, mais ne m'en veux pas si je ne le dis pas tout haut : je ne veux pas avoir d'ennuis...
Son intuition féminine ? À ta place, je ne m'y fierais pas trop...
Excusez-moi, je me sauve : on m'attend.
Si vous avez des questions, posez-les-moi par courrier électronique. J'y répondrai ce soir, je vous le promets.
Je certifie que toutes les informations soumises dans le cadre de la procédure d'admission - y compris la présente demande et tout autre document justificatif - sont mon propre travail, qu'elles sont conformes aux faits et présentées honnêtement, et que ces documents deviendront la propriété de l'institution auprès de laquelle je postule et ne me seront pas restitués. Je comprends que je peux faire l'objet de diverses mesures disciplinaires, y compris la révocation de l'admission, l'expulsion ou la révocation des crédits de cours, des notes et du diplôme si les informations que j'ai certifiées sont fausses.
Je m'engage à informer immédiatement les institutions auxquelles je m'adresse en cas de modification des informations demandées dans la présente demande, y compris les antécédents disciplinaires.
Je comprends qu'une fois que ma demande a été soumise, elle ne peut être modifiée en aucune façon ; je devrai contacter directement l'institution si je souhaite fournir des informations supplémentaires.
Je reconnais avoir pris connaissance des instructions relatives à la candidature pour le collège qui reçoit cette demande. Je comprends que toutes les offres d'admission sont conditionnelles, en attendant la réception des relevés de notes définitifs montrant un travail de qualité comparable à celui sur lequel l'offre était fondée, ainsi qu'un licenciement honorable de l'établissement.
J'affirme que j'enverrai un dépôt d'inscription (ou l'équivalent) à un seul établissement ; l'envoi de plusieurs dépôts (ou l'équivalent) peut entraîner le retrait de mes offres d'admission de tous les établissements. [Note : les étudiants peuvent envoyer un dépôt d'inscription (ou l'équivalent) à un deuxième établissement où ils ont été admis à partir de la liste d'attente, à condition d'informer le premier établissement qu'ils ne s'inscriront plus].
enregistrement
congé
ennuyer
Affirmation de la FERPA pour 2019-2020
cathédrale
Le Family Educational Rights and Privacy Act (FERPA) (20 U.S.C. § 1232g ; 34 CFR Part 99) est une loi fédérale qui protège la confidentialité des dossiers scolaires des étudiants. La loi s'applique à toutes les écoles qui reçoivent des fonds dans le cadre d'un programme applicable du ministère américain de l'éducation. Les candidats se verront présenter les affirmations indiquées ci-dessous et pourront choisir de renoncer ou non au droit d'examiner toutes les recommandations et les documents justificatifs soumis au collège. Tous les candidats verront et répondront à ces options avant de soumettre une demande.

J'autorise chaque école que j'ai fréquentée à communiquer tous les dossiers et recommandations demandés aux collèges auxquels je demande l'admission. J'autorise également les employés de ces collèges à contacter confidentiellement mes écoles actuelles et antérieures s'ils ont des questions sur les informations soumises en mon nom.
Les candidats peuvent choisir l'une de ces deux options :
Je renonce à mon droit d'examiner toutes les recommandations et les pièces justificatives soumises par moi ou en mon nom
Je ne renonce pas à mon droit d'examiner toutes les recommandations et les pièces justificatives soumises par moi ou en mon nom.
J'ai choisi de ne pas renoncer à mon droit d'examiner mes recommandations et les pièces justificatives. Je comprends que ma décision peut amener mes conseillers ou mes enseignants à refuser de rédiger des recommandations en mon nom. Je comprends également que ma décision peut amener les collèges à ne pas tenir compte des recommandations présentées en mon nom.
Je comprends que ma renonciation ou l'absence de renonciation à la sélection ci-dessus concerne tous les collèges auxquels je postule et que mes sélections sur cette page ne peuvent être modifiées après la présentation d'une recommandation ou d'une candidature.
étourdi
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
haranguer
harangue
Boudreaux
RATTRAPAGE
L'interro sera disponible à partir de 17h aujourd'hui
corrigé.
copains
réfléchis
pages
lues
accompagner
supermarché
s'intéresser à
vient
embouchure
Guadeloupe
lire
magazine
copine
livres
montre
envoie
Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouches
De l'homme auquel j'appartiens
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon cœur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause
C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré pour la vie
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon cœur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause
C'est toi pour moi, moi pour toi dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré pour la vie
Et dès que je t'aperçois
Alors je sens dans moi
Mon cœur qui bat
La la, la la, la la
La la, la la, ah la
La la la la

Les rêves des amoureux sont comme le bon vin
Ils donnent de la joie ou bien du chagrin
Affaibli par la faim, je suis malheureux
Volant en chemin tout ce que je peux
Car rien n'est gratuit dans la vie
L'espoir est un plat bien trop vite consommé
À sauter les repas je suis habitué
Un voleur solitaire est triste à nourrir
Ah, jeux si amer, je ne peux réussir
Forme fruste
Car rien n'est gratuit dans la vie
Jamais on ne me dira
Que la course aux étoiles
Ça n'est pas pour moi
Laissez-moi vous émerveiller
Et prendre mon envol
Nous allons enfin nous régaler
La fête va enfin commencer
Sortez les bouteilles, fini les ennuis
Je dresse le table de ma nouvelle vie
Je suis heureux à l'idée de ce nouveau destin
Une vie à me cacher et puis libre enfin
Le festin est sur mon chemin
Une vie à me cacher et puis libre enfin
Le festin est sur mon chemin
lettre
copaine
Français 400 – Interrogation sur les pronoms personnels

I. Répondez aux questions suivantes en remplaçant les noms soulignés par des pronoms. Attention aux détails y compris les accords du participe passé.

a. As-tu préparé ces gâteaux toi-même? NON, je _______________________________________________________________________

b. Avez-vous offert cette vidéo à votre copine? OUI, je

_________________________________________________________________________

c. Aimerait-il accompagner son amie en Australie ? OUI, il

_________________________________________________________________________

d. Ta mère vient-elle de Guadeloupe? NON, elle

_________________________________________________________________________

e. Est-ce qu’ils ont lu ces articles à leurs copains? OUI, ___________________________________________________________________________

f. Sait-elle qu’elle sera en retard ? OUI, elle________________________________________________________________________.

g. Pensez-vous à vos vacances ? OUI, nous _______________________________________

h. Mabo Julie s’occupe-t-elle de Maryse ? OUI, elle ___________________________________________________________________________

i. Pourrais-tu sortir le beurre du frigo s’il te plaît ? OUI, je veux bien ___________________________________________________________________________

II. Récrivez chaque phrase impérative en remplaçant les noms soulignés par des pronoms :

a. Envoie un message à Julia et à Marie !__________________________________________ !


b. Ne me montre pas tes photos ! ____________________________________________ !


c. Donnez encore de la soupe à Alice!_________________________________________ !


-----CONTINUEZ À LA PAGE SUIVANTE------POINTS DE RATTRAPAGE 
Maintenant, écrivez votre propre question avec deux noms (compléments d’objet direct, d’objet indirect, objets d’une préposition, etc...) à remplacer dans la réponse, que vous allez écrire aussi.

Question:

______________________________________________________________________________?

Réponse: NON,

____________________________________________________________________________________.
1. a. Non, je ne les ai pas faits moi-même.
b. Oui, je la lui ai offerte.
c. Oui, il aimerait l'y accompagner.
d. Non, elle n'en vient pas.
e. Oui, ils les leur ont lus.
f. Oui, elle le sait.
g. Oui, nous y pensons.
h. Oui, elle s'en occupe.
i. Oui, je veux bien l'en sortir.

2. a. Envoie-le-leur !
b. Ne me les montre pas !
c. Donnez-l'en !

3. a. Pourriez-vous parler du problème à Jacques demain ?
b. Oui, je lui en parlerai demain.
amener
chien
bibliothèque
argent
que dalle
états-unis
tapageur
montreux
bruyant
prudent
grand mal
frères
ami
pense à
rêve
vacances
demandé
délai
professeur
date limite
lieu
mort
enseveli
beauté
« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »
1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ? Une excellente question. On verra bien !
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ? Une autre question bien juste. On est frappé par l’image d’une « taille de guêpe » qui évoque une rivalité entre la narratrice et les amies de son frère. On verra plus loin l’attachement démesuré qu’a la narratrice à Sandrino et à ses avis.
avancer à coll.

cristal
neige
dépend de
régularité
symétrie
mathématiques
répertoire
manière
association
nombreuses
variantes
même
type
apparentées
identiques
augmente
considérablement
plaisir
admiration
en général
structures
dotées
légitimité
réalisation
naturelle
continu
du reste
théories
purement
algébrique
groupes abstraits
groupes
abstraits
étranges
apparaissant
automorphisme
figure
continues
énervé
action
blâmable
regretter
fait
faute
permission
s'absenter
attouchement tendre
finalement
éprouver
ennui
effectué
réflexion
en masse
activer
feu
thibault
mourir
passer
sommeil
état
veille
avancé
âge
ménager
eau
toilette
eau de toilette
suite
sons
musicaux
produits
voix
mal à propos
turbulent
exubérant
violent
houleux
rempli
tendresse
affection
entretien
de l'histoire
en
famille
progresser
tourner
film
complet
demander
quelqu'un
participer
quelque chose
langage
codé
consiste
syllabes
certains
mots
ordre
arrêter
adopter
inverse
née
nord
passé
partie
pensionnats
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en tant que
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Normandie
doctorante
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La Bayadère
développement
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pied
course
distance
Re-bonjour à tous,



Je vous écris pour vous dire que les interros seront disponibles à partir de 17h aujourd’hui, et jusqu’à 12h30 demain. Notez quand même qu’à partir du moment où vous aurez accédé à votre interro, vous aurez une limite de temps de 18 minutes pour la compléter et la télécharger de nouveau sur la page de Canvas.



N’oubliez pas que ceci est une évaluation, et donc qu’il est formellement INTERDIT DE CHERCHER DES RÉPONSES EN DEHORS DE VOTRE PROPRE CERVEAU. C’est-à-dire pas de dictionnaires, de notes, de traducteurs en ligne, d’amis gentils…etc.



J’espère que cela vous permettra de passer l’interro à l’heure qui vous convienne le mieux.



A mercredi et bonne soirée !



Mme. Fair
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Dans "Ce qui naît de la tristesse", Hee-sook est décrite comme "n'étant pas le genre de personne à pinailler et à se plaindre" -- très moyenne, acceptante et donc acceptable. En effet, elle incarne l'idéal de quelqu'un qui renonce à son propre bonheur pour maximiser celui des autres, ou à tout le moins pour minimiser leurs souffrances. Cela se reflète également dans l'écriture de cette histoire : malgré les événements pénibles que Hee-sook a vécus au cours de l'histoire, les descriptions de ses sentiments et émotions bruts sont rares (on perçoit l'effet d'une déférence presque totale envers le lecteur). C'est ce qui motive ses décisions, comme on peut le voir dans sa relation avec Jeong-soo : elle s'en veut de la violence physique qu'il lui a infligée et refuse d'aborder le sujet elle-même, n'en parlant que lorsqu'il entame la conversation. La société récompense à son tour ce comportement ; voyez la description de la façon dont son état a "consterné" ceux qui la connaissaient : "Que diable se passe-t-il ? Une personne comme elle, qu'est-ce qui arrive au monde, quelle sorte d'absurdité est-ce là ?
Nous pouvons ensuite formaliser tout cela par le biais d'un cadre éthique : Hee-sook agit de manière déontologique -- chaque action est envisagée dans l'idée de minimiser le mal immédiat fait à autrui et de moins se soucier de ses conséquences par la suite. Je ne prétendrai pas que cette analyse est infaillible--elle semble involontairement laconique ou brusque lorsqu'elle désire simplement la vérité pure--mais en général, elle fait tout son possible pour sauver la face. Dans cette optique, la dynamique de sa relation avec Jeong-soo est claire : elle a agi comme elle le devait - comme la société l'attend - à chaque étape. Seule la vue panoramique nous permet de voir les effets durables que cela a sur elle et sur ceux qui l'entourent - bien que son travail de maintien du statu quo l'ait fait respecter, en ne confrontant pas les abus de Jeong-soo, elle a ouvert la voie à la poursuite du mal envers son prochain partenaire : son ami. La question de savoir si ce lien est vraiment causal (et d'ailleurs ce qu'elle aurait dû faire) n'est ni ici ni là - la pierre angulaire de cette analyse est que son amie perçoit qu'elle a causé du tort dans le présent en raison de ses actions passées. Le code moral de Hee-sook, que la société approuve sans réserve, ne permet tout simplement pas de lutter contre cela.
Nous voyons l'autre face de la médaille dans l'histoire "La petite chose" -- lorsqu'une femme décide plutôt de passer de l'attente déontologique à la réalité conséquentialiste, pour ainsi dire. Confrontée à un harcèlement durable sur son lieu de travail, alors que Hee-sook se contenterait de hocher la tête poliment, Young-joo expose plutôt publiquement ses plaintes : elle agit en fonction des conséquences de ses actes et non pas en fonction de ce qui est le plus acceptable pour le moment. Mais tenter de s'assurer un avenir plus tolérable en tant que tel a des effets immédiats sur sa vie personnelle : son mari remarque : "C'est la première fois que je suis confrontée à des rumeurs de ce genre. La rumeur court dans toute ma société que j'ai épousé une sorcière". Elle se défait de son conséquentialisme, épuisée, vers la fin de l'enquête : elle accepte la démission de l'auteur au lieu des excuses qu'elle souhaitait tant. Seo brosse ainsi un portrait sinistre de ces femmes, forcées de souffrir sous les attentes de la société et pourtant réprimandées pour avoir exercé une pression significative sur elles.
La société attend de la femme de Seo qu'elle supprime les sentiments qui pourraient avoir un impact négatif sur les autres personnes - pour sauver la face sur le moment - mais elle ne tient pas compte des effets que cela peut avoir sur elles ; pour Hee-sook, son cancer est comparé à cette tristesse différée qui la ronge de l'intérieur. La forme narrative longue contraste avec ces exigences fugitives et favorise le conséquentialisme au détriment de la déontologie, car nous pouvons voir le déroulement des événements à travers ces histoires instantanément. Le travail de Seo, en embrassant le lointain et en considérant les destins à long terme de ces femmes, confronte ainsi cette société et ses exigences momentanées, montrant que même sa femme parfaite est finalement ratée.
jeux d'eau
déjà-vu
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Chaque année, après la fin de l'école primaire pour l'été, ma famille se réunissait autour de la télévision pour regarder America's Favorite Pastime™ : le Scripps National Spelling Bee, bien sûr. Nous étions enchantés de voir ces enfants, dont beaucoup de mon âge ou plus jeunes, épeler des mots incroyablement étrangers, alors que nous nous demandions quelle lettre serait leur erreur fatale. Un an, j'ai demandé à ma mère si elle avait déjà participé à un concours d'orthographe dans son enfance. Elle m'a répondu sans hésiter : "Non, nous n'en avons pas fait. Pourquoi l'aurions-nous fait ?"
Vous voyez, ma mère est portoricaine, et l'espagnol - avec son orthographe fiable - n'a pas besoin d'enfants à la télévision nationale pour faire des suppositions éclairées sur l'orthographe d'un mot ; il n'y a tout simplement pas d'irrégularité. L'espagnol homogénéise ses mots ; l'anglais les laisse tels quels.
Grandir dans un foyer portoricain-allemand-américain a conduit à un compromis linguistique : en raison des difficultés de mes parents à apprendre l'anglais à la manière "adulte" - par le vocabulaire des affaires et les listes de verbes à particule - notre foyer a toujours été allemand ou espagnol - mais anglophone pour que je ne répète pas leur combat. Ce n'est pas que l'espagnol et l'allemand étaient absents - j'ai ressenti l'influence de l'espagnol chaque fois que mon abuelita faisait des chicharrones sous le ronflement de la hotte de cuisine, en bloquant habilement les éclaboussures d'huile avec des coups rapides du couvercle de la sartén ; j'ai vu l'allemand dans les yeux de mon Oma quand elle parlait de son enfance dans la Schwarzwald ou qu'elle coupait le papier de veau en tranches fines pour faire des Wiener Schnitzel. Mais c'était faible, et jamais assez pour me faire une idée complète. Je craignais de ne parler à mes grands-parents qu'entre deux hésitations d'une langue empruntée, et je me suis juré de communiquer un jour avec eux selon leurs conditions, et non les miennes.
Bientôt, j'ai appris qu'il y avait une faille dans mes plans : la "période critique". Les adultes peuvent apprendre la plupart des facettes du langage sans trop de difficultés, mais la prononciation est plus délicate : à treize ans, la langue se fossilise et on ne peut plus imiter parfaitement les sons. Mon moi de deuxième année a donc décidé du meilleur plan d'action qu'il pouvait trouver : regarder le même Let's Plays dans autant de langues qu'il pouvait trouver. Après tout, peut-être vingt ans plus tard, j'aurais voulu partir à l'étranger comme mes parents l'avaient fait, et j'avais besoin d'être préparé. L'espagnol et l'allemand étaient des choix évidents, mais ils ont vite rejoint le français, le mandarin et le japonais, entre autres. Je murmurais, essayant de saisir les nuances de la prononciation tout en déchiffrant comment contorsionner ma langue pour pouvoir leur répéter leurs mots. Peu importait que je les comprenne ou non, car l'apprentissage de la langue était un problème qui me tenait à cœur depuis longtemps - il suffisait que je comprenne la prononciation avant que le temps ne s'écoule.
Il suffit de dire que j'ai été fasciné par la linguistique dès mon plus jeune âge. Mais j'ai toujours aimé les mathématiques et la physique : l'élégance du Lagrangien et la solution du problème de Bâle sont sans pareilles (jeu de mots peut-être voulu). Pendant longtemps, je n'ai trouvé aucune relation entre mes intérêts pour la langue et les STEM - qui ont produit l'autre ? Finalement, j'ai réalisé qu'aucun des deux n'était plus essentiel : c'était la découverte - comprendre soudainement l'inintelligible auparavant - que j'aimais. Cette passion pour la recherche de règles dans le chaos m'a permis de devenir le seul élève de 11e année à suivre un cours de preuve mathématique (le deuxième plus haut niveau du département), et l'un des deux à suivre le cours de mécanique quantique (le sommet du département de physique). Cela m'a également aidé à me placer dans les cours de troisième et quatrième année en espagnol, français, mandarin et japonais.
Nous adorons détester l'orthographe anglaise, souvent absurde, mais il y a une certaine beauté dans la facilité avec laquelle elle emprunte les mots en bloc. Malgré tous ses défauts, je me sens à l'aise en anglais, car quelle autre langue pourrait représenter aussi fidèlement mes contradictions et moi-même ? Elle m'apprend que je n'ai pas à justifier la disparité de mes hobbies et que je peux accepter mes incohérences apparentes, que je n'ai pas à me limiter aux STEM ou aux sciences humaines, que je peux m'épanouir dans les derniers traits de "Puerto Rican-German-American".

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Bonne année à tous!
crisser
l'instruction est la clef qui ouvre la deuxieme porte de notre liberte

Un mot pour vous dire que si vous le désirez, vous pouvez déjà commencer vos devoirs pour la semaine prochaine, affichés sur Canvas.



En tout cas, bon week-end et à très bientôt,

Que signifie la dernière phrase « et [je] laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique » (c’est moi qui souligne) ?
Qu’est-ce que Maryse accepterait comme parents « ordinaires » ?
La majeure partie de la seconde moitié est centrée sur un exemple physique du racisme plus implicite dont ses parents parlent au début du chapitre. Maryse ne comprend jamais le «‌ raisonnement » raciste qui sous-tend les coups d’Anne-Marie – en effet, pourquoi le devrait-elle ? – mais elle voit certainement les effets réels qu’il a sur elle. Elle soulève une question intéressante à la fin : pourquoi une personne aussi rebelle que la Maryse décrite dans les chapitres précédents acquiescerait-elle à la volonté d’Anne-Marie ? Est-ce le caractère interdit de leur jeu, qui lui fait honte d’en parler à ses parents ? Avec ce que nous savons de ses parents, seraient-ils susceptibles de chercher à la justifier, ou réprimanderaient-ils Maryse pour avoir laissé Anne-Marie prendre le contrôle ? Quoi qu’il en soit, cette expérience constitue un rite de passage pour elle, pour ainsi dire ; Maryse se voit s’aligner sur ce que des générations de ses ancêtres avant elle ont fait : se taire.

Une Fois pour toutes
Mme. Fair
blasé
Leçon d'histoire
Souvent, après le dîner qu'Adélia servait à sept heures du soir tapantes, mon père et ma mère, se tenant par le bras, sortaient prendre la fraîcheur. Ils descendaient notre rue jusqu’à la somptueuse maison entre cour et jardin des Lévêque, des blancs-pays qu’on voyait à la grand-messe, le père, la mère, cinq enfants et une tante demoiselle montée en graine sous sa mantille, mais qui, le reste du temps, semblaient vivre derrière rideaux baissés et portes closes. Après quoi mes parents tournaient à gauche et en passant devant le cinéma-théâtre la Renaissance, ils jetaient un coup d’œil de mépris aux affiches des premiers films américains en technicolor. Ils haïssaient l’Amérique sans y avoir jamais mis les pieds parce qu’on y parlait anglais et parce que ce n’était pas la France. Ils faisaient le tour de la darse humant la brise qui venait de la mer, poussaient jusqu’au quai Ferdinand-de-Lesseps où une odeur de morue salée s’accrochait toujours aux branches basses des amandiers-pays, revenaient vers la place de la Victoire et, après avoir monté et descendu trois fois l’allée des Veuves, ils s’asseyaient sur un banc. Ils demeuraient là jusqu’à neuf heures et demie. Puis, se levaient avec ensemble et rentraient à la maison par le même chemin tortueux.
Ils me traînaient toujours derrière eux. Parce que ma mère était toute fière d’avoir une si jeune enfant dans son âge plus que mûr et aussi parce qu’elle n’était jamais en paix lorsque je me trouvais loin d’elle. Moi, je ne prenais aucun plaisir dans ces promenades. J’aurais préféré rester à la maison avec mes frères et sœurs. Sitôt que mes parents leur avaient donné dos, ils commençaient à chahuter. Mes frères s’entretenaient avec leurs gamines sur le pas de la porte. Ils mettaient des disques de biguine sur le phonographe, se racontaient toutes espèces de blagues en créole. Sous le prétexte qu’une personne bien élevée ne mange pas dans la rue, au cours de ces sorties, mes parents ne m’offraient ni pistaches bien grillées, ni sukakoko. J’en étais réduite à convoiter toutes ces douceurs et à me poster devant les marchandes dans l’espoir que malgré mes vêtements achetés à Paris, elles me prendraient en pitié. Des fois, la ruse marchait et l’une d’entre elles, la figure à moitié éclairée par son quinquet, me tendait une main pleine :
--- Tiens pour toi ! Pitit à manman !
En plus, mes parents ne s’occupaient guère de moi et parlaient entre eux. De Sandrino qu’on avait encore menacé de renvoyer du lycée. D’une de mes sœurs qui n’étudiait pas à l’école. D’investissements financiers, car mon père était un excellent gestionnaire. Encore et surtout de la méchanceté de cœurs des gens de La Pointe qui n’en revenaient pas que des nègres réussissent leur vie comme ils réussissaient la leur. À cause de cette paranoïa de mes parents, j’ai vécu mon enfance dans l’angoisse. J’aurais tout donné pour être la fille de gens ordinaires, anonymes. J’avais l’impression que les membres de ma famille étaient menacés, exposés au cratère d’un volcan dont la lave en feu risquait à tout instant de les consumer. Je masquais ce sentiment tant bien que mal par des affabulations et une agitation constants, mais il me rongeait.
Mes parents s’asseyaient toujours sur le même banc, contre le kiosque à musique. S’il était occupé par des indésirables, ma mère restait plantée devant eux, battant la mesure du pied, avec une mine tellement impatiente qu’ils ne tardaient pas à déguerpir. Seule, je m’amusais comme je pouvais. Je sautais à cloche-pied dans les allées. Je shootais des cailloux. J’écartais les bras et je devenais un avion qui s’élève dans les airs. J’interpellais les étoiles et le croissant de lune. À voix haute, avec de grands gestes, je me racontais des histoires. Un soir au milieu de mes jeux solitaires, une petite fille surgit de la noirceur. Blondinette, mal fagotée, une queue de cheval fadasse dans le dos. Elle m’apostropha en créole :
--- Ki non a-w ?
Je me demandai en mon for intérieur pour qui elle me prenait. Pour l’enfant de rien du tout ? Espérant produire mon petit effet, je déclinai mon identité avec emphase. Elle ne sembla pas ébranlée, car il était visible qu’elle entendait mon patronyme pour la première fois et elle poursuivit avec la même autorité, toujours en créole :
--- Moi, c’est Anne-Marie de Surville. On va jouer ! Mais attention, ma maman ne doit pas me voir avec toi sinon, elle me battrait.
Je suivis son regard et j’aperçus quelques femmes blanches immobiles, assises de dos, les cheveux flottant uniformément sur les épaules. Les façons de cette Anne-Marie ne me plaisaient pas du tout. Un moment, je fus tentée de tourner les talons et de rejoindre mes parents. En même temps, j’étais trop heureuse de trouver une partenaire de mon âge même si elle me commandait comme à sa servante.
Immédiatement, Anne-Marie prit la direction de nos jeux et, toute la soirée, je me soumis à ses caprices. Je fus la mauvaise élève et elle me tira les cheveux. En plus, elle releva ma robe pour m’administrer la fessée. Je fus le cheval. Elle monta sur mon dos et elle me bourra les côtes de coups de pied. Je fus la bonne et elle me souffleta. Ella m’abreuvait de gros mots. Je frémissais en entendant voler les kouni à manman a-w et les tonnè dso interdits. Finalement, une ultime taloche me fit tellement mal que je courus me réfugier dans les bras de ma mère. Dans ma honte, je ne m’expliquai pas. Je prétextai que j’avais pris un saut et laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique.
gâcher
Le lendemain, Anne-Marie m’attendait au même endroit. Pendant plus d’une semaine, elle fut fidèle au poste et je me livrai sans protester à ses sévices. Après qu’elle eut manqué m’éborgner, je finis par protester, lassée de sa brutalité :
--- Je ne veux plus que tu me donnes des coups.
Elle ricana et m’allongea une vicieuse bourrade au creux de l’estomac :
--- Je dois te donner des coups parce que tu es une négresse.
J’eus la force de m’éloigner d’elle.
Sur le chemin du retour, j’eus beau méditer sa réponse, je ne lui trouvai ni rime ni raison. Au moment du coucher, après les prières aux divers bons anges gardiens et à tous les saints du paradis, j’interrogeai ma mère :
--- Pourquoi doit-on donner des coups aux nègres ?
Ma mère sembla estomaquée, elle s’exclama :
--- Comment une petite fille aussi intelligente que toi peut-elle poser pareilles questions ?
Elle traça en vitesse un signe de croix sur mon front, se leva et se retira en éteignant la lumière de ma chambre. Le lendemain matin, à l’heure de la coiffure, je revins à la charge. Je sentais que la réponse fournirait la clé à l’édifice souvent mystérieux de mon monde. La vérité sortirait de la jarre où on la tenait enfermée. Devant mon insistance, ma mère me frappa sèchement avec le dos du peigne :
--- Enfin, cesse de raconter des bêtises. Est-ce que tu vois quelqu’un donner des coups à ton papa ou à moi ?
La suggestion était invraisemblable. Pourtant, la fébrilité de ma mère trahissait son embarras. Elle me cachait quelque chose. À midi, j’allai rôder dans la cuisine autour des jupes d’Adélia. Hélas ! Elle faisait tourner une sauce. Aussitôt qu’elle m’aperçut, avant seulement que j’ouvre la bouche, elle se mit à crier :
--- Sors de là ou j’appelle ta maman.
Je ne pus qu’obéir. J’hésitai, puis montai frapper à la porte du bureau de mon père. Alors qu’à tout moment je me sentais enveloppée de l’affection chaude et tatillonne de ma mère, je savais que je n’intéressais guère mon père. Je n’étais pas un garçon. Après tout, j’étais sa dixième enfant, car il avait eu deux fils d’un premier mariage. Mes pleurs, mes caprices, mon désordre l’excédaient. Je lui posai ma question en forme de leitmotiv :
--- Pourquoi doit-on donner des coups aux nègres ?
Il me regarda et me répondit distraitement :
--- Qu’est-ce que tu racontes ? On nous donnait des coups dans le temps. Va trouver ta maman, veux-tu ?
Désormais, je ravalai mes questions. Je ne demandai rien à Sandrino, car j’avais peur de son explication. Je devinais qu’un secret était caché au fond de mon passé, secret douloureux, secret honteux dont il aurait été inconvenant et peut-être dangereux de forcer la connaissance. Il valait mieux l’enfouir au fin fond de ma mémoire comme mon père et ma mère, comme tous les gens que nous fréquentions, semblaient l’avoir fait.
Les jours suivants, je retournai sur la place de la Victoire avec mes parents, bien décidée à refuser de jouer avec Anne-Marie. Mais j’eus beau la chercher tout partout, remonter les allées, errer de droite et de gauche, je ne la revis pas. Je courus jusqu’au banc où s’étaient assises sa maman et ses tantes. Il était vide. Je ne les revis plus jamais. Ni elle. Ni les femmes de sa famille.
Aujourd’hui, je me demande si cette rencontre ne fut pas surnaturelle. Puisque tant de vieilles haines, de vieilles peurs jamais liquidées demeurent ensevelies dans la terra de nos pays, je me demande si Anne-Marie et moi, nous les réincarnations miniatures d’une maîtresse et de son esclave souffre-douleur.
Sinon comment expliquer ma docilité à moi si rebelle ?

arrivés
patagon

Mabo Julie
Avant de perdre mabo Julie, je n’avais jamais rencontré la mort. Ma mère était enfant unique. Mon père aussi. Son propre père, marin au long cours, ayant abandonné son épouse aussitôt qu’il lui avait planté un enfant dans le ventre. Ceux qui grandissent au sein de ces vastes tribus où l’on ne fait pas le compte des demi-frères, des demi-sœurs, des oncles, des tantes, des cousins, des cousines, des parents et des alliés, sont un jour ou l’autre confrontés à la terrible grimace de la mort. Ce n’était pas mon cas.
Est-ce pour cela que la mort avait commencé d’exercer sur moi une fascination qui ne s’est jamais démentie ? Chaque fois qu’un enterrement descendait le faubourg Alexandre-Isaac, je me précipitais sur le balcon pour contempler la procession qui se dirigeait lentement vers la cathédrale. Je n’appréciais pas les enterrements de malheureux, ceux qu’une poignée de fidèles accompagne à leur dernière demeure, sans fleures ni couronnes. Je n’aimais que les enterrements qui étalent l’opulence de ceux qui désormais ne possèdent plus rien. En tête, la nuée des enfants de chœur dans leurs surplis ailés entourant le prêtre brandissant la croix à bout de bras. Derrière, le corbillard drapé dans ses oripeaux argentés. Dans la foule habillée en noir, je n’avais d’yeux que pour les premières rangées, celles des proches : les veuves invisibles sous les replis de leurs crêpes, les hommes, leurs lourds brassards cousus sur la manche, les enfants marchant mécaniquement, petits automates. À y réfléchir, c’était comme si j’avais pressenti que je n’assisterais pas à l’enterrement de ceux que j’avais de plus cher. Comme si je cherchais à imaginer ce qu’aurait pu être mon deuil. Parfois, en ce temps-là, des musiciens étaient du cortège. Les uns soufflaient dans des saxophones. Les autres frappaient sur des cymbales. Et leurs accords étaient la préfiguration de mes bien-aimés requiems d’aujourd’hui. Quand mabo Julie tomba malade d’une pleurésie avec complications pulmonaires, ma mère eut peur de la contagion. Aussi, je ne lui rendis pas visite et ne la revis que sur son lit de mort.
Mabo Julie était la bonne qui m’avait charroyée dans ses bras et promenée sur la place de la Victoire pour faire admirer à tous ceux qui avaient des yeux pour admirer mes casaques en soie, en tulle ou en dentelle. Elle m’avait aidée quand j’apprenais à marcher, relevée, consolée chaque fois que je tombais. Quand je n’eus plus besoin d’elle ma mère la garda à notre service --- elle était sans ressources --- et elle devint notre blanchisseuse. Chaque mercredi, elle arrivait chez nous, pourtant sur la tête un tray rempli d’un linge d’une propreté étincelante et parfumée. Mon père tellement sourcilleux sur les cols glacés de ses chemises ne trouvait rien à redire. Mabo Julie était une vieille mulâtresse, très blanche de peau, les yeux délavés, les joues ridées comme pomme calebasse tombée sous le pied depuis trois jours. Je crois qu’elle était originaire de Terre-de-Haut des Saintes. Je n’ai jamais vu ni mari ni enfant à l’entour d’elle et c’est peut-être pour cette raison qu’elle dépendait de notre famille. Moi, je l’adorais à l’égal de ma propre mère qui en était jalouse, je le sais. Bien à tort. Mes sentiments pour l’une et l’autre étaient radicalement différents. Ma mère attendait trop de moi. J’étais perpétuellement sommée de me montrer partout et en tout la meilleure. En conséquence, je vivais dans la peur de la décevoir. Ma terreur était d’entendre ce jugement sans appel que, bien souvent, elle portait sur moi :
--- Tu ne ferais jamais rien de bon dans ta vie !
Elle était toujours à critiquer. À me trouver trop haute pour mon âge, je dépassais tous les enfants de ma classe, trop maigre, je faisais pitié avec ma peau sur les os, mes pieds étaient trop grands, mes fesses trop plates, mes jambes jattellées. Par contraste, aux yeux de mabo Julie, je n’avais aucun effort à fournir pour être la plus belle et la plus douée des petites filles de la terre. Mes paroles aussi bien que mes actions étaient marquées du sceau de la perfection. Chaque fois que je la voyais, je l’enlaçais si violemment que son madras se dénouait et découvrait ses cheveux de soie blanche. Je la dévorais de baisers. Je me roulais sur ses genoux. Elle me donnait entièrement accès a son cœur et à son corps. Les années précédant sa mort, toujours couchée malade avec la dysenterie, la bronchite, la fièvre, elle ne s’occupait plus de notre linge et elle me manquait comme un onguent à une blessure. Je n’oublierai jamais le soir où ma mère m’apprit sans trop de ménagements qu’elle avait fait une rechute et n’était plus. Tout d’abord, je n’eus pas le sentiment que j’éprouvais du chagrin. J’eus l’étrange impression que la lune passait entre la terre et le soleil et que l’ombre devenait épaisse autour de moi. Je tâtonnais comme une aveugle. J’entendis ma mère demander son avis à mon père. À mon âge, est-ce que je pouvais assister à une veillée ? Est-ce que je pouvais voir un mort ? Ils discutèrent interminablement. Ils estimaient tous les deux qu’il faillait m’aguerrir. Je faisais trop de manières. Toujours à pleurnicher pour un oui, pour un non. Pendant ce temps, ma peine naissait, montait, montait. Je m’attendais à ce qu’elle jaillisse plus puissante qu’un geyser. Enfin, ma mère décida de m’emmener avec elle. Nous allions sortir quand Sandrino me glissa à l’oreille, facétieux à son habitude :
--- Attention ! Si tu ne te tiens pas comme une grande, elle va venir tirer tes pieds.
Mabo Julie habitait non loin dans le quartier du Carénage, un quartier que je ne connaissais pas. Un vieux quartier de pêcheurs, serré autour de l’usine Darboussier qui était encore en activité. Malgré l’heure tardive, la rue bordée de maisons basses grouillait de monde. Des enfants couraient dans tous les sens. Des marchandes offraient toutes qualités de douslets, sukakoko, gâteaux-patate. Assis devant leurs portes, des hommes en tricot de corps claquaient leurs dés ou leurs dominos en braillant :
--- An tchyou a-w !
D’autres buvaient coude à coude dans des débits de boissons. À mes yeux, cette animation n’était pas effrayante, mais choquante. On aurait cru que la disparition de mabo Julie ne comptait pas pour les gens. En approchant de la maison mortuaire aux portes drapées de noir, on entendait la rumeur des voix. La maison de mabo Julie était petite. Une seule pièce coupée en deux par un rideau. Dans la moitié qui servait de chambre à coucher, à cause d’une quantité de bougies, il faisait aussi clair qu’en pleine journée. Il faisait également très chaud. Les voisins et les voisines, qui me masquaient la couche jonchée de fleurs, s’écartèrent à la vue de ma mère. Alors, mabo Julie m’apparut, habillée avec sa plus belle robe matador, les cheveux coiffés en choux gonflant sur les tempes, à droite et à gauche de son madras noir. Je ne la reconnus pas. Elle était plus grande. Carrée. Une autre personne avait pris sa place. Je ne retrouvais pas son sourire. Elle avait soudain l’air hostile et menaçant. Ma mère me commanda :
--- Embrasse-la !
L’embrasser ?
J’allais reculer. Au même moment, je me rappelai la mise en garde de Sandrino. Je m’efforçai d’obéir. J’appuyai ma bouche sur la joue que j’avais tant de fois embrassée et je m’étonnai de la trouver non pas fondante et tiède comme je la connaissais, mais rigide et froide. Froide. D’une froideur que je ne pouvais comparer à rien. Pas même à celle de la glace. Plutôt à celle d’une pierre. D’une pierre tombale. Un sentiment confus me remplit : chagrin, peur, honte d’avoir peur de celle que j’avais aimée et qui soudain me devenait étrangère. Je hoquetai et commençai de pleurer. Ma mère n’apprécia pas. Elle aurait voulu que, pareille à un enfant royal, je ne manifeste en public aucune émotion. Agacée, elle me secoua :
--- Tiens-toi bien, voyons !
Je reniflai. Nous restâmes une heure ou deux dans la proximité du cadavre. Chapelet à la main, ma mère priait. Moi, sous l’odeur des fleurs, je sentais celle de la charogne. Enfin, nous rentrâmes à la maison.
La même nuit, mes cauchemars commencèrent. Il suffisait que ma mère ferme la porte de ma chambre pour que mabo Julie y entre. Non pas celle que j’avais chérie pendant ses années de vie, mais l’autre, l’inconnue. Des fois, elle se couchait à côté de moi dans mon lit. On me mit à dormir avec Thérèse que tout ce cinéma exaspérait :
--- Tu es toujours là à faire ta grande personne, alors qu’au fond tu n’es qu’une poltronne.
Je me demande comment tout cela aurait fini si, un soir, ma mère ne m’avait prise sur ses genoux et caressée comme elle savait si bien le faire tandis que je pleurais enfin toutes les larmes de mon corps.
--- Comment veux-tu qu’une personne qui t’aimait tant puisse te faire du mal ? C’est comme ton ange gardien à présent !
Sans doute venait-elle de se souvenir que je n’avais que neuf ans.

The bluest eye
La rue Alexandre-Isaac, où s’élevait notre maison, commençait un peu plus haut que la place de la Victoire, cœur qui rythmait la vie de La Pointe, et se perdait dans un faubourg populeux mais de bonne tenue. Rien à voir avec le canal Vatable, ses golomines et ses taudis. C’était une rue digne, habitée par des notables, parfois aussi par des gens aux revenus modestes, toujours de parfaites manières. Mes parents y avaient emménagé quelques mois avant ma naissance quand rester rue Condé ne convenait plus ni à leur quantité d’enfants ni surtout à leur nouveau standing. Mon père venait d’être décoré de la Légion d’honneur, je ne sais pas pourquoi, et ma mère avait fièrement cousu des rubans à toutes ses boutonnières. Elle se tenait les côtes de rire en rapportant la question d’une curieuse :
--- Monsieur Boucolon, c’est quoi ce fil rouge sur votre veste ?
Les maisons de la rue Alexandre-Isaac étaient en bois, construites selon un modèle identique. Pourtant, elles se distinguaient les unes des autres par de subtiles nuances : le rouge plus ou moins vif du minium de la tôle des toits, la fraîcheur du dernier revêtement de peinture ou l’éclat des fleurs alignées sur les balcons. Les Driscoll, une famille de douze enfants, occupaient une maison d’angle, très vaste, mais assez peu entretenue, au toit rapiécé, au balcon sans bougainvillées ni hibiscus. Quand mes parents et eux se croisaient, ils se donnaient poliment le bonjour ou le bonsoir. Mais ils ne se fréquentaient pas. Au fond de leur cœur, mes parents se sentaient bien au-dessus d’eux. M. et Mme Driscoll étaient des fonctionnaires obscurs, sans panache, qui ne possédaient même pas une voiture. On disait aussi que c’étaient des gens spéciaux et qu’ils ne faisaient rien comme les autres. Et puis, c’étaient des mulâtres. En ce temps-là, en Guadeloupe, on ne se mélangeait pas. Les nègres marchaient avec les nègres. Les mulâtres avec les mulâtres. Les blancs-pays restaient dans leur sphère et le Bon Dieu était content dans son ciel. Heureusement, les enfants ne s’occupaient pas tellement de ces affaires de grandes personnes. Nous vivions en bon voisinage avec les Driscoll de notre âge, tout mulâtres qu’ils étaient, et Gilbert aurait pu être mon premier amoureux.
C’était un petit garçon pas très costaud, bouclé comme un gamin arabe, avec un maintien timide qui tranchait sur celui de ses batailleurs de frères.
Je n’avais jamais entendu le son de sa voix et je l’imaginais flottant légère comme la flûte des mornes. Nous nous étions découverts au catéchisme, à l’occasion d’une retraite pascale, parmi une soixantaine d’autres enfants. Depuis, nous nous signifiions nos sentiments en passant des heures entières à nous fixer avec des regards d’adoration de nos balcons. Le jeudi matin, nous n’attirions pas l’attention car nos familles se bousculaient sur les balcons. Bonne-maman Driscoll allongeait ses vieux os dans un pliant ou bien berçait le dernier-né. Mes sœurs piquaient l’aiguille dans des services de table. Les garçons Driscoll apprenaient leurs leçons. Mais l’après-midi, il devenait difficile de s’attarder parmi les plantes en pots. Tout le monde rentrait à l’intérieur des maisons pour la sieste et baissait les persiennes. Le petit marché du coin de la rue se mettait debout. Les lolos fermaient boutique et il ne restait plus à traîner dans la rue qu’un fou surnommé Banjo à cause de son bas-ventre ballonné par une hernie. Ma mère, en chemise de coton, reposant déjà sous sa moustiquaire, s’impatientait :
--- Viens donc ! Qu’est-ce que tu fais au soleil comme un linge à blanchir ?
Je ne bougeais pas. Gilbert, lui, chaussait des lunettes noires, se couvrait le chef d’un vieux bacoua ou s’abritait sous un parasol. Moi, je n’osais pas, de peur d’éveiller des soupçons et, stoïque, je continuais à suer à grosses gouttes et à recevoir des coups de marteau sur la tête. Après des mois à risquer ainsi l’insolation, Gilbert s’enhardit. Moins méfiant que moi qui ne m’étais ouverte à personne, il mit dans la confidence Julius, l’un des frères d’Yvelise, son meilleur camarade de classe. Récemment, j’avais pas mal trituré le kiki de Julius, m’émerveillant de le voir se rigidifier entre mes doigts. Mais nous n’avions jamais prétendu à un attachement du cœur. C’était amusement, initiation des corps. Déjouant toutes les surveillances, une fin d’après-midi, Julius vint me glisser une enveloppe. Elle contenait une photo qui m’étonna. Au premier abord, on pensait que c’était celle d’un chien. Un berger allemand, assis sur son arrière-train, énorme, gueule ouverte, langue pendante. Ensuite, on distinguait dans le coin gauche Gilbert, torse nu, si petit qu’on aurait dit un cornac à côté de son éléphant. La photo avait dû être prise deux ou trois ans auparavant, et il ne devait guère avoir plus de six ans. Les cheveux dans les yeux, il souriait d’un sourire édenté. Au verso de la photo, étaient inscrits les mots magiques : « Je t’aime. » J’enfouis mon trésor dans un petit panier caraïbe qui contenait mes affaires de messe, seul endroit que ma mère n’inspectait pas régulièrement. Puis je me torturai l’esprit, cherchant ce que je pouvais donner en échange. Dans ma famille, on n’appréciait que les photos de groupe : les huit enfants entre papa et maman. Ou bien mes frères avec mon père. Ou bien mes sœurs et moi entourant ma mère. Il n’y avait aucun instantané de moi seule. Même avec un chien. Alors, offrir un mouchoir que j’aurais brodé ? Un coquillage que j’aurais peint ? Une ceinture en carata que j’aurais tressée ? Je ne savais rien faire de mes dix doigts. Je collectionnais les zéros en travaux manuels. Je finis par me décider pour un nœud en écaille de tortue grâce auquel ma mère agrémentait mes coiffures.
Après cela, son amour ayant été officiellement déclaré et agréé, Gilbert me fit parvenir une lettre par le même messager. Au premier coup d’œil, rien à redire. Elle était rédigée sur un fort joli papier bleu. Pas de pâtés d’encre. Les jambages en étaient fermes. S’ils avaient figuré sur un cahier d’exercices, la maîtresse la plus sévère aurait apprécié : « Excellente écriture. » Je me mis à la lecture. Mon cœur battait à grands coups. Pourtant, dès les premières lignes, il s’arrêta : « Maryse adorée, pour moi, tu es la plus belle avec tes yeux bleus. »
Je crus avoir mal lu. Yeux bleus ? Moi ? Je courus jusqu’au cabinet de toilette et me regardai dans la glace. Pas de doute possible : mes yeux étaient marron foncé. Presque noirs. Pas même kako. Je revins dans ma chambre et m’assis sur mon lit. J’étais déconcertée. C’était comme si j’avais lu une lettre adressée à une autre personne. Tout au long du dîner, je fus si morose et silencieuse, contrairement à mes habitudes, que tout le monde s’inquiéta :
--- Mon Dieu, est-ce que cette enfant-là ne fait pas un accès de fièvre ?
Je remontai dans ma chambre et relus ma lettre. Les termes n’avaient pas changé : « Maryse adorée, pour moi, tu es la plus belle avec tes yeux bleus. »
Par exception, je ne voulus pas me confier à Sandrino qui, je le savais, s’esclafferait et me servirait une de ces explications alambiquées dont il avait le secret. Que s’était-il passé ? Gilbert m’avait-il mal vue ? Est-ce qu’il avait voulu se moquer de moi ? Est-ce qu’il s’agissait d’un méchant jeu ? Ma colère monta, finit par déborder. Quand Julius se présenta pour la réponse, je lui remis un mot emphatique trouvé dans le Delly favori d’une de mes sœurs : « Gilbert, tout est fini entre nous. »
Je ne me rendis nullement compte que je commettais l’erreur qui avait été fatale à Gilbert : je copiais. Je copiais de mauvaises lectures. Pour s’aventurer sur le terrain inconnu de la correspondance amoureuse, il avait sans doute cherché des guides. Hélas ! Nos guides étaient des romans français de quatre sous. Les jours suivants, de peur de l’apercevoir, je ne me montrai point au balcon et restai terrée à l’intérieur. Il ne renonça pas tout de suite. Je me heurtai à lui un après-midi, sur le trottoir devant chez Yvelise. Il était flanqué de son alter ego pour se donner du cœur. Je ne l’avais jamais approché d’aussi près. Il s’était peigné, aspergé d’eau de Cologne Jean-Marie Farina. Je m’aperçus qu’il avait de grands yeux gris mélancoliques. Il murmura d’une voix mourante :
--- Qu’est-ce que je t’ai fait ?
Mais sa voix n’était pas celle que j’attendais. Qui aurait convenu à son corps gracile. C’était une grosse voix. Presque une voix d’adulte. Le souvenir allait m’en hanter. Je ne trouvai rien à répondre. Je me précipitai chez Yvelise et je fondis en larmes sur son épaule en racontant le triste épisode.

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Paradis perdu
Quand j’eus neuf ou dix ans, ma mère me mit chez les « jeannettes », une branche de girl-scouts. Elle estimait à juste titre que je ne prenais pas assez d’exercice. Molle. Dernière en gymnastique. À vrai dire, je ne faisais guère que traîner mon corps quatre fois par jour de la maison au lycée Michelet et, au serein, m’asseoir sur un banc de la place de la Victoire à côté d’Yvelise à manger cornet sur cornet de pistaches grillées. En dehors de cela, je passais le plus clair du temps dans ma chambre, persiennes baissées, entortillée dans mes draps, des fois à lire, plus souvent à rêvasser. À mettre au point les histoires invraisemblables avec lesquelles je remplissais la tête de ceux qui avaient la patience de m’écouter. J’avais créé de véritables feuilletons dont les personnages revenaient régulièrement, toujours aux prises avec des aventures extraordinaires. Je soutenais, par exemple, que je rencontrais chaque jour un homme et une femme, M. Guiab et Mme Guiablesse. Tout de noir vêtus, ils tenaient à la main une « lanterne des magies pour deux noix » et, le front éclairé par leurs bougies, ils me racontaient les détails de leurs sept vies. D’abord bœufs au piquet dans une savane, puis pigeons ramiers volant dans la verdure, puis… que sais-je encore ! Ma mythomanie inquiétait beaucoup ma mère. Mains jointes sur mon livre de prières, elle me forçait d’en demander pardon à mon ange gardien et de jurer de ne plus m’écarter de la vérité vraie, ce que je faisais avec contrition, du fond du cœur. Si je ne tenais pas ma promesse, c’est que je n’éprouvais de bonheur qu’au plus fort de ces divagations. À mon jeune âge, ma vie me pesait. Elle était trop bien réglée. Sans fioritures ni fantaisie. Je l’ai déjà dit, nous n’avions ni parents ni alliés. Nous ne recevions personne. Les visites des amies de ma mère ne coupaient pas la monotonie de l’existence. C’étaient toujours les mêmes, poudrées, chapeautées, bijoutées : Mme Boricot, Mme Revert, Mme Asdrubal. Rares celles qui trouvaient grâce à ses yeux. Celle-là riait trop fort. Celle-là racontait des blagues grivoises devant les enfants. Celle-là aimait trop les douteux calembours. Jamais de fêtes de famille, de banquets, de ripailles sans fin, de veillées. Jamais de bals, de danse, de musique. En outre, au fond de moi-même, j’éprouvais déjà ce sentiment d’à-quoi-bon qui m’a rarement quittée et que, par la suite, j’ai essayé de dissimuler sous une frénésie d’activité.
Je n’étais bien que lorsque j’inventais des univers à ma fantaisie.
Ma mère n’a pas atteint son but. Je me mis à haïr les jeannettes. D’abord, l’uniforme : gros bleu, malséant, une cravate, un béret basque. Ensuite, les sorties hebdomadaires. Chaque jeudi après le déjeuner, Adélia plaçait dans un petit panier une gourde pleine de limonade à l’anis, un pain natté, une tablette de chocolat et des tranches de gâteau marbré. Avec une vingtaine de fillettes sous la conduite d’un quatuor de cheftaines, je prenais le chemin du morne de l’Hôpital. Pour nous y rendre, nous suions en rang, deux par deux, une bonne demi-heure sous le chaud soleil. Arrivées là, nous ne pouvions même pas prendre un peu de fraîcheur et nous allonger à l’ombre des pieds de tamarins des Indes. Il fallait tout de suite courir, sauter, découvrir des signes de piste, chanter à tue-tête. Si je n’appréciais pas les autres jeannettes qui me le rendaient bien, j’adorais les cheftaines. Surtout l’une entre elles : cheftaine Nisida Léro qui cachait des trésors d’affection dans sa poitrine de jeune fille de très bonne famille, malheureusement montée en graine. J’ignore ce qu’elle est devenue et lui souhaite tout le bonheur du monde avec la tralée d’enfants qu’elle désirait à l’époque. J’étais son chouchou. Elle m’asseyait sur ses genoux et me dorlotait. Ma mémoire garde l’image d’une mulâtresse très brune, une ombre de moustache, un nez aquilin. Je prenais plaisir à coiffer son opulent chignon toujours à deux doigts de crouler sur ses épaules. On ne m’enlèvera pas de la tête qu’elle avait aussi peu de goût que moi pour la gymnastique, les sauts en hauteur, les sauts en longueur, tous ces exercices à mettre le corps en nage qu’elle nous faisait pratiquer avec tellement d’enthousiasme. Simplement, elle croyait avoir découvert la bonne manière de meubler sa vie en attendant un mari.
Des fois, aux vacances, nous allions camper. Oh, pas bien loin ! Jamais au-delà des environs de Petit-Bourg. À Bergette, Juston, Carrère, Montebello. Au camp, impossible de rêvasser, une fois réveillées et habillées, il nous était défendu de revenir sous les tentes. Mouvement perpétuel. Nous étions constamment de corvée. De ménage : le balai à la main. De vaisselle : des piles de gamelles et de quarts à laver. De cuisine : des montagnes de racines à éplucher. De ramassage de bois : les mamzel-Marie nous zébraient les mollets dans les savanes. Le soir, la fumée des feux, autour desquels nous étions assises en rond pour débiter des contes insipides, nous piquait les yeux et la gorge. Une fois qu’ils étaient éteints, les moustiques nous dévoraient. Chaque soir, je m’endormais dans les pleurs. En ce temps-là, à la Guadeloupe, il n’y avait pas de téléphone. Je ne pouvais pas appeler ma mère pour lui confier mes misères et la supplier de venir me chercher. À l’issue de ces séjours interminables (combien de temps duraient-ils ?), je retrouvais les miens amaigrie, hagarde et, de longtemps, je refusais de quitter le giron de ma mère.
--- Laisse-moi tranquille, tu m’étouffes, protestait-elle quand je la mangeais de baisers.
Mon pire souvenir demeure un séjour à Barbotteau, dans les hauteurs de la Lézarde. J’ai l’impression qu’un ciel d’encre n’arrêta pas un seul jour de crever en eau. Incapables de dresser nos tentes sur l’herbe détrempée, nous occupions un bâtiment sans confort, humide, délabré. Une école ? Enfermées à l’intérieur, nous jouions à ti point, ti croix. Nous buvions des té peyi en chantant des chansons absurdes :
Il ne fera plus kokodi kokoda.
Après ce temps d’enfer vint enfin le moment du retour, parsemé de signes funestes, qu’aveugle, je ne sus pas déchiffrer. L’auto-char de location s’embourba au sortir de la Lézarde. Il fallut descendre la pousser sous des trombes de pluie. À la hauteur d’Arnouville, elle écrasa en purée sanguinolente un coq gimb qui traversait le goudron luisant en battant des ailes. Exceptionnellement, le pont de la Gabarre était ouvert et nous restâmes des temps et des temps à l’arrêt sur le bas-côté de la route. Bref, quand nous arrivâmes à La Pointe, il faisait presque nuit. Le point de ralliement était toujours le même : devant la maison de cheftaine Nisida. Elle était située dans un quartier plus résidentiel que le nôtre, de l’autre côté de la place de la Victoire qui faisait quelque peu fonction de 5e Avenue. C’était là que servante ou maman, selon le rang de la famille, reprenait possession de sa jeannette. Certaines fillettes retournaient au bercail bombant le torse, toutes faraudes, et on pouvait imaginer leurs récits romancés. Je rentrais toujours la tête basse et moi, si bavarde, je n’avais rien à dire.
Ce soir-là, j’attendis sur le trottoir pendant plus d’une heure : personne ne vint me chercher. Aussi, cheftaine Nisida me prit par la main et, accompagnées de ses frères, nous nous rendîmes rue Alexandre-Isaac.
En passant devant la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, massive dans la noirceur, sombre présage, un nuage de chauves-souris s’envola des niches des saints et nous enveloppa. Piquetée des quinquets des marchandes, la place de la Victoire était livrée à ceux qui cachent leurs agissements dans l’ombre. J’avançais, mon cœur battant un rythme de deuil. Mon intuition me soufflait que ma souffrance ne faisait que commencer. Nous arrivâmes à l’angle de la rue Condé.
La maison de mes parents était plongée dans l’obscurité. De haut en bas, elle était hermétiquement close. Grosses portes tirées, bouclées à double tour. Une voisine, Mme Linsseuil, toujours makrel, nous informa de son balcon que mes parents s’étaient rendus dans notre maison de changement d’air à Sarcelles. Quand devaient-ils rentrer ? Elle n’en savait rien. En entendant cela, je poussai un hurlement si terrible que d’autres voisins sortirent sur les balcons, me reconnurent, commentèrent que j’étais bien grande pour faire une scène pareille. Il est vrai qu’avec l’éducation que je recevais ! Mes parents se préparaient un bel avenir en m’élevant ainsi. Cheftaine Nisida n’accorda aucun crédit à ces malparlants et, à force de baisers, parvint à me calmer. Nous retournâmes chez elle. Je marchais comme une zombie, comprenant que ce soir-là encore, j’allais m’endormir sans ma mère.
Deux bonnes voletaient autour de la table, et de la famille Léro qui s’apprêtait à dîner. Une famille très bourgeoise, rieuse pourtant. Le père, un vieux mulâtre assez desséché, mais blagueur. La mère, pareille à sa fille, l’embonpoint en plus. Les fils chahuteurs. La bonne-maman, une mantille sur ses cheveux de neige. Tante Cécé aux façons un peu ma-sœur. Deux cousins bitako. Une cousine. On me fit place à côté de cheftaine Nisida et tout le monde rivalisa d’attentions. Si mes parents n’étaient pas rentrés le lendemain matin, me promit M. Léro, son chauffeur m’emmènerait à Sarcelles. Ce soir, je dormirais dans sa chambre, me sourit cheftaine Nisida. Quels jolis zanno je portais aux oreilles, me câlina Mme Léro. Je n’entendais rien. Par égards pour tant de gentillesse, je m’efforçais de retenir mes gémissements et le flot de mes larmes. Mais j’avais la gorge serrée, je ne pouvais rien avaler. Rien de rien. Mon assiette demeurait pleine. Je ne touchai à aucun plat. Ni au vivanot grillé. Ni aux christophines au gratin. Ni à la salade de pourpiers. Pour finir, une servante posa devant moi un ramequin rempli de crème au chocolat.
J’adorais la crème au chocolat.
Malgré ma peine, mes yeux séchèrent instantanément. J’hésitai, infiniment honteuse de céder à la gourmandise en un moment pareil. Enfin, je me décidai. J’allais comme à regret me saisir de ma cuiller quand, rapide, l’autre servant m’enleva la crème et la rapporta dans les profondeurs de la cuisine. Je restai mofwase.
Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image de ce ramequin bleu liséré d’or empli d’un délice onctueux auquel je n’ai pas pu goûter passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ?

Johannesbourg

La plus belle femme du monde
À la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, notre banc portait le numéro 32 de l’allée centrale. Toute petite, j’aurais pu me diriger les yeux fermés vers ce refuge, passer le bedeau qui m’effrayait fort quand il frappait le sol de sa hallebarde, me laisser guider par le flot de la musique de l’orgue et les odeurs des lys et des tubéreuses entassés sur le maître-autel. Le banc était étroit. Le bois en était brillant comme frotté à la cire. Le dossier, très haut. Il aurait fallu que je me mette à genoux sur la banquette, ce qui m’était défendu, si j’avais voulu apercevoir ce qui se passait derrière.
Mon père qui avait flirté avec la franc-maçonnerie ne nous accompagnait jamais à la cathédrale. Il restait à la maison en bras de chemise et en profitait pour recevoir ses amis, mécréants comme lui, soupirait ma mère. Avec eux, il fumait des cigares et, une fois n’est pas coutume, prenait un sec ou deux. De notre maison à la cathédrale, il n’y avait guère que quelques minutes de marche en ligne droite. Il suffisait de traverser la place de la Victoire. Mais ma mère s’arrêtait tous les dix pas pour donner le bonjour, faire la conversation avec une connaissance et nous devions l’attendre. De toute façon, je ne pouvais pas m’éloigner, gambader, m’égailler de droite et de gauche, car elle emprisonnait ma main dans la sienne. Sandrino venait toujours en queue de peloton, faisant une tête d’enterrement, lui qui se prétendait athée. Nous gravissions de concert les marches du parvis, entrions deux par deux à l’intérieur de l’église, ma mère et moi ouvrant la marche. Arrivés à la hauteur de notre banc, nous nous signions, et, comme un singe savant, je m’efforçais d’imiter le geste ample de ma mère. Puis, nous nous agenouillions sur l’arête coupante du prie-Dieu. Nous gardions la tête entre les mains pendant quelques minutes, toujours à l’imitation de ma mère. Après quoi, nous nous asseyions. Dans la cathédrale aussi claire qu’une verrière, le silence était entrecoupé de toux retenues et de pleurs d’enfants. Enfin, l’orgue donnait de la voix et le prêtre faisait son apparition, entouré d’un aréopage d’enfants de chœur en robe rouge, balançant l’encensoir à toute volée. Je crois que, l’une après l’autre, mes grands frères avaient été enfants de chœur, à l’exception de Sandrino qui s’y était farouchement refusé. Dieu, l’Église étaient les seuls sujets de divergence de mes parents. Pourtant, ils ne se disputaient pas là-dessus. Mon père trouvait naturel qu’une femme de bien ait de la religion et ma mère, inévitable qu’un homme n’en ait pas.
Malgré une excessive coquetterie qui me faisait adorer la parure, je n’aimais pas aller à l’église. Il fallait porter un chapeau qui tirait les cheveux, des chaussures vernies qui serraient les orteils, des mi-bas de coton qui tenaient chaud et, surtout, se taire pendant plus d’une heure, ce qui m’était une torture puisque j’avais tout le temps une histoire à raconter. Souvent, dans mon inconfort, je fermais les yeux et parvenais à piquer du nez après l’évangile. Mais cela déplaisait à ma mère qui me secouait le bras comme une branche de surettier. Elle, qui me passait tout à en croire mes sœurs, manifestait la plus grande sévérité en ce qui concernait la tenue à la messe. Elle était déterminée à ce que je demeure éveillée jusqu’à la phrase libératrice de l’Ite missa est. Pour ne pas prendre sommeil, je chantonnais une rengaine dans ma tête. Hélas, je m’oubliais parfois. Elle descendait alors dans ma bouche et je recevais une tape sans douceur. Je détaillais pour la énième fois les statues de plâtre au fond de leurs niches : saint Antoine de Padoue avec sa calvitie. L’Enfant Jésus assis à cheval sur son livre de prières. Sainte Thérèse de Lisieux les yeux levés vers le ciel sous sa couronne de boutons de rose. Saint Michel Archange portant des sandales --- quelle imprudence ! --- pour piétiner un serpent. Je tournais le regard vers les vitraux illuminés par le soleil. Rien de nouveau de ce côté-là non plus. Du jaune, du rouge, du bleu. J’essayais de repérer les amis de mes parents dans la marée des visages. Quelques-uns étaient là pareillement solennels et endimanchés. Le docteur Mélas qui venait de me soigner d’une otite. M. Vitalise qui enfermait des crapauds dans les bocaux de sa pharmacie. Au fur et à mesure que je grandissais, je ne pouvais m’empêcher de remarquer combien elles étaient rares, les figures noires ou simplement colorées dans la nef centrale de la cathédrale sous la carène renversée de la voûte. Elles tranchaient comme si elles étaient tombées dans le bol de lait de la comptine que nous chantions sans y voir aucune ironie :
Une négresse qui buvait du lait
Ah, se dit-elle, si je le pouvais
Tremper ma figure dans un bol de lait
Bonjour Madame. On va prendre deux forfaits Navigo Semaine, s'il vous plaît.
Je deviendrais plus blanche
Que tous les Français
Ais-ais-ais !
Des blancs-pays partout. Des blancs-pays dans le banc devant nous, dans le banc derrière nous. Sortis des quatre coins de La Pointe. Des hommes, des femmes, des enfants. Des vieux, des jeunes, des bébés dans les bras. On n’en voyait jamais autant qu’à la grand-messe. À croire que la cathédrale était leur bien. Que le Bon Dieu était leur proche parent.
Je n’éprouvais aucun sentiment d’agressivité vis-à-vis des blancs-pays, malgré l’épisode avec Anne-Marie de Surville, à cette époque commodément enfoui dans ma mémoire. On l’a vu, mes parents ne m’en parlaient pas plus qu’ils ne me racontaient des histoires de zombies ou de soukougnans. Mes camarades blanches, une fois quitté l’école, je n’aurais jamais eu à l’idée de les fréquenter. Si nos chemins se croisaient, nos regards savaient ne pas se croiser. Un dimanche, je ne sais pourquoi, je me mis à considérer les blancs-pays à l’entour avec curiosité.
Je savais que le créole les baptisait « zorey ». Et c’est vrai que les hommes et les garçonnets exhibaient des lobes rouges, puissants, décollés. Les femmes s’efforçaient de les dissimuler sous les volutes de leurs rubans. Malgré cela, elles pointaient, comiques ou menaçantes, à droite à gauche de leurs couvre-chefs. Mon regard monta, descendit, parcourut les rangées de figures marquées d’un même sceau de pâleur jaunâtre, buta sur le promontoire impérieux des nez, rôda autour des lèvres dessinées avec le fil d’un rasoir. Et c’est alors que, à la faveur de mon exploration un peu moqueuse, je tombai sur une femme, très jeune, une toque de paille noire plantée sur ses cheveux fauves, le front à moitié recouvert par une voilette, les joues veloutées, la bouche en bouton de rose. Elle portait un tailleur de lin beige dont le revers était piqué d’un camée. Je n’avais jamais rien vu d’aussi parfait. Du restant de la messe, je ne pus m’arrêter de l’observer. À un moment, ses yeux rencontrèrent les miens et, à ma vive douleur, ils se détournèrent aussitôt, ne contenant qu’indifférence. Elle ne m’avait pas remarquée. Après l’Ite missa est, elle se leva de son banc, s’agenouilla pieusement, se signa et prit le bras d’un homme. Le dimanche suivant, de mon poste d’observation, je la vis arriver entourée des siens, toujours au bras de son mari très jeune lui aussi, moustachu, la mine assez ordinaire, indigne en tous points de posséder un pareil trésor. Cette fois, elle était de dentelle blanche vêtue, sa toque remplacée par une capeline à larges bords, son camée par un collier chou de grosseur respectable. Avec ce qui me semblait une grâce inimitable, elle prit place dans la rangée 29. Tel un détective, je notai le numéro. La curiosité me dévorait. Une fois à la maison, je demandai à ma mère qui était cette famille de blancs-pays de la rangée 29, non loin de la nôtre. Je le savais, ma mère et ses bonnes amies étaient des généalogistes de première. Elles maîtrisaient de mémoire le tableau des parentés, des mariages, des alliances, des séparations. Une grande partie de leurs entretiens consistait à le mettre à jour tant et si bien qu’elles auraient pu conseiller des notaires peinant sur des problèmes de successions et de partages de biens. Elle connut sa réponse sur le bout des doigts :
--- Ce sont les Linsseuil. Bonne affaire, ils viennent de marier Amélie au fils du propriétaire de l’usine Grosse Montagne.
Elle allait pour passer à autre chose quand, à la réflexion, ma question l’étonna. Elle vira de bord sur moi. Qu’est-ce que j’avais à faire avec ces gens-là ?
--- C’est, répondis-je avec emportement, tout à ma passion, parce que je trouve Amélie la plus belle personne que j’aie jamais vue.
Et j’ajoutai sans prendre garde à sa mine :
--- C’est mon idéal de beauté !
Silence de mort. Elle resta sans voix. Elle fit quérir mon père qui rigolait au salon, convoquer mes frères et sœurs qui devisaient tranquillement à la fenêtre de leur chambre. Elle exposa mon crime : comment mon idéal de beauté pouvait-il être une femme blanche ? N’existait-il pas des personnes de ma couleur qui méritaient cette distinction ? Passe encore si j’avais choisi une mulâtresse, une capresse, une koolie même ! Mon père, qui savait qu’il ne faisait pas bon contredire ma mère, pour une fois prit ma défense. N’était-ce pas beaucoup de bruit pour rien ? J’étais bien jeune. Ma mère n’accepta pas ces circonstances atténuantes. J’avais déjà du jugement. Je savais ce que je faisais. S’ensuivit un discours bien senti dont les thèmes préfiguraient ceux de Black is beautiful. Mes joues étaient incendiées. J’éprouvais d’autant plus de honte que Sandrino, mon allié de chaque instant, avait l’air d’approuver. Je me retirai dans ma chambre. D’une certaine façon, je devinais que ma mère avait raison. En même temps, je n’étais pas coupable. Je n’avais pas admiré Amélie parce qu’elle était blanche. Oui, mais sa peau rosée, ses yeux clairs et ses cheveux moussants étaient parties intégrantes de cet ensemble que j’admirais tant. Tout cela dépassait mon entendement.
Le dimanche suivant, du coin de l’œil, je vis Amélie s’agenouiller et se signer à l’entrée de son banc. Je ne tournai pas la tête dans sa direction.
J’avais compris que sa beauté m’était interdite.
s'engager

Je suis dans la voiture.
Je suis en Amérique.
Je suis dans le salon.
Les jouets sont dans la boîte.
Le paquet arrivera dans deux jours.
Je peux lire le livre en deux heures.
Je pars dans dix minutes.
Il est dans la maison.
valdôtain
À partir de mes propres expériences de vie dans des régions profondément religieuses des États-Unis, je n’ai jamais vu la religion présentée avec un fossé aussi important entre les sexes que dans ce chapitre. Alors, qu’est-ce qui sous-tend cette « distinction » ?
Sa mère a-t-elle choisi de fréquenter une église plus riche (et donc plus blanche, peut-être comme un symbole de leur mobilité sociale), ou est-ce simplement parce que les Blancs contrôlent les églises dans leur ensemble ?

Chemin d’école
Je devais avoir treize ans. Encore un séjour en « métropole ». Le troisième ou le quatrième depuis la fin de la guerre. J’étais de moins en moins persuadée que Paris est la capitale de l’univers. En dépit de l’existence réglée comme papier à musique que j’y menais, La Pointe, ouverte sur le bleu de la darse et du ciel, me manquait. Je regrettais Yvelise, mes camarades de lycée et nos déambulations sous les sabliers de la place de la Victoire, seule distraction qui nous soit permise jusqu’à six heures du soir. Car, alors, la noirceur s’installe et, d’après mes parents, tout pouvait arriver. Sortis d’au-delà le canal Vatable, des nègres au sexe vorace pouvaient s’approcher des vierges de bonne famille et les dérespecter avec des paroles et des gestes obscènes. À Paris je regrettais aussi les lettres d’amour que, malgré toutes les barrières dressées autour de moi, les garçons parvenaient à me glisser.
Paris, pour moi, était une ville sans soleil, un enfermement de pierres arides, un chevêtrement de métro et d’autobus où les gens commentaient sans se gêner sur ma personne :
--- Elle est mignonne, la petite négresse !
Ce n’était pas le mot « négresse » qui me brûlait. En ce temps-là, il était usuel. C’était le ton. Surprise. J’étais une surprise. L’exception d’une race que les Blancs s’obstinaient à croire repoussante et barbare.

Cette année-là, mes frères et sœurs étant entrés à l’université, je jouais les filles uniques, rôle qui me pesait fort, car il impliquait un surcroît d’attentions maternelles. J’étais élève au lycée Fénelon, à deux pas de la rue Dauphine où mes parents avaient loué un appartement. Dans ce bahut prestigieux, mais austère, je m’étais, comme à l’accoutumée, mis à dos tous les professeurs par mes insolences. Par contre, et pour la même raison, j’avais gagné le statut de meneuse et je m’étais fait pas mal d’amies. Nous traînions en bande dans un quadrilatère délimité par le boulevard Saint-Germain, le boulevard Saint-Michel, les eaux mortes de la Seine et les boutiques d’art de la rue Bonaparte. Nous nous arrêtions devant le Tabou où flottait encore le souvenir de Juliette Gréco. Nous feuilletions des bouquins à la Hune. Nous lorgnions Richard Wright, massif comme un bonze à la terrasse du café de Tournon. Nous n’avions rien lu de lui. Mais Sandrino m’avait parlé de son engagement politique et de ses romans, Black Boy, Native Son et Fishbelly. L’année scolaire finit par finir et la date du retour à la Guadeloupe par approcher. Ma mère avait acheté tout ce qui pouvait être acheté. Aussi, mon père remplissait méthodiquement de grandes cantines en fer peinturées en vert. Au lycée Fénelon, le chahut, la paresse étaient des pratiques inconnues. Pourtant, les programmes ayant été bouclés, on sentait dans les classes comme un parfum de légèreté, voire de gaieté. Un jour, le professeur de français eut une idée :
--- Maryse, faites-nous un exposé sur un livre de votre pays.
Mlle Lemarchand était le seul professeur avec lequel je m’étais assez bien entendue. Plus d’une fois, elle m’avait donné à comprendre que ses cours sur les philosophes du XVIIIe siècle m’étaient destinés tout spécialement. C’était une communiste dont nous nous étions passé de main en main la photo en première page de L’Huma. Nous ne savions pas exactement ce que recouvrait l’idéologie communiste, entendue tout partout. Mais nous la devinons en complète contradiction avec les valeurs bourgeoises que le lycée Fénelon incarnait à nos yeux. Pour nous, le communisme et son quotidien L’Huma sentaient le soufre. Je pense que Mlle Lemarchand s’imaginait comprendre les raisons de ma mauvaise conduite et me proposait de les examiner. En m’invitant à parler de mon pays, elle ne voulait pas seulement nous distraire. Elle m’offrait l’occasion de me libérer de ce qui, d’après elle, me pesait sur le cœur. Cette proposition bien intentionnée me plongea au contraire dans un gouffre de confusion. C’était, rappelons-le, le tout début des années 50. La littérature des Antilles ne fleurissait pas encore. Patrick Chamoiseau dormait informé au fond du ventre de sa maman, et moi-même, je n’avais entendu prononcer le nom d’Aimé Césaire. De quel auteur de mon pays pouvais-je parler ? Je courus vers mon recours habituel : Sandrino.
Il avait bien changé, Sandrino. Sans qu’on le sache, la tumeur qui allait l’emporter le rongeait malignement. Toutes ses maîtresses l’avaient abandonnée. Il vivait dans une solitude extrême au neuvième étage sans ascenseur d’un minable garni de la rue de l’Ancienne-Comédie. Car, dans l’espoir de le ramener vers les amphithéâtres de la faculté de droit, mon père lui avait coupé les vivre. Il subsistait fort mal de l’argent que ma mère lui adressait en cachette, amaigri, essoufflé, sans forces, tapant avec trois doigts sur une machine à écrire poussive des manuscrits qu’invariablement les éditeurs lui renvoyaient avec des formules stéréotypées.
--- Il ne me disent pas la vérité, rageait-il. Ce sont mes idées qui leur font peur.
Car, bien sûr, lui aussi était communiste. Une photo de Joseph Staline en grande moustache ornait sa cloison. Il s’était même rendu à un Festival mondial de la jeunesse communiste à Moscou et en était revenu éperdu d’admiration pour les dômes du Kremlin, la place Rouge et le mausolée de Lénine. Comme par le passé, il ne me laissait pas lire ses romans et je m’efforçais sans succès d’en déchiffrer les titres tracés au verso de chemises écornées. Pour moi, il tâchait malgré tout de retrouver son sourire de lumière et reprenait ses manières rassurantes de grand frère. Nous fouillâmes dans ses livres empilés en désordre sur les meubles et dans la poussière du plancher. Gouverneur de la rosée de Jacques Roumain. Il s’agissait d’Haïti. Il me faudrait exposer le vaudou et parler d’un lot de choses que je ne connaissais pas. Bon Dieu rit d’Edris Saint-Amant, un de ses derniers amis, haïtien aussi. Nous allions désespérer quand Sandrino tomba sur un trésor. La Rue Cases-Nègres de Joseph Zobel. C’était la Martinique. Mais la Martinique est l’île sœur de la Guadelope. J’emportai La Rue Cases-Nègres et m’enfermai avec José Hassan.
Ceux qui n’ont pas lu La Rue Cases-Nègres ont peut-être vu le film qu’Euzhan Palcy en a tiré. C’est l’histoire d’un de ces « petits-nègres » que mes parents redoutaient tellement, qui grandit sur une plantation de canne à sucre dans les affres de la faim et des privations. Tandis que sa maman se loue chez des békés de la ville, il est élevé à force de sacrifices par sa grand-mère Man Tine, ammareuse en robe matelassée par les rapiéçages. Sa seule porte de sortie est l’instruction. Heureusement, il est intelligent. Il travaille bien à l’école et se prépare à devenir petit-bourgeois au moment précis où sa grand-mère meurt. Je pleurai à chaudes larmes en lisant les dernières pages du roman, les plus belles à mon avis que Zobel ait jamais écrites.
« C’étaient ses mains qui m’apparaissaient sur la blancheur du drap. Ses mains noires, gonflées, durcies, craquelées à chaque repli, et chaque craquelure incrustée d’une boue indélébile. Des doigts encroûtés, déviés en tous sens ; aux bouts usés et renforcés par des ongles plus épais, plus durs et informes que des sabots… »
Pour moi, toute cette histoire était parfaitement exotique, surréaliste. D’un seul coup tombait sur mes épaules le poids de l’esclavage, de la Traite, de l’oppression coloniale, de l’exploitation de l’homme par l’homme, des préjugés de couleur dont personne, à part quelquefois Sandrino, ne me parlait jamais. Je savais bien sûr que les Blancs ne fréquentaient pas les Noirs. Cependant, j’attribuais cela, comme mes parents, à leur bêtise et à leur aveuglement insondables. Ainsi, Élodie, ma grand-mère maternelle, était apparentée à des blancs-pays qui assis à deux bancs d’église du nôtre ne tournaient jamais la tête vers nous. Dommage pour eux ! Car ils se privaient du bonheur de posséder une relation comme ma mère, la réussite de sa génération. Je ne pouvais en aucune manière appréhender l’univers funeste de la plantation. Les seuls moments où j’aurais pu rencontrer le monde rural se limitaient aux vacances scolaires que nous passions à Sarcelles. Mes parents possédaient dans ce coin alors tranquille de la Basse-Terre une maison de changement d’air et une assez belle propriété que coupait par le mitan la rivière qui donnait son nom à l’endroit. Là, pour quelques semaines, tout le monde, excepté ma mère, toujours sur son quant-à-soi, cheveux soigneusement décrêpés sous sa résille et collier grenn’d’ô autour du cou, jouait aux bitako. Comme il n’y avait pas d’eau courante, on se bouchonnait avec des feuilles, tout nu près de la citerne. On faisait ses besoins dans un toma. Le soir, on s’éclairait à la lampe à pétrole. Mon père enfilait un pantalon et une chemise de drill kaki, abritait sa tête d’un bakoua et s’armait d’un coutelas avec lequel il ne sabrait guère que les herbes de Guinée. Nous les enfants, éperdus de bonheur d’aérer nos orteils et de pouvoir salir ou déchirer nos vieux vêtements, nous dévalions les savanes à la recherche d’icaques noires et de goyaves roses. Les verts champs de canne semblaient nous inviter. Parfois, intimidé par notre mine de petits citadins et notre parler français, un cultivateur nous tendait respectueusement une canne kongo dont nous déchirions l’écorce violacée à belles dents.
Pourtant, j’eus peur de faire pareil aveu. J’eus peur de révéler l’abîme qui me séparait de José. Aux yeux de ce professeur communiste, aux yeux de la classe tout entière, les vraies Antilles, c’étaient celles que j’étais coupable de ne pas connaître. Je commençai par me révolter en pensant que l’identité est comme un vêtement qu’il faut enfiler bon gré, mal gré, qu’il vous siée ou non. Puis, je cédai à la pression et enfilai la défroque qui m’était offerte.
Quelques semaines plus tard, je fis devant la classe suspendue à mes lèvres un brillant exposé. Depuis des jours, mon ventre traversé des gargouillis de la faim s’était ballonné. Mes jambes s’étaient arquées. Mon nez s’était empli de morve. La tignasse grenée de mes cheveux s’était roussie sur ma tête sous l’effet du soleil. J’étais devenue Josélita, sœur ou cousine de mon héros. C’était la première fois que je dévorais une vie. J’allais bientôt y prendre goût.
Aujourd’hui, tout me porte à croire que ce que j’ai appelé plus tard un peu pompeusement « mon engagement politique » est né de ce moment-là, de mon identification forcée au malheureux José. La lecture de Joseph Zobel, plus que des discours théoriques, m’a ouvert les yeux. Alors j’ai compris que le milieu auquel j’appartenais n’avait rien de rien à offrir et j’ai commencé de le prendre en grippe. À cause de lui, j’étais sans saveur ni parfum, un mauvais décalque des petits Français que je côtoyais.
J’étais « peau noire, masque blanc » et c’est pour moi que Frantz Fanon allait écrire.

À nous la liberté ?
Pour mes seize ans, mes parents me firent cadeau d’un vélo, un Motobécane, une jolie machine bleue avec des garde-boue d’argent et, alors, des ailes me poussèrent.
Le séjour à Dolé-les-Bains m’avait donné l’envie d’ouvrir la cage dans laquelle j’étais enfermée depuis ma naissance. Je m’étais aperçue que je ne connaissais pas mon pays. Je m’étais aperçu que je ne connaissais de La Pointe qu’un étroit quadrilatère. Comme je devenais de plus en plus rétive, mes parents comprirent qu’ils devaient me permettre de respirer un peu d’air. À soixante-dix-huit ans, mon père avait pratiquement perdu la vue. Si des fils invisibles le guidaient tant qu’il restait à l’intérieur de sa maison, une fois dehors, tout se brouillait. Il ne pouvait ni traverser les rues ni trouver son chemin. Ma mère n’ayant aucune patience avec lui, il se réfugiait à Sarcelles, seul endroit où il se sentait bien, et, pareil à un soubawou, passait les jours sans changer de vêtements ni se laver. Ma mère, quant à elle, n’était plus la même. À la suite d’une mauvaise grippe, elle était devenue presque chauve et couvrait son front de maladroits postiches d’un noir d’encre qui contrastaient avec son restant de cheveux poivre et sel. Sa piété avait atteint des extrêmes que la mort de Sandrino, moins d’un an plus tard, allait encore accentuer. Elle ne ratait ni messe d’aurore, ni grand-messe, ne messe basse, ni messe chantée, ni vêpres, ni rosaire, ni ténèbres, ni chemin de croix, ni mois de Marie. Elle faisait des neuvaines, des pénitences, des jeûnes, roulait les grains de son chapelet, de son rosaire, prenait la confession, la communion. Quand elle n’était pas occupée à ses dévotions, elle se disputait avec moi. Pour un oui, pour un non. Pour un non, pour un oui. Je ne me rappelle plus ce qui causait ces querelles constantes. Je me rappelle seulement que j’avais toujours le dernier mot. Je la lacérais avec mes coups de langue et elle finissait immanquablement par fondre en larmes en bégayant :
--- Tu es une vipère !
Hélas ! Le sentiment d’ivresse de mes dix ans avait disparu. Ces larmes étaient devenues un spectacle quotidien et banal qui, du coup, ne retenait plus mon attention. Mes premières années avaient été ensoleillées par la présence de mes frères et sœurs, secrètement en fronde contre mes parents. Mon adolescence avait la couleur d’une fin de vie. Je me retrouvais face à deux vieux corps dont je ne comprenais pas les humeurs. Dans notre maison régnait une atmosphère de veillée funèbre. Le deuxième étage avait été condamné. Portes et fenêtres clouées puisque personne n’y habitait plus. J’errais misérablement à travers une enfilade de pièces vides : la chambre de Thérèse, celle de Sandrino. Je feuilletais des livres couverts de poussière sur les étagères. J’ouvrais des penderies où traînaient encore de vieux linges. Je m’asseyais sur des lits aux sommiers défoncés. C’était comme si je rôdais dans un cimetière pour me ressouvenir de ceux que j’avais perdus. À présent, Sandrino venait d’être admis à l’hôpital de la Salpêtrière. Ma mère se persuadait que sa maladie était bénigne, mais elle en devinait l’issue. Elle n’avait pas la force de se rendre en France pour le voir et sa pensée le tuait. Thérèse, elle, se vengeait. Elle adressait de rares et courtes lettres. Elle s’était mariée à un étudiant en médecine africain, lui-même fils d’un médecin fort connu dans son pays. Pourtant, mes parents, si sensibles au prestige, n’avaient pas apprécié. D’abord, parce que depuis l’enfance ils n’appréciaient rien de ce que faisait Thérèse. Ensuite parce que l’Afrique est trop loin, de l’autre côté de la terre. Ma mère parlait d’ingratitude et d’égoïsme. Elle n’avait même pas pris la peine de disposer sur le piano les photographies d’Aminata, pourtant sa première petite-fille.
À quinze ans, je me regardais dans la glace et me trouvais laide. Laide à pleurer. Au bout d’un corps en gaule sans fin, une figure triste et fermée. Les yeux à peine fendus. Les cheveux peu fournis et mal coiffés. Les dents d’un bonheur dont je ne voyais pas l’amorce. Seule parure, une peau de velours que l’acné n’osait pas attaquer. Aucun garçon ne tournait plus la tête de mon côté, ce qui me chagrinait, car j’avais commencé d’apprécier les beaux mâles. Gilbert Driscoll s’était métamorphosé en un bellâtre coiffé à l’embusqué qui paradait ses gamines dans le quartier. Je n’avais pas plus d’amies que d’admirateurs, Yvelise ayant quitté l’école afin de travailler pour son père. Nous ne nous fréquentions plus et ma mère malparlait, affirmant qu’elle prenait des hommes et récolterait bientôt un ventre. Au lycée, où j’étais plus impertinente que jamais, professeurs et élèves avaient peur de moi. Esseulée, j’affûtais comme des flèches des épigrammes que je lançais à la volée contre tous. Comme je m’apprêtais à passer mon deuxième bac avec un an d’avance, je paraissais l’incarnation de l’intelligence couplée avec la méchanceté.
Une fois que j’eus mon Motobécane, je n’eus plus besoin de personne. Je ne m’occupai plus de ma mauvaise réputation. Je pédalais, je pédalais. Je m’aventurai bientôt en dehors de La Pointe. Je découvris les côtes basses et vaseuses du Vieux-Bourg de Morne-à-l’Eau, à moitié recouvertes par l’eau de mer, la mangrove peuplée d’échassiers tout de blanc vêtus. Je poussai dans une autre direction vers le Bas-du-Fort. Émerveillement ! Je n’avais jamais admiré les hautes falaises calcaires ciselées de lapiés littoraux et le sable d’or. En fait de plage, je ne connaissais que celle de Viard, avec son sable volcanique endeuillé comme les ongles d’un pied mal lavé. Trois ou quatre fois pendant les grandes vacances, nous y passions la journée, ma mère affublée d’un ensemble fait main par Jeanne Repentir, sa couturière, mon père portant des caleçons longs, mais dénudant impudiquement les poils blancs de son torse. Une servante louée à Petit-Bourg pour la saison réchauffait le colombo sur un feu allumé entre quatre pierres et nous pique-niquions sous les amandiers-pays. Parfois, un natif-natal rôdait dans les parages et lorgnait ce tableau familial avec curiosité. Je restais des heures n’en croyant pas mes yeux, allongée sur le sable, à grimacer sous la brûlure du soleil. Malgré mon envie, je ne plongeais pas dans ce grand bleu. Certes, Sandrino m’avait appris à nager, un peu à la manière des chiens, mais je n’avais pas de maillot de bain. Cet article vestimentaire n’apparaîtrait que fort tardivement dans ma garde-robe et j’étais trop grande pour entrer dans la mer en culotte Petit-Bateau comme autrefois. Après le Bas-du-Fort, je m’enhardis et pédalai jusqu’au Gosier. J’avais déjà connaissance de Virginia Woolf et de sa Promenade au phare. Si je n’inventais plus d’histoires, je compensais en lisant voracement tout ce qui me tombait sous la main. Aussi, je fixais l’îlet, largué dans la mer à quelques encablures de la côte. Je le transfigurais en objet littéraire, intersection du rêve et du désir. Une fois, en peinant, je me rendis jusqu’à Sainte-Anne, en ce temps-là paisible commune ignorant le tourisme. Je me laissai tomber sur le bord de mer. Assis en tailleur à côté de moi, sans s’occuper de ma mine peu commune, les pêcheurs blaguaient en ravaudant leurs filets. Les revendeuses offraient à leurs pratiques des kreyes de tanche et de grand’gueule. Des enfants noirs comme du goudron se baignaient tout nus. Je pris sommeil, la bouche ouverte, et ne rouvris les yeux qu’au serein. Autour de moi, la plage était déserte, la marée haute.
D’habitude, je m’efforçais de rentrer à La Pointe avant la nuit. C’était la première fois que je laissais la noirceur tomber sur moi en traître. J’avais peur. Peur de la route tout en courbes. Peur des formes des maisons soudain métamorphosées en guiablesses, des arbres menaçants, des bancs de nuages aux bords déchiquetés. Alors, je filai comme une folle, mes genoux touchant mon menton, aplatie sur mon guidon. Et sans que je comprenne pourquoi, ma vitesse me monta à la tête. Elle me rendit libre, de toute la liberté dont j’allais bientôt jouir. D’ici un an, je quitterais la Guadeloupe, moi qui ne m’étais jamais séparée de mes parents pour plus de deux semaines. Cette perspective m’exaltait et me terrifiait. Qu’allais-je étudier ? Je ne me sentais aucune vocation. Mes professeurs me destinaient à l’hypokhâgne, aux grandes écoles, c’est-à-dire que je retrouverais le lycée Fénelon. Cela revenait à quitter une prison pour une autre. Quand même, j’entrevoyais au-delà de la geôle qu’on me préparait des portes par lesquelles je pourrais me glisser. Quand, hors d’haleine, j’arrivai à la rue Alexandre-Isaac, ma mère me guettait du salon. Elle commença ses imprécations. Qu’est-ce que j’avais à courir comme une femme folle sous le soleil ? Est-ce que je n’étais pas assez laide et assez noire comme cela ? Je ressemblais à une Kongo. Si c’est un homme que je cherchais, je perdais ma peine.
Je passai sur elle sans la regarder et montai m’enfermer dans ma chambre. Elle continua à babier. Au bout d’un moment, essoufflée, elle se tut et à son tour monta au premier avec des difficultés infinies, car elle était de plus en plus percluse avec cette arthrose qu’elle m’a léguée. Je l’entendis cogner aux meubles, chercher sa place dans son lit qui craquait comme un canot qui prend la mer. Sous les couleurs trompeuses de la pitié, tout l’amour que je lui portais reflua vers mon cœur et manqua m’étouffer. J’entrai sans frapper dans sa chambre, ce qui était défendu. Assise dans le mitan du lit, elle était adossée à une pile d’oreillers, car elle se plaignait d’étouffements la nuit. Son livre de prières était ouvert devant elle. Elle avait ôté ses postiches et son crâne était dénudé par endroits. Elle était vieille et seule. Mon père était à Sarcelles depuis le début de la semaine. Seule et vieille. Je grimpai sur son lit comme du temps où j’étais petite, où rien ne pouvait m’en empêcher, même les plus sévères interdictions. Je la serrai dans mes bras, fort, fort, et la couvris de baisers. Brusquement, comme à un signal, nous nous mîmes à pleurer. Sur quoi ? Sur le bien-aimé Sandrino qui se mourait au loin. Sur la fin de mon enfance. Sur la fin d’une certaine forme de vie. D’un certain bonheur.
Je glissai la main entre ses seins qui avaient allaité huit enfants, à présent inutiles, flétris, et je passai toute la nuit, elle agrippée à moi, moi roulée en boule contre son flanc, dans son odeur d’âge et d’arnica, dans sa chaleur. C’est cette étreinte-là dont je veux garder le souvenir.
J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital et, de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème véritable était un « coup de chaleur d'exercice », exacerbé par l'intoxication alimentaire). Tout d'abord, ils ne croyaient pas que je disais* la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et j'ai dû demander à mes camarades de classe de me donner leurs médicaments antiémétiques (nous avons chacun reçu une petite trousse de secours avant que nous ne partions) parce que les chaperons n'avaient pas de réserves propres, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais bien pendant les quatorze heures du vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important que je me prépare à toute éventualité et que je doive faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.

*: Je sais qu'en espagnol on utiliserait l'indicatif ici car il n'y a pas de doute dans mon « esprit d'écrivain » que je disais la vérité, mais ce principe peut-il être transposé en français ?

Il y a plein de raisons de ne pas aimer la K-Pop. Les artistes interchangeables; le côté très manufacturé et sans âme de la musique; les fans insupportables; et j'en passe. La raison principale demeure toutefois musicale : la plupart du temps, la qualité n'est simplement pas au rendez-vous. Des milliers de chansons anonymes, à consommer comme des kleenex, parmi lesquelles surnagent parfois quelques pépites. La loi de Sturgeon dans ce qu'elle a de plus implacable, la musique dans ce qu'elle a de plus cynique. Heureusement, il y a f(x). Par je ne sais quel miracle, le désormais quatuor a déjoué toutes les probabilités et réussi là où tous les autres groupes du genre ont échoué : se bâtir une discographie totalement irréprochable où chaque album ne fait que confirmer son statut unique de seul groupe de K-Pop qui compte.

Ça, c'est la belle petite construction mentale que j'ai échafaudée dans mon cerveau malade pour me convaincre de ne pas trop perdre mon temps à jouer les explorateurs de la K-Pop. Dans les faits, je n'y connais pour ainsi dire rien, surtout qu'à la base j'ignore un pan entier de la production pop coréenne (les groupes masculins). Mais bon, il est plus facile de déformer un peu la réalité pour ne pas avoir à l'affronter. Dans ce cas-ci, ça ne mange pas de pain, et puis ce n'est pas comme si je n'avais fait aucun effort pour me défaire de cette certitude. J'aimerais vraiment trouver d'autres groupes de K-Pop aussi solides que f(x), capables de tenir la distance pendant plus longtemps que deux chansons. À chaque nouvelle tentative, mon état d'esprit est le même, et je fais mon possible pour laisser sa chance au coureur, tout en gardant en tête que les probabilités sont minces. Ouvert, mais lucide. On n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise après tout.

Il semble bien que mon vœu ait finalement été exaucé. Au moment même où la rumeur du retour de f(x) commençait à enfler, Red Velvet est revenu dans le décor. Je me souvenais vaguement d'avoir écouté leur premier single "Happiness", et plus tôt en 2015 j'avais trouvé "Ice Cream Cake" particulièrement prometteur (dommage que l'EP du même nom m'ait plutôt conforté dans mes préjugés). C'est avec "Dumb Dumb" que les choses ont basculé. Je me suis soudain senti prêt à dévier du droit chemin et à renier momentanément mon monothéisme f(x)ien. Peu m'importait que la chanson soit une pompe éhontée (mais néanmoins jouissive) de "Bang Bang", je voyais enfin venir un vent de changement. Une seule écoute de The Red a suffi pour me confirmer que j'avais touché le gros lot.

C'est une des raisons pour lesquelles je continue de m'intéresser à la K-Pop : malgré tous ses défauts, le genre présente l'avantage de ne pas niaiser avec la puck. En clair, on sait très rapidement à quoi s'en tenir et il n'est pas nécessaire de faire tourner un album vingt fois pour se faire une idée. Il suffit de faire abstraction de la qualité des arrangements et de la réalisation (qui va presque toujours de soi, professionnalisme coréen oblige) pour se concentrer sur les chansons, ce qui est d'autant plus facile que les albums de K-Pop sont souvent très courts. Si vous décrochez avant la fin d'un album qui dure à peine 35 minutes, c'est qu'il a manqué sa cible. Mais The Red, lui, a frappé en plein dans le mille.

Ne vous méprenez pas, il s'agit tout de même d'un album de K-Pop. C'est putassier, puissamment accrocheur, bourré jusqu'à la gueule de tous les tics qui affligent la pop mainstream, avec en prime ce petit côté R&B typiquement coréen. A priori, absolument rien ne distingue The Red des autres albums de K-Pop que j'ai pu écouter jusqu'à maintenant, et j'inclus mes chères f(x) dans le tas. La différence, presque impalpable mais cruciale, se cache dans les micro-détails : une mélodie par-ci, une ligne de chant par-là, un beat qui tue ou une couche supplémentaire dans les arrangements, bref un ensemble indéfinissable de facteurs qui, mis bout à bout, parviennent à extirper Red Velvet de la médiocrité. Comme chez f(x) avant elles, on sent une petite étincelle de vie suffisamment chargée d'énergie pour enflammer nos cœurs.

Il s'agit évidemment là d'un ressenti tout personnel. Je sais que ma vision de la K-Pop est particulièrement biaisée, et que ma recherche de l'album parfait ne cadre pas forcément avec les véritables aspirations du genre. Restent les faits, irréfutables : The Red m'a fait découvrir une dimension parallèle insoupçonnée, où f(x) ne règne plus en dieu et maître sur la galaxie K-Pop. Il aura suffi d'une poignée de chansons irréprochables, voire franchement bluffantes à l'occasion (mention spéciale à "Huff n Puff", "Oh Boy", "Time Slip" et l'irrésistible "Day 1"), impeccablement composées, réalisées et interprétées, prêtes à écouter jusqu'à plus soif. Quand on y pense, ce n'était pas beaucoup demandé, non?

Une chose que j'ai remarquée, c'est que le titre du chapitre — peut-être le thème — est axé sur un événement qui ne se produit qu'à la dernière page. Il y a beaucoup de détails avant que l'histoire n'atteigne le moment crucial, et il s'avère qu'elle n'est pas tellement liée au reste de l'histoire sur son manque d'effort physique et son adhésion aux jeannettes. Condé y fait quelque peu référence dans la dernière phrase, en écrivant : « Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image... passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ? » D'une certaine manière, elle explore et explique le lien entre Nisida et Maryse, mais cela n'a pas d'importance : il s'agit de son interaction avec les bonnes, et de la façon dont le fait qu'elle ne mange pas est perçu comme un manque d'envie de manger. Peut-être qu'elle juxtapose deux idées : être tellement choyée par Nisida, s'attendre à ce que cela continue chez elle, et se faire enlever sous vos yeux.
Une chose que j'ai remarquée, c'est que le titre — peut-être le thème du chapitre — est axé sur un événement qui ne se produit jusqu'à la dernière page. Il y a beaucoup d'histoire avant de comprendre le sens du titre, et il s'avère qu'il n'est pas si lié à l'intrigue secondaire sur son manque d'effort physique et sur ses parents qui la forcent à rejoindre les scouts. Condé y fait quelque peu référence dans la dernière phrase, en écrivant : « Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image... passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ? » D'une certaine manière, l'histoire explore et explique le lien entre Nisida et Maryse, mais je ne suis pas convaincu que cela ait trop de poids sur la fin : il s'agit de son interaction avec les servantes, et de la façon dont le fait qu'elle ne mange pas est perçu comme un refus. Peut-être que la fin juxtapose la relation de Maryse avec Nisida et sa relation avec les bonnes : la façon dont elle est tellement choyée par Nisida (et s'attend à ce que cela continue chez elle), et voit ensuite ce qu'elle veut le plus se faire arracher sous ses yeux.



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échappé
cadrer
aller en colonie
Alors, ils ont emmené le reste des enfants en vacances et pas Maryse ?
Je veux dire, je pensais qu'ils seraient capables de faire un décompte précis de leurs propres enfants, n'est-ce pas, ou du moins de savoir combien d'enfants ils ont ? Peut-être pensaient-ils qu'elle allait camper pendant une plus longue période ? Je n'avale pas qu'ils aient simplement oublié un enfant entier qu'ils ont mis au monde et dont ils se sont occupés.

Juste une dernière chose sur le sujet précédent.

On voit tout au long du livre la volonté constante des parents de Maryse : leur désir de démontrer au monde qu’ils sont des « citoyens honnêtes », plus avancés que la populace qui les entoure. Mais ce chapitre offre un regard non seulement sur les luttes des parents de Maryse, mais aussi sur les siennes, et sur la façon dont elle s’approprie une partie de cette mentalité. Cela n’est nulle part plus clair que dans la rapidité avec laquelle elle semble grandir : la rapidité – et l’âge ! – avec laquelle elle commence à s’engager dans l’activité sexuelle, la rapidité avec laquelle elle souhaite entrer dans une romance adulte. Ce chapitre montre que leur relation ne lui était pas destinée : elle et Gilbert n’ont pas assez d’expérience pour la rendre durable. Ce qui m’a le plus frappé dans la fin, ce sont trois phrases en particulier : « C’était une grosse voix. Presque une voix d’adulte. Le souvenir allait m’en hanter. Je ne trouvai rien à répondre. » Peut-être qu’en entendant la voix d’un adulte de la bouche de Gilbert, elle se rend compte du décalage entre ses rêves et sa réalité : que son merveilleux romantisme n’est que châteaux en Espagne.

clés
Que signifie la dernière phrase « et [je] laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique » (c’est moi qui souligne) ?
Qu’est-ce que Maryse accepterait comme parents « ordinaires » ?
Les pronoms personnels:
Cherches-tu la gare ? Non, je ne la cherche pas.
Aimez-vous les haricots verts ? Oui, je les aime.
Est-ce que vous écoutez votre amie ? Non, je ne l'écoute pas.
Voudrais-tu accompagner mon ami au supermarché ? Oui, je voudrais l'y accompagner.
Ta mère vient-elle du Portugal ? Non, elle n'en vient pas.
Est-ce que tu lis des bandes dessinés à tes copains ? Oui, je les leur lis.

Donne tes livres à Julia et à Marie ! Donne-les-leur !
Ne me montre plus de photos ! Ne m'en montre plus !
Envoie cette lettre à ta copine ! Envoie-la-lui !
Mes salutations distinguées à M. Wastaken.
M. Clay "Dream" Wastaken :
Cela fait plusieurs années que nous n'avons pas correspondu, et je souhaitais vous donner mon avis sur votre dernière composition, "Masque". C'est une polyphonie étonnante dans le style européen continental, qui me rappelle le travail des grands compositeurs italiens Vivaldi et Palestrina, malgré la poésie qui possède un mètre et une rime inconnus depuis les jours de gloire de Virgile et Algieri. Sans doute sera-t-elle jouée dans les cours du Roi, qui aura le grand honneur de vous recevoir comme invité. C'est ce qu'est la masque en effet.
Avec tout l'honneur et la dignité,
Lord D. T. Rex de RYM
[Laink] Oh, je vais faire comme toi !

[Laink] Ho j'te copie, j'te copie. Je fais la même chose que toi !

[Laink] DASHHH !!!

[Terra] Le mec il fait exactement la même chose que moi.

[Terra] T'es une petite p**e sans personnalité.

[Terra] Mais du coup t'as fait la même chose ?

[Laink] Ouais, mais heu..

[Terra] T'es une sous-merde..

[Laink] Mais alors du coup on a une égalité.

[Terra] Mais t'es une grosse merde !

[Terra] Tu mériterais de perdre pour avoir fait ça !

[Laink] Hey mais t'as déjà joué !

[Terra] Heu pas suffisamment pour pouvoir dire que j'ai déjà joué

[Laink] Ha t'as vraiment joué, genre en fait 10min c'est plutôt 1min ?

[Terra] Bah tu vois je viens de comprendre déjà que j'étais à gauche !

[Laink] Hey mais c'est compliqué parce que si

[Laink] Y'a pas de sol

[Terra] Heuu ouais.. alors bah déjà je suis coincé ça y est,

[Terra] parce que je vois pas comment je peux le mettre

[Laink] HOOOOOO !
gymnopédie
|Laink] Y'a de la physique !!

[Terra] Je te l'ai dit juste avant.

[Laink] Mais oui mais je pensais que c'était faux ! Y'a pas de physique dans un tetris !

[Terra] Ha bah voilà, OK !

[Terra] Ok bon bah j'ai perdu !!

[Laink] Hé bah c'est..Hé put**n j'ai adoré !

[Laink] Faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres

[Laink] On arrête,

[Laink] On s'en fait d'autres genre au prochain stream

[Terra] Là déjà je crois que j'ai ma dose.

[Terra] Alors là c'est le premier qui atteint heu...

[Terra] Hé m*rde voilà !

[Terra] Voilà j'ai déjà fait de la m*rde et je fais comment moi pour rattraper ça ?

[Laink] Qui atteint quoi ?

[Terra] Cette m*rde en haut là !

[Laink] Bah faut faire juste une pyramide, moi je veux bien la faire, c'est pas compliqué.

[Laink] Ha on sent que j'ai joué quand j'étais petit hein !

[Terra] J'suis dans la m*rde à cause de ma connerie du début. Tout se repose sur un équilibre à la base.

[Laink] NAN !!

NAAN !!

NAAAN !!

[Laink] Mais, c'est y'a du vent ou quoi !?

[Laink] J'te jure y'a du vent..

[Terra] T'as tout un tas de...

[Laink] De trucs comme ça

[Terra] Voilà !

[Laink] Ha on maintient une espèce d'équilibre là quand même

[Terra] J'ai oublié de te dire : je peux te mettre des malus.

[Laink] Comment ça tu peux me mettre des malus ?

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que cet Enfer ?

[Laink] Tu m'as dit des conneries, j'arrête pas d'atteindre la ligne et il se passe rien du tout !

[Terra] Mais non ça c'est les étapes

[Terra] C'est pas la ligne d'arrivée.

[Laink] Mais quand est-ce qu'on perd ?

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] J'SUIS DANS LA M**DE !!

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] Arrêtez ! Restez !!

[Laink] Restez !

[Terra] On dirait un mec, y'a des gens qui partent de sa soirée

Restez !

"Je vais changer de musique"

"C'est une bonne soirée.."

T'en a déjà fais une comme ça ?

Moi non

Toi aussi t'a déjà fais des soirées de m*rde ?

Moi c'est juste que j'ai jamais osé en faire

parce que je croyais que ça allait faire ça

[Laink] NAAAAN !!

D'où t'as fait un pâté comme ça ?

T'as fait un beau pâté.

[Terra] Ouais enfin un beau pâté, il tient vraiment en équilibre.

[Terra] Allez salut !

[Laink] Mais elle est ou la musique heu

*Tu tut tutu tuut t ututu *

[Laink] 'tain tu te fais un pâté compact hein !

[Terra] Ouais t'as raison. Pas la peine de me s*cer la b*te hein !!

[Terra] Tu vas pas plus gagner.

[Laink] Ho regardez comment je vais la caler.

[Laink] OOOOHH nan !

[Terra] Ho là ! Nom d'un pâté !!

[Terra] HOOOo

[Laink] t'en as...

[Laink] Nan...

[Laink] Nan

[Laink] Nan RESTEZ !

Mais toi avec ton vieux pâté de mort là !

Mais au début il était bien.

Mais nan mais...

[Laink] Laink qui est pas au courant des bonus

QUOI ?

Oui c'est soit tu te mets un bonus soit un malus

T'appuies sur "B" pour les bonus et.. "X" pour les..bonus... Je sais plus.

Ok bah j'y penserais parce que maintenant que je le sais c'est mieux tu vois.

Ha bah il fallait regarder sur ton écran c'était affiché en grand.

Ha...Ha bah tu vois j'aurais dû lire hein

Ou un ami aurait dû me prévenir

Un ami LOYAL

Tu crois que quand moi j'ai joué on m'a prévenu ?

Bah...

ça n'empêche rien

[Laink] Ha genre là

[Laink] HASARD !!

[Laink] Tiens une porte !

[Terra] C'est pas du tout un malus pour moi ça.

[Laink] Ha bon ? bah une porte pourtant c'est quand même heuu...

Ho non une porte chez soi c'est quand même heu..

ça me parait compliqué

Hey rajouter une porte c'est pas n'importe quoi !

[Laink] Ha le mec mais ..

[Laink] mais il se fait un building

[Laink] Il se fait sa "TRUMP Tower"

[Laink] Il s'en bat les couilles

"A freaking building"

[Laink] Ha merci parce que justement..

QUOI ?

[Laink] T'avais plus de vie.

[Laink] Ha bah voilà c'est ça que je me demandais

[Laink] quand on fait tomber des pièces y'a bien des vies.

[Laink] Parce que là je me disais sinon si elle me convient pas

je vais la foutre à la poubelle

[Terra] Le mec qui trouve que le jeu est trop facile

[Terra] "Si j'aime pas la pièce j'ai qu'à la jeter"

[Laink] Si ça me fait chier tu vois..

[Laink] Attention je vais passer le premier pallier et pas toi.

[Terra] Je l'ai déjà passé tiens regarde pour te le prouver

Ho un piano, je voulais justement un piano chez moi

Ho un piano ça tombe bien parce que je voulais vraiment un piano.

Bah ouais je..je vois pas le problème

Ha une porte ! Ouais justement

Ho ça tombe bien je voulais justement une porte

Nan parce que j'avais un piano mais pas une porte.

[Laink] ATTENTION IL EST ÉNORME !!!

[Terra] Gros c*n

Gros c*n

[Terra] HHHHHHHANNNNN

[Laink] Holalalalalalalala

T'es une grosse m*rde

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ? Mais qu'est ce que je fais ?

[Laink] NNNOOOOOOOOOONNNNNN

[Terra] Mais mon pov' vieux

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ?
[Laink] AAAAAAAAAAHHHHHH

[Terra] Oh p**in
[Laink] AAAAAAAAAH

[Laink] MONTEZ VITE !

[Laink] MONTEEEEZ

[Laink] MONTEZ !

[Laink] FAITES DES LIGNES !

[Laink] MONTEZ !

[Laink] Elle est énorme encore une fois !!!!

[Laink] Naaaaaan !

[Laink] J'invoque un bateau

[Terra] Allez, vas-y consolide toi, consolide toi, consolide toi comme ça..

[Terra] Oui oui oui !! OUI OUI

[Laink] LA LIGNE !

[Terra] OUI OUI !! OUI OUI OUI

[Laink] Nan j'ai gagné.

[Laink] Quoi j'ai pas gagné ?!

[Terra ] Nan c'est moi qui ai gagné regarde la pointe.

[Laink] On n'a pas les mêmes pièces je viens de vérifier

ça se trouve t'as de la LUCK !!

Alors d'après le "théorème de Laink de la mauvaise foi"

C'est : Si je gagne c'est parce que j'ai de la Luck

Si tu gagnes c'est parce que tu a eu du talent.

A peu près !

C'est à peu près ça.

Cette théorie est universelle pour chaque jeu de chaque époque.

ça fait des années que je la connais, c'est une théorie qui est fiable.

[Laink] Tiens. Sois Maudit !!

Ha bah ça tombe bien je voulais un moulin

regarde il s'emboîte parfaitement.

[Laink] Put*in, c*nn*rd !!

[Laink] Il était parfait.

[Laink] Et quand tu mets tes lignes comme ça dans Tetris ça faisait un éclaire ça faisait :

"Pabaaah"

[Terra] Tiens regarde HOP ! 2 Kilos

Ha regarde, nickel je voulais un cube chez moi.

[Terra] Attends attends.. prend ça d'abord.

Ha bah merci, parce que.....

Heu nan, nan boh nan ça me fait...ça me fait chier !!

[Terra] Et ça, ça fait quoi?

[Laink] Ha !!

[Laink] Alors..

[Laink] Alors, ha..bon bah voilà.

[Laink] Ho non du brouillard.

[Laink] Ha par contre arrête de rire là

[Laink] Nan c'est quoi cette m*rde ?

[Laink] Sois maudit par les livres !

[Terra] C'est quoi ça ?

[Terra] HO ARRÊTE !

[Laink] Haa et après tu auras celle-ci
[Terra] C'est du cheat !

[Laink] Et après celle-là !!
[Terra] C'est du cheat !

Mais c'était du "CHEAT"

Et un château !!

[Laink] HÉ



HÉÉ

les bouquins !!

LES BOUQUINS ! NAN mais c'est de la triche !!

[Laink] C'est de la triche de ouf ce truc.

[Laink] Et vas-y que Mr le Dieu du brouillard se ramène encore là.

[Laink] Reste, RESTE !

[Terra] OUF, c'était de justesse, il allait tomber mon château.

[Laink] Mais qu'est ce que c'est, mais j'ai de la m*rde, mais j'ai de la m*rde !!

[Terra] Ho on a les mêmes choses arrête un peu ton cinéma

[Laink] Mais ça en plus c'est faux !! Et en plus c'est faux !!

Toutou, và !

Toutou !

Bon chien.

[Laink] Qu'est ce que tu fais ?

MAIS TOUCHE A TON C*L !

[Laink] Pour ceux qu'ont pas vu il m'a fait tourner ma pièce hein, j'suis pas un boloss !

[Laink] ça va être tendu

[Terra] HÉÉE M**DE

[Laink] ça va être tendax

[Terra] Gros c*n !

[Terra] Il faut vite que je choppe un bonus.
[Laink] HAAA HAAA

[Laink] HAAAAAA

HHAAAAAAA

[Terra] ha j'étais en train de t'en envoyer un.

[Laink] Elle était en train de tomber

[Terra] Ho puta*n

[Terra] c'est vraiment du cheat, téma c'est la tour de Pise.

HÉ oui !

MÉDOU !

Mais arrête de *djoudjoudj*

[Laink] Mais tu sais quoi ton pâté il est dégeulasse

[Terra] Ouais le carré au millieu il m'a sauvé

En tombant sur le côté il a fait que tout était solide.

OUiiiiiiiiii

Dégeulasse !! 12-8 Bah c'est pas net hein

[Laink] Tiens des buissons. J'sais pas ce que c'est. amuse toi bien avec.

T'es un gros c*n, doublé d'un mauvais joueur.

Ah ouais ?

[Terra] Mais les buissons ils ont solidifié ma base et du coup..

[Laink] ATTENTIOOON !!

[Terra] Mais t'es vraiment une m*rde !

[Terra] Ha ouais ils ont rien solidifié du tout.

[Terra] Ho p*tain, holala

[Laink] C'est pas des buissons solides.

[Laink] HA ! OH j'aurais dû d...AAAAAAA

[Terra] Mais nan mais, ça faut que ça s'en aille ça !!

OOhOOh

OOHOOHHOOO

[Laink] Restez !

[Terra] Moi j'ai une très belle base.

De toute façon ma mère me l'a toujours dit : "Damien tu a une très belle base"

Ouais t'a une belle base ouais...

[Laink] Allez vas-y, mais vas-y

[Terra] On fait chier les petits camarades

[Laink] Mais de toute façon tu m'emm*rde.

LES LIIIIIVRES !

[Terra] Mais ça tourne, il me manque plus qu'un truc.

[Laink] ça fait pas mal de pièces Terra.

[Laink] Comment tu vas arriver à monter ?

[Terra] NOOON NONN ONOOONN

Ho nan...

Ho le bébé !

Il a fait tomber son château de sable.

[Terra] Mais c'est à cause de cette pièce à la c*n là !!

Ho non, alors que moi je prends un équilibre précaire.

[Laink] Allez, Allez ! Solidifie moi ça avec des buissons.

YES !!

Ma plus belle tour !

C'est terminé.

regardez moi cette tour qui ne ressemble à rien.

bah je pense que la je vais gagner du coup.

ha bon ?

Ouais

Tu peux me dire pourquoi ? Ou pas ? Ou pas encore

Je sais pas si tu bluff ou pas.

[Terra] Mais va te faire enc*ler avec tes pièces de c*n là !!

[Laink] DEUX PI ECES !!!!

Faut voir sa tour comme la France

Il faut une base solide. "Avec un grand flux migratoire"

"Avec une culture bien Française"

"pour soutenir la base"

[Terra] à cause de ta grosse pièce à la c*n

[Laink] Tiens les petits amis..Allez-y manger sa tour les petits amis !!

[Laink] Mais j'suis trop c*n mais pourquoi j'suis comme en mode normal !!!!

[Terra] T'as fait tomber trop de pièces t'avais plus de vie, gros c*n !

[Laink] Pu*** moi j'étais là genre : "ça j'aime pas, ça j'aime pas, ça j'aime pas"

[Laink] Ha bah justement j'en avais pas besoin de celle-là.

MAIS QU'EST-CE QUE TU EZUIFGEZO

[Terra] Je me disais elle m'embête

[Laink] P*tain t'es c*n, parce que je croyais qu'elle allait remonter jusqu'au ciel, elle est restée.

[Laink] je sens une fragilité dans la France.

je sens un gros flux migratoire là.

j'ai l'impression qu'on est en train de me voler mes emplois.

[Terra] Ils peuvent pas retourner chez eux ces briques là ?

Au début on avait une belle base et regarde ce que c'est devenu, c'est pleins de couleurs.

P*taiin !!

Haa elle est belle la France, regarde la, là !

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que ces gros pâtés que tu m'envoies ?

Je t'ai mis un de ces pâtés !
Ah merde

Salut

Je vais te donner de quoi ni**** ta mère

[Laink] Ha les caisses de l'état..HAAA

[Terra] Mais non mais elle était bien celle-ci

[Terra] Repose...remet la.

Bah ouais des fois c'est comme ça la France Terra. On a pas toujours ce qu'on veut mon ami.

Pour une base insoumise !!

Va te faire enc*ler !

Allez Looser.

t'es dans la m*rde

[Terra] Nan mais serieux la ? Je commence sur une base comme ça ?

[Laink] Ho elle est belle ta tour, elle représente quoi ?

Ton avenir.

OUHHHHHHHH

[Laink] J'arrive plus à respirer

[Terra] Faites lui du bouche à bouche

J'ai vu flou

[Terra] Nan mais la c'est bon c'est mort.

T'as une France heu..qui doute.

[Terra] Tiens et la tu vas douter quand tu vas devoir la mettre ?

Plus c'est gros plus ça passe.

[Terra] Attends, parce que t'as pas vu celle-la !

[Laink] Ha pour équilibrer.

Logiquement par le théorème de l'équilibre...

[Laink] Voilà , voilà, refaite moi, ok. Redonnez moi ma France.

[Terra] NOOOOOOOON !

Ma France, tu l'aimes ou tu la quittes.

Tiens tu vas la quitter ta France.

Tiens ! Tiens !

Tiens prends les tes acquis sociaux.

Tadam

[Laink] C'est lourd !!
[Terra] Vas te faire en**** !

[Terra] Eh tu sais quoi ? J'pouvais vraiment pas avoir mieux quoi.

J'me disais tout à l'heure: mais il me faut vraiment quelque chose de solide

OH NOOOONN

[Laink] Rooh c'est chiant. P*tain, c'est chiant.

Ha c'est dégeulasse ce que je fais, c'est dégeulasse.

C'est nickel

[Laink] Qu'est ce que tu fous ? Pu**** mais t'as pas le droit.

[Laink] MAIS T'AS PAS LE DROIT !

Mais j'peux rien faire contre !!

[Terra] T'es sérieux ? Fils de p*te !

[Laink] HAAAAA , mon arnaque !!

[Laink] Mais y a du vent aussi là haut pu*** !

[Laink] MAIS Y A DU VENT !!

[Terra] Oh oh OH OH

[Laink] J'ai gagné !!!

VAS TE FAIRE EN*****

[Laink] YeEES, à une seconde.

ha j'ai pas le compas dans l'oeil hein ça c'est sûr !

[Laink] MAIS JE SUIS TROP C*N !!!

[Laink] Mais quel débile !

[Laink] Mais pourquoi j'ai fait ...

[Laink] J'avais oublié qu'y'avait une ligne.

Le premier mod j'oublie toujours ce que c'est. je joue comme un débile.

[Terra] C'est des mods aléatoires.

[Laink] Ouais, Ouais. je te laisse gagner pour qu'on joue plus longtemps.

[Laink] ça sent déjà la m*rde !!!

Pourquoi je fais ça ? je me tire des bâtons dans les roues.

Est-ce qu'ont peut vraiment se tirer des bâtons dans les roues ?

Le Français se le demande.

Oui avec un pistolet à bâtons.

"Les Français en ont marre que le patronat tire des bâtons, avec des pistolets à bâtons."

On se fait ba*ser par le grand *incompréhensible*

"des bâtons qui sont tirés.."

On en parle pas des bâtons ! Des pistolets à bâtons.

"Est-ce que vous trouvez ça normal *???* on tire des bâtons à 2% sur les salariés.

[Laink] Mais au pire faites tout tomber, faites tout tomber mais faites tout tomber.

[Laink] J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus.

[Terra] Ho celle-ci t'en voudras bien un petit peu ?

Pourquoi je l'ai mise comme ça ?

J'ai l'impression d'avoir le cerveau déconnecté

[Laink] Quand on mettra la France en ordre, tu seras le premier à partir mon gars.

[Terra] Tu connais le principe de la réémigration de Lesquen ?

[Laink] Avec des congoïdes ?

Oui.

Allez tu sais quoi sur le "tec", comme une casquette que j'aurais posée.

[Laink] Ouais bah jolie casquette ouais.

[Laink] Hey je te rappelle que je t'ai mis un perfect avant, donc si tu m'en met un t'auras même pas le..

[Terra] Attend, oui donc tu disais ? En parlant de perfect..

Tu parles de ce que je viens de te mettre !? Ha d'accord.

[Laink] Y'a quelqu'un qui a dit dans le Tchat que j'était raciste parce que j'avais dit "congoïde"

En même temps Laink, excuse moi mais heuu..

T'as un public jeune

T'as un public jeune donc surveille un peu tes paroles.

[Laink] Nan j'avoue après imagine à la cour de récré les profs ils arrivent, ils entendent des mecs se traiter de "congoïdes"

Ils vont paniquer !

"Hey..Sale congoïde !! La réémigration tu vas voir"

[Laink] Ils vont paniquer de ouf !

"Mais qu'est-ce qu'il s'est passé, je comprends pas ?"

[Laink] Hey regardez comme c'est beau

Tu voulais une tour de Pise je suis en train de te la faire hein.

Hey mais c'est un équilibre qui fonctionne ça !!

[Terra] C'est ce qu'il faut faire en fin de game mais pas...

pas dès le début !

[Laink] Si regarde !

[Terra] Surtout quand je t'envoie des pièces comme ça.

Alors euh ....

Alors ça effectivement

Alors regarde regarde regarde...

C'est bon pas de casse. je continue, ça tient ça ?

Nan ça tient pas !!

Ou est ce qu'on en est dans les scores ?

Je crois que je viens de te ré-immigré..heu..

vers la sortie

Allez, attention ! Houla c'est bien..

ça sent le charter pour toi hein !

Nan, nan, nan t'inquiète !!

[Laink] Un malus buissons ?

[Laink] Ouais nan j'aurais peut-être pas dû le faire finalement.

[Terra] "J'ai bien réfléchi et c'est nul"

[Laink] J'crois que je regrette un peu ce que je viens de faire.

[Terra] On dirait vraiment une carte piège pourrie

"Ha oui mais tu n'as pas vu mon attaque..Buisson"

"Ha tu peux plus rien voir !!"

"Toute cette végétation, c'est terrible"

[Laink] Ho la belle ligne que tu nous as mis là. Elle sert à quoi ?

[Laink] Je te fais un pâté ! C'est un beau pâté, un pâté d'enfant.

Qu'est ce que c'est que cette m*rde ???

[Terra] Voilà ce qu'il te dit mon pâté d'enfant !

[Laink] ça tiendra jamais..mais..

mais ça ne tiendra jamais et c'est normal !! Et c'est normaal !!

[Terra] Le mec est quand même un peu énervé.

"Les Français ne voudront pas et c'est normal !!"

"C'est normal Madame"

[Laink] ha tiens vas-y met celle-la

[Laink] Elle ressemble à rien ta tour, t'es qu'un arnaqueur !

Par contre ça glisse, ça glisse là par contre.

[Terra] Mais ta gu**le avec tes réfléxions à la c*n.

[Terra] Tiens, ça, ça glisse ou pas ?

[Laink] Mais ça me fait chier ton truc qui glisse. Regarde ! j'ai un p*tain de cône glissant au dessus de ma tour.

je peux plus rien poser.

je peux plus rien poser Terra

Mais qu'est ce que je fais ?

[Terra] Hoow, mais j'ai l'impression que c'est une victoire.

Mais je ne peux plus rien poser

[Terra] OUUUUH

De toute façon tout le monde savait que tu étais d'extrême droite. Tout le monde le savait.

T'es vraiment un c*n !

Allez Laink, direction la Guadeloupe !

"Attends c'est un DOM-TOM, je comprends pas.."

Bah si il veut recoloniser heu..~~

ouais, ha oui c'est vrai.

~~les DOM-TOM

Bon bah c'est bon je t'ai foutu une pâté !

ouai ouai bon bah...hey,

Alors, j'avoue ma défaite mais on va dire que c'était serré d'accord ?

Est-ce qu'ont peut s'arrêter la dessus ?

C'était serré !!

J'ai gagné !!

Je gagne haut la main en te mettant heu..une victoire d'affilée.

'tain mais le mec..c'était serré..

"hmm bah j'ai gagné"

Sur les deux victoires je t'ai quand même mis 4 sans fautes !

quand même incroyable..






Ils ne m'ont pas appelé.
Il était drôle ? Oui, il l'était.
Elle leur a donné les devoirs ? Non, elle ne les leur a pas donnés.
Tes amis vont aux États-Unis ? Ils y vont.
Je n'ai pas de frères, mais mon ami en a deux.
J'ai reçu la vidéo. Montre-la-nous !

3-1:
Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
Vous avez visité le musée du Louvre ? --- Oui, nous l’avons visité hier.
Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! --- Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? --- Oui, je les ai perdues hier soir.
J’espère que vous avez réservé votre place ? --- Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? --- Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
Tu aimes cette couleur ? --- Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? --- Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? --- Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
Tu connais cette fille ? --- Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.
e muet
e instable
e caduc
3-2:
Il a pris la voiture ? --- Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
Vraiment, il n’aime pas les confitures ? --- Non, il n’aime pas ça.
Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? --- Si, je l’ai bien vu !
Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? --- Oui, je les ai remarquées, et alors ?
Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? --- Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
Est-ce qu’il a revu Véronique ? --- Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
Vraiment, il déteste l’opéra ? --- Oui, il déteste ça !
Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? --- En principe, nous devrions la voir demain.
Tu crois qu’ils seront à l’heure ? --- Oh oui, en général, ils le sont.
Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? --- Oui, ils le savaient.
Vous aimez les champignons ? --- Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? --- Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? --- Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.
Pourquoi utilisent-ils "ne" la plupart du temps ?

3-3:
Il a pris la voiture ? Non, il ne l’a pas prise aujourd’hui.
Tu savais qu’il faisait du russe ? Oui, je le savais.
Tu aimes le chocolat noir ? Oui, j’adore ça.
Quand est-ce que vous prenez vos vacances ? Nous les prenons au mois de mai.
Tu aimerais aller en France ? Oui, j’aimerais bien ça.
Tu rendras visite à tes grands-parents cet été ? Oui, je l’espère.
Est-ce qu’il a vendu sa voiture ? Oui, il l’a vendue à son frère.
Est-ce qu’ils t’ont dit qu’elle divorçait ? Oui, ils me l’ont dit.
Vous aimez le champagne ? Oui, je l’adore.
Est-ce que tu as déjà vu ce DVD ? Non, je le regarderai ce soir.
écueil
3-4:
Il parle souvent à sa voisine. Il lui parle souvent.
Cet hôtel ne convenait pas à mes parents. Cet hôtel ne leur convenait pas.
N’oublie pas d’écrire à ta grand-mère. N’oublie pas de lui écrire.
Il ne faut pas trop en vouloir à ton frère. Il ne faut pas trop lui en vouloir.
Cela ferait plaisir à Marc et Cécile. Cela leur ferait plaisir.
le spahi

3-10:
Vous avez envoyé à cette cliente la réponse qu'elle attendait ? Vous la lui avez envoyée ?
Est-ce que tu nous louerais ta maison pour cet été ? Est-ce que tu nous la louerais pour cet été ?
C'est ma tante qui m'a donné cette belle gourmette en or. C'est ma tante qui me l'a donnée.
Cet agriculteur nous vend toujours les produits de sa ferme à très bon prix. Cet agriculteur nous les vend toujours à très bon prix.
N'oublie pas de souhaiter son anniversaire à ta sœur. N'oublie pas de le lui souhaiter.
Ils ne nous ont pas expliqué les vraies raisons de leur départ. Ils ne nous les ont pas expliquées.
Dois-je prêter à Jacques les cent euros dont il a besoin ? Dois-je les lui prêter ?
Réclame à ces gens l'argent qu'ils te doivent à la fin ! Réclame-leur l'argent qu'ils te doivent à la fin !
Il a racheté cette voiture à ses parents. Il la leur a rachetée.
Tu crois qu'on accordera à Luc les délais supplémentaires qu'il demande ? Tu crois qu'on les lui accordera ?

3-14:
Cette coupe de cheveux ne va pas du tout à Vanessa. Cette coupe de cheveux ne luis va pas du tout.
Reprends un peu de mousse au chocolat. Reprends-en un peu.
Va vite à la boulangerie et achète-moi deux baguettes pas trop cuites. Vas-y vite et achète-m'en deux pas trop cuites.
Flattée, l'actrice souriait aux nombreux photographes en prenant la pose. Flattée, l'actrice leur souriait en prenant la pose.
Réponds à ton père quand il t'appelle ! Réponds-lui quand il t'appelle !
J'ai deux cousins qui vivent en France depuis bientôt trois ans. J'en ai deux qui y vivent depuis bientôt trois ans.
J'ai envie de commander une douzaine d'huîtres. J'ai envie d'en commander une douzaine.
Je profite de mes vacances pour lire quelques romans policiers. J'en profite pour en lire quelques-uns.
Vous pouvez rappeler Monsieur Langlois dans la soirée si vous tenez à lui parler personnellement. Vous pouvez le rappelerdans la soirée si vous le tenez.
Ne dérange pas ta sœur pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée ! Ne la dérange pas pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée !

3-15:
As-tu montré ton nouvel ordinateur à Michel ? Oui, je le lui ai montré.
Ils vous ont indiqué la route à suivre ? Oui, ils nous l'ont indiquée.
Vous avez songé à cette alternative ? Oui, j'y ai songé.
Est-ce qu'elle t'a demandé de passer la voir ? Non, elle ne m'en a pas demandé.
Vous avez parlé de cette possibilité à votre collègue ? Oui, je lui en ai parlé.
Vous aimez le roquefort ? Ah oui, je l'aime beaucoup.
Elle t'a expliqué ce que tu dois faire ? Oui, elle l'a bien expliqué.
Tu as remis les clés à la concierge ? Oui, je les lui ai remises.
Vous vous attendiez à une telle réaction ? Non, je ne m'y attendais pas.
caqueter
carafe
3-16:
Est-ce que tu as acheté un tapis à ce marchand ? Oui, je le lui ai acheté.
Vous vous retrouvez souvent dans ce petit café ? Oui, nous nous y retrouvons tous les mardis.
Tu as envie de faire cette excursion ? Non, franchement, je n'en ai pas tellement envie.
Est-ce qu'ils ont envoyé cette circulaire à tous les propriétaires ? Oui, ils la leur ont envoyée le mardi.
Nous irons un jour à New York ? Oui, je te promets que nous y irons.
Vous avez expliqué à vos clients que nous aurions un retard de livraison ? Oui, ne vous inquiétez pas, nous le leur avons expliqué.
Ma naissance
Indifférent comme à son habitude, mon père n’avait pas de préférence. Ma mère, elle, désirait une fille. La famille comptait déjà trois filles et quatre garçons. Cela égaliserait les camps. Passé la honte d’avoir été prise, à son âge respectable, en flagrant délit d’œuvre de chair, ma mère ressentit une grande joie de son état. De l’orgueil même. L’arbre de son corps n’était pas flétri, desséché. Il pouvait encore porter des fruits. Devant sa glace, elle regardait avec ravissement s’arrondir son ventre, rebondir ses seins, doux comme une paire de pigeons ramiers. Tout le monde lui faisait compliment de sa beauté. C’est qu’une nouvelle jeunesse activait son sang, illuminait sa peau et ses yeux. Ses rides s’estompaient magiquement. Ses cheveux poussaient, poussaient, touffus comme une forêt et elle faisait son chignon en fredonnant, chose rare, une vieille chanson créole qu’elle avait entendu chanter à sa mère morte cinq ans plus tôt :
Sura an blan,
Ka sanmb on pijon blan
Sura an gri
Ka sanmb on toutewel.
Pourtant, son état tourna vite à la mauvaise grossesse. Quand les nausées cessèrent, les vomissements prirent la relève. Puis, les insomnies. Puis, les crampes. Des mordants à crabe tenaillaient ses mollets à les couper. À partir du quatrième mois, elle fut épuisée, en nage au moindre mouvement. Tenant son parasol d’un poignet sans force, elle poussait son corps dans la chaleur torride du carême jusqu’à Dubouchage où elle s’obstinait à faire classe. En ce temps-là, on ne connaissait pas ces scandaleux congés de maternité ; ou vice versa. Les femmes travaillent jusqu’à la veille de leur délivrance. Quand, vannée, elle arrivait à l’école, elle se laissait tomber de tout son poids sur un fauteuil dans le bureau de la directrice, Marie Célanie. Dans son for intérieur, celle-ci estimait qu’à quarante ans passés, avec un mari déjà vieux-corps, on ne fait plus l’amour. C’est bon pour les jeunesses. Pourtant, elle ne manifestait rien de ces pensées peu charitables. Elle épongeait la sueur du front de son amie et lui donnait à boire de l’alcool de menthe dilué dans de l’eau glacée. Sous la brûlure du mélange, ma mère retrouvait sa respiration, et prenait le chemin de sa classe. En l’attendant, ses élèves, qui la craignaient, n’en profitaient pas pour faire du désordre. Têtes baissées, elles s’appliquaient comme si de rien n’était sur leurs pages d’écriture.
Heureusement pour le repos, plus que le dimanche avec sa grand-messe devenue une corvée, il y avait le jeudi. Ce jour-là, mes aînés étaient sommés de se faire oublier. Ma mère gardait le lit, montagne de chair sous les draps de toile brodée, dans la pénombre de sa chambre, car toutes les persiennes restaient fermées. Le ventilateur ronronnait. Vers dix heures, Gitane, chargée du ménage, avait fini de promener son plumeau sur les meubles, de battre les tapis et de boire sa énième tasse de kiololo. Elle montait alors des brocs d’eau chaude et assistait ma mère à sa toilette. Celle-ci s’asseyait dans la baignoire en zinc, son ventre en obus coiffé d’un nombril barbare pointant devant elle, tandis que la bonne lui récurait le dos d’un bouchon de feuillage. Ensuite, Gitane l’épongeait avec un drap de bain, la farinait de poudre de talc, blanc comme poisson qui va frire, et l’aidait à enfiler une chemise de nuit en coton brodé avec des jours. Après quoi, ma mère se recouchait et somnolait jusqu’au retour de mon père. La cuisinière avait beau préparer de petits plats : blanc de poulet, vol-au-vent de lambi, feuilleté de chatrou, ouassous à la nage, ma mère, qui avait des envies, repoussait les plateaux, chagrinée :
— Je veux des acras pisquettes !
Pas découragée, la cuisinière se précipitait à nouveau derrière son potager tandis que mon père impatienté, jugeant que sa femme s’écoutait trop, mais se gardant de trahir son humeur, s’absorbait dans la lecture du Nouvelliste. C’est avec un sentiment de libération que vers deux heures de l’après-midi, après un baiser posé en vitesse sur le front moite, il quittait la chambre à couche qui sentait la fleur d’oranger et l’asa foetida et qu’il retrouvait le grand soleil. Quelle chance d’être à l’abri de toutes ces dégoûtasseries ! Règles, grossesses, accouchements, ménopauses ! Dans sa satisfaction d’être un homme, il bombait le torse en traversant la place de la Victoire. Les gens le reconnaissaient et le prenaient pour ce qu’il était : un vaniteux. Ce fut une période où, sans commettre rien de bien coupable, mon père se rapprocha des amis qu’il avait négligés parce qu’ils déplaisaient à ma mère. Il reprit goût à des tournois de belote ou de dominos qu’elle trouvait communs et fuma énormément de cigares Montecristo.
Vers son septième mois, les jambes de ma mère commencèrent à enfler. Un matin, elle se réveilla avec deux poteaux striés d’un lacis de veines gonflées qu’elle pouvait à peine bouger. C’était le signe grave qu’elle faisait de l’albumine. Du coup, le docteur Mélas lui prescrivit le repos absolu, finie l’école, et un régime très strict, plus un grain de sel. Désormais, ma mère se nourrit de fruits. Des sapotilles. Des bananes. Du raisin. Des pommes France surtout, rondes et rouges comme les joues du bébé Cadum. Mon père les commandait par cageots entiers à un ami, commerçant sur les quais. La cuisinière les préparait en compote, au four avec la cannelle et la cassonade, en beignets. L’odeur de ces fruits qui mûrissaient trop vite s’infiltrait, têtue, du rez-de-chaussée jusqu’aux chambres à coucher du deuxième étage et tournait le cœur de mes frères et sœurs.
Chaque après-midi, vers cinq heures, les bonnes amies de ma mère s’asseyaient autour de son lit. Comme mon père, elles jugeaient qu’elle s’écoutait trop. Aussi faisaient-elles la sourde oreille quand ma mère commençait de geindre et elles lui contaient les faits de La Pointe : les baptêmes, les mariages, les décès. Figure-toi, le magasin de matériaux de construction Pravel a brûlé comme une allumette ! Des débris, on avait retiré les corps calcinés de cinq ouvriers et M. Pravel, un blanc-pays, un sans-cœur, ils le sont tous, s’en moquait pas mal. On parlait de grève. Ma mère, qui en temps normal ne se souciait pas de problèmes sociaux, s’y intéressait moins que jamais. Elle revenait à elle-même : j’avais bougé dans son ventre. Je lui avais décoché mon premier coup de pied. Fameux ! Si, à Dieu ne plaise, j’étais un garçon, je serais un footballeur de première.
Le terme de ma mère finit par arriver. Elle était tellement énorme qu’elle n’entrait plus dans sa baignoire et passait le temps dans son lit ou sa berceuse. Elle avait rempli trois paniers caraïbes avec mes effets et les faisait admirer à ses amies. Dans l’un, les casaques en batiste, en soie ou en dentelle ainsi que les chaussons crochetés au fil DMC, le burnous, les bonnets, les bavoirs, le tout en rose. Dans l’autre, les gilets et les couches de deux qualités : en tissu-éponge ou simples pointes en coton. Dans le troisième, les draps brodés, les courtepointes, les serviettes de toilette… Il y avait aussi des bijoux dans une jolie boîte en papier mâché : une gourmette sans nom gravé, bien sûr, une chaîne de cou avec sa grappe de médailles pieuses, un amour de broche. Ensuite, sur la pointe des pieds, les visiteuses pénétraient dans le saint des saints : la pièce qui m’était destinée, un ancien débarras transformé au flanc de la chambre de mes parents. Ma mère était très fière d’une reproduction de la Visitation, l’ange Gabriel, sa fleur de lys au poing, que j’ai considérée toute mon enfance sur une des cloisons, et, posée sur la table de chevet, d’une veilleuse en forme de pagode chinoise qui distillait une lumière rose.
Cependant, c’était le carnaval et La Pointe était en chaleur. En fait, il y avait deux carnavals. L’un bourgeois, avec demoiselles déguisées et défilés de chars sur la place de la Victoire et l’autre, populaire, le seul qui importait. Le dimanche, les bandes de mas sortaient des faubourgs et convergeaient vers le cœur de la ville. Mas à fète, mas à konn, mas à goudron. Moko zombi juchés sur leurs échasses. Les fouets claquaient. Les sifflets défonçaient les tympans et le gwoka battait à coups qui faisaient verser la bassine d’huile jaune du soleil. Les mas remplissaient les rues, inventaient mille facéties, caracolaient. La foule se battait sur les trottoirs pour les regarder. Les gens de bien, chanceux, se massaient sur les balcons et leur lançaient des pièces à la volée. Ces jours-là, on ne pouvait retenir Sandrino à la maison. Il disparaissait. Parfois, les bonnes qui partaient à sa recherche le retrouvaient enivré, les habits maculés de taches qui résistaient à la Javel. Mais c’était rare. En général, il réapparaissait à la nuit et, sans un gémissement, il recevait les raclées à coups de cuir que lui administrait mon père.
Le matin du Mardi gras, vers dix heures, des douleurs qu’elle crut reconnaître saisirent ma mère : les premières contractions. Bientôt, pourtant, elles s’espacèrent et la laissèrent tranquille. Le docteur Mélas, quéri en hâte, assura après examen que rien ne se passerait avant le lendemain. À midi, ma mère mangea de bon appétit les beignets de la cuisinière, en redemanda même et trinqua une coupe de vin mousseux avec mon père. Elle eut l’énergie de composer un sermon édifiant à l’adresse de Sandrino que Gitane venait de rattraper, la chemise flottant comme un drapeau, à l’angle de la rue Dugomier. Sous peu, le Bon Dieu lui ferait cadeau d’une petite sœur (ou d’un petit frère) qu’il aurait mission de guider de ses conseils et bons exemples. Ce n’était pas le moment de faire le brigand. Sandrino écoutait avec ce scepticisme qu’il réservait à tous les propos de mes parents. Il n’avait envie de servir d’exemple à personne et n’avait que faire d’un nouveau-né. Pourtant, m’assura-t-il, il m’aima tout de suite quand, quelques heures plus tard, il me vit tellement laide et chétive dans ma parure digne d’une princesse.
À une heure de l’après-midi, déferlant de tous les coins des faubourgs, les mas envahirent La Pointe. Quand les premiers coups de gwoka firent trembler les piliers du ciel, comme si elle n’attendait que ce signal-là, ma mère perdit les eaux. Mon père, mes aînés, les servantes s’affolèrent. Pas de quoi ! Deux heures plus tard, j’étais née. Le docteur Mélas arriva pour me recueillir, toute visqueuse, dans ses larges mains. Il devait répéter à qui voulait l’entendre que j’étais passée comme une lettre à la poste.
Il me plaît de penser que mon premier hurlement de terreur résonna inaperçu au milieu de la liesse d’une ville. Je veux croire que ce fut un signe, signe que je saurais dissimuler les plus grands chagrins sous un abord riant. J’en voulus à ma grande sœur Émilia qui elle aussi était née au milieu des pétarades et des feux d’artifice d’un 14 Juillet. Elle volait à ma naissance ce qui lui donnait à mes yeux son caractère unique. Je fus baptisée en grande pompe un mois plus tard. Selon la coutume des familles nombreuses, mon frère René et ma sœur Émilia furent mes parrain et marraine.
Quand, dix fois pour jour, par le menu et le détail, ma mère me faisait le récit des incidents bien ordinaires qui avaient précédé ma naissance, ni éclipse de lune ou de soleil, ni chevauchements d’astres dans le ciel, ni tremblements de terre, ni cyclones, j’étais toute petite, assise contre elle, sur ses genoux. Rien ne me faisait comprendre pourquoi je n’étais pas restée à l’intérieur de son ventre. Les couleurs et les lumières du monde autour de moi ne me consolaient pas de l’opacité où, neuf mois durant, j’avais circulé, aveugle et bienheureuse avec mes nageoires de poisson-chat. Je n’avais qu’une seule envie : retourner là d’où j’étais venue et, ainsi, retrouver un bonheur que, je le savais, je ne goûterais plus.
le tablier
le sapeur
le para
sauter
le parachutiste
larguer
à plus de
le spécialiste
le saut
la précision
toucher terre
au milieu de
la place
la concorde
l'assassin (m.)
On... on arrive à la Gare du Nord tous les deux, alors, j'y dis, tu viens boire, y a une demi-heure à attendre.
Métis
Tordez-y les parties viriles.

Tu me passes un mouchoir, s'il te plaît.

-- Tu fais quoi ce soir ? -- Ben, j'ai le taxi. Et...
-- Tu te pointes vers sept heures chez Francis. Tu t'installes. Tu te bois une bière. Tu mates les femmes. Et quand ton pote arrive, tu lui dis bonjour.

Alors j'dis, dis donc j'dis, c'est justement lui, j'dis, qui m'a d'mandée en mariage. Y veut, j'dis, qu'j'aille chez lui, y voulait s'mett' en ménage avec moi pis plaquer mon logement ! Et pis l'jour qu'ça va pas, y m'fout dehors, hein ! J'suis pas si bête que ça ! Y m'dit : dites Madame Angèle, ah oui, parce qu'il sait mon nom, j'dis oui ? Qu'est-ce qu'y a ? Y s'appelle... Comment qu'y s'appelle ? Ah ben, j'm'rappelle plus d'son nom ! C'est un tout p'tit bonhomme, moi qu'aime pas les p'tits, alors y tombe mal ! Il est pas plus grand qu'moi ! Oh ! J'aime pas les p'tits bonhommes comme ça ! Même que j'suis vieille, j'en voudrais pas hein ! Ah non, même un grand d'abord, j'veux pas m'emmerder avec ! Non, j'suis trop habituée toute seule. Vous savez, quand on est habitué tout seul, hein, on a du mal à s'y faire. Alors v'la qu'y m'dit : Madame Angèle, vous savez pas, qu'y m'dit, j'voudrais vous d'mander quelque chose. J'dis : quoi, j'dis ? Y dit : assoyez-vous, prenez quelque chose. Alors bon, j'ai pris un diabolo-citron, j'adore ça.

Vaut-il mieux vivre en France et y être un chômeur secouru, ou vivre en Hollande ou en Grande-Bretagne et y être un chômeur enfin pourvu d'un travail mal payé ? Les statisticiens se disputent sur le point de savoir quelles conclusions tirer de leurs savants calculs. Les sociologues, eux, se demandent plutôt où c'est-y que les pauvres ils sont le moins malheureux. Quant au penseur, il s'interroge : qu'est-ce qui est le plus sage, travailler pour des clopinettes ou toucher des clopinettes en restant à la maison ? On atteint là à la morale, stade ultime de la réflexion philosophique. Marcel, t'as pensé à rapporter de la bière ?

Sa ferme est démolie. Ses vaches sont éventrées. C'est au Monténégro. Des dizaines de petites bombes jaunes, celles-ci non explosées, jonchent sa cour et son champ. Il dit : « Ce sont des mines antipersonnelles interdites par les conventions internationales. » L'Otan le reprend : « Ce sont des mines anti-matériel. » Ses vaches avaient qu'à être moins cons. Les petites filles aussi, sur la route. Pas savoir qu'on n'est pas du matériel !

J'ai une copine au journal, ça va pas, ça va pas bien du tout. Tragique ! Une crème, cette fille, douce, indulgente, gentille. Très cool, très relax, très calme. Un lac, une mer étale, jamais de vagues. Oui et alors ? Qu'est-ce qu'elle a ? Ben, elle a ça, bon caractère, et ça ne se pardonne pas. Non, sérieux, contrairement à ce qu'on croit, c'est pas le stress qui est fatal, c'est la sérénité. Bonne humeur égale mauvaise santé. Pour les femmes, attention ! Les hommes, eux, plus ils se contrôlent, mieux ils se portent. D'où je le tire ? D'une étude menée pendant onze ans à l'université du Michigan. Il en ressort que sa colère faut la piquer, pas la rentrer, si on veut couper à une mort prématurée.

A droite en montant, il y a la porte du bistrot à Mme Pellicia, une petite porte avec une petite fenêtre que tu devinerais jamais que c'est un bistrot s'il n'y avait pas écrit sur la vitre : « Au Petit Cavanna ». Parce qu'avant c'était le bistrot à Grand-mère, la grand-mère Cavanna, la mère du grand Dominique, le Patron. Ça s'appelait « Au Petit Cavanna » pour pas que les gens confondent avec l'autre Cavanna, le grand beau restaurant juste en face du commissariat qu'il y en a qui viennent de loin et même de Paris, des fois, par l'autobus, pour y faire la noce tellement que la cuisine est bonne.

Y a qu'Olivier qui pourrait dire mais je veux pas l'emmerder avec ça. Et puis ils posent pas de questions, sauf Quentin, un jour, en plein Prisunic : Dis maman, tu l'aimes Thérèse ? -- Ben, oui. -- Tu fais l'amour avec elle ? Je savais plus où me mettre, j'ait dit : Chut Quentin, chut ! Il devait avoir sept ans. Un jour il m'a demandé : Et si papa il buvait plus est-ce tu retournerais avec lui ? Je lui ai répondu que non : Parce que quand on aime plus quelqu'un on retourne plus avec. -- Alors tu l'aimes plus ? J'ai dit : Non. Il a dit : Ça fait rien, même si c'est pas l'même, moi j'voudrais bien un papa.

Merde j'ai perdu la formule magique. Abra ca da bra je veux qu'il revienne. Tu dérailles ma vielle tu yoyotes de la touffe. Bouche bée t'es prête à croire au miracle. Le lapin sortant du chapeau du prestidigitateur tu l'as bouffé un certain dimanche ça te suffit pas pauv' niace. T'aimes ça vraiment le mélo-mélasse. Mehdi si tu revenais on chialerait comme deux veaux et on se dirait qu'on s'est aimés comme personne. Que vraiment finir comme ça aussi connement avec autant d'amour dans le cœur... Allez. Arrête. Souviens-toi. La lettre. Tu l'as perdue rapide hein. La preuve d'une telle glauquerie. La fuite de Valentino se regardant en train d'être aimé à la folie. Prends ça dans la tronche Lucette. Remets tes patins à roulettes on s'en va. Mouche ton nez et dis au revoir à la dame. Et toujours les potes et les potines. Y t'aime plus. De toute façon depuis six mois faut reconnaître t'es pas brillante y t'démolit.

Malgré qu'il pleut, on part à Gif, nous deux mon chien. C'est pour sortir Azor, surtout qu'il n'est pas bien.

Huit heures venaient de sonner. Ma femme et moi étions en train de dîner, lorsque nous entendîmes des cris affreux partant de la cour. Nous sortîmes en hâte et, là, nous aperçûmes sur le sol le corps de la locataire du troisième étage, horriblement défigurée et baignant dans une mare de sang. La malheureuse, qui s'adonnait, dit-on, à la pratique des stupéfiants, avait mis fin à ses jours en se précipitant dans la vide.

Il était quéque chose comme huit heures. Nous deux ma bourgeoise on mangeait. Même qu'on avait ce soir-là des z'haricots verts. Puis, voilà qu'on entend gueuler dans la cour ; mais alors, ça, vous parlez d'un boucan ! Vivement on se trotte pour voir qu'est-ce que c'est. Y avait la môme du troisième qui s'avait f... par la fenêtre. Qu'est-ce qu'on a trouvé comme mélasse. Pour moi, voulez-vous que je vous dise, elle en tenait une muffée de première ; c'est encore un de leurs trucs de coco.

Je pige. Combien forte est la vie ! Quelle belle sève vivace ! Comme c'est dru, impétueux ! Ça me fait penser à la frêle pousse de lierre qui finit par étrangler l'orgueilleux sapin. Vous avez jamais vu grimper du lierre après un spain ? Au début c'est joli. Ça pare le tronc. Ça lui ôte son côté futur poteau télégraphique. Et puis, quand le lierre est bien haut, bien fourni, bien luisant, on s'aperçoit que les branches basses de l'arbre jaunissent. C'est irréversible chez le sapin. C'est comme les tifs des bonshommes. Quand ça crève, ça repousse plus. Un jour, le sapin, il lui reste plus que son cône, tout là-haut. Il est clamsé dans la verdure.

Mort de mes os ! Je reconnais une grenade. Une main on ne peut plus criminelle vient de la jeter par l'entrebâillement de la lourde. Je fonce comme un fou dans le couloir en entraînant Béru. On vient à peine de débouler dans l'entrée qu'une explosion formidable retentit. Je pourrais essayer de vous l'exprimer avec des « rrraôum ! » des « vlangggg » et des « tziboum-babadoum » (les meilleurs), mais à quoi bon ? Et surtout à quoi bonds ? Et même, à quoi James Bond ? Ça plâtrarde partout. Y an une brèche dans la cloison. Par icelle, je coule un z'œil dans la cuisine. J'aimerais bien savoir ce qu'il est advenu (des Champs-Elysées) d'Alfred. Au milieu de ce bignt il a dû être décoiffé, le coquet. Je le vois pas, biscotte la fumaga. Le plaftard continue de faire des petits. Ça remue-ménage dans l'immeuble. Ça déménage ! Ça change de rue ! Les bouillaveurs changent de rut ! Les marchands de bagnoles change de ruses ! (Je peux vous en pondre commak à la pelle, ça ne me fatigue pas.)

Doukipudonktan, se demanda Gabriel, excédé. Pas possible, ils se nettoient jamais. Dans le journal, on dit qu'il y a pas onze pour cent des apparements à Paris qui ont des salles de bains, ça m'étonne pas, mais on peut se laver sans. Tous ceux-là qui m'entourent, ils doivent pas faire de grands efforts. D'un autre côté, c'est tout de même pas un choix parmi les plus crasseux de Paris. Y a pas de raison. C'est le hasard qui les a réunis. On peut pas supposer que les gens qu'attendent à la gare d'Austerlitz sentent plus mauvais que ceux qu'attendent à la gare de Lyon. Non vraiment, y a pas de raison. Tout de même quelle odeur.

T'avais ta gueule enfarinée, hein, grand saligaud qu'on l'asticotait nous Robinson, histoire de le faire grimper et de le mettre en boîte.

Vous savez Ferdinand qu'ils n'arrêtent même plus la nuit de se forniquer à longueur de rêves ces salauds-là ! ... C'est tout dire. Et je te creuse ! Et je te la dilate la jugeote ! Et je te me la tyrannise !

La sienne Robinson d'enfance, il ne savait plus par où la prendre quand il y pensait tellement qu'elle était pas drôle.

Au bord du quai les pêcheurs ne prenaient rien. Ils n'avaient même pas l'air de tenir beaucoup à en prendre des poissons. Les poissons devaient les connaître. Ils restaient là tous à faire semblant. Un joli dernier soleil tenait encore un peu de chaleur autour de nous, faisant sauter sur l'eau des petits reflets coupés de bleu et d'or. Du vent, il en venait du tout frais d'en face à travers mille feuilles, en rafales douces. On était bien. Deux heures pleines, on est resté ainsi à ne rien prendre, à ne rien faire. Et puis, la Seine est tournée au sombre et le coin du pont est devenu tout rouge du crépuscule. Le monde en passant sur le quai nous avait oubliés là, nous autres, entre la rive et l'eau.

La nuit est sortie de dessous les arches, elle est montée tout le long du château, elle a pris la façade, les fenêtres, l'une après l'autre, qui flambaient devant l'ombre. Et puis, elles se sont éteintes aussi les fenêtres.

Des précisions sur l'interro de vocabulaire...

« Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient. »

« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »

1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ?
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ?

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Merci d'avoir posé votre candidature à l'université de Starvumbicincetitale. C'est avec grand plaisir que nous ne pouvons pas vous offrir une place dans notre nouvelle classe de première année.

Nous sommes conscients qu'à ce stade du courrier électronique, vous avez déjà commencé à vous dire que vous seriez plus qu'heureux dans votre école de sécurité (alerte spoiler : vous ne le serez pas), mais nous aimerions vous donner un aperçu de notre processus décisionnel, qui est opaque. Cette année, nous avons reçu un nombre sans précédent de 10 millions de candidatures pour les 12 places de notre classe de première année, et avec notre équipe d'admission composée de 9 étudiants de la filière anglaise surchargés de travail, nous n'avons tout simplement pas eu le temps d'examiner votre candidature de manière "holistique" traditionnelle.

Sachez que nous nous engageons toujours à examiner les candidatures de manière "holistique", tant que vous remplissez nos conditions d'admission simples. Comme nous étions à moitié obligés de rendre notre processus de test optionnel, nous avions moins d'informations que jamais pour vous examiner, et donc au lieu de notre marge habituelle de 0,01 en MPC non pondérée, nous n'avons pu examiner que le million d'entre vous avec des notes parfaites. Chaque membre de notre personnel a alors dû faire face à la tâche décourageante de lire 100 000 candidatures (et le reste nous l'avons simplement reporté - nous n'allions pas vous accepter de toute façon !), ce qui signifie que même avec notre délai d'une semaine et le flou de la "mi-décembre", nous n'avions que cinq secondes pour prendre une décision sur la question la plus importante de votre vie jusqu'à présent.

Nous vous remercions d'avoir soumis une candidature qui nous a permis d'arriver immédiatement à cette décision, que ce soit par votre choix déconcertant de postuler malgré une moyenne pondérée de 3,17 ou par votre inexplicable essai sur la façon dont "l'esprit de mes parents décédés s'est réincarné dans mon désir bouillant de participer à Starvumbicincetitale". Au lieu de bouder sur votre lit en position fœtale jusqu'au Nouvel An, envisagez quelques alternatives :

Essayez de lire les livres que vous avez déclaré aimer sur votre demande. Pensiez-vous vraiment pouvoir nous convaincre que La lettre écarlate était votre livre préféré ? Nous comprenons, vous étiez doué dans votre enfance et vous lisiez beaucoup à l'époque, mais nous savons que tout ce que vous faites aujourd'hui, c'est parcourir Reddit.

Continuez le travail d'intérêt général que vous avez fait pendant deux semaines en première année et que vous avez ensuite extrapolé sur le reste de votre carrière au lycée. Bien sûr, vous avez peut-être pensé au travail d'intérêt général pendant deux heures la semaine dernière, mais comment avez-vous réussi à faire quelque chose pendant "quatre ans" et n'avez rien à y gagner ?

Appliquez-vous à une autre sécurité - nous savons que votre estime de soi est directement liée à votre réussite perçue, et vous pourriez vraiment avoir besoin d'un coup de pouce pour votre ego en ce moment même.

Pour rappel, cette décision est définitive et il n'y a pas de procédure d'appel.

Le vôtre est en perpétuel dégoût,

Starvumbicincetitale Admissions à l'université


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Savoir sans voir est au cœur de la chimie.

Philosophie du cours

-3 cuillères à soupe de beurre

-2 œufs, fouettés

-2 carottes moyennes

-1 petit oignon blanc

-1/2 tasse de petits pois surgelés

-3 gousses d'ail

-sel et poivre

-4 tasses de riz cuit et réfrigéré

-3-4 oignons verts

-sauce de soja (à goûter)

-2 cuillères à café de sauce aux huîtres (facultatif)

-1/2 cuillère à café d'huile de sésame grillé

Je parie que vous n'avez pas lu ces chiffres.

Je vais vous confier un secret - moi non plus.

Les ingrédients ci-dessus ont été copiés et collés à partir du premier résultat de recherche Google pour "recette de riz frit". Mais, sans vouloir manquer de respect au propriétaire de la recette, je peux vous dire que c'est faux.

La seule vraie recette de riz frit est l'absence de recette. Il n'y a pas de mesures, pas d'instructions précises, pas de minuteur pour savoir combien de temps quelque chose doit grésiller dans la casserole. Il n'y a que des odeurs, des sensations et des souvenirs. J'ai appris à cuisiner du riz frit sur le tabouret branlant recouvert d'autocollants Blues Clues, entouré par les odeurs du tablier Minnie Mouse de mon nainai, du pull en cachemire de mon yéyé ou du shampoing Pantene de ma mère ; dans le confort de notre confortable appartement et de notre étouffant appartement de Hángzhou ; en regardant les œufs craquer sur de délicats bols en porcelaine, jetés et remués dans des woks à l'aide de spatules en bois inclinées. Nous avons utilisé les restes de riz que nous avions, le nombre d'œufs que nous trouvions approprié et une combinaison de tout et de rien qui se trouvait dans le réfrigérateur.

Et pourtant -

J'ai toujours été plus un boulanger qu'un cuisinier. J'aime les recettes - j'aime être précis et trouver des détails, ajuster, niveler et peser. D'autres personnes auront des recettes transmises par leurs arrière-grands-parents ; moi, j'aurai des souvenirs, qui me sont chers, mais pas moyen de transmettre autre chose que la reconstitution de moments d'enfance. Dès mon plus jeune âge, j'ai trouvé du réconfort dans les recettes de pâtisserie méticuleuses que l'on trouve dans les livres de cuisine occidentaux.

Cette convoitise de tout ce qui est exact ne se retrouve pas dans le reste de ma vie. Ma mère vous dira que mon bureau est en désordre - je l'appelle "la place pour la licence créative". Ma mère vous dira que mon placard est aussi en désordre - je l'appelle "la curiosité à la mode". Ma mère vous dira que ma vie est parfois, vous l'avez deviné !, un désordre. Je l'appelle MAPWIFOWISTBSIDMOTBOML, aussi connu sous le nom de "ma phase artistique où je suis en train de trouver qui je suis supposé être, je me suis jeté moi-même, je suis organisé beaucoup plus tard". C'est une bouchée, alors je l'ai raccourcie, évidemment.

D'un autre côté, j'aime mesurer le liquide dans mon cylindre gradué à partir du bas du ménisque. Si votre SMS contient une faute de frappe, je ressens le besoin lancinant de vous corriger. Si le cygne en origami que j'ai plié a une queue inégale, je le démonterai et je recommencerai. (Cela a certainement été préjudiciable à ma vie pendant la mission de mon collège qui consistait à plier 3 000 cygnes en papier).

Mais je comprends la beauté de la spontanéité et de la création organique. Il y a quelque chose de spécial à réaliser qu'il n'y aura jamais deux recréations du riz frit de mon grand-père qui seront identiques, et vraiment, n'est-ce pas ce qu'est la vie ? La création, sans recette ?

C'est drôle. Cela contredit peut-être tout ce que j'ai écrit jusqu'à présent, mais plus je fais de la pâtisserie, plus je me rends compte que la pâtisserie est peut-être aussi spontanée. Je n'ai pas toujours besoin de peser ma farine au préalable pour obtenir des biscuits parfaits, ni d'ajouter les quantités de sucre abondantes que la recette exige. Ma spécialité, ce sont les brownies, mais je me suis mise au défi d'utiliser une recette différente à chaque fois. Vous seriez surpris du goût différent des brownies si vous y ajoutiez un œuf et vous seriez particulièrement incertain de mes compétences en matière de pâtisserie si vous essayiez mes brownies qui contiennent beaucoup trop de bicarbonate de soude (essais et erreurs...).

J'apprends à aimer l'improvisation. Ce n'est pas incompatible avec une précision aimante, et cela fait tellement partie intégrante de ma culture, que je ne pourrais pas le faire autrement. Accepter et embrasser l'inconnu est effrayant et c'est certainement un processus, mais je vous assure : Un jour, je maîtriserai mon propre riz frit.

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D'aussi loin que je me souvienne, l'un de mes passe-temps favoris a été de manipuler ces permutations délicates de 26 lettres pour remplir cette signature, le tableau quadrillé vert vif de la Roue de la Fortune.

Chaque soir, à 18h30 précises, ma famille et moi nous réunissons inlassablement dans notre salon en attendant l'annonce joyeuse de Pat Sajak : "Il est temps de faire tourner la roue !" Et le jeu est lancé, notre badinage ponctué par le potentiel de grosses récompenses ou de faillites encore plus importantes : "Elle doit connaître ce mot - mon Dieu, pourquoi achète-t-elle une voyelle ?!"
téléphoné
Alors qu'un jeu comme La Roue de la fortune est plein de pièges financiers, je n'ai jamais été très intéressé par l'argent ou les nouvelles voitures à gagner. Je me suis retrouvé attiré par les lettres et l'application ludique de l'alphabet anglais, les unités complexes de la langue.

Par exemple, des phrases comme "I love you", dont l'incroyable émotion est quantifiée à un simple ensemble de huit lettres, ne cessent de m'étonner. Qu'il s'agisse de l'émotion définitive d'un simple "je suis" ou d'une crise existentielle posée par le "je suis", j'ai reconnu très tôt l'impact des lettres et de leur ordre sur le langage.

Les abeilles orthographes ont toujours été mon point fort. J'ai toujours été capable de visualiser les mots, puis d'enchaîner verbalement les consonnes et les voyelles individuelles. Je ne connaissais peut-être pas la signification de chaque mot que j'épelais, mais je savais que le soliloque me poussait toujours à bout : cette fin -quy était si bizarre et pourtant mémorable ! Et la taille-douce avec son "g" silencieux a roulé sur la langue comme du beurre de culture.

Finalement, les lettres se sont assemblées pour former des mots plus grands et plus complexes.

J'étais un lecteur passionné au début, dévorant livre après livre. De la série Magic Treehouse au trop réel 1984, en passant par l'angoissant The Bell Jar et les nouvelles pittoresques de Tagore, j'ai accumulé un océan de nouveaux mots, certains réels (épitome, effervescence, apricité), et d'autres entièrement fictifs (doubleplusgood), et j'ai rassemblé tous mes favoris dans un petit journal, ma Panoplie de mots.

Ajoutez à cela le fait que j'ai été élevé dans un foyer bengali et que j'ai étudié l'espagnol au lycée pendant quatre ans, et j'ai pu ajouter d'autres mots exotiques. Sinfin, zanahoria, katukutu et churanto ont rapidement pris la place qui leur revenait aux côtés de mes préférés anglais.

Et pourtant, pendant cette période d'enrichissement du vocabulaire, je n'ai jamais pensé que l'anglais des études supérieures et la biologie avaient beaucoup en commun. Imaginez ma surprise un soir de première année, alors que je feuilletais nonchalamment un manuel de sciences. Je suis tombé sur de nouveaux termes fascinants : adiabatique, axiome, cotylédon, phalanges... et je ne pouvais pas m'empêcher de me demander pourquoi ces mots non littéraires, apparemment aléatoires, m'attiraient. Ces mots avaient des syllabes acérées, étaient difficiles à énoncer et ne possédaient pas de sens particulièrement abstrait.

J'étais ébahi, mais curieux... je continuais à lire.

"L'air dans le moteur se comprime rapidement..."

"Vérité mathématique incontestable..."

"Une feuille naissante dans un angiosperme..."

"Des os de doigts et d'orteils ossifiés...
Mon collège était une école modèle (dans laquelle les éducateurs venaient assister à nos cours et apprenaient de la façon dont on nous enseignait), et nous avions un certain nombre de parrainages d'entreprises, donc l'une des choses que les enseignants aimaient faire avec l'argent était de nous emmener à l'étranger après nous avoir enseigné l'histoire de l'endroit où nous allions. En huitième année, nous sommes allés à Johannesburg, et la première moitié du voyage a été consacrée au service communautaire, et la seconde moitié à des safaris dans des régions plus éloignées. Bien que nous ayons mangé dans des restaurants de maisons de personnes vivant dans des zones très pauvres, j'ai été choqué de constater que nous n'avions pas de problème avec la nourriture avant d'arriver à la station de vacances en pleine nature. Ces derniers jours, deux étudiants et moi-même avons été victimes d'une intoxication alimentaire et, apparemment, au cours des années passées, deux étudiants tombaient toujours malades lorsqu'ils séjournaient dans cette station, ce qui me rendait perplexe quant à la raison pour laquelle ils choisissaient d'y rester année après année. J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital, et de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème réel était un coup de chaleur, exacerbé par une intoxication alimentaire). D'une part, ils ne croyaient pas que je disais la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et je devais demander à mes camarades de classe de me donner leurs médicaments anti-nausée (nous avons chacun reçu une petite trousse médicale avant de partir) parce que les chaperons n'avaient pas de magasin à eux, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais probablement bien pendant les quatorze heures de vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important pour moi de me préparer à toute éventualité, et que je dois faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.










Mon collège était une « école modèle » (dans laquelle des éducateurs venaient assister à nos cours et apprendre de la façon dont on nous enseignait), et nous avions un certain nombre de parrainages d'entreprises, donc l'une des choses que les professeurs aimaient faire avec cet argent était de nous emmener à l'étranger après nous avoir enseigné l'histoire de l'endroit où nous allions. En huitième année, nous sommes allés à Johannesbourg ; la première moitié du voyage a été consacrée au bénévolat, et la seconde moitié à des excursions et des safaris dans la nature. Cela m'a choqué qu'il n'y ait eu aucun problème de nourriture pour nous jusqu'à ce que nous arrivions à l'hôtel-club, bien que nous ayons mangé dans des restaurants clandestins dans des bidonvilles. Ces derniers jours, quelques étudiants et moi-même avons été victimes d'une intoxication alimentaire et, apparemment, au cours des années passées, quelques étudiants étaient toujours tombés malades pendant leur séjour dans cette station, ce qui me rendait perplexe quant à la raison pour laquelle ils choisissaient d'y rester année après année. J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital, et de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème véritable était un coup de chaleur, exacerbé par l'intoxication alimentaire).

D'une part, ils ne croyaient pas que je disais la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et j'ai dû demander à mes camarades de classe de me donner leur médicament anti-nausée (nous avons chacun reçu une petite trousse médicale avant de partir) parce que les chaperons n'avaient pas de magasin à eux, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais probablement bien pendant les quatorze heures de vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important pour moi de me préparer à toute éventualité, et que je dois faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.
...et puis ça m'a frappé. Malgré tout mon intérêt pour les cours de STEM, je n'ai jamais pleinement saisi la beauté du langage technique, le fait que les mots ont le pouvoir de communiquer simultanément des idées et des sensations infinies ET des relations complexes et des processus complexes.

C'est peut-être la raison pour laquelle mon amour des mots m'a conduit à une vocation scientifique, une opportunité de mieux comprendre les parties qui permettent au monde de fonctionner. À la fin de la journée, c'est le langage qui est peut-être l'outil le plus important dans l'éducation scientifique, nous permettant à tous de communiquer de nouvelles découvertes de manière compréhensible, qu'elles soient axées sur de minuscules atomes ou sur de vastes galaxies.

Il est à la fois humiliant et passionnant de penser que moi, Romila, j'ai peut-être encore quelque chose à ajouter à ce glossaire scientifique, une petite permutation de mon cru qui pourrait transcender certains aspects de la compréhension humaine. Qui sait, mais je suis bien décidée à faire tourner la roue, Pat, et à voir où cela me mène...

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J'ai réussi à me libérer de l'emprise de ma mère, j'ai chargé. Avec les bras qui battent et les jambes potelées qui flottent sous moi, j'étais le féroce enfant de deux ans qui se déchaînait sur Costco un samedi matin. Les yeux de ma mère s'écarquillaient d'horreur lorsque je lâchais mon churro ; la fusée au sucre de cannelle se frayait un chemin dans l'air avec grâce tandis que je continuais ma folie. J'ai sprinté dans les allées, regardant avec émerveillement les produits en vrac massifs qui me dominaient. Accablé d'émerveillement, je voulais toucher et goûter, mettre la tête dans des congélateurs de taille industrielle, explorer chaque recoin. J'étais un conquistador, mais plutôt que de chercher l'Eldorado, j'ai parcouru les allées à la recherche d'échantillons gratuits. Avant d'être inévitablement emporté dans un chariot, j'ai escaladé une montagne de peluches et j'ai exploré l'étendue qui s'étendait devant moi : le royaume de Costco.

Connu pour ses portions surdimensionnées et son assortiment de hot-dogs à un dollar cinquante, Costco est le sommet du consumérisme. Depuis les jours passés à faire les courses dans un chariot jusqu'au moment où j'ai enfin été assez grand pour atteindre de hauts plateaux d'échantillons, Costco a été présent tout au long de ma vie. En tant qu'acheteur vétéran de Costco, je navigue dans les allées des produits alimentaires, en jetant la majeure partie de mon poids sur un chariot généreusement rempli dont l'énormité juxtapose mon petit cadre. Au fil du temps, j'ai pris l'habitude d'observer mes collègues clients entasser dans leur chariot des burritos congelés, des soufflés au fromage, des pots de glace et des compléments alimentaires pour la perte de poids. En parcourant les allées, j'ai eu le temps de réfléchir. Qui a besoin d'un kilo de crème aigre ? Le yogourt cultivé était-il plus apprécié que son homologue non cultivé ? Costco a donné naissance à ma curiosité sans limite.

Tout en dégustant un hot-dog obligatoire, je ne me suis pas surpris à penser aux qualités "tout bœuf" dont Costco se vantait. J'ai plutôt envisagé des finitudes et des infinitudes, des utilisations inimaginables pour des pots de crème aigre, le mouvement de projectile dudit pot lorsqu'il est lancé d'une étagère de quatre-vingts pieds ou peut-être lorsqu'il est poussé d'une charrette rapide par un jeune maigre de dix-sept ans. J'ai réfléchi à la question philosophique suivante : s'il existe un pot de Nutella d'une contenance de trois onces, avons-nous vraiment le libre arbitre ? J'ai vécu une dure leçon de physique en observant un acheteur qui n'avait aucune familiarité évidente avec le fonctionnement de l'inertie. Avec un chariot rempli à ras bord, elle s'est dirigée vers la sortie en pente, continuant à pousser et à pousser tout en perdant progressivement le contrôle jusqu'à ce que le chariot lui échappe et s'écrase contre une colonne de béton, un écran plasma de 52 pouces et tout le reste. L'achat du jambon fumé de Yuletide Hickory a inévitablement conduit à une conversation entre mon père et moi sur la controverse d'Andrew Jackson. Le dévouement de Old Hickory n'était pas remis en question ; il était inébranlable dans ses convictions et ses activités - des qualités que je suis obligé d'admirer, et pourtant sa morale était tordue. Nous avons tous deux trouvé le jambon plus agréable et plus tendre.

J'ai adopté mes talents d'explorateur, affinés par Costco, pour mes efforts intellectuels. Tout comme j'ai goûté à la sauce au poulet de buffle ou aux truffes au chocolat, j'ai sondé les domaines de l'histoire, de la danse et de la biologie, à la recherche de la charrette idéale, qui déborde de situations théoriques et de notions à la fois idiotes et sérieuses. J'ai goûté au calcul, à la course de fond, à la recherche scientifique, qui sont aujourd'hui les préférés des ménages. Avec le chariot en main, je fais ce qui me fait peur ; j'absorbe l'entrepôt qu'est le monde. Que ce soit en essayant le yoga aérien, en apprenant à cartographier les radiations du corps noir à l'aide d'un logiciel d'astronomie ou en dansant devant des centaines de personnes, je suis obligé d'essayer toute activité qui m'intéresse le moins du monde.

Mon désir intense de connaître, d'explorer au-delà des limites de la pensée rationnelle ; c'est ce qui me définit. Costco alimente mon insatiabilité et cultive la curiosité en moi au niveau cellulaire. Encodé pour m'immerger dans l'inconnu, j'ai du mal à accepter avec complaisance le "quoi" ; je veux chasser le "pourquoi" et disséquer le "comment". En substance, je vis de la découverte.

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Il s'agit d'un cours de chimie accéléré. Il est conçu comme un cours d'un an qui s'efforcera de couvrir deux années de chimie en une seule. Le rythme de ce cours devrait être rapide et la profondeur stimulante. Le cours introduira les concepts et les idées fondamentales de la chimie par l'expérimentation, la résolution de problèmes et la discussion. Il est prévu que vous suiviez le rythme du cours. Il est impératif que vous vous engagiez dans la préparation et le déroulement de ce cours.

Créer une atmosphère d'inclusion et de coopération
Ce travail appartient à chacun d'entre nous dans cette classe. Voici un aperçu des normes de la classe et des directives de conduite.
Normes de classe : Les mesures spécifiques que nous prendrons pour entretenir cette atmosphère...
Nous apprendrons et utiliserons les noms des uns et des autres.
Nous nous traiterons mutuellement de la manière dont nous aimerions être traités.
Nous utiliserons un langage qui rendra l'environnement de la classe accessible et sûr pour tous.
Nous écouterons attentivement les questions et les idées des autres.
Nous nous efforcerons de faire en sorte que la compréhension et l'apprentissage des autres soient aussi importants que les nôtres.
Lignes directrices de conduite : Des attentes spécifiques pour chacun d'entre vous...
Partager équitablement le temps d'antenne. Connaissez-vous, équilibrez votre écoute et votre parole.
Valorisez les différences. N'oubliez pas que votre point de vue n'est pas le seul.
Assurez-vous que les autres se sentent en sécurité. La sécurité n'est pas la même chose que le confort.
Ayez votre propre impact. Vos intentions peuvent ne pas être les mêmes que votre impact sur les autres.

Attentes en matière de cours
Participation : La participation en classe est un élément essentiel de ce cours. L'apprentissage de la chimie est un processus et souvent le meilleur apprentissage se fait par la préparation individuelle et la participation en classe. Votre investissement contribuera à guider votre apprentissage et à soutenir celui de toute la classe. Vous devez vous efforcer d'offrir quelque chose, au moins, à chaque autre classe. Vous pouvez le faire soit pendant les discussions de toute la classe, soit dans le cadre de petits groupes de discussion. Participez. Bien sûr, la nature virtuelle de notre classe (en ce début de trimestre) pose quelques problèmes. Nous devons être attentifs à ces défis et travailler ensemble pour que la classe soit la meilleure possible.
Préparation : Investissez-vous dans ce cours en effectuant les lectures, en essayant de résoudre les problèmes et en respectant les délais des devoirs. Soyez prêt, faites le travail et restez maître de la situation.
La ponctualité : Nous aurons trois réunions synchrones (zoom, pour commencer) par semaine, qui sont obligatoires, et il y a une période par semaine où vous pouvez avoir un devoir à rendre, un problème à résoudre ou une activité à réaliser. Veuillez être présent et à l'heure pour nos réunions synchrones.

Conseils pour réussir
Restez à la pointe de l'information. Ce cours est cumulatif. Vous aurez besoin d'une bonne partie des sujets que vous avez étudiés cet automne. Nous continuerons à renforcer et à développer notre compréhension au cours du semestre.
Soyez curieux. La plupart des découvertes scientifiques ont eu lieu parce que quelqu'un était curieux, à propos de quelque chose qu'il avait observé ou sur lequel il s'était interrogé. L'apprentissage de la science est également plus efficace si son fondement est la curiosité et l'émerveillement.
Posez des questions. Le cours est plus efficace et votre apprentissage sera plus approfondi si vous posez des questions sur des sujets que vous ne comprenez pas ou sur lesquels vous êtes confus. Travaillons ensemble pour tirer le meilleur parti du temps que nous passerons en classe cet automne.

Zoom Etiquette
c'est votre classe - faites ce que vous pouvez pour qu'elle soit la meilleure !
vérifiez votre technologie au préalable - caméra, vidéo, microphone
s'habiller de manière appropriée et s'assurer que vos antécédents sont acceptables pour nous tous
lorsque vous entrez dans une classe de zoom, ayez votre appareil photo allumé et votre micro en sourdine
bien sûr, si vous êtes en avance sur les cours, n'hésitez pas à rétablir le son et à dire bonjour
réduire au minimum le bruit de fond, c'est-à-dire mettre votre téléphone en sourdine et désactiver les notifications de votre ordinateur
gardez votre micro en mode silencieux jusqu'à ce que vous souhaitiez contribuer - il n'est pas nécessaire de lever la main - gardez simplement à l'esprit que le zoom a été conçu pour un seul orateur - soyez attentif au fait que si deux d'entre vous commencent à parler en même temps, cela peut prêter à confusion
ne pas être multitâche, rester concentré sur la discussion en classe et sur votre apprentissage
Un point non négociable : votre écran doit être allumé pendant toute la durée du cours - vous êtes assis à la table virtuelle Harkness !

Boulons et écrous (alias politiques de cours)

Matériel nécessaire

Texte : Chimie : La nature moléculaire de la matière, Jespersen et Hyslop, 7e éd.

Calculatrice avec solveur : suivez les conseils de votre professeur de mathématiques

Matériaux recommandés

Tableau périodique plastifié ou photocopié (pour faciliter l'utilisation)

Un classeur à trois anneaux - pour garder vos documents organisés et prêts à être étudiés.

Devoirs

Tous les devoirs et le matériel de cours seront affichés sur Canvas. Chaque semaine, il y aura un affichage du contenu de chaque cours de la semaine. Il y aura également des devoirs à faire à la maison après chaque cours, généralement pour être prêt pour la prochaine réunion de classe. Faites attention aux dates d'échéance et aux délais. Je vous suggère de consulter Canvas le lundi matin (ou le dimanche soir) pour vous faire une idée précise de ce qui est attendu cette semaine. Les principaux devoirs ou évaluations seront affichés dans votre calendrier.

Politique de notation
le tireur

Votre note finale sera basée sur le total des points obtenus par rapport au total des points possibles. Voici les valeurs approximatives des points (elles peuvent varier) :

Tests (évaluations) : 50-780 points

Rédactions et activités du laboratoire : 25-45 points

Problème noté ou devoir : 10 - 25 points

Postes de discussion sur la toile : 1-5 points

Remarque : toutes les notes seront affichées dans Canvas - vous pourrez ainsi suivre et contrôler vos progrès.

Échelle de notation (selon le département des sciences)

100 - 93,4% A 93,3 - 90,0% A-

89,9 - 86,7% B+ 86,6 - 83,4% B 83,3 - 80,0% B-

79,9 - 76,7% C+ 76,6 - 73,4% C 73,3 - 70,0% C-

69,9 - 66,7% D+ 66,6 - 63,4% D 63,3 - 60,0% D-

Participation aux cours : Vos efforts pour répondre aux attentes du cours et pour construire et maintenir une communauté de classe inclusive et coopérative peuvent faire augmenter votre note finale jusqu'à 1 %.

Politique en matière de travaux en retard (travaux notés) :

Devoir tardif : la note du devoir est réduite d'un tiers de note pour chaque jour de classe jusqu'à la réception du devoir, après trois jours la note est un zéro
Absences excusées : si vous n'êtes pas en classe pour une raison excusée - il n'y a pas de pénalité - le devoir doit être rendu le jour de classe suivant
Absences non excusées : les missions seront considérées comme tardives et pénalisées en tant que telles
Prolongations : si vous avez besoin d'une prolongation pour un travail noté, veuillez en faire la demande au moins 24 heures avant l'échéance du travail. Si vous demandez plusieurs prolongations, nous nous réunirons pour discuter de la meilleure façon de vous préparer pour ce cours et de gérer votre temps

Une aide supplémentaire : Les heures de bureau sont prévues les jeudis de cet hiver de 22h55 à 23h40. Le lien Zoom est disponible dans la section "heures de réunion de classe" de ce module. Ce lien fonctionnera pendant tout le trimestre. Je trouve souvent que les nombreuses questions ou problèmes liés au matériel peuvent être résolus en 10-15 minutes. Demandez de l'aide - c'est pour cela que je suis là !
le yachtman

Je vous présente un récit autobiographique de la chaîne d'événements qui a provoqué une période chaotique et mouvementée de ma vie. Je vous prie de rester à proximité pendant quelques instants seulement pour me raconter comment je me suis métamorphosé en l'héritier présomptif de la municipalité appelée Bel-Air, en Californie. Au milieu de l'ouest de Philadelphie, j'ai été ramené à la vie et j'ai été nourri. Une grande partie de ma jeunesse et de mon adolescence a été consacrée aux installations de divertissement en plein air du parc. En compagnie de mes camarades, en faisant la fête au maximum de mes capacités et en me détendant, je participais souvent à un match amical de basket-ball dans l'arène de l'école. C'est au cours de l'une de ces excursions qu'un couple de camarades de jeu a fait preuve de malveillance. Je n'ai pris part qu'à une seule escarmouche, mais ma mère s'est plongée dans la peur et m'a alors ordonné de transférer ma résidence de son logement à celui de ma tante et de mon oncle à Bel-Air, en Californie. Je me suis mis à héler un taxi et, à son arrivée, j'ai fait une inscription sur la plaque d'immatriculation qui disait "FRESH" et j'ai été intrigué par une paire de dés drapés sur le rétroviseur. On pourrait à tout le moins affirmer que ce taxi était atypique ; cependant, j'en suis venu à la conclusion que se remémorer cette occasion à l'avenir serait une entreprise infructueuse, aussi au lieu de tenter d'implanter cet incident dans ma mémoire, j'ai imploré le chauffeur de me transporter à ma destination de Bel-Air, en Californie. Vers la septième ou huitième heure, je suis descendu et j'ai informé le chauffeur que je prendrais inévitablement connaissance de son odeur à un moment ultérieur. À ce moment-là, j'ai vu ma nouvelle demeure et j'ai compris que ma mission de devenir l'héritier présomptif de Bel-Air, en Californie, était accomplie.

Oui, c'était mon travail d'été de servir des glaces aux clients, mais ce sont vraiment les clients qui me servaient des glaces. Et en cours de route, j'ai appris quelque chose sur les menaces violentes.
L'avion qui nous transportait tous de l'église a atterri au Costa Rica et nous avons été embarqués dans un vieux bus délabré. Nous avons voyagé au plus profond de la forêt, toute trace de civilisation ayant disparu. Et c'est là que j'ai réalisé que je n'appartenais à aucun groupe religieux. Et tous ces gens "d'église" étaient membres d'une force paramilitaire radicale anti-gouvernementale. J'étais censé rendre visite à ma grand-mère à Seattle. Je me suis trompé d'avion ! Quoi qu'il en soit, j'ai aidé à renverser le gouvernement. Mais en fin de compte, c'est le gouvernement qui m'a renversé.
Quand le moment est venu d'enterrer grand-mère, tout le monde a eu son opinion. Papa a dit qu'on devrait lire de la poésie. Ma soeur voulait chanter une chanson et distribuer les paroles à tout le monde. Mes oncles et mes tantes n'arrivaient pas à décider où organiser la réception après l'enterrement et quel genre de nourriture préparer. Grand-mère voulait qu'on arrête de la salir parce qu'elle insistait sur le fait qu'elle n'était pas morte. Tout le monde n'a pas eu ce qu'il voulait, mais ce sont nos différences qui font de nous une famille.
Collège. Qu'est-ce que c'est ? Selon mon dictionnaire, le collège est défini comme "un vieux cheval meurtri dont les habitants se moquent". J'ai trouvé mon dictionnaire dans une benne à ordures derrière un Arby's et je ne pense pas que ce soit un très bon dictionnaire et peut-être que c'est juste une brochure sur la location de fêtes d'animaux. Mais laissez-moi vous demander ceci : les dictionnaires de votre "collège" sont-ils meilleurs ? J'espère que oui. Les normes académiques de la benne ont vraiment commencé à déraper.
Quand nous avons trouvé Fluffy, il était en assez mauvais état, barbouillé de terre, sifflant sur la défensive, et essayant de trouver quelque chose à manger dans les ordures. En d'autres termes, c'était le chat le plus triste qu'on ait jamais vu. Mes parents ne voulaient pas qu'on l'accueille, disant que nous n'étions pas en mesure de nous occuper d'un chat, que c'était trop de travail, de factures de vétérinaire, bla bla bla, mais ils ont fini par céder (merci, menaces violentes !) à la condition que nous le gardions dans la chambre de ma soeur. Fluffy a mangé toute la nourriture que nous lui avons donnée, mais il a continué à siffler et quoi que nous fassions, nous ne pouvions pas lui enlever les traces de saleté noire. Lorsque nous l'avons emmené chez le vétérinaire pour un examen, celui-ci nous a dit : "C'est un raton laveur ! Mais nous savions que le vétérinaire essayait juste de nous piéger. Nous avons tellement de profondes éraflures maintenant. Et la rage.
Je serai le premier de ma famille à aller à l'université. C'est parce que je suis le premier de ma famille à m'échapper de la cabane à outils enchantée après que nous ayons été emprisonnés par le roi des trolls. Je suis le seul à avoir résolu l'énigme du Roi des Trolls. Je pourrais crier la réponse à mes frères et sœurs et à mes parents pour qu'ils puissent eux aussi s'en sortir, mais où est le plaisir dans tout ça ?
Je serai le premier de ma famille à fréquenter l'université. Je ne serai pas le premier à essayer. Beaucoup ont déjà essayé dans le passé. Ils ont fait une demande, ont été acceptés, ont payé les frais de scolarité, ont fait leurs bagages et sont partis pour le campus. Mais ils se font toujours capturer par le roi des trolls. C'est triste, mais d'une autre manière, c'est un exemple de la terrible beauté de la nature.
Les enfants se moquaient toujours de mon apparence. "Tu vis dans une grange ?", "Pourquoi ne portes-tu pas les vêtements cool comme nous ?", "Hé, tu ne portes pas de vêtements du tout !", "Comment as-tu fait pousser une barbe si jeune ?", "Ce sont de vraies cornes ?", "Ce n'est qu'une chèvre, n'est-ce pas ?", "Est-il même légal d'avoir une chèvre dans cette classe ?", "Le Roi des Trolls était-il impliqué d'une manière ou d'une autre ?" Mais moi, je me contentais de rire à gorge déployée. Il m'a fallu plusieurs heures pour taper ça à cause de mes sabots fendus.
Ce qui est le plus excitant à l'université, ce sont les questions auxquelles je pourrais enfin obtenir des réponses. Des questions comme "Qu'est-ce que tu es, un petit malin ?", "Que dirais-tu d'un sandwich au poing américain ?" et "Pensez-vous que je suis une sorte de palooka ?" Je suis un dur de la rue des années 20 de Brooklyn qui a découvert une machine à remonter le temps. Pour moi, c'est soit votre école d'apprentissage de livres fantaisistes, soit une autre année à l'école Da des coups durs ! J'ai la polio.
Chaque enfant de l'école finit par être connu pour quelque chose. Le quarterback. La pom-pom girl. Le gamin aux cheveux longs qui traîne avec le gamin de la fanfare qui porte le fedora. Le stagiaire du gang gothique. Le gamin qui a créé un modèle en papier mâché sinistrement réaliste de la chef de la cantine mais qui n'entre jamais dans la cantine avec. Gross Angela. Le gamin qui rampe à travers les chevrons et, soyons honnêtes, n'est pas réel. Le gamin technicien du théâtre avec un couteau. Eric Roberts. Il peut être difficile de se démarquer vraiment dans notre école. Et puis il y a moi : le garçon qui a toujours au moins cent pénis.
Je regardais les grandes maisons de ma ville et je souhaitais que ma famille puisse y vivre. Non pas que mes parents ne soient jamais allés dans ces maisons parce qu'ils y sont allés. En tant que femmes de ménage. C'était leur travail. Je savais que même si maman et papa ne pouvaient pas se permettre un tel endroit, ils travaillaient dur, allant parfois nettoyer ces maisons au milieu de la nuit mais souvent au milieu de la journée quand il n'y avait personne. Je suppose que les propriétaires ne voulaient même pas voir mes parents. Maman et papa rentraient à la maison avec de grands sacs remplis d'or, de bijoux et d'argent qu'ils disaient avoir trouvé sur le trottoir. Je suppose que Dieu veillait sur maman et papa et les aimait beaucoup. Maintenant, nous vivons dans une VRAIE grande maison. C'est comme si papa disait toujours : "Ne dis rien !"
Il est rare que les gens de ma communauté aillent à l'université. La plupart du temps, on naît, on grandit, on travaille au bord de la mer et on meurt. Les gens ne passent pas beaucoup de temps à apprendre la philosophie ou à lire les grands romans ; ils s'intéressent plutôt à la capture de crabes, de mollusques ou de petits poissons. Tout ce que vos longues tentacules charnues peuvent prendre au piège, vraiment. Le romantisme est inouï lorsque le bourgeonnement asexué est une option. Mais moi, je suis différent. Je veux être la première anémone de mer de mon groupe à fréquenter une grande université et à me spécialiser dans le théâtre musical. J'aurai besoin d'une série de cuves et de pompes assez élaborées.
Moi, roi des trolls. Moi aller à l'université ou moi casser l'université. Moi attendre votre réponse.
récemment
triathlon
nouvellement
arrivée
L'humour peut être disséqué, comme le fait une grenouille, mais la chose meurt au cours du processus et les entrailles sont décourageantes pour tout le monde, sauf pour l'esprit scientifique pur.

Analyser l'humour, c'est comme disséquer une grenouille. Peu de gens s'y intéressent et la grenouille en meurt.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Collaboration sur les missions écrites
Et qu'est-ce que j'en ai pensé ? J'ai été exclu de mon groupe d'amis, injustement contraint à la détention et aux corrections, et je suis devenu le paria de ma classe. Alors, qu'est-ce que j'en ai pensé ? Non, je n'ai pas pensé. J'ai pleuré.
Dans le "monde réel", la science est un travail de groupe. Cependant, lorsque deux ou plusieurs personnes travaillent ensemble sur un projet, la collaboration est reconnue. En même temps, nous voulons être sûrs que vous comprenez ce qui constitue une collaboration appropriée et que vous reconnaissez quand vous devez reconnaître l'aide que vous recevez des autres.
crasse à boyaux
Souvent, la meilleure façon d'apprendre quelque chose est d'essayer de le comprendre d'abord par vous-même, puis d'expliquer votre pensée à quelqu'un d'autre. Le moment où la collaboration devient malhonnête est celui où une personne fait tout ou presque tout le travail alors que l'autre personne ne prend pas activement part au processus d'apprentissage mais adopte simplement le travail et la pensée des autres comme siens. Si le travail que vous remettez est simplement le résultat de la pensée d'autrui, vous êtes malhonnête, à moins que vous ne documentiez soigneusement la ou les sources de ces pensées et de cet effort. Cela concerne aussi bien les données que l'interprétation des données. Les signes de malhonnêteté comprennent, entre autres : les solutions à des problèmes complexes qui ont des structures et/ou des noms de variables identiques ; les étapes sautées ; les réponses identiques mot à mot aux questions ; la même mauvaise réponse ; l'incapacité d'expliquer ou de refaire une réponse ou une solution.
s'investir

Bien que cela soit acceptable et que nous vous encouragions à discuter d'idées avec d'autres étudiants, le département des sciences considère comme un acte de malhonnêteté académique le fait de partager des travaux écrits, y compris les rapports de laboratoire et autres devoirs notés. Vous ne devez pas lire votre travail aux autres ou le leur donner à lire. De même, vous ne devez pas lire le travail de quelqu'un d'autre. Si un étudiant permet sciemment à un autre étudiant de lire un travail écrit qui sera noté, le département des sciences estime que les deux étudiants partagent une responsabilité égale et que, par conséquent, toute mesure disciplinaire qui s'ensuit peut être prise à l'encontre des deux.

Il peut arriver que l'on vous demande de remettre un rapport ou un travail de laboratoire de groupe. Dans ce cas, il est attendu que tous les membres du groupe contribuent aux idées et à la rédaction, et cette collaboration est reconnue par l'énumération de tous les auteurs du rapport. Il peut également arriver que votre professeur organise une "évaluation par les pairs" et vous demande de lire et de réviser le travail d'un camarade de classe. Il s'agit là d'exceptions à la politique susmentionnée.

Lorsque vous souhaitez inclure des réflexions ou des méthodes que vous avez apprises d'un de vos camarades de classe, veillez à mentionner la source de ce matériel.

Si vous ne savez pas si vos actes constituent ou non une malhonnêteté académique, parlez-en à votre professeur avant de remettre le travail.
Utilisation de calculatrices programmables et d'appareils électroniques

Lorsque votre professeur vous demande de mémoriser des éléments pour un quiz ou un test, par exemple des faits, des réactions, des formules, des équations, il est considéré comme malhonnête d'entrer ces informations dans la mémoire de votre calculatrice ou de tout autre appareil électronique et de les utiliser pendant un test. Si vous avez des doutes sur les informations qui seront fournies et sur ce qui doit être mémorisé, demandez à l'avance à votre professeur.

La malhonnêteté académique est un délit grave et entraîne généralement une sanction disciplinaire.

L'honnêteté est une valeur fondamentale de PEA. Sans honnêteté, la communauté et la confiance qui la soutient ne peuvent pas s'épanouir. Sans honnêteté académique, il ne peut y avoir de véritable enseignement et apprentissage.

Dans de nombreux cas, la malhonnêteté académique est synonyme de plagiat. Présenter le langage, les idées ou les jugements critiques des autres comme étant les siens est du plagiat. Paraphraser le langage, les idées ou les jugements critiques des autres sans en donner le crédit est du plagiat.

Mais la malhonnêteté académique peut également se référer à la soumission de votre propre travail précédent sans communication complète avec votre professeur actuel, et à la soumission du même travail simultanément dans différents cours. Et le fait de consulter des sources secondaires (en ligne ou sur papier) et de présenter ces idées comme étant les vôtres en classe viole l'intégrité de l'enseignement et de l'apprentissage qui s'y déroulent.

Si vous avez des questions sur ces principes, il est de votre responsabilité de les soulever avec votre professeur. Il vous appartient de comprendre comment utiliser les mots et les idées des autres, ainsi que votre propre travail antérieur. L'ignorance, la précipitation, la négligence et la pression des autres travaux ne peuvent excuser la malhonnêteté académique. Les étudiants qui sont reconnus coupables de malhonnêteté académique peuvent être obligés de se présenter devant le comité de discipline et de se retirer de l'Académie.

Si vous avez des questions à ce sujet, adressez-vous à votre professeur. (Août 2020)

Je ne pense pas que même nous, les âmes chanceuses de la côte Est, ayons encore une notion du temps.



Déclaration du département anglais sur les limites de la confidentialité

Dans les écrits que vous rédigez pour vos cours d'anglais, vous partagez parfois des histoires avec vos camarades de classe et vos professeurs sur votre vie. Nous sommes reconnaissants de nous voir confier ces histoires. Sachez que certaines informations ne pourront pas être gardées confidentielles par les enseignants. Dans les circonstances suivantes, les enseignants sont tenus par la loi de partager le travail des étudiants avec le doyen des étudiants ou le directeur du bien-être des étudiants et éventuellement avec d'autres adultes :

lorsqu'il existe une menace de préjudice pour eux-mêmes, pour autrui ou pour les biens ;
lorsqu'on craint que le bien-être d'un étudiant (même si cet étudiant n'est pas l'auteur) soit en danger ;
lorsqu'il y a des informations sur une inconduite sexuelle (telle que décrite aux pages 27 et 28 du livre électronique), y compris des contacts sexuels avec des personnes n'ayant pas atteint l'âge légal de consentement (16 ans), que l'inconduite sexuelle ait eu lieu ou non sur le campus ;
lorsqu'on soupçonne qu'un enfant (toute personne de moins de 18 ans) ou un adulte handicapé a été ou est maltraité ou négligé, que la maltraitance ou la négligence se soit produite ou non sur le campus ;
lorsqu'il y a des informations sur le bizutage d'étudiants, que ce bizutage ait eu lieu ou non sur le campus ;
lorsqu'il existe des informations provenant de la victime d'un acte criminel de vol, de destruction ou de violence couvert par la loi sur les zones scolaires sûres.

Sachez que si vous partagez ces informations par écrit, vous recevrez le soutien dont vous avez besoin. Si vous décidez de ne pas partager de telles informations dans vos écrits, nous espérons que vous les partagerez avec l'un des nombreux adultes sur le campus (au Centre de santé et de bien-être de Lamont et au Bureau du doyen des étudiants) qui sont là pour vous aider. Votre sécurité et votre bien-être sont nos principales préoccupations.

Veuillez consulter The E Book pour plus d'informations sur les lois du New Hampshire en matière de signalement obligatoire. (Août 2020)



Déclaration du département anglais sur le mot "N" (N-word)

Le mot "N" ne sera pas utilisé dans cette classe par une personne de quelque race que ce soit, même s'il apparaît systématiquement dans nos textes. Cette classe sera exempte de tout discours de haine concernant l'orientation sexuelle, l'expression de genre, la race et le statut ou le milieu socio-économique. De telles remarques incendiaires ne seront pas tolérées et ne seront pas contrôlées. Chaque membre de cette classe est chargé de favoriser un environnement dans lequel les personnes et leurs idées sont respectées.

[adapté de Koritha Mitchell]

(juillet 2020)

Toutes les réunions individuelles et les conférences sur papier auront lieu dans ma salle de réunion personnelle. Si d'autres étudiants s'entretiennent déjà avec moi, vous devrez peut-être attendre dans la salle d'attente.

Bienvenue à Beyond Korean Cool.

Les étudiants qui n'ont pas terminé les lectures assignées à la date prévue se trouveront dans une situation très désavantageuse lorsqu'on leur demandera de parler et d'écrire sur le texte étudié. Une lecture attentive du texte est essentielle si l'on veut avoir des discussions constructives. Annotez votre copie au fur et à mesure de votre lecture. Rédigez les questions qui vous viennent à l'esprit et recherchez les mots que vous ne connaissez pas et les mots familiers qui vous semblent importants. Soulignez les passages qui vous paraissent importants. Notez les endroits dans le texte où vous êtes confus ou avez une question. Observez où la langue vous entraîne.

Chaque élève aura un dossier sur Google Drive qui sera partagé uniquement avec Mme Knapp. Les devoirs seront rendus en les copiant dans ce dossier.

En cas d'urgence, vous pouvez m'appeler sur mon téléphone portable (603) 479-3548. Veuillez essayer d'avoir des urgences avant 21 heures. N'hésitez pas à envoyer des SMS avec des problèmes de devoirs.

Vous effectuerez les devoirs suivants :

Un document de 2 pages qui explore une idée que vous avez vue dans plusieurs histoires. Au fur et à mesure de votre lecture, commencez à remarquer des liens entre les différentes histoires. Rassemblez vos observations et examinez un fil conducteur dans au moins deux histoires. Faites des références précises au texte et citez les numéros de page en utilisant les citations de MLA dans le texte. Date limite : 18 décembre.

Un podcast. Plus d'informations présentées après la pause. Il s'agit de la principale tâche du cours, et elle sera due en mars.

Une présentation de groupe sur une période de l'histoire de la Corée, de l'occupation japonaise à nos jours. Nous y travaillerons en petits groupes après la pause.

Une réflexion sur les parasites.
méfiance
l'hexagone
Un court article sur La maison avec une cour engloutie.

Un court article sur Kim, Jiyoung, née en 1982.

Participation (forums de discussion et classes virtuelles) 40%.
Articles, présentations orales, devoirs et projets 60

Toutes les missions doivent avoir un titre.
Nom
Affectation
Anglais 587
Date

Si vous avez besoin d'une prolongation, veuillez me consulter bien avant la date limite. Les ébauches, les premières ébauches et les plans seront évalués comme des devoirs ; les élèves qui ne se présentent pas en classe avec des ébauches terminées à la date prévue recevront un zéro. Il est essentiel que vous veniez en classe avec votre brouillon pour que vos camarades puissent le réviser et obtenir un retour d'information. Si vous remettez un brouillon, vous pouvez demander une prolongation de deux jours pour le projet final. Si vous ne remettez pas votre brouillon à la date prévue, vous ne pouvez pas bénéficier d'une prolongation. Si vous ne rendez pas votre document dans les deux jours suivant la date limite, votre ébauche devient votre projet final et sera évalué. Les documents remis en retard qui ne font pas l'objet d'un accord de prolongation seront notés d'une demi-grade ou de cinq points par jour. Les documents qui n'ont pas été remis dans les dix jours suivant la date limite seront automatiquement notés zéro.

Je reconnais qu'il s'agit d'une situation sans précédent et que certains d'entre nous pourraient être confrontés à des circonstances imprévues au cours de cette période. N'hésitez pas à me faire savoir si vous avez des difficultés ou si vous avez besoin d'aide. Nous devrons faire preuve de patience les uns envers les autres en participant à cette aventure d'apprentissage à distance. Faites-moi savoir s'il se passe des choses qui vous gênent dans votre vie d'étudiant. Vous entendrez sans cesse qu'il est important de communiquer avec vos professeurs. Lorsque je vois des élèves en classe, je peux parfois sentir s'ils sont inquiets, contrariés ou confus. Mon sens de l'araignée n'est pas aussi efficace sur Zoom. Je vous encourage à me faire savoir si quelque chose vous préoccupe. Ne vous inquiétez pas seul. Je ferai des aménagements raisonnables pour les élèves - il vous suffit de demander.

Les écrans et les appareils ne font pas partie de la classe. Nous devons les utiliser pour passer du temps en conversation les uns avec les autres, mais nous devons nous concentrer sur les interactions avec les membres de la classe. Veuillez éviter les distractions qui détourneraient votre attention du travail du groupe.

Nous travaillerons ensemble pour élaborer des lignes directrices pour nos classes Zoom. Nous créerons des lignes directrices qui nous aideront à faire preuve de respect les uns envers les autres et à être gentils et courtois les uns envers les autres. Chacun de nous est responsable de ses propres actions et paroles. Nos paroles et nos actions doivent contribuer à une éthique de classe qui permet à chaque individu d'être un membre respecté et apprécié du groupe. La déclaration suivante du département anglais régira la façon dont nous nous parlons les uns les autres :

Déclaration du département d'anglais sur le mot N
Le mot "N" ne sera pas utilisé dans cette classe par une personne de quelque race que ce soit, même s'il apparaît systématiquement dans nos textes. Cette classe sera exempte de tout discours de haine concernant l'orientation sexuelle, l'expression de genre, la race et le statut ou le milieu socio-économique. De telles remarques incendiaires ne seront pas tolérées et ne seront pas contrôlées. Chaque membre de cette classe est chargé de favoriser un environnement dans lequel les personnes et leurs idées sont respectées.
[adapté de Koritha Mitchell] (juillet 2020)

Lorsque nous discutons de textes et partageons nos histoires personnelles, il est primordial que nous fassions preuve de respect les uns envers les autres. Lorsque vos pairs lisent, veuillez leur accorder toute votre attention.

Lorsque vous choisissez de partager vos histoires, veuillez comprendre qu'il y a des moments où les adultes sont tenus de divulguer certains événements. Veuillez lire les deux pages suivantes qui comprennent la déclaration du département anglais sur la confidentialité et la déclaration du département anglais sur l'honnêteté académique.

Déclaration du département anglais sur la confidentialité


Déclaration du département anglais sur les limites de la confidentialité
Dans les écrits que vous rédigez pour vos cours d'anglais, vous partagez parfois des histoires avec vos camarades de classe et vos professeurs sur votre vie. Nous sommes reconnaissants de nous voir confier ces histoires. Sachez que certaines informations ne pourront pas être gardées confidentielles par les enseignants. Dans les circonstances suivantes, les enseignants sont tenus par la loi de partager le travail des étudiants avec le doyen des étudiants ou le directeur du bien-être des étudiants et éventuellement avec d'autres adultes :
- lorsqu'il existe une menace de préjudice pour eux-mêmes, pour autrui ou pour les biens ;
- lorsqu'on craint que le bien-être d'un étudiant (même si cet étudiant n'est pas l'auteur) soit en danger ;
- lorsqu'il y a des informations sur une inconduite sexuelle (telle que décrite aux pages 27 et 28 du livre électronique), y compris des contacts sexuels avec des personnes n'ayant pas atteint l'âge légal de consentement (16 ans), que l'inconduite sexuelle ait eu lieu ou non sur le campus ;
- lorsqu'on soupçonne qu'un enfant (toute personne de moins de 18 ans) ou un adulte handicapé a été ou est maltraité ou négligé, que la maltraitance ou la négligence se soit produite ou non sur le campus ;
- lorsqu'il y a des informations sur le bizutage d'étudiants, que ce bizutage ait eu lieu ou non sur le campus ;
- lorsqu'il existe des informations provenant de la victime d'un acte criminel de vol, de destruction ou de violence couvert par la loi sur les zones scolaires sûres.
Sachez que si vous partagez ces informations par écrit, vous recevrez le soutien dont vous avez besoin. Si vous décidez de ne pas partager de telles informations dans vos écrits, nous espérons que vous les partagerez avec l'un des nombreux adultes sur le campus (au Centre de santé et de bien-être de Lamont et au Bureau du doyen des étudiants) qui sont là pour vous aider. Votre sécurité et votre bien-être sont nos principales préoccupations.
Veuillez consulter The E Book pour plus d'informations sur les lois du New Hampshire en matière de signalement obligatoire.


Les seuls outils dont vous avez besoin pour effectuer une grande partie de votre travail en anglais sont votre esprit, le texte, vos pensées, les outils d'écriture, le papier, le dictionnaire et le temps. Afin de développer votre propre capacité de lecture critique, veuillez ne pas consulter d'autres sources que vos camarades de classe, l'enseignant et le texte. Si vous lisez un texte écrit par quelqu'un d'autre, veuillez indiquer où vous avez trouvé l'information et le nom de la personne qui l'a écrit. Vous pouvez utiliser des sources extérieures lorsque vous construisez votre podcast ou lorsque vous recherchez des allusions. Toutes les sources doivent être créditées et citées conformément aux directives de la MLA.


Déclaration du département d'anglais sur l'honnêteté académique
L'honnêteté est une valeur fondamentale de PEA. Sans honnêteté, la communauté et la confiance qui la soutient ne peuvent pas s'épanouir. Sans honnêteté académique, il ne peut y avoir de véritable enseignement et apprentissage.
Dans de nombreux cas, la malhonnêteté académique est synonyme de plagiat. Présenter le langage, les idées ou les jugements critiques des autres comme étant les siens est du plagiat. Paraphraser le langage, les idées ou les jugements critiques des autres sans en donner le crédit est du plagiat.
Mais la malhonnêteté académique peut également se référer à la soumission de votre propre travail précédent sans communication complète avec votre professeur actuel, et à la soumission du même travail simultanément dans différents cours. Et le fait de consulter des sources secondaires (en ligne ou sur papier) et de présenter ces idées comme étant les vôtres en classe viole l'intégrité de l'enseignement et de l'apprentissage qui s'y déroulent.
Si vous avez des questions sur ces principes, il est de votre responsabilité de les soulever avec votre professeur. Il vous appartient de comprendre comment utiliser les mots et les idées des autres, ainsi que votre propre travail antérieur. L'ignorance, la précipitation, la négligence et la pression des autres travaux ne peuvent excuser la malhonnêteté académique. Les étudiants qui sont reconnus coupables de malhonnêteté académique peuvent être obligés de se présenter devant le comité de discipline et de se retirer de l'Académie.
Si vous avez des questions à ce sujet, adressez-vous à votre professeur. (Août 2020)

En cas de doute, adressez-vous à moi ou à un autre membre de la communauté. Nous pouvons travailler ensemble pour élaborer un plan pour un document qui n'est pas terminé ou un document qui vous met au défi.

Lignes directrices pour les forums de discussion en ligne
● Normes d'auto-expression. Comme toujours, tenez-vous à un niveau de discours élevé et faites preuve de respect envers tous les membres de la classe. Lisez vos commentaires à voix haute avant de les afficher pour voir si vous devez ajuster le ton. Les attaques personnelles, les blasphèmes, le langage socialement inacceptable, le sarcasme, les cris en TOUTES MAJUSCULES sont inacceptables. Les commentaires des forums de discussion ne sont pas des textes, alors : évitez les abréviations et l'argot ; utilisez une ponctuation et une grammaire correctes ; utilisez les émojis avec parcimonie. L'humour est le bienvenu tant que nous rions ensemble.
● Faites de la place pour toutes les voix. Comme à la table de Harkness, nous voulons entendre tout le monde. À moins que vous ne corrigiez une erreur, ne clarifiiez quelque chose que vous venez d'écrire, ne répondiez à une question qui vous est adressée ou ne vous excusiez, essayez d'attendre 4 réponses avant de poster à nouveau. Lorsque vous posez une question, résistez à y répondre avant que les autres n'aient eu l'occasion de le faire. Poser 3-4 fois au cours d'une discussion est généralement suffisant.
● Respirez. Il peut être tentant de réagir rapidement à des idées ou des points de vue avec lesquels vous n'êtes pas d'accord. Les expériences uniques de chaque membre de la classe peuvent donner lieu à des perspectives différentes. Plutôt que de vous précipiter pour juger, faites une pause et cherchez à comprendre. Posez des questions pour comprendre des idées différentes des vôtres.
● Lisez tout. Lisez tous les commentaires avant de les afficher sur un forum de discussion. Ne répétez pas les idées qui ont déjà été exprimées.
● Soyez précis. Gardez vos commentaires et questions enracinés dans le particulier. Citez vos textes et autres documents assignés avec précision.
● Citez la source. Si vous citez des informations provenant d'une source extérieure ou d'une autre personne, citez la source et fournissez des liens si vous le pouvez. Donnez à vos camarades de classe le crédit de leurs idées et utilisez leurs noms si vous retournez à des commentaires faits précédemment.
● Concernant le contenu. Si vous avez une inquiétude concernant un poste, faites savoir à la personne, au groupe et/ou à l'enseignant l'impact que le poste ou le commentaire a eu sur vous.
● Respect de la vie privée. Respectez la vie privée de vos camarades de classe. Le contenu généré sur un site de cours Canvas, via Zoom ou ailleurs ne doit pas être partagé sous quelque forme que ce soit, y compris les médias sociaux, les mèmes ou les chats de messagerie. Les captures d'écran ou les enregistrements des interactions nécessitent l'approbation explicite et préalable de tous les participants
● Problèmes de droits d'auteur. Tout matériel protégé par des droits d'auteur distribué dans le cadre de ce cours est destiné à votre usage exclusif. Vous ne pouvez pas publier, partager ou distribuer des textes, des vidéos ou d'autres matériels protégés par des droits d'auteur.
● Des questions ? Posez-les à votre professeur.

Français 400F – Hiver 2020-2021 (Mme. Fair)

Livres du cours: Maryse Condé, Le Coeur à rire et à pleurer
Françoise Ghillebaert, Face-à-face – conversation sans frontières, 3e édition, Vista Higher Learning, 2021, chapitres 3-4.

Cet hiver, nous allons continuer à réviser les structures et le vocabulaire de base du français, en nous focalisant sur les chapitres 3 et 4 de Face-à-face. Grâce à la lecture de Maryse Condé, Le Cœur à rire et à pleurer – contes vrais de mon enfance, nous allons découvrir ensemble la Guadeloupe des années d’après-guerre, cadre dans lequel évolue la narratrice, sa famille et ses proches. Chaque chapitre de ce texte présente une nouvelle étape dans la vie de la narratrice et témoigne de ses aspirations, défis, réussites et échecs.

Mes attentes:
• Préparez soigneusement les devoirs. Vous lirez Face-à-face et Maryse Condé de très près en cherchant tout le vocabulaire, que vous noterez dans un cahier séparé. Toutes les deux ou trois semaines environ, vous me rendrez 25 mots ou expressions et passerez une interro individuelle sur votre propre vocabulaire. Vous allez également partager des réflexions écrites au sujet de Condé sur Canvas – Collaborations.

• Participez régulièrement à toute activité, y compris à la discussion. Votre but devrait être de parler un minimum de trois ou quatre fois chaque jour, sinon davantage.

• Essayez de vous servir de la grammaire que nous étudions dans vos devoirs écrits sur Condé. Tâchez peu à peu d’employer un vocabulaire de plus en plus riche et d’utiliser des structures de plus en plus complexes. Prenez des risques et votre français s’améliorera !

• En rédigeant vos devoirs, n’oubliez pas qu’il est strictement interdit de vous servir d’un traducteur en ligne tel que Google translator pour traduire des phrases entières. (Cf. notre Departmental Statement on Academic Honesty.) Vous pouvez, bien sûr, vous servir de dictionnaires en ligne tels que Lexilogos, WordReference, Collins, Larousse, etc. pour chercher des mots ou expressions individuels, mais jamais des phrases complètes.

• Venez à nos réunions synchrones à l’heure.

• Eteignez votre téléphone portable et tout autre appareil – sauf celui que vous utilisez pour Zoom - pendant le cours.

Les notes :

Votre note finale sera fondée sur :

1- Votre préparation et participation quotidiennes ;
2- Vos devoirs écrits, y compris vos questions et réflexions écrites sur la Collaboration au sujet de Condé ;
3- Les interros de vocabulaire personnel;
4- Les exercices et interros sur VHL, Face-à-face.

Les heures de bureau : si vous voulez vous réunir avec moi, veuillez prendre rendez-vous, soit pour un créneau pendant les heures de bureau, soit pour un autre moment. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions sur quoi que ce soit. Vous pouvez m’envoyer un mail ou un texto au 518-744-7672. Vous pouvez m’appeler aussi, mais pas après 21h (9 :00 du soir). Merci !


PLANNING DES SEMAINES 1-2

NB: Les devoirs sont à rendre le jour où ils figurent sur le planning. Ces devoirs seront postés sur Canvas par jour, et figureront sur le Calendrier.

Semaine du: Jour 1 - le lundi 7 décembre -synchrone Jour 2 – le mardi 8 décembre - asynchrone Jour 3 – le mercredi 9 décembre - synchrone Jour 4 – le vendredi 11 décembre - synchrone
7 décembre
Présentations; introduction au cours. Vos attentes et les miennes. Les devoirs oraux et écrits. La grammaire : ce trimestre nous allons réviser les pronoms personnels et le subjonctif. Y a-t-il autre chose que vous voudriez réviser ?
Condé : lecture du titre, des épigraphes, de la première page… Condé, Le Cœur à rire et à pleurer – relisez la p. 11, lisez les pp 12-14 jusqu’à « …à la cheville ? »

Sur Canvas – Collaborations : écrivez deux questions et trouvez deux citations que vous voulez discuter en classe. Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Condé : Finissez de lire le premier chapitre. Que pensez-vous de la question qui finit le chapitre ? Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Condé : Ch 3, Lutte des classes : lisez les pp 29-30. Ecrivez deux questions sur la Collaboration.
Semaine du: Jour 1 - le lundi 14 décembre -synchrone Jour 2 – le mardi 15 décembre - asynchrone Jour 3 – le mercredi 16 décembre - synchrone Jour 4 – le vendredi 18 décembre - synchrone
14 décembre Condé, Lutte des classes – finissez de lire le chapitre, puis écrivez un commentaire sur la Collaboration.
Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Exercices supplémentaires sur les pronoms : à faire et à rendre sur Canvas

Rendez-moi une liste de 25 mots/expressions pour votre première interro de vocabulaire (vendredi) Condé, Yvelise, pp 37-39 : lisez, et rédigez 3 questions sur la Collaboration, à poser en classe


Les pronoms : exercices d’hier à corriger ensemble
Condé, Yvelise, finissez le chapitre et soyez prêt(e)s à en discuter ensemble.

Première interro de vocabulaire personnel (sur Canvas, en classe).

Pronoms objets directs. Complétez les réponses suivantes en remplaçant les mots en gras par les pronoms qui conviennent.
- Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? ---Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
- Vous avez visité le musée du Louvre ? ---Oui, nous l’avons visité hier.
- Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! ---Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
- Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? ---Oui, je les ai perdues hier soir.
- J’espère que vous avez réservé votre place ? ---Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
- Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? ---Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
- Tu aimes cette couleur ? ---Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
- Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? ---Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
- Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? ---Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
- Tu connais cette fille ? ---Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
- Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.

- Il a pris la voiture ? ---Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
- Vraiment, il n’aime pas les confitures ? ---Non, il n’aime pas ça.
- Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? ---Si, je l’ai bien vu !
- Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? ---Oui, je les ai remarquées, et alors ?
- Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? ---Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
- Est-ce qu’il a revu Véronique ? ---Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
- Vraiment, il déteste l’opéra ? ---Oui, il déteste ça !
- Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? ---En principe, nous devrions la voir demain.
- Tu crois qu’ils seront à l’heure ? ---Oh oui, en général, ils le sont.
- Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? ---Oui, ils le savaient.
- Vous aimez les champignons ? ---Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
- Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? ---Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
- Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? ---Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.

J'ai une liste de mots sans genre en français, alors je les ajoute lentement un par un dans mon jeu Anki. J'ai cependant remarqué que la détection des doublons ne fonctionne pas toujours quand je m'y attends (cliquez ici pour les images, car je ne peux poster que deux liens) :

Créer une carte avec "le vin" devant, en le tapant directement et en s'assurant que l'éditeur HTML ne dit que ces deux mots sans artefacts. (Image n°1.)

Créer une nouvelle carte, en retapant "le vin" (sans artefacts). La détection des doublons fonctionne comme prévu. (Image n°2.)

Faites une autre nouvelle carte, en tapant "le " puis en copiant le mot "vin" d'un autre endroit et en le collant (jusqu'à présent, j'ai testé avec Chrome/Firefox/Excel mais je suis sûr que c'est similaire pour n'importe quel matériel source). Cette fois, aucun double n'a été trouvé. (Image n°3.)

En examinant le HTML, nous constatons qu'en effet, un espace non cassant a remplacé notre précédent espace normal (Image #4.)

Maintenant, l'ajout d'espaces non séparables dans Anki est un problème connu (voir /r/Anki/comments/ea80dx/nbsp_misery/), mais ce n'est pas le but de ce billet. Non, le problème est l'absence de détection des doublons malgré les espaces différents, qui était à un moment donné opérationnel 1.

Problème présent dans Anki 2.1.37.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Point n° : SCP-173

Classe d'objets : Euclide

Procédures spéciales de confinement : L'article SCP-173 doit être conservé à tout moment dans un conteneur verrouillé. Lorsque le personnel doit entrer dans le conteneur SCP-173, pas moins de trois personnes peuvent y entrer à tout moment et la porte doit être verrouillée à nouveau derrière elles. En tout temps, deux personnes doivent maintenir un contact visuel direct avec le SCP-173 jusqu'à ce que tout le personnel ait quitté le conteneur et l'ait reverrouillé.

Description : Déménagement sur le site 19 1993. L'origine est encore inconnue. Il est construit à partir de béton et de barres d'armature avec des traces de peinture en aérosol de marque Krylon. Le SCP-173 est animé et extrêmement hostile. L'objet ne peut pas bouger lorsqu'il est dans une ligne de mire directe. Le SCP-173 ne doit en aucun cas interrompre la ligne de vue. Le personnel affecté à l'entrée du conteneur a pour instruction de se mettre en alerte avant de clignoter. On signale que l'objet attaque en brisant le cou à la base du crâne, ou par strangulation. En cas d'attaque, le personnel doit observer les procédures de confinement des objets dangereux de classe 4.

Le personnel signale des bruits de grattage de pierre provenant de l'intérieur du conteneur lorsque personne n'est présent à l'intérieur. Ceci est considéré comme normal, et tout changement de ce comportement doit être signalé au superviseur intérimaire du HMCL en service.

La substance brun-rougeâtre sur le sol est une combinaison d'excréments et de sang. L'origine de ces matériaux est inconnue. L'enceinte doit être nettoyée toutes les deux semaines.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

La Guadeloupe des années cinquante. Contre des parents qui semblent surtout soudés par le mensonge, contre une mère aussi dure avec les autres qu'avec elle-même, contre un père timoré, la petite Maryse prend le chemin de la rébellion. La soif de connaissance, les rêves d'autonomie et de liberté la guident vers son destin d'écrivain. Mais peu à peu les épreuves de la vie appellent l'indulgence, la nostalgie de l'âme caraïbe restitue certains bonheurs de l'enfance. Et Maryse se souvient alors de cet instant qui lui redonna l'amour des siens, de cette ultime nuit où « roulée en boule contre son flanc, dans son odeur d'âge et d'arnica, dans sa chaleur », elle retrouva sa mère en la perdant.
Carmen]
L’amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser,
Et c’est bien in vain qu’on l’appelle
S’il lui convient de refuser.

Rien n’y fait, menace ou prière.
L’un parle bien, l’autre se tait.
Et c’est l’autre que je préfère.
Il n’a rien dit mais il me plait.
[Echoes Choeur]

L’amour! L’amour! L’amour! L’amour!

L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime;
Si je t’aime, prends garde à toi! (Prends garde à toi!)
[Echoes Choeur]

Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime, (Prends garde à toi!)
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi!

L’oiseau que tu croyais surprendere
Battit d’aile et s’envola.
L’amour est loin, tu peux l’attendre,
Tu ne l’attends pas, il est là!

Tout atour de toi, vite vite,
Il vient, s’en va, puis il revient.
Tu crois le tenir, il t’evite;
Tu crois l’eviter, il te tient.
[Echoes Choeur]

L’amour! L’amour! L’amour! L’amour!

L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime;
Si je t’aime, prends garde à toi! (Prends garde à toi!)
best regards french
Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime, (Prends garde à toi!)
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi!
Introduction à la comptabilité
Comptabilité
Une introduction aux histoires et aux théories de l'architecture jusqu'en 1800
Une introduction aux histoires et aux théories de l'architecture de 1800 à nos jours
Principes fondamentaux de la construction
Principes fondamentaux de la conception des structures
Principes fondamentaux de la conception environnementale
Afrikaans II
L'Angleterre avant la conquête normande
L'histoire scandinave à l'époque des Vikings
Les peuples brittoniques du IVe au XIIe siècle
Les peuples de langue gaélique du IVe au XIIe siècle
Langue et littérature anglaises anciennes
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Paléographie et codicologie
Arabe I
Arabe II
Les objets de l'histoire de l'art
La fabrication de l'art (essais)
La fabrication de l'art (visuels)
La signification de l'architecture et de l'art (essais)
La signification de l'architecture et de l'art (visuels)
Une introduction à l'art et au design
Projets dans le domaine de l'art et du design
Design et textiles
Médias numériques et design
Études sur les médias
Archéologie mondiale
L'archéologie en action
Introduction aux cultures d'Égypte et de Mésopotamie
Être humain : perspectives interdisciplinaires
Langue babylonienne
Langue égyptienne I
L'homme dans une perspective biologique
Concepts de la biosphère
Une introduction à la gestion de l'environnement
Alimentation et nutrition
Une introduction aux sciences de la mer
L'éducation physique
La science combinée

Ch 3 :
Logan
1. Quelle réputation avait sa mère pour faire en sorte que les sœurs Rama ne veuillent pas laisser entrer Maryse dans leur école ?
2. La famille de Maryse fait-elle partie de la bourgeoisie ou plutôt aspire-t-elle à en faire partie ?
D’autres excellentes questions. Nous verrons à quel point la réputation de sa mère n’est plus à faire ! Quant à votre deuxième question, la famille Boucolon fait bien partie de la bonne bourgeoisie.

Commentaire:
Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.
Un excellent commentaire, nuancé et juste, de ce passage. On a souvent tendance à donner raison au fils de Madonne dans ce chapitre, et j’aime bien le fait que vous ayez mis côte à côte les deux versions de l’histoire en vous interrogeant sur la conclusion qu’il faut en tirer.
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Chinois I
Chinois II
Traduction et rédaction en chinois moderne I
Textes chinois modernes I
Littérature chinoise I

Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.

Une phrase que j'ai remarquée plus attentivement lors de la relecture était "notables dans leur pays". Les mots impliquent que la narratrice elle-même croit que sa famille n'est pas vraiment française. Et je sais que cela veut probablement dire "région" ici, mais le fait qu'elle n'ait pas choisi d'utiliser "région" ou "département" en dit long.

Il est intéressant de voir comment cela reflète l'évolution de la langue française elle-même ; elle a été essentiellement gravée dans le marbre au dix-huitième siècle et si la langue parlée s'est développée à sa manière, il existe toujours la notion d'un français "pur" que les gens devraient parler. Et on voit le stéréotype renversé, non : que les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises idéalistes sont ceux qui en sont le plus privés par les hommes et les femmes du quotidien.

Il est intéressant de voir comment cela reflète ce que nous voyons dans l'histoire de la langue française elle-même ; elle a été essentiellement gravée dans le marbre au dix-huitième siècle et si la langue parlée s'est développée à sa manière, il existe toujours la notion d'un français "pur" que les gens devraient parler. Et on voit le stéréotype inversé : les personnes qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes ne sont pas de vieux Français blancs mais plutôt ceux qui sont les plus privés de leur francité par les gens ordinaires.

Et nous voyons le stéréotype inversé, à savoir que les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes sont ceux qui en sont le plus privés par les gens ordinaires.

les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes sont ceux qui en sont le plus privés par les gens ordinaires.

Notons également que le mot "aliéné" a deux sens, à savoir "fou" et "étranger", et que la première fois que Sandrino le dit, c'est dans un

Et notons également les deux sens du mot "aliéné" pour signifier à la fois "fou" et "étranger".

Parce que quand Sandrino le dit, on dirait plutôt qu'il veut dire que leurs parents sont fous, et non qu'ils ne sont pas acceptés par la société française. Mais cela s'inscrit dans une discussion plus générale sur leur rôle dans la société.

grain de sel

Mes professeurs ont été plus qu'heureux de nous donner beaucoup de devoirs.

Comment sont

Notons également les deux sens du mot "étranger" pour signifier à la fois "fou" et "étranger".

Quand Sandrino le dit, on dirait plutôt qu'il veut dire que leurs parents sont fous, et non qu'ils ne sont pas acceptés par la société française. Mais cela s'inscrit dans une discussion plus générale sur leur rôle dans la société.

donnez vos deux sous


C'est très bizarre.

Je n'avais que des travaux de laboratoire pour la chimie qui étaient en personne.

Les gens de mon dernier groupe ne parlaient pas du tout, alors j'espère que ce

Vous devrez me pardonner de ne pas avoir regardé la caméra.

qui les rend ignorants

Quelles sont les deux questions que vous avez posées ?

Elle s'est promise de ne jamais devenir comme ses parents, mais elle les admire.

Pensez-vous que ça va vraiment marcher ?
J'ai l'impression que

assimiler

Re-bonjour à tous,



Vous allez passer votre première interro de vocabulaire personnel après les vacances. Ceci dit, rendez-moi votre liste de vocabulaire demain sur Canvas, comme prévu.



Quant à l’interro : vous allez devoir soit définir le mot en français, soit le replacer dans le contexte du texte, toujours en français. Si vous choisissez de contextualiser le mot, il faut que ce contexte soit parfaitement clair. A noter aussi : si vous faites des erreurs de français, pas de soucis! Elles ne compteront pas contre vous, à condition que je puisse comprendre votre définition ou contextualisation.



A mercredi et bon après-midi !



Mme. Fair

Alyssa, je ne sais pas quoi écrire. J'ai deux soeurs, et... de toute façon, prenez tout le temps qu'il vous faut. Pas besoin de documentation.

Et vous n'avez pas besoin de promettre de ne pas prendre une autre prolongation - je vous donne une flexibilité générale à l'avance. Vous avez déjà fait du bon travail jusqu'à présent, et mon objectif est que vous tiriez quelque chose de positif de la classe, et après ce qui vient de se passer, si vous participez juste dans la mesure du possible, je ferai en sorte que ça marche. Prenez soin de vous.
AU-DELÀ DE LA FROID CORÉENNE : Hallyu, la vague culturelle coréenne, a propulsé la République de Corée sur la scène mondiale en tant qu'exportateur de drames, de boys bands, de girl bands et de films. Après la guerre de Corée, la Corée était l'une des nations les plus pauvres du monde. Aujourd'hui, la Corée du Sud est considérée comme le pays le plus branché du monde et la capitale mondiale de la chirurgie plastique. Comment la littérature sud-coréenne contemporaine explore-t-elle le coût des changements rapides et de l'urbanisation ? Si les écrivains brandissent un miroir de cette nation divisée, que demandent-ils que nous voyions ? En 2013, l'Institut coréen de traduction littéraire, en collaboration avec Dalkey Archive Press, a publié un recueil de 25 romans et nouvelles coréennes en anglais. L'étude des textes littéraires en traduction nous permettra de regarder au-delà de la culture populaire coréenne pour examiner le concept de han et ce qui a été sacrifié dans la poursuite de la croissance économique. Les étudiants rédigeront de courts textes analytiques et réaliseront un projet indépendant de leur propre conception.
INTRODUCTION À LA THERMODYNAMIQUE STATISTIQUE : La thermodynamique est la base sur laquelle la science de la chimie physique est construite, et la thermodynamique statistique fournit la base fondamentale, au niveau moléculaire, des idées de la thermodynamique. Ce cours se concentrera sur la capacité de la thermodynamique statistique à utiliser des modèles physiques simples, ainsi que certaines mathématiques inspirées, pour prédire le comportement des atomes et des molécules (appelé "l'efficacité déraisonnable de simplifications irréalistes"). Le concept d'entropie sera un thème fédérateur tout au long du cours et, compte tenu de son rôle central, du temps sera consacré à l'élaboration d'un modèle mathématique rigoureux de l'entropie par l'utilisation de la probabilité et du calcul multi-variable. Les sujets plus traditionnels de la thermodynamique seront présentés relativement rapidement. Les première et deuxième lois de la thermodynamique seront explorées ; les équations fondamentales de la thermodynamique, en tant qu'équations différentielles, seront utilisées pour définir les propriétés de la température, de la pression et du potentiel chimique ; et le concept d'énergie libre (et son importance dans la description de l'équilibre) sera développé. La loi de distribution de Boltzmann (et la fonction de partition) sera dérivée puis utilisée, avec des modèles physiques simples, pour calculer les propriétés thermodynamiques et physiques des systèmes à l'équilibre. Après un bref aperçu de la théorie quantique et de la mécanique statistique, l'expression de la constante d'équilibre sera dérivée (en employant la fonction de partition) et les valeurs des constantes d'équilibre chimique en phase gazeuse seront calculées et comparées aux valeurs empiriques. Enfin, des modèles en treillis seront utilisés pour explorer les propriétés des liquides, l'équilibre liquide/vapeur et les solutions. Il y aura des travaux expérimentaux, permettant aux étudiants d'étudier un système réel et d'utiliser les modèles simples, et les mathématiques, de la thermodynamique statistique pour étudier son comportement physique et/ou chimique.
LA COLLISION DES MOTS DANS LA LITTÉRATURE FRANCOPHONE COLONIALE ET POSTCOLONIALE : Ce cours explore les attitudes conflictuelles sur l'histoire, la politique, la culture et l'identité explicites et implicites dans la production littéraire francophone coloniale et postcoloniale. Les sujets abordés peuvent inclure la négritude, l'oralité, l'engagement, les moeurs, la désillusion, la religion et la justice sociale. Le cours peut se concentrer sur des zones géographiques, des genres et/ou des auteurs spécifiques. Les étudiants ont la possibilité d'enrichir leur compétence culturelle par l'étude de l'actualité, de documentaires, de films et de télévision.
ABSTRACT ALGEBRA : Ce cours traite des structures algébriques qui apparaissent dans de nombreux domaines des mathématiques et des sciences. Prenez un tétraèdre, par exemple. Toutes les rotations de trois espaces qui déplacent le tétraèdre de manière à ce qu'il occupe le même espace qu'au départ (avec des sommets éventuellement dans des positions différentes) sont appelées les symétries du tétraèdre. Il existe une opération sur deux symétries qui se comporte (en quelque sorte) comme une multiplication ordinaire de nombres : si A et B sont deux symétries (rotations), alors A*B peut être défini comme étant la rotation appliquée au tétraèdre en tournant d'abord selon B puis selon A. Ce qui est intéressant dans cette "multiplication", c'est qu'elle est associative mais non commutative. L'ensemble de toutes les symétries (et il y en a exactement 12) forme donc une structure algébrique, qui dans ce cas est appelée un groupe. Le cours part des axiomes d'un groupe et développe en détail de nombreuses et belles propriétés des groupes. L'autre structure principale étudiée dans le cours est celle des anneaux, qui sont des ensembles avec une addition et une multiplication qui ont des propriétés similaires à celles satisfaites par l'ensemble Z des entiers et l'ensemble R des nombres réels. S'il reste du temps à la fin du cours, nous appliquerons certains des résultats de la théorie des anneaux pour construire et étudier les champs.
LA CHIMIE ACCÉLÉRÉE : Introduction au cadre théorique de la chimie moderne, ce cours en laboratoire est conçu pour favoriser la réflexion scientifique, les compétences en matière de résolution de problèmes et l'apprentissage coopératif. Les sujets abordés comprennent la structure atomique et moléculaire, la stoechiométrie, les états de la matière, le comportement chimique et physique des éléments et des composés, la chimie des solutions, la cinétique, l'équilibre, la thermochimie et l'électrochimie.
Brandon veut un chien. Il veut un gros chien. Il veut un très gros chien ! Il veut un très gros chien comme Clifford, mais il ne veut pas un chien rouge comme Clifford. Brandon ne veut pas d'un chien rouge, il veut un chien de couleur normale. Il veut un chien blanc ou un chien noir. Il veut un gros chien !
Sa soeur, Katie, a un rat, mais Brandon ne veut pas de rat. Les rats sont horribles. Brandon ne veut pas d'un rat horrible. Brandon veut un chien !
Son ami, Jamie, a un hamster, mais Brandon ne veut pas de hamster. Les hamsters sont horribles aussi. Brandon ne veut pas d'un horrible hamster. Brandon veut un chien !
Son ami, Jake, a un chien. Le chien de Jake est grand et intelligent aussi. Brandon veut un chien comme le chien de Jake. Il veut un chien grand et intelligent.
Les hamsters ne sont pas intelligents. Les rats ne sont pas intelligents non plus. Mais les chiens sont intelligents et Brandon veut un chien intelligent ! Il veut un gros chien intelligent !
Dans le parc, il y a beaucoup de chiens. Brandon voit les chiens et dit : "Je veux un chien !" Il voit un chien noir et s'exclame : "Je veux un chien noir !" Il voit un chien blanc et s'exclame : "Je veux un chien blanc !" Il voit un gros chien et s'exclame : "Je veux un gros chien !" Il voit un petit chien et s'exclame : "Je veux un chien, mais je ne veux pas de petit chien. Je veux un gros chien !"
Brandon voit aussi beaucoup de chiens à la télévision. Sur la chaîne 20, Brandon regarde Marley & Me. Brandon s'exclame : "Marley est un chien parfait ! Je veux un chien comme Marley." Sur la chaîne 30, Brandon regarde Beethoven. Brandon s'exclame avec enthousiasme : "Je veux un chien comme Beethoven !" Sur la chaîne Animal Planet, Brandon voit beaucoup de chiens. Il voit des gros chiens et des petits chiens. Brandon s'exclame : "Oh, wow, je veux un chien !"

"Maman," dit Brandon, "Je veux un chien. Je veux un gros chien !"
"Brandon, un chien demande beaucoup de responsabilités", dit sa mère.
"Oui, maman. Je suis responsable."
"Brandon, tu n'as que 8 ans. Un chien est une énorme responsabilité pour un enfant de 8 ans."
"C'est vrai", répond Brandon avec intelligence. "Oui, un chien est une énorme responsabilité pour un enfant de 8 ans. Mais ce n'est pas une énorme responsabilité pour un enfant de 9 ans."
"Ha, ha, ha. Brandon, tu es si intelligent", dit sa mère.
"Oui, maman. Et je suis responsable aussi !"
Brandon a 8 ans, mais il va en avoir 9. Brandon veut un chien pour son anniversaire. Un chien est un cadeau d'anniversaire parfait !
"Maman, je veux un chien pour mon anniversaire."
"Un chien pour ton anniversaire ?"
"Oui, maman !" s'exclame Brandon avec enthousiasme. "Je veux un gros chien pour mon anniversaire."
"Brandon, les chiens sont gênants."
"Dérangeants ?" dit Brandon dans la confusion.
"Oui, Brandon. Les chiens sont gênants. Ils sont très gênants."
Brandon est très intelligent. Il considère le commentaire de sa mère et réagit :
"Maman, tu ne veux pas d'un chien parce que les chiens sont gênants ?"
"C'est vrai. Je ne veux pas de chien parce que les chiens sont gênants, ils sont très gênants", lui répond sa mère.
"Mais les rats sont aussi gênants. Le rat de Katie est gênant et Katie a un rat..."
"Brandon, les rats causent de petits problèmes et les chiens de gros problèmes !" dit sa mère.
"Le chien de Jake ne cause pas de problèmes. Le chien de Jake est le gardien de la famille. Son chien est fantastique !"
La mère de Brandon est irritée. Elle ne veut pas de chien et ne veut pas continuer la conversation. Mais Brandon poursuit la conversation avec beaucoup d'enthousiasme :
"Maman, je veux un chien comme le chien de Jake. Je veux un gros chien".
"Les gros chiens causent de gros problèmes", répond sa mère irritée. "Un chien prend beaucoup de responsabilités."
"Maman, je vais avoir 9 ans. Je suis prête à assumer des responsabilités. Je suis responsable."
La mère de Brandon ne répond pas, et Brandon continue :
"Je ne veux pas de Xbox et je ne veux pas de téléphone portable. Je veux juste un chien. S'il te plaît, maman, je veux un chien pour mon anniversaire !"
À ce moment-là, le téléphone interrompt la conversation. "Sonnerie, sonnerie." Brandon veut continuer la conversation, mais sa mère ne veut pas. Elle va au téléphone et dit : "Allô ?..." au téléphone. Elle ignore Brandon et Brandon n'est pas content. Il veut vraiment un chien !

Brandon part à vélo.
"Au revoir, Brandon", dit sa mère. "Sois de retour pour 20 h."
"D'accord, maman. Je serai de retour à 20 h. Au revoir."
Brandon dit "au revoir" à sa mère et va chez Jake. Il voit son ami et son chien, Tiger, devant la maison.
"Bonjour Jake. Salut Tiger", leur dit Brandon.
"Bonjour Brandon", dit Jake.
Tiger saute et crie "woof, woof !" avec enthousiasme. Brandon est impressionné et dit :
"Ouah ! Tiger est si intelligent !"
"Oui", répond Jake. "Tiger est un chien très intelligent."
"Est-ce que Tiger cause des problèmes ?"
"Non, il ne cause pas de problèmes", dit Jake, curieux.
"Ma mère dit que les chiens causent beaucoup de problèmes."
"Faux ! Tous les chiens ne causent pas de problèmes. Tiger ne cause pas de problèmes. C'est un chien parfait !" dit Jake.
"Je veux un chien comme Tiger !" s'exclame Brandon.
Les deux enfants se rendent au parc à vélo.
"Wouf, wouf !" dit Tiger.
"Au revoir, Tiger", dit Brandon.
Dans le parc, il y a beaucoup de gens et beaucoup de chiens aussi. Brandon et Jake voient des gros chiens et des petits chiens. Ils parcourent le parc à vélo. Soudain, un petit chien passe devant eux. Brandon voit le toutou

[Laink] Oh, je vais faire comme toi !

[Laink] Ho j'te copie, j'te copie. Je fais la même chose que toi !

[Laink] DASHHH !!!

[Terra] Le mec il fait exactement la même chose que moi.

[Terra] T'es une petite p**e sans personnalité.

[Terra] Mais du coup t'as fait la même chose ?

[Laink] Ouais, mais heu..

[Terra] T'es une sous-merde..

[Laink] Mais alors du coup on a une égalité.

[Terra] Mais t'es une grosse merde !

[Terra] Tu mériterais de perdre pour avoir fait ça !

[Laink] Hey mais t'as déjà joué !

[Terra] Heu pas suffisamment pour pouvoir dire que j'ai déjà joué

[Laink] Ha t'as vraiment joué, genre en fait 10min c'est plutôt 1min ?

[Terra] Bah tu vois je viens de comprendre déjà que j'étais à gauche !

[Laink] Hey mais c'est compliqué parce que si

[Laink] Y'a pas de sol

[Terra] Heuu ouais.. alors bah déjà je suis coincé ça y est,

[Terra] parce que je vois pas comment je peux le mettre

[Laink] HOOOOOO !

|Laink] Y'a de la physique !!

[Terra] Je te l'ai dit juste avant.

[Laink] Mais oui mais je pensais que c'était faux ! Y'a pas de physique dans un tetris !

[Terra] Ha bah voilà, OK !

[Terra] Ok bon bah j'ai perdu !!

[Laink] Hé bah c'est..Hé put**n j'ai adoré !

[Laink] Faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres

[Laink] On arrête,

[Laink] On s'en fait d'autres genre au prochain stream

[Terra] Là déjà je crois que j'ai ma dose.

[Terra] Alors là c'est le premier qui atteint heu...

[Terra] Hé m*rde voilà !

[Terra] Voilà j'ai déjà fait de la m*rde et je fais comment moi pour rattraper ça ?

[Laink] Qui atteint quoi ?

[Terra] Cette m*rde en haut là !

[Laink] Bah faut faire juste une pyramide, moi je veux bien la faire, c'est pas compliqué.

[Laink] Ha on sent que j'ai joué quand j'étais petit hein !

[Terra] J'suis dans la m*rde à cause de ma connerie du début. Tout se repose sur un équilibre à la base.

[Laink] NAN !!

NAAN !!

NAAAN !!

[Laink] Mais, c'est y'a du vent ou quoi !?

[Laink] J'te jure y'a du vent..

[Terra] T'as tout un tas de...

[Laink] De trucs comme ça

[Terra] Voilà !

[Laink] Ha on maintient une espèce d'équilibre là quand même

[Terra] J'ai oublié de te dire : je peux te mettre des malus.

[Laink] Comment ça tu peux me mettre des malus ?

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que cet Enfer ?

[Laink] Tu m'as dit des conneries, j'arrête pas d'atteindre la ligne et il se passe rien du tout !

[Terra] Mais non ça c'est les étapes

[Terra] C'est pas la ligne d'arrivée.

[Laink] Mais quand est-ce qu'on perd ?

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] J'SUIS DANS LA M**DE !!

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] Arrêtez ! Restez !!

[Laink] Restez !

[Terra] On dirait un mec, y'a des gens qui partent de sa soirée

Restez !

"Je vais changer de musique"

"C'est une bonne soirée.."

T'en a déjà fais une comme ça ?

Moi non

Toi aussi t'a déjà fais des soirées de m*rde ?

Moi c'est juste que j'ai jamais osé en faire

parce que je croyais que ça allait faire ça

[Laink] NAAAAN !!

D'où t'as fait un pâté comme ça ?

T'as fait un beau pâté.

[Terra] Ouais enfin un beau pâté, il tient vraiment en équilibre.

[Terra] Allez salut !

[Laink] Mais elle est ou la musique heu

*Tu tut tutu tuut t ututu *

[Laink] 'tain tu te fais un pâté compact hein !

[Terra] Ouais t'as raison. Pas la peine de me s*cer la b*te hein !!

[Terra] Tu vas pas plus gagner.

[Laink] Ho regardez comment je vais la caler.

[Laink] OOOOHH nan !

[Terra] Ho là ! Nom d'un pâté !!

[Terra] HOOOo

[Laink] t'en as...

[Laink] Nan...

[Laink] Nan

[Laink] Nan RESTEZ !

Mais toi avec ton vieux pâté de mort là !

Mais au début il était bien.

Mais nan mais...

[Laink] Laink qui est pas au courant des bonus

QUOI ?

Oui c'est soit tu te mets un bonus soit un malus

T'appuies sur "B" pour les bonus et.. "X" pour les..bonus... Je sais plus.

Ok bah j'y penserais parce que maintenant que je le sais c'est mieux tu vois.

Ha bah il fallait regarder sur ton écran c'était affiché en grand.

Ha...Ha bah tu vois j'aurais dû lire hein

Ou un ami aurait dû me prévenir

Un ami LOYAL

Tu crois que quand moi j'ai joué on m'a prévenu ?

Bah...

ça n'empêche rien

[Laink] Ha genre là

[Laink] HASARD !!

[Laink] Tiens une porte !

[Terra] C'est pas du tout un malus pour moi ça.

[Laink] Ha bon ? bah une porte pourtant c'est quand même heuu...

Ho non une porte chez soi c'est quand même heu..

ça me parait compliqué

Hey rajouter une porte c'est pas n'importe quoi !

[Laink] Ha le mec mais ..

[Laink] mais il se fait un building

[Laink] Il se fait sa "TRUMP Tower"

[Laink] Il s'en bat les couilles

"A freaking building"

[Laink] Ha merci parce que justement..

QUOI ?

[Laink] T'avais plus de vie.

[Laink] Ha bah voilà c'est ça que je me demandais

[Laink] quand on fait tomber des pièces y'a bien des vies.

[Laink] Parce que là je me disais sinon si elle me convient pas

je vais la foutre à la poubelle

[Terra] Le mec qui trouve que le jeu est trop facile

[Terra] "Si j'aime pas la pièce j'ai qu'à la jeter"

[Laink] Si ça me fait chier tu vois..

[Laink] Attention je vais passer le premier pallier et pas toi.

[Terra] Je l'ai déjà passé tiens regarde pour te le prouver

Ho un piano, je voulais justement un piano chez moi

Ho un piano ça tombe bien parce que je voulais vraiment un piano.

Bah ouais je..je vois pas le problème

Ha une porte ! Ouais justement

Ho ça tombe bien je voulais justement une porte

Nan parce que j'avais un piano mais pas une porte.

[Laink] ATTENTION IL EST ÉNORME !!!

[Terra] Gros c*n

Gros c*n

[Terra] HHHHHHHANNNNN

[Laink] Holalalalalalalala

T'es une grosse m*rde

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ? Mais qu'est ce que je fais ?

[Laink] NNNOOOOOOOOOONNNNNN

[Terra] Mais mon pov' vieux

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ?
[Laink] AAAAAAAAAAHHHHHH

[Terra] Oh p**in
[Laink] AAAAAAAAAH

[Laink] MONTEZ VITE !

[Laink] MONTEEEEZ

[Laink] MONTEZ !

[Laink] FAITES DES LIGNES !

[Laink] MONTEZ !

[Laink] Elle est énorme encore une fois !!!!

[Laink] Naaaaaan !

[Laink] J'invoque un bateau

[Terra] Allez, vas-y consolide toi, consolide toi, consolide toi comme ça..

[Terra] Oui oui oui !! OUI OUI

[Laink] LA LIGNE !

[Terra] OUI OUI !! OUI OUI OUI

[Laink] Nan j'ai gagné.

[Laink] Quoi j'ai pas gagné ?!

[Terra ] Nan c'est moi qui ai gagné regarde la pointe.

[Laink] On n'a pas les mêmes pièces je viens de vérifier

ça se trouve t'as de la LUCK !!

Alors d'après le "théorème de Laink de la mauvaise foi"

C'est : Si je gagne c'est parce que j'ai de la Luck

Si tu gagnes c'est parce que tu a eu du talent.

A peu près !

C'est à peu près ça.

Cette théorie est universelle pour chaque jeu de chaque époque.

ça fait des années que je la connais, c'est une théorie qui est fiable.

[Laink] Tiens. Sois Maudit !!

Ha bah ça tombe bien je voulais un moulin

regarde il s'emboîte parfaitement.

[Laink] Put*in, c*nn*rd !!

[Laink] Il était parfait.

[Laink] Et quand tu mets tes lignes comme ça dans Tetris ça faisait un éclaire ça faisait :

"Pabaaah"

[Terra] Tiens regarde HOP ! 2 Kilos

Ha regarde, nickel je voulais un cube chez moi.

[Terra] Attends attends.. prend ça d'abord.

Ha bah merci, parce que.....

Heu nan, nan boh nan ça me fait...ça me fait chier !!

[Terra] Et ça, ça fait quoi?

[Laink] Ha !!

[Laink] Alors..

[Laink] Alors, ha..bon bah voilà.

[Laink] Ho non du brouillard.

[Laink] Ha par contre arrête de rire là

[Laink] Nan c'est quoi cette m*rde ?

[Laink] Sois maudit par les livres !

[Terra] C'est quoi ça ?

[Terra] HO ARRÊTE !

[Laink] Haa et après tu auras celle-ci
[Terra] C'est du cheat !

[Laink] Et après celle-là !!
[Terra] C'est du cheat !

Mais c'était du "CHEAT"

Et un château !!

[Laink] HÉ


Elle aime certainement plus leur famille, c'est certain, mais je ne suis pas sûr que ce soit parce que leur famille est plus libre. J'ai trouvé intéressant qu'elle aime le nom d'Yvelise parce qu'il combine ceux de ses parents, même si elle voulait aussi être libre de ses parents.

La mère a une forte volonté.

Ils

Ou plutôt, qu'on s'attend à ce qu'elle réussisse, ce qui n'est pas le cas de la famille d'Yvelise.

On a plus d'options, donc si on vient d'une petite ville et que l'on se fait des amis par nécessité, les amis d'Exeter seront plus intéressants.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
HÉÉ

les bouquins !!

LES BOUQUINS ! NAN mais c'est de la triche !!

[Laink] C'est de la triche de ouf ce truc.

[Laink] Et vas-y que Mr le Dieu du brouillard se ramène encore là.

[Laink] Reste, RESTE !

[Terra] OUF, c'était de justesse, il allait tomber mon château.

[Laink] Mais qu'est ce que c'est, mais j'ai de la m*rde, mais j'ai de la m*rde !!

[Terra] Ho on a les mêmes choses arrête un peu ton cinéma

[Laink] Mais ça en plus c'est faux !! Et en plus c'est faux !!

Toutou, và !

Toutou !

Bon chien.

[Laink] Qu'est ce que tu fais ?

MAIS TOUCHE A TON C*L !

[Laink] Pour ceux qu'ont pas vu il m'a fait tourner ma pièce hein, j'suis pas un boloss !

[Laink] ça va être tendu

[Terra] HÉÉE M**DE

[Laink] ça va être tendax

[Terra] Gros c*n !

[Terra] Il faut vite que je choppe un bonus.
[Laink] HAAA HAAA

[Laink] HAAAAAA

HHAAAAAAA

[Terra] ha j'étais en train de t'en envoyer un.

[Laink] Elle était en train de tomber

[Terra] Ho puta*n

[Terra] c'est vraiment du cheat, téma c'est la tour de Pise.

HÉ oui !

MÉDOU !

Mais arrête de *djoudjoudj*

[Laink] Mais tu sais quoi ton pâté il est dégeulasse

[Terra] Ouais le carré au millieu il m'a sauvé

En tombant sur le côté il a fait que tout était solide.

OUiiiiiiiiii

Dégeulasse !! 12-8 Bah c'est pas net hein

[Laink] Tiens des buissons. J'sais pas ce que c'est. amuse toi bien avec.

T'es un gros c*n, doublé d'un mauvais joueur.

Ah ouais ?

[Terra] Mais les buissons ils ont solidifié ma base et du coup..

[Laink] ATTENTIOOON !!

[Terra] Mais t'es vraiment une m*rde !

[Terra] Ha ouais ils ont rien solidifié du tout.

[Terra] Ho p*tain, holala

[Laink] C'est pas des buissons solides.

[Laink] HA ! OH j'aurais dû d...AAAAAAA

[Terra] Mais nan mais, ça faut que ça s'en aille ça !!

OOhOOh

OOHOOHHOOO
ce sont des Japonais
le colonel Blanc
le docteur Dupont
saint Paul
mon cher Monsieur Dupont
la Comédie-Française
la rue de la Paix
Johannesbourg
le boulevard Saint-Michel
l'avenue des Champs-Élysées
la place de la Concorde
le carrefour de l'Odéon
les animaux
un léger incident
un ami
avenue Albert-1er-de-Monaco
avenue Général-Leclerc
avenue du Président-Kennedy
avenue George-V
boulevard Vincent-Auriol
gare St-Lazare
place Charles-de-Gaulle
place de la Reine-Astrid
quai Henri-IV
rue de l'Abbé-Grégoire
rue Paul-Valéry
rue du Professeur-Louis-Renault
pont Alexandre-III
square Charles-Dickens
Aix-en-Provence
Colombey-les-deux-Églises
Hautes-Pyrénées
Saint-Denis
Seine-et-Marne
Le Havre
La Ferté-sous-Jouarre
Les Andelys

[Laink] Restez !

[Terra] Moi j'ai une très belle base.

De toute façon ma mère me l'a toujours dit : "Damien tu a une très belle base"

Ouais t'a une belle base ouais...

[Laink] Allez vas-y, mais vas-y

[Terra] On fait chier les petits camarades

[Laink] Mais de toute façon tu m'emm*rde.

LES LIIIIIVRES !

[Terra] Mais ça tourne, il me manque plus qu'un truc.

[Laink] ça fait pas mal de pièces Terra.

[Laink] Comment tu vas arriver à monter ?

[Terra] NOOON NONN ONOOONN

Ho nan...

Ho le bébé !

Il a fait tomber son château de sable.

[Terra] Mais c'est à cause de cette pièce à la c*n là !!

Ho non, alors que moi je prends un équilibre précaire.

[Laink] Allez, Allez ! Solidifie moi ça avec des buissons.

YES !!

Ma plus belle tour !

C'est terminé.

regardez moi cette tour qui ne ressemble à rien.

bah je pense que la je vais gagner du coup.

ha bon ?

Ouais

Tu peux me dire pourquoi ? Ou pas ? Ou pas encore

Je sais pas si tu bluff ou pas.

[Terra] Mais va te faire enc*ler avec tes pièces de c*n là !!

[Laink] DEUX PI ECES !!!!

Faut voir sa tour comme la France

Il faut une base solide. "Avec un grand flux migratoire"

"Avec une culture bien Française"

"pour soutenir la base"

[Terra] à cause de ta grosse pièce à la c*n

[Laink] Tiens les petits amis..Allez-y manger sa tour les petits amis !!

[Laink] Mais j'suis trop c*n mais pourquoi j'suis comme en mode normal !!!!

[Terra] T'as fait tomber trop de pièces t'avais plus de vie, gros c*n !

[Laink] Pu*** moi j'étais là genre : "ça j'aime pas, ça j'aime pas, ça j'aime pas"

[Laink] Ha bah justement j'en avais pas besoin de celle-là.

MAIS QU'EST-CE QUE TU EZUIFGEZO

[Terra] Je me disais elle m'embête

[Laink] P*tain t'es c*n, parce que je croyais qu'elle allait remonter jusqu'au ciel, elle est restée.

[Laink] je sens une fragilité dans la France.

je sens un gros flux migratoire là.

j'ai l'impression qu'on est en train de me voler mes emplois.

[Terra] Ils peuvent pas retourner chez eux ces briques là ?

Au début on avait une belle base et regarde ce que c'est devenu, c'est pleins de couleurs.

P*taiin !!

Haa elle est belle la France, regarde la, là !

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que ces gros pâtés que tu m'envoies ?

Je t'ai mis un de ces pâtés !
Ah merde

Salut

Je vais te donner de quoi ni**** ta mère

[Laink] Ha les caisses de l'état..HAAA

[Terra] Mais non mais elle était bien celle-ci

[Terra] Repose...remet la.

Bah ouais des fois c'est comme ça la France Terra. On a pas toujours ce qu'on veut mon ami.

Pour une base insoumise !!

Va te faire enc*ler !

Allez Looser.

t'es dans la m*rde

[Terra] Nan mais serieux la ? Je commence sur une base comme ça ?

[Laink] Ho elle est belle ta tour, elle représente quoi ?

Ton avenir.

OUHHHHHHHH

[Laink] J'arrive plus à respirer

[Terra] Faites lui du bouche à bouche

J'ai vu flou

[Terra] Nan mais la c'est bon c'est mort.

T'as une France heu..qui doute.

[Terra] Tiens et la tu vas douter quand tu vas devoir la mettre ?

Plus c'est gros plus ça passe.

[Terra] Attends, parce que t'as pas vu celle-la !

[Laink] Ha pour équilibrer.

Logiquement par le théorème de l'équilibre...

[Laink] Voilà , voilà, refaite moi, ok. Redonnez moi ma France.

[Terra] NOOOOOOOON !

Ma France, tu l'aimes ou tu la quittes.

Tiens tu vas la quitter ta France.

Tiens ! Tiens !

Tiens prends les tes acquis sociaux.

Tadam

[Laink] C'est lourd !!
[Terra] Vas te faire en**** !

[Terra] Eh tu sais quoi ? J'pouvais vraiment pas avoir mieux quoi.

J'me disais tout à l'heure: mais il me faut vraiment quelque chose de solide

OH NOOOONN

[Laink] Rooh c'est chiant. P*tain, c'est chiant.

Ha c'est dégeulasse ce que je fais, c'est dégeulasse.

C'est nickel

[Laink] Qu'est ce que tu fous ? Pu**** mais t'as pas le droit.

[Laink] MAIS T'AS PAS LE DROIT !

Mais j'peux rien faire contre !!

[Terra] T'es sérieux ? Fils de p*te !

[Laink] HAAAAA , mon arnaque !!

[Laink] Mais y a du vent aussi là haut pu*** !

[Laink] MAIS Y A DU VENT !!

[Terra] Oh oh OH OH

[Laink] J'ai gagné !!!

VAS TE FAIRE EN*****

[Laink] YeEES, à une seconde.

ha j'ai pas le compas dans l'oeil hein ça c'est sûr !

[Laink] MAIS JE SUIS TROP C*N !!!

[Laink] Mais quel débile !

[Laink] Mais pourquoi j'ai fait ...

[Laink] J'avais oublié qu'y'avait une ligne.

Le premier mod j'oublie toujours ce que c'est. je joue comme un débile.

[Terra] C'est des mods aléatoires.

[Laink] Ouais, Ouais. je te laisse gagner pour qu'on joue plus longtemps.

[Laink] ça sent déjà la m*rde !!!

Pourquoi je fais ça ? je me tire des bâtons dans les roues.

Est-ce qu'ont peut vraiment se tirer des bâtons dans les roues ?

Le Français se le demande.

Oui avec un pistolet à bâtons.

"Les Français en ont marre que le patronat tire des bâtons, avec des pistolets à bâtons."

On se fait ba*ser par le grand *incompréhensible*

"des bâtons qui sont tirés.."

On en parle pas des bâtons ! Des pistolets à bâtons.

"Est-ce que vous trouvez ça normal *???* on tire des bâtons à 2% sur les salariés.

[Laink] Mais au pire faites tout tomber, faites tout tomber mais faites tout tomber.

[Laink] J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus.

[Terra] Ho celle-ci t'en voudras bien un petit peu ?

Pourquoi je l'ai mise comme ça ?

J'ai l'impression d'avoir le cerveau déconnecté

[Laink] Quand on mettra la France en ordre, tu seras le premier à partir mon gars.

[Terra] Tu connais le principe de la réémigration de Lesquen ?

[Laink] Avec des congoïdes ?

Oui.

Allez tu sais quoi sur le "tec", comme une casquette que j'aurais posée.

[Laink] Ouais bah jolie casquette ouais.

[Laink] Hey je te rappelle que je t'ai mis un perfect avant, donc si tu m'en met un t'auras même pas le..

[Terra] Attend, oui donc tu disais ? En parlant de perfect..

Tu parles de ce que je viens de te mettre !? Ha d'accord.

[Laink] Y'a quelqu'un qui a dit dans le Tchat que j'était raciste parce que j'avais dit "congoïde"

En même temps Laink, excuse moi mais heuu..

T'as un public jeune

T'as un public jeune donc surveille un peu tes paroles.

[Laink] Nan j'avoue après imagine à la cour de récré les profs ils arrivent, ils entendent des mecs se traiter de "congoïdes"

Ils vont paniquer !

"Hey..Sale congoïde !! La réémigration tu vas voir"

[Laink] Ils vont paniquer de ouf !

"Mais qu'est-ce qu'il s'est passé, je comprends pas ?"

[Laink] Hey regardez comme c'est beau

Tu voulais une tour de Pise je suis en train de te la faire hein.

Hey mais c'est un équilibre qui fonctionne ça !!

[Terra] C'est ce qu'il faut faire en fin de game mais pas...

pas dès le début !

[Laink] Si regarde !

[Terra] Surtout quand je t'envoie des pièces comme ça.

Alors euh ....

Alors ça effectivement

Alors regarde regarde regarde...

C'est bon pas de casse. je continue, ça tient ça ?

Nan ça tient pas !!

Ou est ce qu'on en est dans les scores ?

Je crois que je viens de te ré-immigré..heu..

vers la sortie

Allez, attention ! Houla c'est bien..

ça sent le charter pour toi hein !

Nan, nan, nan t'inquiète !!

[Laink] Un malus buissons ?

[Laink] Ouais nan j'aurais peut-être pas dû le faire finalement.

[Terra] "J'ai bien réfléchi et c'est nul"

[Laink] J'crois que je regrette un peu ce que je viens de faire.

[Terra] On dirait vraiment une carte piège pourrie

"Ha oui mais tu n'as pas vu mon attaque..Buisson"

"Ha tu peux plus rien voir !!"

"Toute cette végétation, c'est terrible"

[Laink] Ho la belle ligne que tu nous as mis là. Elle sert à quoi ?

[Laink] Je te fais un pâté ! C'est un beau pâté, un pâté d'enfant.

Qu'est ce que c'est que cette m*rde ???

[Terra] Voilà ce qu'il te dit mon pâté d'enfant !

[Laink] ça tiendra jamais..mais..

mais ça ne tiendra jamais et c'est normal !! Et c'est normaal !!

[Terra] Le mec est quand même un peu énervé.

"Les Français ne voudront pas et c'est normal !!"

"C'est normal Madame"

[Laink] ha tiens vas-y met celle-la

[Laink] Elle ressemble à rien ta tour, t'es qu'un arnaqueur !

Par contre ça glisse, ça glisse là par contre.

[Terra] Mais ta gu**le avec tes réfléxions à la c*n.

[Terra] Tiens, ça, ça glisse ou pas ?

[Laink] Mais ça me fait chier ton truc qui glisse. Regarde ! j'ai un p*tain de cône glissant au dessus de ma tour.

je peux plus rien poser.

je peux plus rien poser Terra

Mais qu'est ce que je fais ?

[Terra] Hoow, mais j'ai l'impression que c'est une victoire.

Mais je ne peux plus rien poser

[Terra] OUUUUH

De toute façon tout le monde savait que tu étais d'extrême droite. Tout le monde le savait.

T'es vraiment un c*n !

Allez Laink, direction la Guadeloupe !

"Attends c'est un DOM-TOM, je comprends pas.."

Bah si il veut recoloniser heu..~~

ouais, ha oui c'est vrai.

~~les DOM-TOM

Bon bah c'est bon je t'ai foutu une pâté !

ouai ouai bon bah...hey,

Alors, j'avoue ma défaite mais on va dire que c'était serré d'accord ?

Est-ce qu'ont peut s'arrêter la dessus ?

C'était serré !!

J'ai gagné !!

Je gagne haut la main en te mettant heu..une victoire d'affilée.

'tain mais le mec..c'était serré..

"hmm bah j'ai gagné"

Sur les deux victoires je t'ai quand même mis 4 sans fautes !

quand même incroyable..


Ce cours a abordé le concept de l'eau de différentes manières et sous différents angles. Nous avons commencé le trimestre par la lecture d'un poème sur l'eau dans toute l'Amérique latine, puis nous avons regardé un film sur la privatisation de l'eau en Bolivie et un autre sur la vie de la pieuvre, nous sommes passés à la lecture de l'axolotl, une espèce menacée, et nous avons terminé le trimestre par une histoire de Carlos Fuentes sur un dieu aztèque de l'eau. Chacun a exploré cette question sous différents angles, notamment la protestation, la faune et la culture indigène. Mais ce que chacune de ces lectures a en commun, c'est un respect indéniable pour l'eau et la nature en général. Prenons par exemple "Grand-mère Cricket" et "Chac mool" ; ces deux histoires impliquent que les gens en viennent à accepter le rôle et le pouvoir qu'une certaine manifestation de l'eau a sur eux (bien que dans des buts très différents) : dans "Grand-mère Cricket", nous voyons que les gens du village en viennent à accepter le personnage principal ; dans "Chac mool", Filiberto essaie d'éviter le pouvoir de la divinité et finit par échouer. Malgré leurs tonalités très différentes, il est intéressant de constater que les deux histoires partagent un respect croissant pour leur personnification de la nature. De même, dans "Also the Rain", nous voyons comment l'eau est une ressource qui ne devrait pas être transformée en marchandise, car nous voyons une mer de gens qui protestent contre sa privatisation. Dans "Mon professeur de pieuvre" et "Axolotl", nous voyons le narrateur en venir à respecter et à s'identifier à un être vivant si différent de lui ; les deux ont des décors qui sont proches de l'eau, oui, mais le respect est le véritable thème qui demeure tout au long de ces œuvres. Il y a une raison pour laquelle les dieux de l'eau ont traditionnellement été représentés comme inconstants mais autoritaires ; pour laquelle le retour à l'eau peut nous aider à nous détendre ; pour laquelle l'eau est si vitale pour notre vie : elle représente quelque chose de primordial, quelque chose qui nous lie irrévocablement à notre passé. Tout au long de ce parcours, l'eau a donc servi de fenêtre à travers laquelle nous avons pu observer et apprécier des mondes très éloignés du nôtre. Dans "Also the Rain", l'eau montre le fossé entre le colonisateur et le colonisé dans notre société post-coloniale ; elle offre une perversion facile de notre attente privilégiée - que l'eau est un droit humain, qu'elle est bon marché et largement disponible - et de la réaction qui en résulte lorsque ces deux perspectives entrent en collision. Il montre comment des étrangers bien intentionnés peuvent renoncer à leurs idéaux et ne pas apporter de réels changements là où ils sont le plus nécessaires. Dans "Cricket Grandma", nous voyons les dommages que la privatisation peut causer en personnifiant les pluies comme une grand-mère bienveillante, enfermée pour chanter les lamentations de sa vie passée au profit d'un autre. Dans "Chac mool", la personnification montre à nouveau clairement que Mère Nature est toute-puissante, et nous oblige à regarder ce que nous avons fait à l'environnement et aux peuples indigènes en étant soumis à leurs caprices vengeurs. "Axolotl" nous apprend que ce n'est pas facile - que considérer de manière significative une perspective différente est un travail difficile si nous voulons vraiment comprendre le mode de vie d'autrui - mais que c'est néanmoins un travail précieux, et "Mon professeur de pieuvre" nous donne quelqu'un à qui s'accrocher qui récolte les bénéfices d'une véritable compréhension. En général, l'eau elle-même est un sujet important, mais il est purement accessoire : le véritable objectif est de mieux apprécier les autres. Mais si nous n'avions pas utilisé l'eau comme véhicule pour en discuter, si nous n'avions pas vu comment l'eau peut affecter les autres, nous n'aurions peut-être pas obtenu la perspective que nous avons maintenant.

Nous avons abordé l'identification du métal inconnu en supposant que le métal avait un état d'oxydation inconnu (n) et une masse molaire inconnue (M_M). En équilibrant l'équation de sa réaction avec l'acide chlorhydrique en termes de n, et en répétant cet équilibrage pour l'équation décrivant la réaction du sel métallique avec l'hydroxyde de sodium, nous avons pu écrire la quantité du sel métallique en termes d'autres variables, et en la substituant dans notre équation originale, nous avons produit une autre équation qui a pu être résolue pour donner une approximation numérique de l'état d'oxydation. Ceci, combiné à notre connaissance de la masse du métal, nous a donné une valeur possible pour sa masse molaire.

L'analyse de l'état d'oxydation suggère qu'un élément du groupe 1 correspond le mieux aux données données données, ce qui nous donne cinq possibilités (H, Li, Na, K, Rb, Cs et Fr) ; le rubidium, le césium et le francium sont suffisamment coûteux pour être totalement exclus de ce qu'un laboratoire entier d'étudiants (relativement peu formés) peut reproduire, et la forme solide du métal à la STP exclut l'hydrogène. Il nous reste donc trois candidats réalistes : le lithium, le sodium et le potassium. Des interactions antérieures avec le potassium en laboratoire suggèrent qu'un élément si réactif qu'il prend feu lors d'une interaction avec de l'eau froide ne se comporterait pas de manière aussi apprivoisée en présence d'acide chlorhydrique ; cependant, pour une réponse plus définitive, nous pouvons nous baser sur la masse molaire calculée. Les données suggèrent (avec un arrondi gratuit et une marge d'erreur en plusieurs étapes) une masse molaire d'environ 7 g/mol, et certainement pas plus de 10 g/mol. Le seul élément satisfaisant à la fois la condition précédente et la présente est le lithium, et nous affirmons donc avec confiance que le métal utilisé dans cette expérience était le lithium.

Bien que l'absence de l'auteur dans le laboratoire le jour de l'expérience entraîne une lacune nécessaire dans les explications rétroactives des observations expérimentales, le lecteur est encouragé à fournir celles qui peuvent être raisonnablement déduites des directives d'activité ; par exemple, noter la directive de placer la fiole acide-métal sur une plaque chauffante pour accélérer la progression de la réaction, ce qui serait presque inutile (compte tenu du long processus de standardisation de l'acide chlorhydrique) si le métal sodium ou potassium, et son apparence comme quelque chose qui peut être raisonnablement pesé sans l'interférence d'un revêtement d'huile minérale soutiennent davantage (ou plutôt, cimentent) la conclusion précédente.

(dieu est-ce que je canalise le fantôme d'un universitaire du début du 20e siècle ??)
12/8 Sur Canvas – Collaborations : écrivez deux questions et trouvez deux citations que vous voulez discuter en classe.


Siona
“Mon père ancien séducteur au maintien avantageux, ma mère couverte de somptueux bijoux créoles, leurs huits enfants, mes soeurs yeux baissés, parées comme des châsses, mes frères adolescents, l’un d’eux déjà à sa première année de médecine, et moi, bambine outrageusement gâtée." (12-13)


Dans ces pages, Condé se compare à sa famille. Que montre sa langue sur sa perception de soi?


“‘Qu’est-ce que vous parlez bien le francais!’” (13)


Que montre sa situation sur le contexte de la France en ce moment?


Alexander
“J’éprouvais à chaque fois le même chagrin: je n’avais pas été désirée"(p. 12).
C'est une opinion significative. Quel est l'effet sur la narratrice?


“Pourtant, nous sommes aussi français qu’eux, soupirait mon père"(p. 13).
Est-ce que la déclaration du père signifie un conflit idéologique?


Taraz
“Ils lâchaient invariablement en servant les diabolos menthe: ‘Qu’est-ce que vous parlez bien le français!’” (13)


(Je pense que Siona a déjà écrit sur cette citation, mais je veux poser une autre question.)
C’est clair que cette citation est importante, et on commence à voir un thème important du texte. Qu'est-ce que cette citation montre au sujet de l'identité de Condé?


“Il y avait dans cet échange un pathétique qui, toute petite que j'étais, me navrait. C’est d’une grave injustice qu’ils se plaignaient.” (13)


Comment Condé se sent quand elle écrit ces phrases? Est-ce-qu’elle veut que nous, les lecteurs, sympathisons avec ce "pathétique" ?


Zander
«Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse...» (12)


L'éducation de Condé semble être quelque peu différente de ses frères et sœurs. Son rôle de «kras à boyo» est-il la raison de son point de vue protégé dans ces pages?


«Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient.» (14)
Condé a entendu sa mère dire pourquoi sa famille est plus française que «les garçons qui les servaient». Que montre cette dynamique sur l’intersection du classisme et du racisme dans la France d'après-guerre?






Erik
“Plus français, renchérissent ma mère avec violence. Elle ajoutait en guise d'explication: nous sommes plus instruits. Nous lisons davantage. Certains d'entre eux n'ont jamais quitté Paris alors que nous connaissons le Mont-Saint-Michel, La Côte d'azur et la Côte basque” (pg.13)


Pourquoi les “vrais Français” sont-ils si racistes envers les gens des DROM-COMs?


“Ils possèdent tout naturellement cette identité française qui, malgré leur bonne mine, était niée, refusée à mes parents.”


De quoi les parents étaient-ils exclus parce qu’ils n'étaient pas considérés comme vraiment français?


Olivier:
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire, j’éprouvais à chaque fois le même chagrin: je n’avais pas été désirée.”


“C’est d’une grave injustice qu’ils se plaignaient. Sans raison, les rôles s’inversaient.”


Il sera intéressant de voir comment les différents membres de la famille s’adaptent à vivre en France. Quelles différences avons-nous déjà vues?


J’ai choisi une citation sur la naissance du narrateur, et je me demandais si cela pourrait changer sa compréhension du monde d’une manière ou d’une autre. Peut-être qu’il est trop tôt pour le dire.


Aubrey


“Pourquoi enviaient-ils si fort des gens qui de leur propre aveu ne leur arrivaient pas à la cheville?” (14)
La famille de Maryse Condé semble très instruite et riche (« ma mère couverte de somptueux bijoux créoles »), mais ils ont encore le désir d’être acceptés comme français. Quel était l’effet du racisme sur la classe supérieure guadeloupéenne, et où dans la hiérarchie sociétale était la famille de Condé par rapport aux « vrais Français » ?
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire j’éprouvais à chaque fois le même chagrin : je n’avais pas été désirée.” (12)
Condé semble être un peu éloignée de sa famille parce qu’elle était la dernière enfant. Pensez-vous que cela va affecter les identités française et guadeloupéenne de Condé? Essaiera-t-elle devenir aussi française que possible ou penchera-t-elle davantage vers sa culture familiale malgré sa position dans la famille?


Bai
“Comme chaque fois que j’étais dans l’embarras, je me tournai vers mon frère Alexandre qui s’était lui-même rebaptisé Sandrino « pour faire plus américain ». Premier de sa classe, les poches bourrées des billets doux de ses gamines, Sandrino me faisait l’effet du soleil dans le ciel. Bon frère, il me traitait avec une affection protectrice. Mais je ne me consolais pas d’être seulement sa petite sœur”(14).
Je ne sais pas ce que c'est d'avoir un frère aîné, parce que je suis un enfant unique, mais je pense que ce n'est pas normal qu’elle pense qu' elle était non désirée. Pourquoi est-elle “seulement sa petite sœur?” Qu’est-ce qui la fait se sentir si "inutile?”
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire j’éprouvais à chaque fois le même chagrin : je n’avais pas été désirée.” (12)
(Aubrey a déjà écrit sur cette citation, mais j’ai une question différente.)
Je crois que chaque mère aime son enfant, mais leur amour n'est pas égal. Combien d'amour la mère de Maryse lui donne-t-elle parmi ses huit enfants? Et est-ce que possible que sa mère ne l’ait pas aimée l'aimait-elle pas quand Maryse est née, mais qu’après un certain temps, l'amour ait grandi sur sa kras à boyo?


Rachel Shu
“Pourtant, nous sommes aussi français d'eux, soupirait mon père. Plus français, renchérissait ma mère avec violence. Elle ajoutait en guise d’explication: Nous sommes plus instruits. Nous avons de meilleures manières. Nous lisons davantage. Certains d’entre eux n’ont jamais quitté Paris alors que nous connaissons le Mont-Saint-Michel, la Côte d’Azur, et la Côte basque.” (13)
Pourquoi ses parents gardent-ils un visage heureux alors qu'ils se rappellent constamment de leur lutte pour le pouvoir et ils en sont fâchés?
“Pourquoi enviaient-ils si fort des gens qui de leur propre aveu ne leur arrivaient pas à la cheville?” (14)
Je pense que cette question est très importante pour nous donner un aperçu de ses parents. J’ai l’impression que ses parents ne sont pas vraiment envieux, mais plus en colère contre des ignorants qui n’auraient peut-être pas travaillé aussi dur qu’eux, mais qui ont plus de respect et de pouvoir dans la société. Que pensez-vous de cette question?
Logan Valenti
« Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient. »
« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »
1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ?
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ?


Jacqueline Subkhanberdina
«Il y avait dans cet échange un pathétique qui, toute petite que j’étais, me navrait.» (13)


Que montre cette situation sur son enfance?

«Mon père ancien séducteur au maintien avantageux, ma mère couverte de somptueux bijoux créoles, leurs huit enfant, mes soeurs yeux baissés, parées comme des châsses, mes frères adolescents, l’un d’eux déjà à sa première année de médecine, et moi, bambine outrageusement gâtée, l'esprit précoce pour son âge. » (13)


Pourquoi pensez-vous que l'auteur se décrit son jeune comme « (...) bambine outrageusement gâtée, l'esprit précoce pour son âge. » ? Qu'est-ce qu'elle essaie d'exprimer sur sa famille à travers cette description?

Rachel Shu
Pourquoi pensez-vous que sa mère a bu de l'alcool alors qu’elle était enceinte juste pour aller en classe?
Quelle est la signification de la chanson de la mère de sa mère?


Commentaire:
Ce chapitre introduit des idées sur les classes sociales et les batailles qui se passent parfois entre elles. Condé commence par parler d'école et du matériel qu’ils apprennent, expliquant les différences entre son éducation et celle de sa mère par rapport à celle de sa grand-mère. Elle souligne la fierté et le travail acharné que les mères de sa communauté mettent dans leur travail, écrit, “Elles étaient pour la plupart institutrices et ressentaient le plus vif mépris pour les tâches manuelles qui avaient tellement défait leur mères. Pour nous, pas de mamans restant à la maison en golle défraîchie, nous accueillant avec de gros baisers sur le pas de la porte, après leur journée à laver ou à faire bouillir des racines et, le soir, nous racontant les contes créoles de Zamba ou de Lapin” (31). Tandis que les mères travaillent dur, les pères aussi travaillent à leur travail respectif. L'assemblée des parents du quartier a choisi Madonne pour s’occuper des enfants du quartier, comme une nounou.
Un jour, quand Madonne n’est pas venue travailler parce qu’elle devait amener sa fille à l'hôpital, la mère de Condé renvoya Madonne. Après, sur le chemin de l'école, Condé était souvent rencontrée par un grand garçon qui la menaçait. Le garçon a disparu quand son père l'a accompagnée à l'école. Sandrino a expliqué que Madonne cherchait à se venger de la famille de l’avoir renvoyée en s’attaquant au membre le plus vulnérable. Ses parents ont décrit ce type de conflit entre les classes, déclarant, “Le monde se divisait en deux classes: la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s’en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu’un. L’autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu'à leur nuire. La première classe ne doit donc jamais traîner en marchant et à tout instant se garder” (35). Je pense que cette déclaration n’est pas très viable. Oui, parfois les gens de la classe “inférieure” peuvent être jaloux des gens des classes “supérieures,” mais ils n'agissent pas sans raison. Comme la façon dont sa mère renvoie Madonne pour la pire des raisons, le droit qui fait que les autres se sentent inférieurs suscite les sentiments de haine que les gens de classe inférieure développent. Cette insensibilité divise encore les classes.


Taraz
Les relations entre les sœurs Rama et la mère de Condé ne sont pas bonnes. Qu’est-ce que ça donne à l'histoire et comment est-ce pertinent?


Quelles impressions sont montrées par la description des sœurs Rama: Valérie et Adélaïde?


Commentaire:


Dans ce chapitre, on peut voir les relations qui changent entre Condé et sa famille, et il y a un tournant où Condé commence à considérer que sa vie est «comme une prison où l’on est sommé de se conformer à des règles dénuées de signification» (31). Ce chapitre nous montre aussi l’opinion de Condé sur sa mère, et comment elle s’entoure de mères similaires qui sont des institutrices, ou qui «restent à la maison en golle défraîchie» (31). Je pense que Condé commence à réaliser que ses parents sont similaires aux autres parents dans leur milieu, et pour cette raison, elle devient moins proche de ses parents. Malheureusement pour Condé et ses frères et sœurs, sa mère (qui s'était fâchée déjà dans l'histoire), a payé et puis immédiatement renvoyé Madonne, une femme qui travaille pour la famille. Madonne était bien-aimée par les enfants (elle leur permettait de faire beaucoup des choses que leur mère ne leur aurait pas laissé faire), et à cause de ça ils étaient «bien chagrinés quand le drame survint» (32) . Les actions de la mère de Condé ont ciblé les enfants, tant et si bien qu'un garçon a approché Condé et l'a menacée. Cependant, ce qui est intéressant est que Condé
pensait que le garçon «ne ressemblait pas à un vaurien, ni à un sacripant» (34), et qu'il pouvait être un orphelin, ce qui suggère un sentiment de pitié. Le chapitre finit avec une explication de Sandrino, qui aide Condé et lui explique les deux classes, et à cause de ça elle sympathise avec la deuxième classe, ce qui n’est pas bourgeoise.


Alexander
Quelle impression Conde essaye-t-il de créer avec la description des sœurs?


Pourquoi les sœurs ont-elles refusé d'avoir Condé parmi les fillettes?


Commentaire
Quand Condé écrit: “L’explication de Sandrine me séduisant bien davantage. Elle était plus convaincue parce que plus romanesque”(p. 35), on voit qu'elle choisit l'option la plus dramatique car elle est plus dramatique, même si elle prend plus de risques parce que l'attaque est personnelle. Le livre dépeint la vie de Condé quand elle était jeune comme ayant beaucoup de difficultés, avec son éducation et sa famille. Après avoir été menacée, elle suppose que la mauvaise option est la vraie.


Un autre sujet important est Madonne. Au chapitre 1, Sandrino dit à Condé que «Papa et maman sont une paire aliénés» (p. 15). Cette déclaration indique que les parents de Condé ont un gros désavantage dans la vie. Mais, au chapitre 3, nous apprenons qu'ils ont un serviteur, un avantage. Lorsque la servante Madonne est en crise avec sa famille, les parents de Condé la renvoient aussitôt. «Ma mère calcula rapidement, paya tout ce qu’elle demandait plusieurs jours de congé»(p. 32). Une vie se réduit au calcul. Ils ne se soucient pas de son gros problème et ne l'aideront pas personnellement; ils la veulent uniquement pour son travail. C'est de l'arrogance et de l'égoïsme. Cet abus de pouvoir n'a pas de corrélation avec le désavantage du parent d'être «aliéné».


La famille de Condé, en particulier sa famille, est un sujet de discussion intéressant. Quelle est sa relation avec ses parents?








Zander
Quelle est la signification de la célèbre littérature française que les sœurs Rama ont au bureau? Cela ressemble aux valeurs de la famille Condé.


Pourquoi les sœurs Rama doivent-elles administrer une correction à Condé quand elle la mérite?


Commentaire:
Je pense que ce chapitre montre le ressentiment que Condé développe pour sa mère. Elle se rend compte que ses parents, et sa mère en particulier, ne sont pas empathiques envers les classes populaires. Condé est en colère parce que le manque d’empathie de sa mère contribue à sa terreur.


Puisque la mère de Condé et les autres mères de la même classe «ressentaient le plus vif mépris pour les tâches manuelles qui avaient disaient défait leurs mères» (p. 31), elles ne sont pas empathiques envers les classes populaires. La mère de Condé était particulièrement insensible. Elle a licencié Madonne, que Condé aimait, parce que sa fille devait aller à l'hôpital et «on le savait déjà, c'était une sans-entrailles». (p. 33) Parce que Madonne était partie, Conde était en danger sur le chemin de l'école. Tout le monde pensait que Condé mentait, et sa mère même «allait se résoudre à m'emmener consulter le docteur Melas, car la constance de mon délire l'inquiétait». (p. 34) Adélaïde Rama a découvert le garcon et d’autres personnes ont finalement cru Condé.


L’explication de Sandrino pour le garçon à la page 35 avait du sens pour Condé. Le garçon était un fils de Madonne qui était triste et en colère après la mort de sa fille. Avec cette explication, le licenciement inutile de Madonne par sa mère a causé la mauvaise expérience de Condé. C’est une bonne raison de la colère de Condé envers sa mère.






Bai
Y a-t-il une histoire derrière pourquoi la mère de Condé et les sœurs rama ne s'aiment pas? Peut-être que c’est à cause du père des sœurs?


En haut de la page 31, Condé décrit comment elle a pensé à l'école des sœurs Rama. D’où vient l'idée que l'école est considérée comme une prison? Ses frères et sœurs le lui ont-ils dit?


Commentaire:
Le chapitre trois met l'accent sur la différence entre les classes sociales. L'école des gens riches et «éduqués». Et l'agression de la mère de Condé envers la classe inférieure. La mère de Condé est probablement une personne bien éduquée dans les universités, mais elle manque de gentillesse. Peut-être que la mère a travaillé très dur pour sa position sociale et pense qu'elle mérite la supériorité. Sa fierté est plus importante que ses relations et son humanité. Par exemple, le travail fait partie de cette fierté, "Dans notre milieu, toutes les mères travaillaient, et c'était leur grande fierté ... Pour nous, pas de mamans restant à la maison en golle défraîchie, nous accueillant avec de gras baisers sur la porte ... »(p.31). Les gens accordent plus d'importance à la fierté et à l'identité sociale qu'à leur famille et à leurs soins. Dans le premier chapitre, le livre a introduit l'idée que la famille Condé veut être française, être égale aux Blancs. Peut-être que la mère de Condé pense qu'en plus d'être "française", c'est qu'elle doit mépriser les gens, surtout ceux "moins" qu'elle.


“Un matin, Madone commit la faute impardonnable de ne pas se présenter à son travail.” Plus tard, il est justifié que sa fille était gravement malade(p.32), mais la mère de Condé n'a montré aucune sympathie et a renvoyé Madonne “sur-le-champ”, alors qu'elle avait le plus besoin d'argent. J'ai eu la même pensée que Sandrino, quand Condé a mentionné le garçon. Mais la mère, qui n'a que l'orgueil et la richesse à ses yeux, ne peut pas voir qu'elle avait abandonné son humanité.


Aubrey
Quelle était la situation économique à La Pointe à cette époque? Pourquoi est-ce qu’il n’y avait pas de maternelles ni de jardins d’enfants?


Que pensez-vous de la dynamique familiale de Condé? Il semble que sa mère soit plus affirmée et agressive que son père (en bas de page 30).


Commentaire:
Je pense que ce chapitre montre une perspective plus complète de la mère envers les différentes classes et races de la société. Nous avons appris, dans le premier chapitre, que les parents de Condé voulaient être acceptés comme français, mais il y avait une certaine division culturelle et quantité de racisme dans la société. Il semble qu'en réponse à cela, la famille de Maryse n’avait pas peur de se battre pour le respect. Par exemple, au café, les parents ont assuré à Maryse qu’ils étaient plus instruits et avaient de meilleures manières (13). Cette fierté est bonne, à mon avis, pour lutter contre l’oppression, pourtant je pense que comme effet secondaire, cet environnement divisé et oppressé, a aussi façonné l’attitude négative des parents envers des gens moins fortunés et de la classe inférieure.
Dans le troisième chapitre, la mère a démontré une personnalité très agressive envers les autres. À la page 30, la mère s’est battue avec persistance pour l’éducation de Maryse, et à la page 32, elle a renvoyé Madonne sans une seconde pensée. Je pense que c’était comme si la mère dirigeait une partie de ses sentiments d’oppression envers les gens sous elle en classe en étant impitoyable. À la fin du chapitre, les parents ont dit que « le monde se divisait en deux classes » pour expliquer les attaques du garçon, ce qui, je pense, montre aussi leur perspective fixée et froide de la société. (c’est intéressant aussi que les parents n’aient pas inclus les français quand ils ont décrit la division de la société. Nous pourrions en discuter pendant la classe.)








Oliver
Condé écrit que les sœurs Rama avaient un père célèbre en Guadeloupe. Comment cela affecte-t-il l’école et les sœurs?


Pourquoi la mère de Condé n’aime-t-elle pas les sœurs et leur capacité à épouser quelqu’un?


Commentaire:
J’ai trouvé intéressant que Condé a attendu la fin du chapitre pour présenter la vraie “lutte des classes.” Je ne sais pas si c’était intentionnel, mais cela m’a fait réaliser que des problèmes entre des classes peuvent passer tous les jours. Le problème entre le narrateur et le garçon n’est évidemment pas un problème de classe au début. Les idées présentées par la mère enseignent à tous ses enfants une très mauvaise idée de la classe. Cela peut perpétuer l’inégalité des classes. Les différentes explications illustrent les idées de certains membres de la famille. La mère du narratrice, probablement fière de ses origines, ne respecte pas les membres des classes inférieures. La fin du chapitre m’a fait aimer Sandrino. Il comprend la vraie raison des attaques. C’est pourquoi Condé lui décrit comme “plus romanesque.” Il comprend qu’il y a une injustice entre les classes. Malheureusement, la solution du garçon de Madonna a été d’attaquer le plus jeune enfant. Je veux voir comment les idées de sa mère affecte sa vie.


Erik
Pourquoi est-ce que la bourgeoisie veut envoyer ses enfants à l'école des sœurs Rama?


Pourquoi est-ce que la mère pense que les sœurs Rama sont stupides parce qu' elles ne se marient pas. Et pourquoi est-ce qu'elle dit son opinion en public.


Commentaire:


Je pense que c'est très intéressant le nom du chapitre. Quand j’ai commencé à lire le chapitre j'ai pensé que le nom “Lutte des classes” signifiait les problèmes que l’auteur avait à l'école. Je le pensais parce que la mère de Maryse et les sœurs qui ont l'école, ont argumenté. Quand le chapitre a commencé à parler des bonnes j’ai vu les classes sociales des enfants et sa familles, et les bonnes. On peut voir que quand Madone, la bonne de famille Condé, avait dû emmener sa fille à l'hospice et avait besoin de plusieurs jours de congé, la mère renvoya Madone sur- le-champ. Il y a des conséquences parce que quand Maryse a marché à l'école, un garçon l’attaque. Quand elle essaie de dire a les autres qu'une personne l'attaque, ils ne la croient pas. Quand une des sœurs Rama dit qu’elle a vu un garçon avec une description similaire, ils la croient finalement. Les parents de Maryse disent "Le Monde se divisait en deux classes : la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s'en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu'un. L'autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu'à leur nuire.” Je pense que c’est ironique qu'en Guadeloupe la famille Conde est dans la classe haute, mais quand ils vont en France les gens pensent que la famille Conde est dans la classe inférieure.









Logan
1. Quelle réputation avait sa mère pour faire en sorte que les sœurs Rama ne veuillent pas laisser entrer Maryse dans leur école ?
2. La famille de Maryse fait-elle partie de la bourgeoisie ou plutôt aspire-t-elle à en faire partie ?


Commentaire:
Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.




Siona
Pourquoi est-ce que les sœurs Rama ne voudraient pas compter Condé parmi les fillettes? Qu’est-ce que ça veut dire de la culture de l'éducation en ce moment?


Il y a trois écoles des soeurs.et la mère de Conde n’aimait pas les sœurs Rama. Donc, pourquoi a-t-elle choisi cette école et qu’est-ce ça veut dire de sa style parental?


Commentaire:


Ce chapitre introduire le lutte des classes avec la femme de chambre, Madonne et ses gamins. Une phrase qui me ressorti est “Un matin, Madonne commit la faute impardonnable de ne pas se présenter à son travail.” Ça montre la pénurie d'empathie pour les classes populaires. Une erreur n’est pas juste une erreur; mais c’est une remarque concernant le caractère de Madonne. Oui, c’est mal que la famille de Condé ait renvoyé Madonne, mais est-ce que ça justifie les actions de Boucolon. A la fin du chapitre, les lecteurs apprennent que Boucolon a harcelé Condé pour vengeance pour sa mère, à qui la fille était morte. Boucolon murmura de manière très mal à l'aise et il réapparut alors que Condé l’esprit oublieux. Aussi à la fin, Sandrino a donné un monde se divisait en deux classes: “la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s’en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu’un [et] l’autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu’à leur nuire.” Peut-être c’est le manque de soins de la part de la première classe qui garanti que les classes populaires restent dans la seconde catégorie - comme avec Madonne et la famille de Condé. En plus de la lutte des classes, ce chapitre montre aussi Conde’s haïr croissant pour sa mère. Peut-être cette assertion est plus sévère, mais Conde décrit le travail de sa mère et comment les femmes de chambre ont fait lui attention - et maintenant, Madonne est cuit à cause de sa mère.


le dumping


Jacqueline
1. La relation entre Maryse et sa famille, mais spécifiquement avec sa mère, est très intéressante. Qu'est-ce que l'auteur essaie de montrer en décrivant comment sa mère "n'aimait pas les sœurs Rama (...)”? (p.30)
2. Pourquoi n'y avait-il pas beaucoup de jardins d'enfants ou de maternelles pendant son temps à La Pointe? (p.29)


Commentaire:


Le chapitre Lutte de Classe décrit plus en détail l'expérience de Maryse en grandissant ainsi que le caractère de sa mère et de sa famille. Il est clair que sa perception de son école et les gens autour d'elle se développe qu'elle grandit. Par exemple, sa bonne, Madonne, qui était gentille mais a dû partir pour s'occuper de sa fille. J'ai trouvé le personnage de Madonne particulièrement intéressant car il semblait que Maryse s'entendait vraiment bien avec elle, contrairement peut-être à sa famille parfois. Maryse écrit, “Elle me permettait de ramasser des graines d’église sur la place de la Victoire (...) Pour toutes ces raisons, nous nous trouvâmes bien chagrinées quand le drame survint.” Je me demande à quel point l'influence de Madonne a affecté Maryse tant ses parents étaient si occupés. Aussi, je veux continuer à lire sur sa relation avec ses parents parce que ce chapitre décrit un peu de cela avec sa mère quand il dit: “ (...) toutes les mères travaillaient, et c'était leur grande fierté.” Sur une autre note, son attitude envers l'école se développe clairement tout au long du chapitre comme lorsqu'elle évoque sa rencontre effrayante avec un garçon un après-midi et ce qu'elle a dit plus tôt dans le chapitre sur l'école, "Je n'avais pas encore commencé de le haïr, de la considérer comme un prison."


Nina
1. Qu’est-ce que l’effet de diser le prénom du narrateur par le premièr fois quand boucolon a été attaquer par l’enfant?
2. Pourquoi est-ce que les parents ne croient pas que le narrateur a été attaquer au début?


Commentaire:
Pendant ce chapitre, il y a un enfant qui suit le narrateur. Le narrateur avait peur de l'enfant, et elle doit décider de ce qu'elle va faire. Nous ne savons pas qu'est-ce que l'enfant voulait de Condé, ou s'il veut bien faire, mais les actions de l'enfant étaient troublantes. Au début, la mère ne croyait pas Condé quand elle a dit qu'il y avait un enfant qui la suivait. Mais, l'enfant s'est arrêté quand le père de Condé l'a accompagnée. Aussi, le première fois que nous lisons le nom de Condé était quand l'enfant l'a dit. Je pense que l'effet de ça a associé le narrateur au danger. Je me demande comment le thème du danger continuera pour le reste du livre.


ses
(3rd person possessive, plural)

sait
knows

poignet
wrist

poignée
handful

sévir
to rage

servir
to serve

sans
without

son
his, hers (m sg)

saint
saint

pou
louse

boue
mud

tout
all

doux
sweet

fou
crazy

vous
you (pl)

sous
under

zoo
zoo

cou
neck

goût
taste

mou
soft

nous
we, us

agneau
lamb

parking
parking lot

chou
cabbage

joue
cheek

roue
wheel

loup
wolf

soin
care

sien
his, hers

suint
grease on sheep's wool

abeille
bee

abbaye
monastery

enchaînement
enchaînement

liaison
liaison

La bise et le soleil se disputaient, chacun assurant qu’il était le plus fort. Quand ils ont vu un voyageur qui s’avançait, enveloppé dans son manteau, ils sont tombés d’accord que celui qui arriverait le premier à le lui faire ôter serait regardé comme le plus fort. Alors, la bise s’est mise à souffler de toutes ses forces, mais plus elle soufflait, plus le voyageur serrait son manteau autour de lui. Finalement, elle renonça à le lui faire ôter. Alors, le soleil commença à briller et au bout d’un moment le voyageur, réchauffé, ôta son manteau. Ainsi, la bise dut reconnaître que le soleil était le plus fort.

projet
donc
livre
entrer
vie
celui
moins
chances
résister
forces
néfastes
en raison de
jeunesse
sexe
race
commencé
sombre
récit
meurtre
psychologique
personnage
principal
personnage principal
rester
rester seul
car
passivité
vide
narratif
inventé
camarades de classe
camarade
classe
comprenait
sympathisaient
détresse
bénéficiaient
soutien
parents
fougue
propre
impuissants
sauver
amie
s'est brisée
origine
roman
se trouve
conversation
eue
enfance
commencer
école primaire
venir de
yeux
bleus
regardé
imaginer
violemment
repoussé
imaginer à
ressemblerait
souhait
chagrin
semblait
sympathie
étonné
profanation
proposait
fâché
place
joli
charmant
gentil
laid
certainement
utilisé
beau
aie
ressenti
choc
force
égale
connaissance
reconnaissait
pas même
surtout
possédait
visage
examinais
silence
rue
en début de
début
après-midi
lumière
atmosphère
confession
en tout cas
beauté
imaginée
effort
à ce sujet
sujet
expérience
priait
altération
radicale
désir
implicitement
lié
haine
raciale
me demandais
comprendre
valait
monstre
regardée
trouvé
désirable
petite
balance
picore
regard
condamnée
revendication
raciale
soixante
suscité
réflexions
réfléchir
nécessité
décriée
beauté
pouvait
considérée
allant
au sein de
sein
communauté
avait besoin
besoin
articulation
publique
exister
questions
intelligentes
commencé
histoire
réponses
évidentes
devenues
rapidement
affirmation
autodérision
critique
humoristique
faiblesses
culturelles
raciales
communes
groupes
intériorisation
préjudiciable
suppositions
infériorité
immuable
provenant
regard
extérieur
concentré
grotesque
diabolisation
s'enraciner
membre
délicat
société
enfant
essayant
dramatiser
dévastation
mépris
occasionnel
causer
choisi
situation
unique
representative
extrémité
provenait
en grande partie
Je nettoyais les toilettes aujourd'hui et j'ai découvert qu'elles étaient bouchées à cause d'un œuf vert en décomposition qui s'était logé dans la canalisation. Chaque semaine, je dis qu'il s'est passé quelque chose qui est singulièrement la pire chose que j'ai jamais vécue, mais cela reste vrai ! Une semaine sans chaos, c'est tout ce que je demande.
se révèlent
se réunir
se résumer
se ressentir de
se reprenant
se reposer
se repentir
se rendre
se rendent
se remettre
se recouvrit
se raser
se promener
se produit
se pressaient
se présenter
se préparer
se prenaient
se poster
se porta sur
se planter
se plaindre
se plaignaient
se perdre
se peigner
se passe
se parfumer
se nommait
se moquer de
se montrer
se montrait
se mit à
se mettre en rang
se mettre à table
se mettre
se lever
se laver
se hissaient
se habiller
se garder
se frappez
se fondent
se fixent
se figer
se faire prendre à son propre jeu
se faire choper
se faire
se doucher
se divisait
se dissiperont
se diriger
se dire
se développer
se développent
se déroule
se demander
se dégourdir
se débrouiller
se coucher
se contentait
se conformer
se comporte
se comportait
se coiffer
se brosser les dents
se brosser
se bornaient
se baigner
sculptrice
sculpteure
sculpteur
scripta manent
science-fiction
schups
schupa
scénario
scellé
scélérats
savon
savoir-faire
savoir
saveur
savantes
s'avança
sauvetage
sauvegarder
sauvage
saute
sautais
saut
sauf
s'attribuaient
s'attendre
satellite
s'assurer
s'asseoir
s'articule
s'arrêter net
s'arrête
s'appuyait
s'approcher
s'apprête à
s'appeler
s'apercevoir
santé
sans-travail
sans-gêne
sans-entrailles
sans valeur
sans sucre
sans serif
sans rigueur
sans reproche
sans raison
sans presser
sans précédent
sans nuances
sans manche
sans joie
sans hésiter
sans frontières
sans effort
sans doute
sans difficulté
sans détour
sans délai
sans danger
sans cesse
sans arrêt
sans
s'annoncer
sang
Sandrino
sandalettes
sandales
sanctionné
s'amuser
samedi
salutations
salut
saluer
salope
salon
salles de classe
salles de bains
salles
salle d'instruction
salle de repos
salle de cours
salle de conférence
salle de classe
salle de bains
salle
saler
salée
salé
sale
Salam Aleikum
salade
sait
saison
saisir
sais
Saint-Jean-Baptiste
Sainte-Beuve
Saint-Bernard
saint Paul
saint
saigner
s'agripper
s'agissait
sagement
s'adossa
s'adapte
sacs
sacripant
sache
s'accorde
sac
s'absenter
sable
sa joue
sa
ruraux
rurales
rural
ruisseler
ruisselait
ruisseau
rugissait
rues
rondelle
rond
ronchonna
rompre
romantisme
romanesque
romande
rigolos
rigoler
rieuse
rieur
rien
rides
ricanements
riait
rhotique
rez-de-chaussée
revues
revue
révolution
révolte
revoir
révisez
revis
revienne
reverrouillé
rêver à
revenir à
revendique
revenait
révéler
révélation
rester dans le coin
rester à
rester
restées
restée
restaurant
ressortir
ressentis
ressentir
ressentaient
ressent
ressemblions
ressemble
ressemblait
resquillé
responsable
responsabilités
responsabilité
respecter
résonner
résolution
resister à
résisté
résistance
residentiel
résidence
réservées
réservation
réseau
réputation
République centrafricaine
république
reproduisant
reproductions
reproduction
reproché
reproche
reprochait
reprocha
reprises
reprirent
reprîmes
représenter
représentée
représentation
représentais
repos
reports
reporte
réponse
répondu
répondre
répondez
répond
répliqueuse
replet
répétez
répéter
répète
répétait
répéler
repasser
repas
répartir
repartir
réparé
répandre
repaître
réopérer
renvoya
renvoi
renverser
rentrer chez
rentrer
rentrée
rentre
rentrai
renseignements
rénover
renouveler
renonciation
renoncer à
renne
renforcer
renforce
rendre visite
rendre
rend
rencontriez
rencontres
rencontrer
rencontrer
renchérissait
renaissance
rémunérer
remporter
remplissage
remplis
rempli
remplacer
remous
remonter
remodèlent
remis
remettre
remet
remerciée
remarquer
remarque
remarquait
relisez
religion
religieux
religieuse
reliés
relever
relativement
relations
relation
relancer
relâché
rejouer
rejoint
rejoindre
rejeton
rejeter
rejeté
rejeta
rejet
réinvestiture
reine
réincarner
régulièrement
régulier
régularité
regretter
regret
règne
règles
régler la note
réglé
région
régiment
régime
regarder fixement
regarder
regardées
regardaient fixement
régal
réfuter
refusèrent
refusée
refrain
réfractaires
réformer
reformer
réflexion
réfléchis
réfléchir
réfléchi
réflécchissait
réfèrerais
références entre parenthèses
référence
réfectoire
refaire
réellement
réelle
rééditer
réduits
réduire
redire
rédiger
rédactrice
rédaction
rédacteur
récusa
récurer
recueillir
recueil
reçu
rectangulaire
recrue
récréer
recréer
recrée
récréation
recouvrir
recourir à
recoudre
reconstruisez
reconstruction
reconnaître
reconnaissant
réconforter
réconcilier
recomposer
récompenser
récompense
recommencer
recommander
recommandations
recommandation
recommandant
récolter
récolte
reçoit
réclamant
récits
réciter
récital
récit
recherche
recevoir la visite
recevoir
recevaient
réception
récemment
recalés
rebeu
rebelles
rebelle
rebaptisé
réassortir
réapparut
réalisme
réaliser un rêve
réalisation
réagit
réagir
réactions
réaction
ré-
re-
rayer
ravages
rattraper
rationaliser
rat
rassasier
rasée
rares
rarement
rare
rapports
rapport
rappeller
rappelait
rapides
rapidement
ranger
rang
randonnée
ramification
ramène
ramena
ramasseurs
ramasser
rallye
rajouter
raisonneuse
raisonnable
raison
raisins verts
raisin
railleries
raie
raider
raide
raid
rai
rageux
rage
radiotélescope
racontiez
raconter
racontant
racontait
raclée
racines
race
raccourci
rabat
quotidienne
quoique
quoi
quittée
quitté
quitte
quitta
quinzième
quinze cents
quinze
qu'il eût eu donné
quiche
qui pis est
qui
queue de peloton
queue
questions
questionner
question de savoir
question d'argent
question
qu'est-ce qui ne va pas
querelle
qu'en savez-vous
qu'en dira-t-on
quelqu'un
quelques-uns
quelques
quelquefois
quelque part
quelque chose
quelle est la date d'aujourd'hui ?
quelle
quel
Québec
que
quatrième
quatre-vingt-un
quatre-vingt-treize
quatre-vingts
quatre-vingt-onzième
quatre-vingt-onze
quatre-vingt-neuf
quatre-vingtième
quatre-vingt-douze
quatre-vingt-dix-neuf
quatre-vingt-dixième
quatre-vingt-dix
quatre-vingt-deux
quatre-vingt
quatre
quatorzième
quatorze
quasi-
quartier général
quartier
quarter
quart
quarantième
quarante-neuf
quarante-deux
quarante et unième
quarante et un
quarante
quantre-vingt-unième
quantités
quantité de
quand même
quand
qualités
qualité
qualifiée
qualifié
QG
qd
pyramide
pyjama
PVC
pute
putain
purist
purement
purée
pure
pur
pupille de l'État
pupille de l'Etat
pupille de la Nation
pupille
pupile
punaiser
punaise
puits ouvert
puissent
puisse
puissant
puissance
puisque
puis de
puis
puéril
puce
publiquement
publique
publiées
publié
publicité
public
prune
prudent
prudemment
provoquer
provoquant
proviseure
proviseur
provenir
provence
provenant
prototypage
protestation
protestant
protéines
protectrice
protecteur
propriété
propre
proposé
proposaient
propos
prononcer
prononcé
prononce
prononçait
promulguée
promis
promettre
promenade
prolonger
prolongée
prolongation
proliféraient
projets
projet
projectile
proie
progresser
progrès
programmes
programmer
programme
profusément
profus
profondeur
profondément
profond
profitez bien
profitent de
professionnellement
professionnel
professionels
profession
professeurs
professeure
professeur
proféré
produits animaux
produits
produit
produire
production
productif
prodiguer
proclamer
proches
proche
prochainement
prochaine
prochain
processus
procès
procédure
procédure
procédés
procédé
problème de liquidité
problème
probablement
probable
prix
privés
privée
privé
prit peur
prit la mouche
prit
prison
prise
pris
priorités
prions
print
principe
principales
principale
princesse
prince
prier
prie
price 1993
prévoir
prévenir
preuve par neuf
preuve
prêtresse
prêtre
prétexte
prétendre
prête
prêtais
prêt
prestige
pressions
pression
presque plus
presque à la fin
presque à
presque
présider
présidentiels
présidentielles
présidentielle
présidente
président
présidence
présidé
préservation
présenter
présentement
présente
présentation
présent
présence
prescrire
près de
près
prérogatives
préparez
préparés
préparer
préparé
préparatoire
préparation
prénom
prenne
prenions
prenez
preneurs
prends
prendre un bain
prendre soin de
prendre pour acquis
prendre l'habitude de
prendre la présidence
prendre en main
prendre
prend
prenaient
premières
première
premier ministre
premier
préluder
préliminaire
préfète
préfet
préférons
préférer
préférée
préférait
prédire
précoce
précisons
précision
précises
préciser
précisément
précisait
précis
précipiter
précipitamment
précieux
précédente
précédent
précédemment
précédant
précautionneusement
préalable
pratiqués
pratique
pouvoir
pouvaient
poutine
poussez
pousser
poussé
pousée
pourtant
poursuivre
poursuivit
poursuivent
poursuit
pourrir
pourri
pourquoi
pourpre
pourboires
pour qui
pour que
pour qu'
pour l'heure
pour l'avertir
pour la plupart
pour
poulet
pouffèrent
poubelle
pou
pots
pot-pourri
pote
pot-de-vin
pot-au-feu
potager
pot de chambre
pot
postez
poster
poste mf
poste de secours
poste (m/f)
poste
postcoloniale
possible
possibilité
possédaient
positions
positionnement
position ordinaire
position
positif
poser
posée
portrait droit
portrait de famille
portrait
portes
porter secours
porter dans son cœur
porter
porte-monnaie
portemanteau
portefeuille
porte-fenêtre
portée
porte-bagages
porte-avions
porté
porte
portait
portaient
portable
port
porno
porc
pop-up
populations
population
populaire
pop art
pop
pontificat
pont
pondre
ponctuel
pompière
pompier
Pompidou
pompeux
pomper
pommette
pomme de terre
pomme d'Adam
polygone de destruction
polygone
politique
politique
politesse
polie
policer
poix
poivron vert
poivron rouge
poivron jaune
poitrine
poisson
pois
poireauter
points
pointée
pointe
point de vue
point
poinnt
poilu
poignet
poignant
poids
poésie
poèmes
poème
le piende
poêle (m/f)
poches
poche
pneu
plutôt que
plutôt de
plutôt
plus-que-parfait
plusieurs
plus tôt
plus tard
plus rien
plus que
plus mal
plus du tout
plus de
plus cher
plus … plus
plus ... plus
plus
plupart
pluie
plonger
plongée
plomb
plisser
pli
pleurer
pleurant
pleine
plein de
plein
platine
plateaux
plat typique
plat du jour
plat
plassans
plantés
planter
plantée
planté
planifié
planète
planche à voile
plance à voile
plance à roulettes
plaisir
plaisais
plaire
plainte
plaindres
plaindre
plage
plafond
places
placer
placement
place fixe
place
placard
pittoresques
piteuse
pistolet
piste
pisse
piscine
pis
pire
pique-assiette
pique
pinte
piloter
piles
pigeon
pierres
piège
piégé
pieds-noirs
pieds
pied
pièce
piano
pianiste
physique (m/f)
physique
phrases complètes
phrases
phrase
photos
photoréalisme
photographier
photographie
photographe
photo numérique
photo de film
photo
Phœnix
philosophe
Philippins
phénomène
phare
pharaon
peutits
peut-être
peurs
peureux
peur
peuples
peuple
peu probable
peu pratique
peu de chose
peu de
peu courant
peu à peu
peu
pétrole brut
pétrole
petits-nègres
petits pois
petits annonces
petites salles
petites
petite fille
petite dernière
petite
petit pain
petit lycée
petit déjeuner
petit chapeau
petit à petit
petit
pétiller
pétillant
pétasse
pétait
pet
peste !
pessa'h
peser lourd
peser
perversité
pertinents
Perthshire
persuadée
perspective
personnes
personnels
personnelles
personnellement
personnelle
personnel
personne
personnalité
perso
Perséides
perplexe
Pérou
pérorer
permission
permis
permettre
permettrait
permettait
permet
perle
période
périlleux
périhélie
Périgord
pères
père
perdue
perdu
perdre
perde
perd
perché
perception
perçant
pépite
pénuries
pentecôte
pensionnats
pensionnaire
pension
pensiez
penser pareil
penser
pensées vagabondes
pensées
pense à
pénombrale
péniches
péniche
pénible
pénétrante
pendule (m/f)
pendre
pendant que
pendant
peloton
pelisse
peler
peintures
peinturé
peinture
peintre
peint
peine
peindre
pécho
peau
péage

pays-de-la-loire
paysans
paysanne
paysan
paysage
pays
payés
payer cher
payer
payé
payante
paya
pauvresse
pauvres
pauvre
pause-café
pause
paupière
paume
pattes
patron
patriote
patrie
patois
patient
patience
pathétique
pater familias
pâté
pâte
pate
patauger
patates
pastiche
pasteure
pasteur
pastels
passoire
passionnel
passionnées
passionnée
passion
passif
passiez
passe-temps
passés
passer un examen
passer pour
passer le temps
passer
passées
passée
passé-composé
passé composé
passé
passait
passages
passagère
passager
passage
pascal
pas trop noires noires
pas mal de
pas mal
pas grave
pas grand-chose
pas encore
pas du tout
pas besoin de
pas avant
pas
parut
parus
partout
partit
partisan
partir
partielle
partie
particulièrement
particulière
particulier
participer à
participer
participation
parti
partenaire
partait
partageaient
partage
part
parsemer
parsemé
pars
parole
paroi
parmie
parmi
parlez-vous anglais
parlers
parler franc
parler fort
parler bas
parler
parlement
parlé
parlait
parking
Paris
parier gros
pari
parfum
parfois même
parfois
parfait
parfaire
parents
parenthèses
parentes
parentales
parent
pareilles
pareillement
pareille
pareil
parées
pare-chocs
pare-brise
pardon
par-dessus
pardessus
par-dessous
parcours
parcourir
parcourent
parce que
parc
paravent
paratonnerre
parapluie
parapente
paramétrage
paralympiques
paralegal assistant
paraître
parait
parachutisme
parachute
par trop
par rapport à
par pitié
par pied
par monts et par vaux
par mois
par la suite
par jour
par intérim
par hasard
par devant
par dessus
par derrière
par contre
par conséquent
par cœur
par avion
par ailleurs
par
Pâques (m/f)
paquebot
papier-toilette
papier à lettres
papier
pape
pantalon
panique
pandémie
Paname
palourdes
palme d'or
palais
Pakistan
paix
paisible
pairs
paire
pain au chocolat
pain
paiements
paie
pages
page 7 comprehensive french grammar
page 19 ball colloquial french
page
pachtoune
pachave
oval
ouvrir
ouvrez
ouvre-boîtes
ouvrant
ouvrage
ouverture
ouverture
ouverte
ouvert
outrée
outré
outrageusement
outrage (literary)
outrage
outils
outil
ourdir
ouled
ouï-dire
oui
ouf
ouest
oublieux
oublièrent
oublier
oubliée
oubli
ouais
ouahw
ouah
Ouagadougou
ouaf
où se trouve
ou kaye pousé à pwézan

ou
otite
ôtez
otage
osseuses
oser
osent
osai
osa
os
orthographe
orthodoxe
orpheline
orphelin
Orly
Origines
origine
originaux
original
originaire
orienterait
orientation
orgueilleux
orgueil
organiser
organisée
organisé
organisatrice
organisation
oreilles
oreiller
oreille
ordre
ordonné
ordinateur
ordinaire
orangerie
orange
Oran
oralité
orale
or
option
optimiste
opportunément
opportun
opinion
opérer
opérations et renseignements
opérations
opération
opéra
open
onzième
onze cents
onze cent un
onze
ont fait
on-dit
on s'en fout
on peut ça faire (CH)
on était bien parti
on est le combien ?
on est le 2 janvier
on a du monde
on
ombre
ombrageaient
olivier
oklm
ok
oiseaux
oiseau-mouche
oiseau
oignons
oignon nouveaux
ogresse
ogre
offriront
offrirent
offrir
offrions
offre
offraient
officines
officiers
officiels
officielle
office de tourisme
office
offert
offense
oeuvres
œuvre (m/f)
œufs (pronounced œu)
oeufs
oeuf
œils
œil
odeur
octobre,
octobre
octante
Océanie
occurrence
occupés
occuper
occidentale
occasion
obtenir
obstruer
obstacles
observe
observation
observateur
obsèques
obsédés
obscurément
obscure
obscur
obscènes
Oblique
obligé
obligation
objet
objectifs
objectif
obéissant
obéir
obéi
o
Nymphéas
nuque
numéro
nullement
nulle part
nul ... ne
nul
nuke-ban
nuits
nuitantre
nuitamment
nuit
nuire à
nuire
nui
nucléaire
noyer
novembre,
nouvelles
nouvelle-orlèans
nouvellement
nouvelle
nouvel an
nouvel
nouveau-né
nouveau
nous apprêtions
nous
nourriture
nourrir
nott 1998
notre ère
notre
notion
notez
notes inégales
notes
noter
noté
note
notamment
notaire
notables
nostalgique
nos
normative
Normandie
normand
normalement
normale
nordige
nord
non-paiement
non-lieu
nonante-un
nonante-deux
nonante
non plus
non pas tant pour
non natifs
non
noms
nom-noyau
nommer
nominal
nombreux
nombreuses
nombre de
nombre
nom
noix
noires
noirceur
noir
nœuds
Noël
nocturne
Noblement
niveaux
niveau
niquer
n'importe quoi
n'importe qui
n'importe quel
n'importe quand
n'importe où
Niger
nier
niée
nièce
nid
nickel
ni
nez à nez
nez
New York
neveu
Nevada
neuvième
neufs
neuf
nettoyer
nettoie
nettement
nette
net
n'est-ce pas
nerveux
nerfs
néologie
neiges
neige
négritude
nègres
nègre
négociables
négligent
négligeant
née
nectar
nécessité
nécessaire
néant
néanmoins
ne... plus
ne que
ne pas être dupe
ne pas
ne me touchez pas
ne ... rien
ne ... que
ne ... plus
ne ... pas
ne ... jamais
ne ... guère

ne
navrait
navire
navette
naval
nausée
naufrage
natures
naturellement
naturelle
naturel
nature
naturaliser
naturalisé
nationalité
national
nation
natation
natal
nasales
nasal
narration
narine
nan
names of letters
naître
naît de
naissance
naguère
nager
nage
na
mythiques
mystérieusement
mystérieuse
mystère
mycoses
mutuellement
musulman
musique
musicaux
Musette
musées
musée
murmure
murmurant
murmura
mûres
murailles
mur du son
mur
munitions
municipal
multiplié
multimédia
muettes
muet
mtn
moyeu
moyens
moyen
mouvements
mouvement
moustachu
moussait
mourrait
mourir
moules
moule mf
moule (m/f)
moule
moulage
mouches à miel
mouches
mouche
mou
mots
mot-clé
mot
mortelle
morte
mort
morose
morne
mordre
morceau
moralité
morales
moqueur
Mont-Saint-Michel
montreux
montrer
montrée
Montréal
montre
Montpellier
monter
montée
mont-de-piété
montant
montaigne
montagne
montage
mont
monstre
monsieur
Monseigneur
monotype
monopole
monnaie
mondiale
mondésir
monde
mon Dieu
mon cher Monsieur Dupont
mon cher
mon
momment
momentanément
moment
mollement
mollards
moko zombi
moitié
moite
mois
moins que
moins mal
moins le quart
moins de
moins bien
moins
moindre
moi
mofwase
mœurs
modification
modernes
moderne
modérément
modéré
modeler
modèle
mode mf
mode d'emploi
mode de vie
mode (m/f)
mode
Mme
m'ma
Mlle
mitan
mission
mises en garde
mise en garde
mise au point
mise à flot
mise
miraculeux
miquets
minute
minuscule
minuit
m'intéressais à
minou
ministre
ministère
minimum
mini-jupe
mineur
minéraux
mine
minces
mince
million
millième
millénaire
mille un
mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
mille huit cent soixante
mille deux cents
mille deux cent un
mille cinq cents
mille cent un
mille cent
mille
militaires
militaire
milieu
migrations
migrants
mignon
mieux
miettes
miens
miel
mie
midi
micro-région
micro-ondes
michel
mi
m'expliquais
m'excuser
meuf
meuble
mettre un terme
mettre les pieds
mettre l'accent
mettre en garde
mettre
mettions à
metteur en scène
mets
métropole
mètre
métrages
métis
métier
métier
méthodes
métal
mesurer
mesure
messieurs-dames
messieurs
Messeigneurs
messages
message
mess des officiers
mess
mèsi Bon Dié
Mesdemoiselles
mesdames
mes recherches
mes
merveilleux
merveilles
merveille
méritez
mériterais
mériter
mérite
mères
mère patrie
mère
merde
mercure
mercredi
merci mf
merci (m/f)
merci
mer
mépris
menuisière
menuisier
menu
mentir
mentionné
menthe
menteuse
menteur
mentalité
mentais
mensonge
menotte
ménopause
mener
menée
mène
ménager
ménage
menacer
menacée
menace
mémoire mf
mémoire (m/f)
mémoire
même tabac
même
mème
membres
membre
mêlés
melenchoniste
mêlaient
meilleures
meilleure amie
meilleure
meilleur
mégots
megathread
mégantic
médou
médiums
Méditerranéen
médicaments
médiatique
médias
médecins
médecine
médecin
médaillé
méconnaître
méchants
méchant
méchancetés
méchanceté
mec
me trouvai
me tourner
me tournai
me suis levé
me suis habillé
me sens
me réveillai
me retrouve
me retourner
me répresente
me représente
me rappelle
me moquer de
me mettre
me fis le serment
me détournant
me demander
me débrouiller
me croyais
me consolais
mdr
max
mauvaise
mauvais
Mauritanie
matinée
matinal
matin
matières premières
matière
mathématiques
maternelles
maternelle
matériellement
matériel
match de football
match
m'as-tu-vu
massif
massacre
Massachusetts
masque
mas
martyr
marteler
martelait
marteau-piqueur
marteau
marseille
mars
marron
marre
marques
marquer
marquée
marque
marque
marocain
Maroc
Marne
marmonnant
marmonna
marketing
marins
marie-salope
Marie-Paule
mariées
marié
mariage
mari
marelle
mardi gras
mardi
marchions
marchés
marches
marcher
marchent
marché
marchant
marchandes
marchande
marchand
marchait
marathons
marathon
m'approchai
manuelles
manuel
manteau
manque-à-gagner
manque
manquait
manon
manœuvre mf
manœuvre (m/f)
mannequin
manmans
manifeste
manifestaient
manières
manière
manguiers
mangue
manger gras
manger
mangé
manège
mandat
manchette
manche mf
manche (m/f)
Manche
maman
malus
Malte
mallette
malin
malheurs
malheureusement
malheur
malgré
mâle
malaisienne
Malaisie
maladresse
malade
mal prises
mal finir
mal aux dents
mal à propos
mal
majorité
majeur
maîtrisions
maîtrise
maîtresses
maîtresse
maîtres-nageurs
maître-nageur
maître
maison
mais là
mais aussi
maïs
mais
maire
maintient
maintien
maintes reprises
maintes
maintenir
maintenant
maintenance
main-d'œuvre
main gauche
main droite
main d'œuvre
main
maillot de bain
mail
maigrichonne
mai,
mai
magnifique
magnifique
magistrate
magistrat
magenta;
magazine
magasinage
magasin
mademoiselle
madame le
madame
Madagascar
machine à laver
machine à coudre
machinal
mâcher
ma
M.
lyon
lycéenne
lycée
Luxembourg
luxe
lutte des classes
lutte
lundi
lunatique
lunaire
l'un l'autre
lumière
lui donner une forme ronde
lues
lucide
lubrifier
lu
loyer
loyal
Louvre
lourd
loup
Louisiane
louer
loue
loto
lot
lorsque
lors de
lorgnèrent
loper
lope
longueur
longues
longue distance
longue
longtemps
longs
long
l'on
loisirs
loisir
lois
loire
loin
loi
logique
logions
logement
locomotives
location de vacances
locataire
livrez
livres sterling
livres en anglais
livres
livrer
livrée
livre mf
livre (m/f)
livré
livre
littoral
littérature
littéralement
littéraires
littéraire
litre
lit
listes
liste de suivi
listé
liste
lisons
lisez
lire
lionne
lion
link
linguistique
lingua franca
linge de maison
linge
Limousin
limon
limoge
limité
limite
limit
lime
lignes
lignée
ligne ferroviaire
ligne d'arrivée
ligne
lieux
lieu
liés
liens
lien
libres
librairie
libraire
libertés
liberté
libérer
libération
libellule
liaison
lgaz
lèvre
levier
lever
levée
leur
lettres
lettre
letal
lesquels
lésinait sur les taloches
lésinait
lésés
les siens
les paroles
Les officines ont gagné
Les États-Unis
les Etas-Unis
Les Dicos d'Or
les commandos by flament
les choses vont de mal en pis
les
lepen
Léon
lentement
lent
lendemain
légumineuses
légumes
légume
légua
légitimité
légitimes
légitime
législatives
légion
légères
légère
légalement
légal
lectures
lecture
leçons
leçon
leader
le Zimbabwe
le Zaïre
le Yorkshire
le vôtre
le Touquet
le Texas
le Tarn
le sud
le Rhône
le Rhin
le restes des
le reste de
le premier
le Portugal
Le Port des brumes
le plus souvent
le plus mal
le pis
le Perthshire
le Périgord
le peindre en rouge
le Nigéria
le Nigeria
le Nevada
le Mozambique
Le Monde
le moins mal
le moins bien
le mieux
le Mexique
le Massachusetts
le Maroc
le long de
le Limousin
le Liban
le lendemain soir
le lendemain midi
le lendemain matin
le lendemain
le Koweït
le Kent
le Jura
le Japon
le Havre
le gros œuvre
le Groenland
le Gers
le français
le fleuve fait 2 kilomètres de large
le Finistère
le docteur Dupont
le Danemark
le couper au carré
le colorier en bleu
le colonel Blanc
le Cher
le carrefour de l'Odéon
le Canada
le Cambodge
le Calvados
le boulevard Saint-Michel
le bon usage
le Berry

le
laveuse
laver
l'avenue des Champs-Élysées
l'avant-veille
lavabo
latin
lassitude
laser
las
larousse
largeur
larges
largement
large
laquelle
laque mf
laque (m/f)
lapin
langues
langue-de-chat
langue de molière
langue
langage des jeunes
langage des cités
langage des banlieues
langage
landau
lancer
lancement
Lakmé
lait
laissez-faire
laissez vibrer
laisser-passer
laissèrent
laisser de côté
laisser
laissé
laisse
laissa-t-il tomber
laissait
laideron
laid
là-haut
là-dessus
là-dedans
lâches
lâchement
lâchaient
lac
laboratoire
là-bas
la Vendée
la veille au soir
la veille au matin
la veille à midi
la veille
la Tamise
la Syrie
la surlendemain
la Suisse
la Seine
la Sardaigne
la Saône
la Rue des Fontaines
la rue de la Paix
la Route de la Lague
la Roumanie
la Pointe de Pleinmont
la plurpart des
la plurpart de
la plupart des
la plupart
la place de la Concorde
la piscine fait 50 mètres de long
la Nouvelle-Zélande
la Norvège
la Normandie
la moitié de
la Mauritanie
la Marne
la Louisiane
la Libye
la leur
la Haute-Garonne
la Grève de St Clément
la France
La Fontaine
la Floride
la Finlande
la Crête
La Corse
La Conquête de Plassans
la Comédie-Française
la Chine
la China
la Champagne
la Californie
la Bretagne
la Baule
là bas

la
L’Étranger
ku
kras à boyo
kouni
klaxonnaient
kilomètre
kilogramme
kilo
kiki
kiffer
kiffant
ki non a-w
keum
kétamine
Kent
Kénia
kasher
karma
kaki
kahba
ka sanmb on toutewel
ka sanmb on pijon blan
ka
justice sociale
justice
justes
juste
jusqu'à présent
jusqu'à ce que
jusqu'à
jus de fruit
jus de canne
jus
juridique
jurer
juré
jure
jurait
Jura
jupon
jupes
jungle
jument
jumelles
jumelle
jumeau
juin,
juin
juillet,
juillet
Juifs
juif
juges
jugèrent
juger
jugement
juge d'instruction
juge
jugaient
joyeux
joviale
jouter
jours
journellement
journel
journées
journée continue
journée
journaliste
journal
jour
joujou
jouissait
jouions
joueurs
inter alia
joueur
jouets
jouet
joues
jouer serré
jouer de
jouer
joué à
joue
Jordanie
joliment
jolie
joli
jointure
joindre le geste à la parole
joindre
joie
ji
jeux olympiques
jeux
jeunesses
jeunesse
jeunes gens
jeunes filles
jeunes
jeune
jeudi
jeu
jeton
jetés
jeter à l'eau
jeter
jet
Jésus-Christ
j'espèrerai
Jersey
Jérôme
j'en sais
jeep
Jean-Pierre
Jean sait
Jean
je vous en prie
je t'en prie
je te mens
je sais bien
je partage tes sentiments
je ne sais quoi
je ne sais plus où j'en suis
je jetterai
je complèterai
je
Java
jaune
jattelé
jardins d'enfants
jardiner
jardin
j'appellerai
Japonais
janvier,
janvier
jambon
jambes
jamais
jaloux
j'ai acheté un sandwich pour moi manger (NE)
j'ai
jadis
jacket
j'achèterai
ivrognesse
ivrogne
ivre
ivoirienne
italien
issu
Israël
islamique
irritée
irrité
Ironman
Irlande
Iran
invité
invite
invitation
invisibles
invisible
investi
inversion
inverser
inverse
inventez
invariablement
invariable
inutile
introduire
intrinsèquement
intonation
intitulée
intime
Interview
interventions
intervalle
interruption
interrupteur
interrompt
interro
interprète
interpersonnelles
internationales
international
interminables
intermédiaire
intermède
intérieur
intérieur
interface
intérêts
intéressé
intéressante
intéressant
interdits
interdit
interdire
interdiction
interagissent
intention
intensément
intense
intempéries
intelligents
intelligente
intelligent
intelligence
intellectuelle
intégrité
intégrées
intégrée
intégrale
insupportable
insulté
insulaire
insuccès
instrument de sondage
instruits
instruction
instructeur
institutrices
institutrice
institut
instinct
instantanés
instant
inspiration
inspirait
insituteur
insinuant
insecticides
inscrire
insatisfaite
inquiétude
inquiétant
inquiétait
inquiet
inopportun
inondation
innovation
innovante
innovant
innocence
injustifiée
injustice
injure
initié
initiative
initiation
initiales
ingrats
ingénieux
ingénieure
ingénieur
ingénierie
infortunes
informé
informations
information
informaticienne
informaticien
informa
infirmerie
infinis calculs
infériorité
infanterie
inédit
inébranlable
indûment
indu
individuelles
individuellement
individuelle
individualisé
indiscipline
indirects
indigo
indifférence
indices
indépendance
inconnu
incongrûment
incongru
inclure
incluant
incivil
incendie de forêt
incendie
incarner
incapable
inauguration
in extremis
impuni
impunément
imprimé
imprimante à jet
imprimante
imprévue
impressions
impressionné
impressionnante
impressionnait
impression
impossible
importunément
importun
importer
important
importance
implantation
impie
impératif
impatient
impartir
imparfait
impardonnable
immuables
immortalisé
immobilité
immobilière
immigrés
immigration
immeuble
immersion
immensément
immense
immédiate
immédiat
immatériel
imiter
imitée
imitant
imberbe
imbéciles
imaginer
imagination
imaginaires
images
imagerie
image
ils
illustrent
illustré
illustration
illicite
illettré
il y a (Time)
il y a
il s'agit de
il n'y a pas de quoi
il le faut
il gèlera
il faut que
il avait eu donné
il aurait eu donné
il aura eu donné
il a eu donné
il
iks
ignorer
ignore
ignorant
ignoraient
ignoble
ieps
idiotisme
idéologique
identité
identitaire
identiques
identique
identification
idées
idée-force
idée
idéal
ici
ibuprofene
i grec
i'
i
hypercorrection
hybride
hurlements
hurlant
humiliées
humiliation
humanité
humanitaire
humains
humaine
huitres
huitième
huitante
huit
huis clos
huile d'olive
huile
Houston
houleux
Hots
hôtesse
Hôtel-Dieu
hôtel de ville
hôtel
hôte
hostile
hospice
hors-bord
hors
horribles
horrible
horizon
horaires d'ouverture
horaire
hôpital
honteuse
honte
honoraires
honneur
honnêtement
honnête
Hongrie
homosexuel
hommes-grenouilles
hommes
homme-grenouille
homme politique
homme
homard
holster
hocher
hobbies
ho
hivers
hivernal
hivernage
hiver
histoires
histoire
histoire
hier soir
hier midi
hier matin
hier après-midi
hier
hiboux
hibou
hey
heurté
heurtait
heureux
heureusement
heureuse
heures d'affluence
heures
heure
heu
hêtre
hésiter
hésite
héros
héroïsme
héroïne
héro
hériter de
héritage
hérisson
herbes de Provence
herbe
Henri
hémisphère
hellénique
hèle
hélas
hein
hébreu
hebdomadaire

Havre
haut-parleur
hauteur
Haute-Garonne
haute montagne
haute
haut placé
haut
hasard
Harrar
harmonie
haricots blancs
haricots
haricot
harem
hardi
harceler
handicapantes
handicapant
hanche
hamster
halloween
Halles
hall
haleter
halal
Haiti
haïr
haine
haie
haha
hachoir
hachis
hachette
hache
habituelles
habitude
habiter
habitations
habitant
habillés
habillement
habillées
habillée
gynécologue
gymnopédie
gymnase
gwoka
Guyane
gutturaux
guise
Guinée
guillemets
guichet automatique
gueuler
guerrier
guerre
guère
guêpe
Guadeloupe
groupes abstraits
groupes
groupement
groupée
groupe de niveau
groupe
grouiller
grosso modo
grossesse
gros cœur
gros
grivois
gris-rouge
grisonnant
gris
gringalettes
grimaces
grièvement
Grevisse/Hanse
grèves
grève générale
grève
grenouille
grenier
grégorien
Grèce
grec
graves
gravement
grave
gratuitement
gratuite
grattement
gratte-ciel
grasseyant
grasse
gras
graphite
graphique
grand-tante
grands-parents
grands-nègres
grands magasins
grands jours
grands bourgeois
grands
grand-rue
grand-route
grand-père
grand-parent
grand-ouvert
grand-oncle
grand-messe
grand-mère
grandir
grandi
grandeur
grandes surfaces
grandes
grande salle
grande personne
grande
grand mal
grand lit
grand
gramme
grammairiens
grammaire
grammaire
graines
grain de raisin
grain de beauté
grain
graillonneuse
grade
grâce à
gouverner
gouvernement
gouttes
goutte
goûts
goûter
goût au gwoka
goût
goulûment
goulu
gouffre
goudron
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gosse
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gorge
gonflement
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golle
golf
gober
gnangnan
glossaire
gloire
globe oculaire
gland
glacial
gîte
gitane
gitan
giraffe
gilet
gigotait
gicle
gestion du flux
gestes
geste
Gers
gérer
gérées
gerbes
géographique
gentiment
gentil
gens
genres
genre
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génie
genial
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Gênés
généreux
générations
génération
générales
généralement
générale
général
gendarme
gênant
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geler
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géant

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garçons
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gagné
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frontière
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fréquence
fréquemment
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frappé
frappe
francophonie
francophones
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François
franco-allemand
franchissements
franchise
franchi
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française
français
franc
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fraise
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foyer de la troupe
foyer
foutre
fous
fourrure
fourrée
fournir
foule
fouilles
foudre
fou
fossé
forte
fort
forneau à charbon
forneau
formuler des griefs
formule
former
formé
forme
formation
forêts
forêt vierge
forêt
forces armées
forcer
forcément
forcées
forcée
forcé
force
footballeuse
footballeur
football
foot
fontaine
font
fondre
fondations
fondation
fondamentales
fondamentalement
fond
fonctionner
fonctionnaire
fonction
fois
foie
foi
fofolle
flux
flûte!
flou
flotter
flottais
flots
flot
Floride
flore
flexibilité
fleurir
fleur
fléchir
flèche
flatteur
flashcard
flâné
fixement
fixée
fit oui de la tête
fis
fioriture
fins
finit par
Finistière
finis
finir par
finir
fini
financières
financés
financement
finalement
finale
final
fin
fils
films
film
fillettes
fille-mère
fille au pair
fille
filer doux
fil
figure
figurant
fièvre typhoïde
fièvre
fierté
fiers
fière
fier
fidèle
fiche
fiancé
fiançailles
feuillet
feuille
feu
fêter
fête nationale
fête
festival
fessiers
fesses
férocité
fermier
fermez
fermeture
fermement
fermée
fermée
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fer-blanc
fer
fenêtre
fendre
femmes
femme-grenouille
femme
féminisation
féminine
féminin
femière
félicité
feindre
feed-back
féconder
fécale
fdp
favori
faux
fauve
fautes
faute
faut
faune
faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres
fatigue
fatiguant
fatigant
fatal
fastidieux
farfouilleuse
fards
farce
fantastique
fan
familles
famille
familière
familier
familiaux
familiales
fameux
falloir
fallait
falaises
faits
faites de beaux rêves
faites
faîte
faite
fait
faisant
faisait la sourde oreille
faisait
faire-part
faire une pause
faire un rêve
faire semblant
faire sauter
faire pression
faire plaisir
faire partie
faire l'innocent
faire l'effet
faire la fête
faire la cuisine
faire grief
faire en sorte
faire du cross
faire des recherches
faire des ravages
faire des progrès
faire des jeux
faire défiler
faire confiance
faire chaud
faire changer
faire attention à
faire appel à
faire allusion à
faire ... que
faire (cost money)
faire
Fair
faim
faillit
faillir
faille
faculté
façon
faciliter
facilement
facile
fâcheuse
face-à-face
face à face
face à
face
façade
fabuleux
fabriquer (colloquial)
fabriqué
fable
eye-liner
exubérant
extrêmement
extrait
extraire
extermination
extérieur
exprimer
exprime
expressions
expression
exprès
expositions
exposition
exploser
exploits
exploiter
expliquer
expliquant
explications
explication
expérimenté
expérimentant
expérimentale
expérience
expérience
exode
exister
existences
existence
exilés
exige
exercices
exercice
exercer
exemple
exemplaires
excusez-moi
excuse
exclu
excitation
exceptionnellement
excepté
excellait
excédée
examiner
examinée
examinant
examens
examen
exactement
exact
éviter
évier
évident
évidence
évidemment
éventuellement
éventuel
éventail
événements
éveiller
eux
euros
européen
Europe
euro
eu parlé
eu donné
étudiez
étudier
étudiant
études
étude
êtres humains
êtres
étreindre
être humain
être haut placé
être considéré comme
être
étranges
étrangère
étranger
étrange
étrait
étonnante
étonnait
étoiles filantes
étoilée
étoile
étirés
éthique
Ethiopie
êtes
éternité
éternels
étendre
éteint
éteindre
été
États-Unis
États
état de
état
Etat
étape
étangère
étalées
étages
étage
établies
et/ou
et que
et quart
et demie
et demi
et ainsi de suite
et
estimer
estime de soi
estime
est-ce que
est servi
est mis sur
est
essuie-mains
essentielles
essentiellement
essence
esse
essayez
essayer
essayé
essayais
essaya
essai
esquisser
esprit
espérons
espérer
espère
espèces
espèce
espagnol
Espagne
espadrilles
espacement
espace mf
espace (m/f)
espace
escorta
esclave
esclavagisme
escient
escalier
escale
erronée
erreur
erre
ère
équivalents
équivalent
équivalant
équipement de plongée
équipement
équipe
équilibre
épuisé
éprouver
éprouvants
éprouvais
éprouvaient
époux
époustouflante
épouses
épouse
époque
épinard
épices
éphémères
épaules
épaule
épargner
épandre
épaisseur
épais
envoyer chercher
envoyer
envoyé
envoyaient
envoya valser à terre
envoya
envoie
envisagez
envisageriez
envisager
environs
environnement
environ
envieux
envier
envié
envie
enviaient
envers
Envergure
envahit
envahi
entretien
entre-temps
entrèrent
entrer en activité
entrer dans
entrer
entreprise
entrepreneuriales
entrepôt
entrepot
entrejambe
entrée principale
entrée
entre la vie et la mort
entre
entraîneuse
entraîneur
entraînement physique
entraînement
entrailles
entoure de
entourage
entièrement
enthousiasme
en-tête
enterrement
entendre
entendez
entendant
ensuite
enseveli
enserrait
ensemble
enseignement
enseigné
enseignant
enrichir
enregistrés
enregistrer
enregistrement
enregistrée
énormément
énorme
ennuyeuse
ennuya
ennuis
ennui
ennemi
enne
enlever
enlaidie
enjambant
engagement
engagé
enfumer
enfreindre
enfin
enfiler
enfer
enfants
enfantine
enfantin
enfant
enfannt
enfance
énervé
énergie
enduire
endroit
endommager
en-dedans
encre
encore une fois
encore là
encore des
encore
enchanté
enceindre
encaisser
encadrer
encadrement
encadré
en vrac
en vouloir à
en voilà un
en ville
en vertu de
en vaut
en vain
en utilisant
en tuant
en train de
en toute saison
en tout cas
en théorie
en terre
en tant que telle
en tant que
en sûreté
en studio
en somme
en solo
en soirée
en soi
en silence
en serrant
en s'appuyant sur
en rose
en rien
en revue
en revenir
en revanche
en retour
en retenant
en retard
en réparation
en recherche de
en réalité
en réalisant de
en rapport
en rang de
en rang
en raison de
en quelque sorte
en profondeur
en prime
en pressant
en poussant
en poursuivant
en plus du
en plus
en plein
en phase
en partie
en particulier
en outre
en mon temps
en mettant tout au pis
en mettant l'accent sur
en mesure
en même temps
en matière de
en marbre
en ligne
en l'honneur de
en janvier
en imposer
en haut de
en haut
en guise de
en guerre
en grand
en général
en gare de
en garde
en garçon
en fin de
en feu
en faveur de
en fait
en face de
en exercice
en être a
en équilibre
en entrant
en entier
en effet
en direction de
en développant
en dessus
en dessous
en dessin
en désordre
en dehors
en définitive
en découdre
en d'autres termes
en danger
en cours
en contact
en construction
en conséquence
en colère
en classe
en cédant
en ce temps-là
en ce sens que
En ce qui me concerne
en ce moment
en catimini
en bois
en bloc
en bas de
en bas
en avoir le cœur net
en avoir
en avant
en avance
en aval
en attente
en arrière
en appeler à
en animent
en amont
en accordant
en +
en
emprunter
emportes
emporté
employés
employer
employées
employée
employé
emplois
emploie
emploi
empirer
empesé
empêcher
empêché
empêchaient
empaler
émotions
émotionnelle
emmener
emme
émission
émietté
embuscade
embûches
embûcher
embrasser
embarras
embarquement
embarcation
émaillait
émail
e-mail
email
élu
éloigner
éloigné
elles
elle
élite
élire
éliminer
éliminent
éliminée
élèves
élevés
élève
éléphant
élément
électricité
électricienne
électricien
électorale
élections
élection
eh bien
ego
église
égayée
égaré
égalité
également
égale
égal
effroi
effrayant
efforts
effort
efforçais
effondrement
effondrées
effleurait
effets
effet
effectuée
effectué
effe
effacés
éducation
éditrice
édition
éditeur
éditer
écussons
écrivez
écrivaine
écrivain
écriture
écrites
écrire
écraser
ecraser
écran tactile
écran
écoutez
écouter
écoulement
économique
économie
écoles
école secondaire
école
éclipse
éclatant
éclat
éclairé
échouant
échec
échasse
échanger
échange
écartés
écarter
écarteler
écartées
ébats
eaux
eau de toilette
eau courante
eau
e
dynamique
dut
durs
dure-t-il
dureront
durèrent
durer
durement
dure
durait
durable
dura
dur de pas se faire plaisir
dur
duquel
duperie
duo
d'une part
d'une manière concise
d'une manière charmante
d'une manière
d'une façon
d'un instant à l'autre
d'un air
dûment
dulse
duc
du tout
du soir
du retour
du reste
du moins, il n'est pas blessé
du moins
du matin
du coup
du coin de l'œil

du
drôlesse
drôle
droite
droit
dring
drill
draps de lit
drapeau
drap
drames
drame
draguer
douzième
douze heures
douze cents
douze cent un
douze
douzaine
doux
doutés
douter de
douté
douleur
douille
doudou
douche
douceur
doucement
douce
doublure
double vé
double
d'où
dotées
dotée
doté
doser
dose
dos
dort
dors
dormir
dormez
dormais
d'ores et déjà
dorénavant
dopage
dont de
dont
donnez
donner
donnée
donné
donne
donnait sur
donnait
donna
donc que
donc de
donc
don
dommages
domaines
domaine
dollar
dois
documentation
doctoresse
doctorante
docteure
docteur
djellaba
dizaines
dizaine
dix-septième
dix-sept
dix-neuvième
dix-neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
dix-neuf
dixième
dix-huitième
dix-huit
dix mille trois cent quarante
dix huit cent soixante
dix
divorcée
divorcé
divorce
divisé
divertissement
divertir
diversement
divers
divagation
dîtes
dit
district
distribue
distrayait
distinctement
distinct
distance
dissuadée
disque
disponibilité
disparut
disparue
disparu
disparaître
disent
discutez
discuter
discret
discours
dirlo
dirigiste
dirigerions
dirigé
direts
directrice
directions
directeur
directement
direct
dire
diplômes
diplomate
dîner
dindon de la farce
dindon
dimanche
dilemme
dijon
digne
digestion
digérer
difficile
différer
différents
différentes
différente
différent
différence
différant
dictées
dicos
diamètre
dialogue
diabolos menthe
diabolos
diabolo
diablesse
diablement
diable
d'habitude
d'excitant
devoirs
devoir
devinez
deviner juste
deviner
dévergondée
devenir
développés
développement
développé
développant
dévelopement
devanture
devant
dévalent
devaient
d'eux-mêmes
Deuxième Guerre mondiale
deuxième
deux points
deux mille un
deux mille cent un
deux mille
deux fois par semaine
deux d'entre eux
deux cents
deux cent un
deux cent deux
deux
deus ex machina
deuil
détruits
détruit
détruisent
détruire
détresse
détours
détourner
détourné
détester
détesté
déterminer
détention
détendre
déteindre
détala
détails
détaillés
détaillé
détail
detail
détaché
destruction
destinées
destin
dessus
dessous
dessoûlait
dessinés
dessiner
dessinées
dessinée
dessin
desservir
désormais
désordre
désolé
désobéir à
désobéi
désirée
desirée
desirada
désillusion
désignait
désespoir
désespérément
désertification
déserté
désert
descriptivist
descriptions
description
descendre
descendent
descendants
descendant
désapprover
dès que
des pensées vagabondes
dès lors
dès
des
derrière
dérouler
dernier-né
dernières-nées
dernièrement
dernière
dernier né
dernier
dérangeant
déraille
depuis combien de
depuis
dépôt
déplorait
déplacement
dépendre
dépend de
dépeindre
dépassait
départir
département
départ
dénuées de
dents
d'entre
dentiste
dentelle
dent
densité
dense
denier
démolition
demoiselles
démocratiquement
démocratie
demi-tarif
demi-siècle
déminer
demi-finale
demi-bouteille
demi
demeurer
demeuré
démesurément
démentir
déménager
d'emblée
démanteler
demander pardon
demander
demandé
demande
demandait
demain soir
demain midi
demain matin
demain après-midi
demain
deluxe
déloger
délire
délices
délice
delfeil
délégués
délégations
délégation
délai
déjeuner
déjà
dehors
dégouté
dégoût
dégouline
dégoulinant
dégeler
dégâts
dégage
défunt
défraîchie
défoncer
défiler
défense de
défense
défendu
défendre
défait
déduire
dédié
dédicace
dedans
déçu
décroître
décrivez
décrire
décrêpé
découvrir
découvre
découverte
découvert
découragé
découpeur
découpée
décision
décidé
décidai
décevoir
décès
décerner
décennies
débutant
débutait
débuta
début
débusquer
debout à
debout
déboulait
débonnaire
déboires
déblaient
débit
débat
débarrasser de
débarquement
de très près
de travers
de toute façon
de temps en temps
de temps à autre
de suite
de si loin
de service
de rien
de près cependant
de plus belle
de pis en pis
de pas en
de nouveau
de même sexe
de manière à
de mal en pis
de loin
de l'après-midi
de la part de
de façon surprenante
de façon réfléchie
de façon possessive
de droite à gauche
de ce fait
de bonne heure
de base

de
davantage
d'autres
d'autrefois
d'autre part
d'autant
date limite
date de naissance
date
dash
darse
d'arrache-pied
d'après ce que
d'après
dansez
dans son ensemble
dans l'idée de
dans leur ensemble
dans les
dans l'après-midi du lendemain
dans l'après-midi de la veille
dans la suite
dans la merde
dans la confusion
dans
dannikites
dannikite
dangereux
dangereuses
dangereuse
danger
Danemark
dancing
dame
dalle
d'ailleurs
d'accord
d'abord
cyprien
cyprès
cycle
cyan;
cuvette
curieux
curer
cure-dents
culturelle
culture
cultiviez
cultiver
cultivées
cultivé
culotte
cul
cuit
cuisses de grenouille
cuisses
cuisse
cuisinière
cuisines
cuisiner
cuisine
cuir
cuiller à café
cuiller
cueillir
cucu
Cuba
cry
crut
crûment
cruel
cru
croyez
croyance
croyais
cross
croix
croître
croiser
croisé
croisa
croire
crochu
crocheter
croc-en-jambe
Croatie
critique (m/f)
cristal
cris de cœur
cris
criminel
crimes
crime
crier
crié
crie
criant
cri
creusot
creuser profond
crêpe (m/f)
créoles
créole
crème solaire
crème mf
crème (m/f)
crème
créer
créé
création
créatif
créateur
crayon de couleur
crayon
cravatés
cravate
crasse
crâne
craindre
crado
cracher
couvrir
couvre-lit
couvrant
couverte
coûter cher
coûter
couteau à pain
couteau
cousine
cousin
courut
courus
courtoisie
courtes
courte
court métrage
courses
course à pied longue distance
course à pied
course
cours
courir
coureur
courbe
courants
courante
courant
Cour suprême
cour de récréation
cour
coups de
couples
couple
couper court à
coupée
coupe du monde
coupe
coupant
coupable
coup d'œil
coup d'œil
coup de pied
coup de feu
couloir
coulisses
couleur
couler
coulée
couilles
cou-coupé
couche
cou
cotenir
cotée
Côte d'Ivoire
côte d'azur
Côte basque
côte à côte
côté
côte
costumés
costume
cosmétique
corvette
cortège
corseter
corrompre
corrigerons
corriger
correspondre
correspondance
correspondait
correspond
correction
correct
corps
coréenne
Corée du Sud
Corée du Nord
cordes
corde
corbeille à papiers
Coran
coquilles Saint-Jacques
copyright
copine
copies
copier
copains
copaine
convoi
convive
converser
conversation
convenir à
contrôles
contrôle
contre-offre
contre-offensive
contrefaçon
contre
contrat
contraste
contrarié
contraint
contractions
continûment
continues
continuer
continue
continuais
continu
contigu
contextes
conteste
Contes d'Hoffman
contes
conter
contenues
contents
content
contacts
consultants
consule
consul
constance
consonnes
consommation
consommable
consolé
consolation
consolateur
consistent
consiste
consistait
considère
considérant
conserver
conservateur
conséquences
conséquence
consentir
consentement
consentant
conseils
conseillère
conseiller municipal
conseiller
conseiller
consécutif
conscient
conscience
consacrer
connue
connu
connnerie
connexion
connexes
connerie
conne
connasse
connard
connaissance de cause
connais
conjugales
congés
congé
confus
conforter
confondre
conduite
conducteurs
concordance
concombre masqué
conclave
concilier
concierge
concevoir
concerne
concepts
conception
comté
comte
comptez
compter
compte
comptait
compromis
compresis
comprenez
comprendre
comprenant
comprenait au
comprenait
comprenais
compréhensive
compositrice
compositeure
composer
composai
comportant
comportaient
compliqué
compliment
complice
compléter
complète
complet
complaire
compétence
compenser
compatriote
compassée
comparaison
compagnie
compagne
compact
communs
communications
commune
communauté
commun
commodément
commode
commit
commission
commis
commercial
commentée
commentaire
comment vous appelez-vous ?
comment vas-tu ?
comment t'appelles-tu ?
comment dit-on
comment ça va
comment appelle-t-on
comment allez-vous ?
comment
commencer
commencé
comme and
comme
commanfo
commando
commander
commande
comité
comète
combinez
combinées à
combiné à
combinant
combinaison (clothing)
combinaison
combien de temps
combien
combattre
combattant
combats
combat alpin
combat
colonne vertébrale
colonialisme
colonial
colocataire
collision frontale
colline
collier
coller
collègues
collègue
collège
collective
collecte
colle
collant
col
coins des rues
coins
coincer
coin fenêtre
coiffés
cogne
coffre-fort
cœur net
cœur
co-écrit
codé
code
cochère
coca
club
clowneries
clous
clou
clôture
clope
clochettes
cloches
cloche-pied
climat
cligner
clients
clientèle
client
clés
clef
clé
classons
classes
classe
clarinette
clandestins
clairin
clairement
claire
clair
claims
civilisé
civile
civil
citoyen
cité
citations
ciseler
ciré
circulation
circonstances
circonflexe
cinquième
cinquantième
cinquante-neuf
cinquante-deux
cinquante et un
cinquante
cinquantaine
cinq cent vingt-deux
cinq cent vingt
cinq
cinéma
cinéaste
ciné
cimetière
ciment
cil
cigarette
Cigale
cieux
ciel
Cie
ci-devant
ci-dessus
ci-dessous
ci-contre
cicatrice
ci-après
ciao
ci
Chypre
chute de météorites
chu
chronométrée
chronologie
chroniqueurs
chronique
choux
chou-fleur
chou
chose
choquait
chopé
choix
choisir
choisi
choir
chocolatine
chocolat (deceit)
chocolat
choc
cho
chirurgienne
chirurgien
chiottes
chiot
Chine
chimiste
chignon
chiffres
chiffre
chienne
chien
chiche
chic
chibre
chez
chevrotine
chevrier
chèvrefeuille
chèvre mf
chèvre (m/f)
chèvre
cheville
cheveux
cheveu
chevet
chevalier Bayard
chevalier
cheval
chérissais
chèrement
chère
chercheuse
chercheur
chercher à
cherche
chercha
cher
chèque de voyage
chêne
chemisier
chemisette
chemiser
chemise
chemin du retour
chemin de fer
chemin
chef-d'œuvre
chef d'œuvre
chef d'État
chef de poste
chef
cheerleader
ché pas
ché bien (coll.)
ché
chaussures de tennis
chaussures
chaussure
chaussés
chausser
chaumière
chauffeur
chatte
châtié
châtain clair
chat perché
chat
chassez
châsses
chasser
chasse-neige
charnière
charmer
charité
charges
chargée
chargeait
charcuterie
charbon
char
chaque
chapitre
chapelle
chanteuse
chanteur
chanter faux
chanter
chant
chanson
chanoinesse
chanoine
changerait
changer de
changer
changent
changement
change
chandail
chance
champion
Champagne
champ de tir
champ
chambres d'hôtes
chambrées
chambrée
chambre
chaleur
chalet
châle
chaise
chaire
chaîne
chahid
chagrins
chagrinées
chagrin
chacun des
chacun
chacal
chabine
ceux
cette tour fait 20 mètres de haut
cette fois
cette
cet après-midi-là
cet après-midi
cet
c'est-à-dire
c'est pourquoi
c'est le 2 janvier
c'est Jean
c'est ce que c'est
cessez
cesser
cessé
ces
cerveau
certes
certains des
certains
certaines
certainement
certain
cerf-volant
cerf
cérémonie
cérémonial
cependant
centre-ville
centre-est
centre
Centrafrique
centimètres
centimes
centième
cent un
cent quatre-vingt-douze
cent onze
cent deux
cent
censé
c'en est fait
celui de
celui
cellule
celles-ci
celles
celle-ci
celle
célibataire
celer
célèbre
célanire
cela
ceinture
ceindre
cédille
cédez
céder
ceci
ce tantôt
ce sont des Japonais
ce soir-là
ce soir
ce qui
ce qu'
ce midi-là
ce midi
ce matin-là
ce matin
ce jour-là

ce
CD
caverne
cave
cavalier
cavalerie
causent
cause
catholique
cathédrale
catégorie
catéchisme
catch
catastrophe
casser net
casser
casse-noisettes
cassé
casse
casques
casque
caserne
cascade
cas
carte de visite
carte de France
carte
cartable
carrière
carreaux
carreau
carré
carpe diem
carosse
Caroline du Nord
carnaval
caresser
carême
carafe d'eau
caractère
car
capter
capitaux
capitalistes
capitale
capitaine
capacité
cap
caoutchouc
canon
cannes à sucre
cannes
canne
candidate
candidat
cancre
canaliser
canadien
Canada
campus
camps
camping
campagne
campagnard
camp
camionneuse
camionneur
camion-citerne
camion
Cameroun
caméra cachée
Cambridge
cambre
camarade de classe
camarade de chambre
camarade
Calvados
calmer
calme
Californie
caler
cale
calcula
calcul
cal
caissière
caissier
caisse
cailloux
caillou
cahier
cage
cafétéria
café
cadre
cadienne
cadette
cadenassés
cadeau
cadavre
cacher
cache-nez
caché
cachait
cable
ça va ?
ça va
ça joue
ça fait longtemps
ça et là
ça
bz
buviez
buvard
but
bus
burn
Burkina Faso
bureau
building
bruyant
Bruxelles
brutale
brut
brunet
brun
brûlants
bruits
bruit
brouillons
brosse à dents
brosse à cheveux
brosse
broncher
brodequins
brochure
broccoli
britannique
brillants
brillant
brillamment
brillait par
brillait
brièvement
briefing
bridge
bridage
brevet
Brétigny
Bretagne
brest
bref
bravo
brave
bras dessus bras dessous
bras
branler
branche
boyaux
boxeur
boxer
boutonnière
bouton de porte
bouton de manchette
bouton
bouteille
bout
bousculés
bourse
bourrine
bourrées
bourrade
bourgeoise
bourgeois
boulot
boulevard
boule
boulangère
boulanger
bouillir
bouillie
bougrement
bougre
bougie
bouger
bouge
bougainvillées
bouffer
boueux
boudeuse
bouderie
bouder
boucle
boucher
bouche bée
bouche
bossé
boss
Bosphore
bordel
bord de la mer
bord
booker
bonus
bonté
bonsoir
bonnes vacances
bonnes fêtes
bonnement
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bonne journée
bonne heure
bonne dernière
bonne
bonjour
bonhomme
bonheur
bondée
bonbon
bon week-end
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bon marché
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Bon Dieu
bon anniversaire
bon
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bols
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bœuf
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bitako
bise
bis
biologie
binaire
billion
billets
billet de bus
billet
bilan
bijoux
bijoutier
bijouterie
bijou
bihebdomadaire
bière pression
bière
bienvenue
bienvenu
bientôt
bien vacant
bien sûr
bien sur
bien que
bien intentionné
bien des
bien davantage
bien cuit
bien
bicyclette
bibliothèque
bibliothécaire
biberonner
biberon
biais
bi
Bhoutan
beurre
beur
béton
bête noire
bête
bestiaux
besoins
besoin
Berry
bergère
bergerac
berger
bénin
bénéfique
bénéficie
bénéficiaient
belle-fille
belle
Belgique
belge
beige
bée
bébé
beauté
beaucoup de
beaucoup
beau ajouter
beau (adv.)
beau

Bayeux
bavard
battu
battre
bâtons
bâton
bâtis
bâtir
bâtiment
bath
bateau-mouche
bateau-citerne
bateau
bâtard
bataillon
bas-voter
bastion
bassement
basse-cour
basse
baskets
basket-ball
bases
basé sur
base
bas-côté
bas
bars
barres
barrée
barre
barmaid
Barcelone
barcarolle
barbe
bar
bannissez
banlieues
bang
bander
bande dessinée
bande
bancal
banc
banane
banal
bambinos
bambine
ballon
balle
baleines
balcon
bal
baissés
baissers
baisser
baisse
baissaient
baisers
baiser
baisées
bains
bain-marie
bain
bail
baignoire
baignée
baie
bah
baffes
bacs
bâclai
backing
bacchantes
baba
ayons donné
ayez donné
ayants
ayant parlé
ayant fini
ayant eu donné
ayant eu
avril,
avouer
avoir une prise
avoir une conduite intime
avoir tort
avoir recours à
avoir raison
avoir peur
avoir marre
avoir lieu
avoir les moyens
avoir le cœur net
avoir l'air
avoir la main verte
avoir intérêt
avoir grand-faim
avoir froid
avoir faim
avoir eu donné
avoir du succès
avoir droit à
avoir des vivres
avoir de mal
avoir besoin de
avoir beau
avoir âge
avoir affaire à
avoir accès
avoir
avocats
avocate
avocat
avis
avions
avion
aviatrices
avez
aveux
aveugler
aveuglément
aveu
avertir
aversion
avenue
aventures
aventurer
avec violence
avec véhémence
avec tristesse
avec patience
avec le temps
avec entêtement
avec du temps
avec difficulté
avec délices
avec concision
avec colère
avec charme
avec beaucoup d'imagination
avec beaucoup de talent
avec
avant-hier
avant-coureur
avantageux
avantages
avant que
avant de
avant
avancés
avancer
avancement
avancée
avancé
avance
avaler
avale
avait raison
avait
aux mains de
aux environs de
aux côtés de
aux alentours de
aux alentours
aux
autrui
autres
autrement
autrefois
autre chose
autre
autour des
autour de
autour
autoroute
autorisées
autorisé
autorisant
autoportrait
autonomes
automorphisme
automobile
automne
auto-école
auto
authentique
auteure
auteur
autant que
autant de
autant
austère
aussitôt
aussi
Auschwitz
aura affaire
auquel
auprès de
auparavant
aujourd'hui
augmenter
augmente
auditrice
auditeur
au-dessus de
au-dessus
au-dessous
au-delà
au-dehors
au-dedans
audace
aucune
aucun
aube
au(x)
au viol
au travail
au tour de
au total
au sujet de
au suivant
au secours
au risque de
au revoir
au point que
au plus … au plus (BE)
au pis aller
au pied de
au nez de
au moment de
au mois de janvier
au mois de
au moins dix personnes blessées
au moins de
au moins
au maximum
au maintien
au loin
au lieu de
au lendemain
au fur et à mesure
au fond de
au fond
au feu
au défi de
au début de
au cours de
au courant
au contraire
au cœur de
au cas où
au camp
au + word = uh oh!
au
attouchement tendre
attitude
atterrir
attention
attentes
attentats
attendus
attendre
attendant
attend de
attelée
atteint
atteindre
attaque
attaqué
attaque
attacher
atout
atomes
atome
atlantique
athlète
astreindre
astral
astéroïde
astérix
assurément
assumer
assortir
associez
association
assistante
assistant
assistance
assises
assise
assis
assignée
assigné
assiette
assidûment
assidu
assez de
assez
asservir
asseoir
assembler
assemblée
assaut
assassinat
assasse
assaillir
aspiré
Asie
as
artistes
artiste
artisane
artisan
artificiel
articles de toilette
articles
article de table
article
art
arrondissement
arrivés
arriverait
arriver à la cheville
arriver
arrivée
arrive
arrivaient
arrière-plan
arrière-pensée
arrière-boutique
arrhes
arrêtez
arrêter
arrête
arrêt de bus
arrêt
arrérages
armoiries
armes
armement
armée
armé
arme
armature
Arizona
Argentin
argent
arganier
archives
architectes
architecte
arc-en-ciel
arc-boutant
arc
arbres
arbre
araignée
arabs
arabe
après-midi
après-guerre
après-demain
après tout
après
appuyer sur
appuyer
appuyé
appui-tête
approvisionnement
approprié
approfondies
approcher
approbation
apprenez
apprendre
apprenaient
applique
applaudissements
appelle
appeler
appelée
appelait
appel de l'affaire
appel
appartient
appartiens
appartenait
appartement
apparentées
apparent
apparence
apparemment
apparaître
apparaissez
apparaissant
apointement
aperçois
apercevoir
apaisé
août,
anxieux
antithèse
antillaise
antidéplacement
ans
anonymement
ânonnait
anoblir
annuler
annulaire
annonçons
annonce
anniversaire
années
année
annales
animosité
animé
animaux
animatrice
animateur
animal
angora
angoisses
anglophone
anglican
anglais
ânesse
âne
ancien régime
ancien
ananas
analyses
an ti fi
an ké tchouyé-w
an
amuser
amuse
amputé
ampoule
amoureux
amour (m/f)
amour
ammareuse
amitié
amis
amies
amie
ami
âmes
Amériques insulaires
Amérique
Amérindiens
américains
américain
amer
amener
améliorer
ambulance
ambigument
ambigue
ambigu
ambassade de France
amateurs
amas
amarre
amande
Amadou
alternatives
alpiniste
alpinisme
alpin
alphabet
alors que
alors
allure
allô
allitération
allez
aller sur
aller par quatre chemins
aller droit
aller chercher
aller au lit
aller
allen en boîte
allait
alimentaire
aliénés
aliénée
algérienne
Algérie
Alger
algébrique
Alexandre
alerter
alentours
alentour
album
albinos
Alaska
Alabama
ajoutés
ajouter
ajoutait
aisément
aisé
aise
air
ainsi
aîné
aimante
ailleurs
aigu
aigre-doux
aie donné
aider
aide-de-camp
aide
Aïda
agriculture
agresseur
agrément
agonie
agir bassement
âgés
agent
âge moyen
âgé
âge
agacées
africain
afin que
Afghanistan
affreux
affreusement
affluer
affirma
affiché
affectueusement
affectionner
affection
affecterait
affectait
affamé
affaires
aérosol
aérien
adultes
adresser
adorer
adore
adorait
adorais
adoption
adopter
adolescents
adolescence
admirer
admiration
admirait
admiraient
administrer
admettre
Adirondacks
adieu
adhésif
Adélaïde
addition
actuellement
activité
activer
action
actif
acres
acheteurs
acheter
acharné
accueillir
accueillant
accueil
accroître
accrocher
accrochée
accroché
accro
accouplement
accouchée
accoster
accords
accompli
accompagner
accompagnait
accident de car
accident
accès
acceptation
acceptable
accent
abymes
absurdes
abstraits
absorbée
absolument
absolu
absence
abondant
abondamment
abominable
Abidjan
abandonner
abandonnent
à vrai dire
à tue-tête
à travers
à tout instant
à tout à l'heure
à tort
à tire-larigot
à temps
à témoin
à ta grande surprise
à son tour
à son regard
à revers de
à qui mieux mieux
à quelle heure
a priori
à présent
a posteriori
à plusieurs reprises
à plat ventre
à pied
à peu près
à peine
à partir de
à part
à mon tour
à mon intention
à mon avis
à moins que
à même
à ma grande surprise
a lus
à l'unanimité
à long terme
à l'heure
à leur goût
à l'étroit
à l'avenir
à l'avance
à l'aise
à l'agonie
à la maison
à la garde
à la fois
à la fin
à la condition
à la cheville
à la bourre
à la base
à jamais
à haute voix
à grosses gouttes
à grand-peine
à genoux
à gauche
a fortiori
à force de
à fond
à dessein
à demain
à court de
à côté
à chaque fois
à ce sujet
à ce moment-là
à cause de
à brûle-pourpoint
à bon
à
a
voltigeur
une bonne partie
un oui
un non
un jour
un département d'outre-mer
tonnerre du sort
tomer
toma
toilette
thibault
tetris
tels que
taupé
tante derog
tandis que
sus
sur notre dos
sûr de savoir
supliante
stream
statu
sous-peintures
sous prétexte de
sous les yeux
sortir en foule
sortir à flots
sol
sois de
so
single
s'imaginer
imaginer
s'habiller court
s'étaler fall over
servez à la table
serpent boa
sergent major
sera au paradis
septante-deux
septante et un
sentir mauvais
sentir bon
s'en tenir à
s'en prendre à
s'en bat les couilles
s'en aller
selles
seine
seiner
s'effacent
se voir
se sucer la bite
se rire de
rouler coll
rossignol coll
rond drunk
risquer gros
rococo derog
rire verb
Je n'ai pas confiance dans le fait que mon français parlé spontané sera au même niveau de qualité que mon français écrit soigneusement préparé.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le Main Street, mais alors je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis 12th-grader.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le dortoir de Main Street, mais maintenant je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis un élève de douzième année de quatre ans.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le dortoir de Main Street, mais maintenant je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis un élève de douzième année de quatre ans. Je n'ai jamais pris de cours de français auparavant, alors je suis impatient d'essayer quelque chose de nouveau et de vous rencontrer tous.
porte-monnaie
des pèse-lettres
qu'il fût
mûr
elle s'est laissé mourir
un imprésario
portefeuille
douceâtre
blanchâtre
boursoufler
souffler
chariot
charrette
vingt-trois
cent trois
cure-dents
cure-ongles
cache-flamme
céderai
puissé-je
il plaît
il se tait
la route la voûte
il ruisselle
amoncèle
elle s'est laissée aller
elle s'est laissé appeler
des jazzmen
des lieder
zéro
un
deux
trois
quatre
cinq
six
sept
huit
neuf
dix
onze
douze
treize
quatorze
quinze
seize
dix-sept
dix-huit
dix-neuf
vingt
vingt et un
vingt-deux
vingt-neuf
trente
trente et un
trente-deux
trente-neuf
quarante
cinquante
soixante
soixante-dix
soixante et onze
soixante-douze
soixante-dix-neuf
quatre-vingts
quatre-vingt-un
quatre-vingt-deux
quatre-vingt-neuf
quatre-vingt-dix
quatre-vingt-onze
cent
cent un
cent deux
cent soixante
cent soixante-dix
deux cents
deux cent un
deux cent trente-six
mille
mille un
mille six cents
deux mille
dix mille
un million
un million trois cents
deux millions huit cent mille
cinq cents millions
un milliard
six milliards
premier
deuxième
troisième
quatrième
cinquième
sixième
septième
huitième
neuvième
dixième
onzième
douzième
treizième
quatorzième
quinzième
seizième
dix-septième
dix-huitième
dix-neuvième
vingtième
vingt et unième
vingt-deuxième
vingt-neuvième
trentième
trente et unième
trente-deuxième
trente-neuvième
quarantième
cinquantième
soixantième
soixante-dixième
soixante et onzième
soixante-douzième
soixante-dix-neuvième
quatre-vingtième
quatre-vingt-unième
quatre-vingt-deuxième
quatre-vingt-neuvième
quatre-vingt-dixième
quatre-vingt-onzième
centième
cent unième
cent deuxième
deux centième
deux cent vingt-quatrième
millième
mille unième
mille quatre centième
dix millième
Bonne journée
bonne soirée
Faites de beaux rêves
Laissez-moi tranquille
dégage
Au voleur
au viol
au feu
urgent
portefeuille
affaires
puis-je
choper
défense de
soigné
courant
norme
soutenu
cultivé
châtié
littéraire
commun
standard
fautes
solécismes
ignoble
abominable
faute
monstre
authentique
outrage
langue
avancé
mises en garde
chroniques
chroniqueurs
bon usage
imparfait
subjonctif
passé simple
temps
époque
emploie
façon
sûrement
mauvaise
rires
ché pas
mal
pur
hein
y a
osent
générations
grammairiens
professionnels
amateurs
domaine
parsemé
embûches
interdits
cédez le passage
pachave
attention
disparaissant
attendant
à l'intérieur de
au bout de
auprès de
autour de
à côté de
en face de
en dehors de
au delà de
en dépit de
près de
duquel
auquel
féliciter de
excuser de
s'inquiéter de
s'irriter de
profiter de
soufrir de
être reconnaissant de
être stupéfait de
quiconque
quoi que
toutes les fois que
à chaque fois que
quand
Quand nous réfléchissons au grand dessein du grand Parent de l'Univers dans la création de l'humanité, et aux améliorations dont l'esprit est capable, tant en connaissance qu'en vertu, ainsi qu'à la prédominance de l'ignorance et du vice, du désordre et de la méchanceté, et à la tendance directe et à l'issue certaine d'un tel cours des choses, de telles réflexions doivent susciter dans les esprits réfléchis une sollicitude sérieuse pour trouver la source de ces maux et leur remède ; Et une petite connaissance des qualités des jeunes esprits, de leur susceptibilité et de leur ténacité à recevoir des impressions, prouve que le temps de la jeunesse est une période importante, dont l'amélioration ou la négligence dépendent des conséquences les plus lourdes, pour les individus eux-mêmes et pour la communauté.

Une considération sérieuse de ces choses et une observation de la négligence croissante de la jeunesse doivent exciter une douloureuse anxiété pour l'événement et peuvent bien déterminer ceux que leur bienfaiteur céleste a bénis avec une capacité par conséquent, à promouvoir et à encourager les écoles ou académies publiques gratuites, dans le but d'instruire la jeunesse, non seulement dans la grammaire anglaise et latine, l'écriture, l'arithmétique, et les sciences où elles sont communément enseignées, mais plus spécialement pour leur apprendre le grand but et la véritable affaire de la vie.

Souhaitant ardemment que de telles institutions puissent croître et s'épanouir, que leurs avantages soient étendus et durables, que leur utilité soit si manifeste qu'elle ouvre la voie à d'autres établissements fondés sur les mêmes principes, et qu'elles se révèlent finalement d'éminents moyens de promouvoir les intérêts du Grand Rédempteur, c'est à son patronage et à sa bénédiction que tous les amis du savoir et de la religion les confient très humblement.


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Les devoirs du Président sont de présider les réunions, de convoquer les réunions, de nommer les commissions et d'approuver les décisions prises par les commissions.
dépendre de
Oui, combien de couverts ?
la central
passer au vert
flottant
la matricule
le matricule
mot de passe
en fonction de
subordonner
subordonné
secondaire
la correspondance
la bienvenue
second
le choix
la compétitivité
le vivier
discuter de
courrier électronique
le courrier
intéressé
parmi
impressionné
les frais (m.)
la scolarité
garder à l'esprit
l'esprit (m.)
à temps plein
le crédit
renouveler
le statut
bénéficier
l'avantage (m.)
l'admissibilité (f.)
date limite
le domicile
hors de
mise à jour
l'événement (m.)
l'examen (m.)
l'accusation (f.)
la condamnation
en suspens
le programme
la conduite
le comité
s'attendre à
imposer
pertinent
le changement
criminel
la discipline
ample
relatif
féliciter
la marque
le patriote
attentivement
la réflexion
le regret
méritant
la déception
néanmoins
encourager
le plan
l'enthousiasme (m.)
l'initiative (f.)
pousser
considérer
apprécier
l'intérêt (m.)
manifester
le vœu
la poursuite
l'objectif (m.)
éducatif
l'aide (f.)
financier
la Corse
la Sardaigne
la Nouvelle-Zélande
la Chypre
la Malte
la Jersey
le Taïwan
la Cuba
l'Haïti (m.)
la Java
le point
la virgule
le point-virgule
deux points
point d'interrogation
point d'exclamation
le tiret
trait d'union
le trait
l'union (f.)
points de suspension
la parenthèse
le crochet
le guillemet
le week-end
le whisky
le lit
lire
l'été (m.)
la bête
la pâte
la botte
le dos
beau
tout
tu
taire
le feu
la peur
je
premier
le vin
la main
un
bon
blanc
la dent
l'œil (m.)
les yeux
le pied
l'huile (f.)
oui
la pomme
le camp
qui
le kilo
la goutte
fou
la vie
la face
la maison
le chapeau
rouge
la madame
le nez
le signe
le parking
le mur
le monde
h muet
muet
aspiré
h aspiré
l'herbe (f.)
habiter
hier
la majuscule
la minuscule
l'automobile (f.)
la rapidité
machinal
mathématique
signer
l'embouchure (f.)
l'argent (m.)
porter
l'appartement (m.)
l'altitude (f.)
occuper
la patrie
la librairie
ouvrir
public
le règlement
parler
munir
le passe
saisir
le client
obstiné
la perspective
la promptitude
le sculpteur
le ronflement
l'instruction (f.)
contraire
l'hémisphère (m.)
la sphère
constant
le chevrier
l'instant (m.)
charitable
public
impossible
le poète
le théâtre
arrêter
téléphoner
la villa
le parti
l'armée (f.)
architectural
alterner
le plastique
l'aptitude (f.)
appliquer
aggraver
l'abri (m.)
la patrie
parler
la liaison
le téléphone
qu'est-ce que c'est ?
partir
la grand-mère
le semiconducteur
sourd-muet
ci-dessus
là-bas
au-dessous de
par-dessus
le porte-monnaie
le vis-à-vis
en dessous de
le portefeuille
Vous reste-il des tables ?
Et pourtant, si la lecture ne doit pas se contenter de redoubler le texte, elle ne peut légitimement transgresser le text vers autre chose que lui, vers un référent (réalité métaphysique, historique, psycho-biographique, etc.) ou vers un signifié hors texte dont le contenu pourrait avoir lieu, aurait pu avoir lieu hors de la langue, c'est-à-dire, au sens que nous donnons ici à ce mot, hors de l'écriture en général. C'est pourquoi les considérations méthodologiques que nous risquons ici sur un exemple sont étroitement dépendantes des propositions générales que nous avons élaborées plus haut, quant à l'absence du référent ou du signifié transcendantal. Il n'y a pas de hors-texte.

Et cela non parce que la vie de Jean-Jacques ne nous intéresse pas d'abord, ni l'existence de Maman ou de Thérèse elles-mêmes, ni parce que nous n'avons accès à leur existence dite « réelle » que dans le texte et que nous n'avons aucun moyen de faire autrement, ni aucun droit de négliger cette limitation. Toutes les raisons de ce type seraient déjà suffisantes, certes, mais il en est de plus radicales. Ce que nous avons tenté de démontrer en suivant le fil conducteur du « supplément dangereux », c'est que dans ce qu'on appelle la vie réelle de ces existences « en chair et en os », au-delà de ce qu'on croit pouvoir circonscrire comme l'œuvre de Rousseau, et derrière elle, il n'y a jamais eu que de l'écriture ; il n'y a jamais eu que des suppléments, des significations substitutives qui n'ont pu surgir que dans une chaîne de renvois différentiels, le « réel » ne survenant, ne s'ajoutant qu'en prenant sens à partir d'une trace et d'un appel de supplément, etc. Et ainsi à l'infini car nous avons lu, dans le texte, que le présent absolu, la nature, ce que nomment les mots de « mère réelle », etc., se sont toujours déjà dérobés, n'ont jamais existé ; que ce qui ouvre le sens et le langage, c'est cette écriture comme disparition de la présence naturelle.
face à face
Anne-Marie
Jean-Pierre
accent aigu
accent grave
Il est difficile de comprendre le français parlé.
été
très
j'achète
Nous ne sommes ici que pour deux jours, alors nous devons les faire compter !
à

voilà
au delà de
cela
delà
ça
zéro
le drink pour les men
Mon espace personnel : Associer mes données client à mon espace personnel
çà

tâche
être
dîner
côte
sûr
pâte
ONU
fête
maître
île
hôte
cédille
tréma
On n'est à Paris que pour deux jours, mais j'espère que pendant ce temps on pourra voir une bonne partie des choses qu'on voulait voir.
Saül
Paul
Noël
ambiguïté
aiguë
ambiguë
contiguë
figue
Saint-Saëns
madame de Staël
cher
vrai
la grande maison
les grandes maisons
je finis
il finit
je donnais
bouffer
bouteille
billet
des tripes
des cheveux
des renseignements
univers
électricité
acier
eau
ancien régime
hiver
le million

histoire
héroïsme
herbe
horrible silence
hibou
haine
hachis
honte
héros
héroïne
héroïsme
hibou
histoire
enfants
amis
héroïnes
hérissons
haricot
héros
hôtel
homard

le club
l'objectif
rendre service
la communauté
afin de
apporter
la connaissance
francophone
la région
au-delà
créer
la passion
la génération
actuel
apporter
le sens
l'adhésion
la cotisation
le section
coûteux
le frais
facultatif
au fur et à mesure
le dirigeant
le bureau
composé
le président
le vice-président
le trésorier
le secretaire
le publiciste
traduit
gratuit
la section
le devoir
le pouvoir
le président
présider
la réunion
convoquer
nommer
la commission
approuver
la décision
prendre
pris
le vice-président
accomplir
l'action (f.)
ce dernier
absent
approuver
la fonction
le trésorier
tenir
le compte
exact
la transaction
effectué
la comptabilité
les fonds (m.)
être de (+ inf.)
consister à (+ inf.)
les notes (f.)
la note
le secrétaire
détaillé
lors de
la réunion
envoyer
l'avis (m.)
le membre
créer
le bulletin
bulletin d'information
relayer
le procès-verbal
tous
le publiciste
le dépliant
s'occuper de
la publicité
l'événement (m.)
l'opportunité (f.)
y compris
via
la page
la condition
l'élection (f.)
le bureau
année académique
l'année (f.)
académique
suivant
élire
durable
en cours
occuper
le poste
l'étudiant (m.)
francophone
étudier
le français
l'Université de West Georgia

précédemment
un autre
étudiant
actuellement
inscrire à
la Géorgie
occidental
le candidat
désigner
la manière
suivant
présenter
l'assemblée (f.)
le vote
se faire
le bulletin
oral
à main levée
selon
décider
le club
la majorité
exprimé
exprimer
nécessaire
l'activité (f.)
l'idée (f.)
reçu
le pamphlet
la note
la constitution
être en vigueur
à partir de
septembre (m.)
le type
le repas
français
quotidien
le ramequin

Une majorité de 51% de tous les votes exprimés est nécessaire pour être élu.
Article 5 : Agent fiscal/ consultant de la faculté
Section 1 : La sélection d'un consultant de la faculté est requise pour chaque organisation étudiante sur le campus.
Section 2 : Toutes les organisations étudiantes enregistrées qui reçoivent des cotisations étudiantes doivent avoir un agent fiscal. Cet agent est sélectionné conformément aux règlements de l'université.
Article 6 : Réunions
Section 1 : Le Club Français de l'Université de West Georgia se réunira au moins une fois par mois, sinon toutes les deux semaines. La date et l'heure des réunions seront décidées en fonction du nombre de personnes présentes.
Article 7 : Quorum
Section 1 : 51% des membres de cette organisation constituent un quorum pour traiter des affaires.
Article 8 : Amendements
Section 1 : Les propositions d'amendement doivent être présentées par écrit et lues lors d'une réunion ordinaire et doivent être traitées lors de la réunion suivante.
Section 2 : Cette constitution peut être amendée par un vote majoritaire des 2/3 des personnes présentes à la réunion.
Article 9 : Ratification
Section 1 : Une majorité de 2/3 des personnes présentes à la première réunion de l'organisation nouvellement formée sera nécessaire pour ratifier cette constitution.



Bien que "La Mer" soit plus connue du public, j'ai toujours préféré cette chanson, une exploration nostalgique de l'enfance, sujet éternel de l'art français. Pour un pays détruit par la guerre, je pense que Trenet a trouvé un écho auprès de la population française d'une manière que le public moderne peut ne pas comprendre.
Bien que «La Mer» soit mieux connu par la population, j'ai toujours préfèré cette chanson, une exploration nostalgique de l'enfance, sujet éternel de l'art français. Pour un pays detruit par la guerre, je pense que Trenet a trouvé un écho avec la population Française que le publique moderne peut échouer à comprendre.
Un repas est un moment spécifique, dans le cycle des activités journalières; consacré à l'alimentation. Dans les sociétés humaines, le repas est généralement ritualisé. La grande majorité des cultures distingue plusieurs types de repas, selon le moment de la journée et la quantité d'aliments qu'ils comportent, les plus importants correspondant aux moments de convivialité les plus intenses et possédant une forte charge symbolique ou religieuse.

La quantité d'aliments varie selon le repas, et les nutritionnistes recommandent des apports en calories, vitamines, protéines, lipides, glucides et fibres qui correspondent à l'activité physique et intellectuelle que l'on devra fournir avant le prochain repas. En moyenne, le premier repas de la journée doit apporter 25% des quantités nécessaires, le repas du milieu de journée doit en apporter presque la moitié, et le dernier repas peut être plus léger pour faciliter la digestion pendant le sommeil.

Le nom des repas rythme la journée. Mais selon les époques, les repas n'ont pas toujours été pris aux mêmes moments. Ainsi au Moyen Âge, le dîner, premier repas du jour, était pris dans la matinée, comme le rappelle l'aphorisme: Lever à cinq, dîner à neuf / Souper à cinq,coucher à neuf / Font vivre d'ans nonante et neuf.

Le premier repas du jour est généralement pris peu après le réveil; c'est donc celui qui rompt le jeûne. De là vient l'appellation déjeuner courante en Belgique, au Canada (surtout dans la classe sociale moyenne), en Suisse et dans le sud de la France. Hors de ces régions, il prend le nom de petit déjeuner. L'importance du petit déjeuner tend à diminuer, ce qui renforce le rôle des deux autres repas principaux.

En Occident, on distingue traditionnellement deux grands types de petit déjeuner: le petit déjeuner continental, et le petit déjeuner anglo-saxon. Le petit déjeuner continental est un repas sucré. Il est composé d'une boisson chaude (lait, café, thé ou chocolat au lait)accompagnée de tartines (pain; beurre; confiture ou miel..., ou simplement pâtes à tartiner industrielles). Peuvent s'y adjoindre, surtout les jours fériés, des viennoiseries (croissant, pain au chocolat, brioche...), du jus d'orange, un yogourt ou des céréales sucrées (muesli ou créations des marques Kellogg's, Jordan's, Nestlé...). Le petit déjeuner anglo-saxon est plus copieux, comprenant le plus souvent des oeufs et de la charcuterie. Il peut prendre la forme d'un brunch pris en milieu de matinée qui tiendra lieu à la fois de repas du matin et de celui de midi. Cette distinction reste cependant conventionnelle. En Allemagne par exemple, le petit déjeuner traditionnel est également copieux; il peut contenir des oeufs à la coque, des charcuteries et des fromages à pâte cuite.

Dans les régions où le terme déjeuner est réservé au repas du matin, on appelle celui de midi le dîner; ailleurs, c'est simplement le déjeuner. Il est généralement pris entre midi et treize heures. En France, même si c'est le repas qui est le plus souvent pris en dehors du domicile familial, il garde encore souvent une stucture traditionnelle avec une entrée; un plat principal; et un fromage ou un dessert. Seul le plat principal est obligatoire; les autres dépendant de l'appétit et du budget de chacun: Du hors-d'oeuvre au fromage, la plupart des Français consommeront du pain. Ce repas est traditionnellement accompagné de vin(s) ou de bière selon les lieux, cette consommation quotidienne de boissons alcoolisées étant de plus en plus souvent remplacée par de l'eau.

Les régions qui réservent le terme de dîner au repas de midi désignent ce repas du soir comme le souper; ce terme, issu du latin sub vesperas (après les vêpres) indique que l'on mangeait peu après 17 heures. Cela se fait encore dans de nombreuses régions d'Europe et d'Amérique du Nord, dans les hôpitaux et maisons de repos. Le travail féminin hors domicile a cependant provoqué le report de ce repas qui se prend de plus en plus souvent après 18 heures 30. En Allemagne, où le repas de midi est bien plus souvent pris à domicile, on mange le soir plus frugalement (charcuteries et salades). En France, le repas du soir (nommé dîner) est souvent comparable dans sa composition au repas de midi, quoique souvent plus simple. Il est l'occasion de se retrouver en famille autour de la table. Dans ce pays, le souper est un repas léger pris en fin de soirée, mais son usage est tombé en désuétude.

Le repas peut être fort modeste,parfois simplement constitué de croûtes de pain. De là viennent le terme croustille, synonyme de petit repas, et la locution Passer à la croustille; appliquée à ceux qui reçoivent une aide en vivres. Du repas de croûtes de pain vient le casse-croûte.

Au Canada et en Belgique, on parle de collation pour désigner les légers repas entre les trois repas principaux. En France on parle aussi d'en-cas. Dans l'après-midi, le goûter (ou quatre heures) est un en-cas sucré proposé habituellement aux enfants. La consommation de pâtisseries avec un thé ou un café en milieu de journée est également répandue chez de nombreux adultes quand leurs occupations leur en laissent le loisir. Ces en-cas ont tendance à se multiplier, et les modes de vie urbains ne respectent parfois pas du tout les repas traditionnels.



Histoire du baccalauréat en France

Les premiers baccalauréats datent en France du XIIIe siècle avec l'apparition de l'Université de Paris. Le baccalauréat est alors conféré dans les quatre facultés : faculté des arts, de médecine, de droit et de théologie. Il s'agit alors du premier grade obtenu dans chacune de ces facultés, la faculté des arts étant généralement un préalable aux autres facultés. Le bachelier peut ensuite préparer la licence afin d'obtenir le droit d'enseigner (licencia docendi : permission d’enseigner). En tant que bachelier, il peut assister un professeur pour l'enseignement en direction des candidats au baccalauréat en étant en charge des cours dit « extraordinaires ».

Après la Révolution française qui supprime les universités, le baccalauréat a été réorganisé pour les cinq disciplines d'alors (sciences, lettres, droit, médecine, théologie) par Napoléon Ier en 1808, avec les deux autres grades, la licence et le doctorat. Le baccalauréat devient alors un grade d'État. Le décret du 17 mars 1808 fixe les règles à suivre pour obtenir ces grades. Les deux nouveaux baccalauréats, baccalauréat ès lettres et baccalauréat ès sciences, s'inscrivent dans l'héritage de la maîtrise ès arts. Les baccalauréats de chaque discipline ne sont pas de même niveau, ainsi le baccalauréat ès lettres est un préalable à la présentation aux épreuves des autres baccalauréats. Le baccalauréat en droit est obtenu après deux années d'études dans la faculté de droit.

En 1808 il n'y eut que 21 bacheliers. En 1830, est introduite la première épreuve écrite et, en 1840, des mentions Très Bien, Bien et Assez Bien. À partir de 1852, les baccalauréats ès lettres et ès sciences deviennent symétriques, alors qu'auparavant le baccalauréat ès lettres précédait le baccalauréat ès sciences, divisé en baccalauréat ès sciences physiques et ès sciences mathématiques. Il y avait au XIXe siècle suffisamment peu de candidats pour que les professeurs de l'université fassent eux-mêmes passer les épreuves, comme on le voit dans « Le Bachelier » de Jules Vallès. Ainsi, en 1885, il y avait pour l'Académie de Paris 878 bacheliers reçus au premier baccalauréat, et 776 au second baccalauréat. En 1902, des enseignants du secondaire partagent les places au jury avec les universitaires pour la première fois.

Au cours du XIXe siècle deux groupes de baccalauréats se distinguent : les baccalauréats ès lettres et ès sciences que l'on prépare au sein des lycées, et les trois autres baccalauréats qui sont des grades intermédiaires des études supérieures menant à la licence. En 1927 les baccalauréats ès lettres et ès sciences sont remplacés par le baccalauréat de l'enseignement du second degré dont les épreuves demeureront cependant durant longtemps encore organisées par les facultés des lettres et sciences humaines et les facultés des sciences.

L'épreuve anticipée de français en classe de première est instituée en 1965, les filières A, B, C, D et E (remplacées en 1994 par les filières S, L et ES), ainsi que technologiques sont mises en place en 1968. Le bac professionnel est établi en 1985.

Il a connu plusieurs paliers dans sa diffusion parmi la population. Il était initialement destiné aux enfants de la bourgeoisie, et plus particulièrement aux jeunes de sexe masculin. La première femme à passer le baccalauréat est Julie-Victoire Daubié en 1861. Mais c’est à partir de 1924, lorsque les programmes secondaires pour garçons et filles deviennent identiques, que le baccalauréat s’ouvre largement aux filles.

Le second palier dans la hausse du nombre de bacheliers intervient à partir des années 1930, quand le lycée public devient gratuit (il était payant auparavant, sauf pour quelques rares boursiers comme Marcel Pagnol ou Georges Pompidou, par exemple). Cependant l’explosion du nombre de bacheliers intervient réellement à partir des années 1960-1970, quand le primaire supérieur (la partie du système scolaire réservée aux familles modestes) est supprimé au profit du collège unique. Le but à atteindre, proclamé en 1985 par le ministre de l’Éducation nationale Jean-Pierre Chevènement, était d'amener 80% d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat. Cet objectif fut ramené à 74% ultérieurement. En 2008, environ 64 % d'une génération est titulaire du baccalauréat. En 2007, 54 % des bacs obtenus sont des bacs généraux, 26 % des bacs technologiques et 20 % des bacs professionnels.
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Le baccalauréat est ainsi passé en un peu plus d’un siècle et demi d’un diplôme élitiste et bourgeois, sélectionnant les futurs cadres de la nation, à un diplôme de base, indispensable à toute formation et à toute carrière professionnelle, remplacé dans son rôle précédent par exemple par les concours d'entrée aux grandes écoles. (...) L'examen est tous les ans très médiatisé. Le fait d'avoir son bac fait partie du passage à l'âge adulte, un peu comme le permis de conduire.
une brosse à dents
un couteau à pain
une corbeille à papiers
une cuiller à café
une planche à roulettes
une planche à voile
une tasse à café
une tasse à thé
un verre à vin
un verre à pied
une ambassade de France
une carte de visite
une carte de France
un billet de bus
un arrêt de bus
un tableau d'affichage
une question d'argent
une affaire de cœur
un problème de liquidité
une salle de classe
une salle de bains
une agence de voyages
un verre de vin
une tasse de thé
une tasse de café
au fur et à mesure que


(a) Elle balbutia. Mais lui, comprenant, s’abandonna à une colère
épouvantable.
— Quelle honte ! cria-t-il. Vous voilà voleuse, maintenant ! Et
qu’arriverait-il, si l’on vous surprenait ? Je serais la fable de la ville.
— C’est pour toi, Ovide, murmurait-elle.
— Voleuse, ma mère est voleuse ! Vous croyez peut-être que je vole
aussi, moi, que je suis venu ici pour voler, que ma seule ambition est
d’allonger les mains et de voler ! Mon Dieu ! quelle idée avez-vous
donc de moi ?
(Zola, La Conquête de Plassans)

(b) La réponse vint, catégorique:
« Non !
— Alors, qui est-ce ? On ne l’a jamais vu dans le pays ! II ne vient
pas d’étrangers ici . . .
— Je ne sais pas . . . »
Elle s’obstinait, avec une subtilité instinctive de femme.
« Le maire t’a toujours détesté . . . C’est vrai que tu as dîné chez lui
ce soir ? . . .
— C’est vrai . . . »
Elle trépigna d’impatience.
« Mais alors, dis-moi quelque chose ! Il le faut ! Ou je te jure que je
vais croire que . . . »
Elle n’allait pas plus loin.
(Simenon, Le Port des brumes)

(c) Au bout d’un moment, il m’a regardé et il m’a demandé :
« Pourquoi ? » mais sans reproche, comme s’il s’informait. J’ai dit :
« Je ne sais pas. » Alors, tortillant sa moustache blanche, il a déclaré
sans me regarder : « Je comprends. »
(Camus, L’Étranger)

(d) A la lumière du théâtre afghan, quel doit être le rôle de l’alliance
atlantique ? A la conception française s’oppose la vision américaine
d’une organisation appelée à devenir une alliance « globale », qui se
transforme peu à peu en une « communauté des démocraties ».
(Le Monde, 28 November 2006)

Nous avons pris en compte votre candidature pour la majeure que vous avez choisie, ainsi que votre second choix de majeure et toutes les autres voies d'admission si un second choix de majeure a été sélectionné. Les décisions sont basées sur la compétitivité du groupe de candidats, et nous avons eu un groupe très fort cette année. Vous pouvez lire la FAQ "Refusé" pour plus d'informations sur votre décision. Veuillez noter qu'en raison de la nature personnelle et confidentielle d'une candidature, nous ne sommes pas en mesure de discuter de votre décision par courriel.
Vous pouvez emprunter de nombreuses voies pour obtenir un diplôme de l'Université de l'Illinois. Si vous êtes intéressé par un transfert, veuillez consulter nos informations sur l'admission de transfert.

Cher Logan,
Félicitations ! J'ai le plaisir de vous informer de votre admission à l'Université de l'État du Michigan.
Vous rejoignez une communauté académique exceptionnelle de Spartans qui, comme vous, ont fait preuve d'un engagement envers la réussite. Nous sommes impatients de voir comment vous contribuerez à la mission de MSU, qui est de faire du monde un endroit meilleur.
Détails de votre admission :
Terme : Semestre d'automne 2021
Niveau : Premier cycle universitaire
Préférence majeure : Mathématiques
Cette lettre d'acceptation n'est que le début de l'aventure de votre vie qui commence à la MSU. C'est vous qui décidez de la suite de l'aventure. À chaque étape, vous pouvez compter sur un solide réseau de soutien qui s'investit dans votre réussite. Notre corps professoral et notre personnel, ainsi qu'un réseau d'anciens élèves de près d'un demi-million de Spartans dans le monde, s'engagent à vous aider à découvrir et à explorer ce qui vous passionne et à vous préparer à rivaliser avec les meilleurs du monde.
Pour garantir votre place, vous devez soumettre un dépôt d'inscription anticipé (DEA) avant le 1er mai 2021.
Veuillez noter que l'admission à la Michigan State University est subordonnée à la poursuite de votre réussite scolaire et à la satisfaction des critères d'admission de l'université dans tous les cours que vous avez suivis avant de vous inscrire à la MSU.
Au nom de toute la communauté MSU, félicitations et bienvenue dans la famille Spartan. Allez les verts !
Sincèrement,
John Ambrose
Directeur des admissions de premier cycle

Cher Logan,
Le comité d'admission a terminé l'examen de votre candidature. Je suis vraiment désolé de vous annoncer que vous n'avez pas été admis dans la classe 2025 du MIT.
Comprenez bien qu'il ne s'agit en aucun cas d'un jugement sur vous en tant qu'étudiant ou en tant que personne, puisque notre décision a plus à voir avec le nombre de candidats que n'importe quoi d'autre - beaucoup de nos candidats ne se voient pas offrir une admission simplement parce que nous n'avons pas assez de place dans notre classe d'entrée. Cette année, nous avons reçu plus de 33 000 candidats pour moins de 1 500 offres d'admission. Comme toutes nos décisions sont prises en une seule fois et que toutes les places disponibles ont été attribuées, toutes les décisions sont définitives.
Nous apprécions vraiment l'intérêt que vous portez au MIT et nous vous souhaitons le meilleur dans tous vos projets futurs.
Sincèrement,
Stuart Schmill
Doyen des admissions et des services financiers pour les étudiants

Cher Logan,
Nous vous remercions de votre candidature à l'Université du Massachusetts Amherst. Nous avons reçu plus de 40 000 demandes pour la classe qui entrera à l'automne 2021 et, par conséquent, la concurrence pour les postes disponibles dans la classe a été particulièrement vive. Malheureusement, à l'heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place dans la classe, mais nous vous offrons une place sur notre liste d'attente.
Suivez ce lien pour nous faire savoir si vous souhaitez que nous continuions à envisager votre admission. Vous trouverez ci-dessous des informations sur ce que vous devez attendre de ce formulaire. Si vous prévoyez de soumettre le formulaire, veuillez le faire avant le 15 mai 2021. Si vous choisissez de ne pas soumettre le formulaire, nous supposerons que vous n'êtes pas intéressé et nous retirerons votre demande. Nous nous réjouissons d'avoir de vos nouvelles.
Pour une liste de réponses aux questions fréquemment posées sur la liste d'attente, cliquez ici.
Cordialement,
L'équipe des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst

Cher Logan,
Félicitations ! Au nom de la communauté de notre campus, j'ai le plaisir de vous annoncer que vous avez été accepté à l'Université du Massachusetts Amherst. Le processus d'admission était très compétitif, et les étudiants de cette nouvelle promotion font partie des plus performants de leur communauté, à travers les États-Unis et le monde.
À l'UMass Amherst, vous rejoindrez une communauté de campus diversifiée, composée de penseurs brillants, audacieux et non conventionnels, où l'exploration et la recherche en classe sont complétées par des centaines d'activités extrascolaires, des sports de haut niveau, des possibilités de s'engager dans la communauté locale, une nourriture extraordinaire et primée, le tout dans un cadre magnifique. Nous sommes fiers de notre tradition d'excellence et nous nous réjouissons de votre contribution à notre communauté.
Pour accepter notre offre d'admission, veuillez payer votre dépôt d'inscription non remboursable avant le 10 mai 2021. Les instructions pour le faire sont indiquées ci-dessous. Nous vous encourageons également à lire les informations et ressources supplémentaires disponibles sur notre site web d'admission pour vous guider dans cette décision importante. Si vous ne l'avez pas encore fait, veuillez soumettre et/ou ajouter l'UMass Amherst à votre Free Application for Federal Student Aid (FAFSA) dès que possible. (Le code de l'école UMass Amherst est 002221.) Pour que votre demande d'aide soit pleinement prise en compte, vos informations doivent nous parvenir au plus tard le 1er mars 2021. Des informations supplémentaires sur l'aide financière sont disponibles sur le site Web de l'UMass Amherst consacré à l'aide financière.
Vous trouverez ci-dessous des détails supplémentaires concernant votre acceptation à l'UMass Amherst. Je vous encourage à suivre les liens qui y sont intégrés pour obtenir des informations supplémentaires. Si vous avez des questions concernant votre admission ou tout autre aspect de l'université, veuillez nous contacter au 413-545-0222 ou à [email protected].
Cordialement,
Michael Drish
Directeur, Admissions de première année

Voici des détails supplémentaires relatifs à votre acceptation :
Type d'admission : Freshman
Période d'entrée : Automne 2021
UMass Amherst SPIRE ID : 33422238
UMass Amherst NetID : lavalenti
Pour activer votre compte informatique universitaire, veuillez procéder comme suit :
Allez sur https://www.spire.umass.edu
Cliquez sur Password & NetID Help sur le côté droit de la page.
Remplissez les informations requises pour recevoir un code d'activation et les instructions pour définir votre mot de passe par courriel.
Si vous ne recevez pas l'e-mail contenant le code d'activation et les instructions dans votre boîte de réception, vérifiez votre dossier Spam ou Courrier indésirable. Si vous ne parvenez toujours pas à localiser votre courriel d'activation ou si vous rencontrez d'autres problèmes pour activer votre compte, contactez les services aux utilisateurs des TI à l'adresse suivante : [email protected] ou 413-545-9400.

Vos responsabilités permanentes
L'admission est subordonnée au maintien de votre niveau actuel de performance académique. Il est de votre responsabilité d'informer le bureau des admissions de toute baisse significative de vos résultats scolaires ou de vos antécédents disciplinaires/criminels survenant après la soumission de votre candidature. L'UMass Amherst se réserve le droit d'annuler l'admission sur la base de ces informations.

Paiement du dépôt non remboursable pour l'inscription
Suivez ce lien pour payer votre dépôt d'inscription non remboursable, et vous êtes sur la bonne voie !

Résidence
Votre lieu de résidence est hors de l'État. Cette information est importante car elle détermine le coût total de vos études et votre éligibilité à une aide financière.

Majeure
Vous avez été admis en Mathématiques au College of Natural Sciences.

Votre décision concernant le Commonwealth Honors College
Vous avez également été admis au Commonwealth Honors College (CHC) ! Le bureau des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst vous a identifié comme un étudiant ayant la formation académique et les caractéristiques personnelles pour s'épanouir au CHC. Le Commonwealth Honors College offre aux étudiants plusieurs avantages, notamment des cours dans des classes de 17 personnes en moyenne et des conseils académiques supplémentaires. Les étudiants du CHC sont tenus de réaliser un projet de thèse d'un an. Veuillez consulter la page Web du programme d'études du CHC pour de plus amples informations.

Le Commonwealth Honors College prépare les étudiants à devenir des penseurs, des leaders et des résolveurs de problèmes. Nous pensons qu'il est essentiel pour les étudiants d'être exposés à un large éventail d'expériences académiques, sociales et culturelles. Les étudiants du Honors College participent à une série de programmes spéciaux, y compris l'apprentissage par la communauté, les stages et les études internationales. Nous soutenons les ambitions des étudiants Honors en leur offrant des conseils, des bourses et des possibilités de recherche. Notre communauté résidentielle Honors offre un environnement de vie qui complète le programme académique.

Prix du Chancelier
Nous sommes heureux de vous offrir une bourse du chancelier d'un montant de 12 000 $ par année universitaire. Cette bourse est basée sur votre statut de résident hors de l'État. Votre statut de résidence détermine également le coût de votre participation et un changement de résidence est susceptible d'éliminer ou de réduire votre bourse. Votre bourse sera appliquée à vos frais de scolarité pour un maximum de quatre ans (huit semestres consécutifs) de cours de premier cycle à temps plein (12 crédits ou plus par semestre) à l'UMass Amherst, à condition que vous mainteniez des progrès universitaires satisfaisants. Cette bourse est basée sur les informations que vous avez fournies avec votre demande et le montant de la bourse n'est pas négociable. Pour plus d'informations sur les critères d'attribution, le renouvellement, etc., consultez notre page FAQ.

Cher Logan,
Nous vous contactons pour vous informer que nous sommes en train de régler certains détails de gestion de notre bassin de candidatures pour l'automne 2021. Comme nous n'avons pas eu de nouvelles de votre part avant la date limite de réponse aux candidats, nous retirons votre candidature.
Merci encore de l'intérêt que vous portez à l'UMass Amherst. Nous vous souhaitons le meilleur dans vos projets futurs.
Sincèrement,
L'équipe des admissions de premier cycle de l'UMass Amherst


Cher Logan,
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'Université de Géorgie en tant qu'étudiant de première année. Après un examen approfondi de votre dossier d'admission, nous avons le regret de vous informer que nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place dans notre classe de première année pour l'année à venir.
Nous sommes conscients que cette nouvelle peut être décevante pour vous et votre famille. L'intérêt pour l'UGA est plus élevé que jamais, ce qui produit un groupe de candidats incroyablement compétitif. Veuillez comprendre que beaucoup plus d'étudiants postulent à l'UGA que nous ne pouvons en accueillir, ce qui rend chaque décision de ne pas admettre un étudiant très difficile.
Nous sommes également conscients que de nombreux étudiants et les membres de leur famille peuvent souhaiter appeler pour demander la raison pour laquelle un étudiant n'a pas été accepté. Il n'y a pas de réponse facile. Il est rare qu'un seul facteur soit en cause, par exemple une note de test trop basse ou une note spécifique insuffisante dans un cours, ou qu'un étudiant, une fois admis, ne puisse pas réussir. Votre candidature, ainsi que celle de milliers d'autres étudiants, a été examinée dans le cadre d'une procédure de plus en plus compétitive qui vise à comparer équitablement chaque candidat à tous les autres candidats pour le nombre de places disponibles dans notre classe de première année. Vous trouverez des informations sur notre processus de sélection et sur la nature compétitive de nos candidats sur notre site Internet, www.admissions.uga.edu.
Ceci met un terme à vos possibilités de candidature en tant qu'étudiant de première année à l'Université de Géorgie. Cependant, comme beaucoup d'étudiants, vous pouvez décider d'obtenir un diplôme de l'UGA en tant qu'étudiant de transfert. Gardez à l'esprit que les critères et les dates limites de transfert sont susceptibles de changer et que l'admission de transfert dépend de la disponibilité des places à l'Université en général ainsi que dans votre programme d'études prévu. Par conséquent, nous vous recommandons de consulter notre site Web au moins six à neuf mois avant la session à laquelle vous prévoyez de vous inscrire pour obtenir des conseils.
Nous vous encourageons vivement à envisager de poser votre candidature dans d'autres établissements de l'University System of Georgia. Veuillez consulter le site usg.edu/findyourschool où vous trouverez des ressources importantes pour vous mettre en relation avec les établissements de l'USG les plus à même de répondre à vos besoins universitaires, d'atteindre vos objectifs et de vous préparer à la réussite professionnelle.
Encore une fois, nous sommes très heureux que vous ayez permis à l'Université de Géorgie de vous considérer dans votre recherche d'un foyer universitaire. Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans tous vos futurs projets universitaires.
Meilleures salutations,
David R. Graves et Amanda R. Sale, Ph.D.
Directeurs exécutifs par intérim
Admissions et gestion des inscriptions
sou
Cher Logan,
Nous vous remercions de nous avoir donné l'occasion d'examiner votre demande d'admission dans la classe de première année qui entrera à l'automne 2021. Notre comité d'admission a examiné attentivement votre demande et les documents à l'appui et, malgré votre excellent dossier et vos réalisations, nous ne sommes pas en mesure de vous offrir une place au Mellon College of Science.
Ne considérez pas cela comme un reflet de votre talent et de vos capacités, mais plutôt comme une indication de l'énorme quantité de candidatures et de notre incapacité à offrir une place à chaque candidat sérieux. Nous sommes déçus de ne pas avoir pu accepter davantage de candidats exceptionnels qui ont postulé à Carnegie Mellon cette année. Nous espérons que vous comprenez la difficulté de sélectionner un si petit nombre de candidats parmi les nombreux candidats talentueux de la réserve de candidats de cette année.
Nous apprécions l'intérêt que vous portez à Carnegie Mellon ainsi que le temps et les efforts que vous avez consacrés à soumettre votre candidature.
Si notre bureau d'admission peut vous aider, n'hésitez pas à nous écrire ou à nous appeler. Notre personnel d'admission sera heureux de vous aider dans vos projets universitaires. Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans vos futurs projets d'éducation.
Cordialement,
Gregory A. Edleman
Directeur de l'admission

Cher Logan,
Le comité des admissions a terminé ses réunions, et je suis vraiment désolé de t'informer que nous ne pouvons pas te proposer d'être admis dans la classe de 2025. J'aurais aimé qu'une autre décision soit possible, mais j'espère que le fait de recevoir cette décision finale maintenant te sera utile pour faire tes plans d'université.
Ces dernières années, le Comité a été confronté à des décisions de plus en plus difficiles ; plus de cinquante-sept mille étudiants ont postulé pour les seize cent soixante places de la classe de première année, et la grande majorité de nos candidats pourraient réussir ici sur le plan académique. En outre, la plupart des candidats présentent de solides références personnelles et extrascolaires. Le Comité a donc été confronté à la nécessité de choisir une classe de première année parmi un grand nombre d'étudiants plus talentueux et hautement qualifiés qu'il ne peut en admettre.
Nous souhaiterions pouvoir admettre un plus grand nombre de nos excellents candidats, et nous comprenons combien le processus de demande d'admission à l'université peut être difficile pour les étudiants et leurs familles. Bien que le comité ait mené ses délibérations avec le plus grand soin, nous savons que personne ne peut prédire avec certitude ce qu'un individu accomplira au cours de ses études ou au-delà. L'expérience passée suggère que l'université particulière qu'un étudiant fréquente est beaucoup moins importante que le développement de ses forces et de ses talents au cours des quatre prochaines années.
Nous apprécions beaucoup l'intérêt que vous avez manifesté pour Harvard, et nous espérons que vous accepterez les meilleurs vœux de réussite du comité dans tous vos projets futurs.
Sincèrement,
William R. Fitzsimmons
Doyen des admissions et de l'aide financière

Cher Logan,
La commission des admissions a examiné attentivement votre demande d'admission à l'université de Columbia, et nous sommes au regret de vous informer que nous ne pouvons pas vous offrir une place dans la classe de 2025 de Columbia. Cette année, plus de 60 000 candidats ont postulé pour une place dans la classe de première année, ce qui fait de ce processus de sélection le plus difficile de notre histoire. Les nombreux points forts de l'ensemble des candidats - comme en témoignent les succès scolaires obtenus, les services rendus à la communauté, les activités pratiquées, les essais écrits et les livres lus - ont rendu le processus de sélection plus compétitif que les simples chiffres ne pourraient l'indiquer, ce qui nous oblige malheureusement à décevoir de nombreux étudiants doués.
Nous voulons que vous sachiez que cette décision ne reflète en aucun cas un manque de confiance dans votre capacité à réussir dans vos projets universitaires et au-delà. D'après notre expérience, la grande majorité des étudiants qui ne sont pas admis ici continuent à se distinguer dans les meilleurs collèges et universités du monde entier, et nous sommes convaincus que vous ferez de même. Nous devons cependant préciser qu'étant donné que nos décisions sont prises après de nombreux mois de délibérations minutieuses, le comité des admissions ne peut envisager aucune révision de cette décision.
Nous apprécions l'intérêt que vous portez à Columbia et vous souhaitons le meilleur dans la poursuite de vos études supérieures.
Sincèrement,
Jessica Marinaccio
Doyenne des admissions de premier cycle et de l'aide financière

Ch 4
Logan
1. Si Maryse pensait que la maison d’Yvelise n’était pas aussi belle que la sienne, pourquoi voulait-elle tant y vivre ?
2. Que signifie l’expression « pour un oui, pour un non » ? (At the drop of a hat.)
3. Pourquoi Lise reste-t-elle avec son mari alors qu’elle sait qu’elle serait probablement mieux sans lui ? Le texte suggère que c’est son amour que la fait rester. Pourtant, on peut imaginer d’autres mobiles – sa fille, son confort, etc.

Je pense que ce chapitre parle évoque une fois de plus à l’épigraphe parce que tout au long du chapitre, Maryse dépeint Yvelise comme laide et inintelligente -- des choses qui sont commodes et même nécessaires pour voir les actions de Maryse sous un jour positif ici -- et nous devons simplement la croire sur parole que ces choses sont vraies.
Ce commentaire n’est pas aussi développé que les autres…faute de temps ? Que voulez-vous dire en suggérant que les défauts d’Yvelise accentuent le côté positif du comportement de Maryse ? L’ensemble de votre travail est pourtant excellent. Continuez de la même façon !

Ils ne m'ont pas appelé.
Il était drôle ? Oui, il l'était.
Elle leur a donné les devoirs ? Non, elle ne les leur a pas donnés.
Tes amis vont aux États-Unis ? Ils y vont.
Je n'ai pas de frères, mais mon ami en a deux.
J'ai reçu la vidéo. Montre-la-nous !

3-1:
Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
Vous avez visité le musée du Louvre ? Oui, nous l’avons visité hier.
Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? Oui, je les ai perdues hier soir.
J’espère que vous avez réservé votre place ? Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
Tu aimes cette couleur ? Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
Tu connais cette fille ? Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.

3-2:
Il a pris la voiture ? Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
Vraiment, il n’aime pas les confitures ? Non, il n’aime pas ça.
Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? Si, je l’ai bien vu !
Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? Oui, je les ai remarquées, et alors ?
Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
Est-ce qu’il a revu Véronique ? Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
Vraiment, il déteste l’opéra ? Oui, il déteste ça !
Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? En principe, nous devrions la voir demain.
Tu crois qu’ils seront à l’heure ? Oh oui, en général, ils le sont.
Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? Oui, ils le savaient.
Vous aimez les champignons ? Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.

3-3:
Il a pris la voiture ? Non, il ne l’a pas prise aujourd’hui.
Tu savais qu’il faisait du russe ? Oui, je le savais.
Tu aimes le chocolat noir ? Oui, j’adore ça.
Quand est-ce que vous prenez vos vacances ? Nous les prenons au mois de mai.
Tu aimerais aller en France ? Oui, j’aimerais bien ça.
Tu rendras visite à tes grands-parents cet été ? Oui, je l’espère.
Est-ce qu’il a vendu sa voiture ? Oui, il l’a vendue à son frère.
Est-ce qu’ils t’ont dit qu’elle divorçait ? Oui, ils me l’ont dit.
Vous aimez le champagne ? Oui, je l’adore.
Est-ce que tu as déjà vu ce DVD ? Non, je le regarderai ce soir.

3-4:
Il parle souvent à sa voisine. Il lui parle souvent.
Cet hôtel ne convenait pas à mes parents. Cet hôtel ne leur convenait pas.
N’oublie pas d’écrire à ta grand-mère. N’oublie pas de lui écrire.
Il ne faut pas trop en vouloir à ton frère. Il ne faut pas trop lui en vouloir.
Cela ferait plaisir à Marc et Cécile. Cela leur ferait plaisir.
candidature
3-10:
Vous avez envoyé à cette cliente la réponse qu'elle attendait ? Vous la lui avez envoyée ?
Est-ce que tu nous louerais ta maison pour cet été ? Est-ce que tu nous la louerais pour cet été ?
C'est ma tante qui m'a donné cette belle gourmette en or. C'est ma tante qui me l'a donnée.
Cet agriculteur nous vend toujours les produits de sa ferme à très bon prix. Cet agriculteur nous les vend toujours à très bon prix.
N'oublie pas de souhaiter son anniversaire à ta sœur. N'oublie pas de le lui souhaiter.
Ils ne nous ont pas expliqué les vraies raisons de leur départ. Ils ne nous les ont pas expliquées.
Dois-je prêter à Jacques les cent euros dont il a besoin ? Dois-je les lui prêter ?
Réclame à ces gens l'argent qu'ils te doivent à la fin ! Réclame-leur l'argent qu'ils te doivent à la fin !
Il a racheté cette voiture à ses parents. Il la leur a rachetée.
Tu crois qu'on accordera à Luc les délais supplémentaires qu'il demande ? Tu crois qu'on les lui accordera ?

3-14:
Cette coupe de cheveux ne va pas du tout à Vanessa. Cette coupe de cheveux ne luis va pas du tout.
Reprends un peu de mousse au chocolat. Reprends-en un peu.
Va vite à la boulangerie et achète-moi deux baguettes pas trop cuites. Vas-y vite et achète-m'en deux pas trop cuites.
Flattée, l'actrice souriait aux nombreux photographes en prenant la pose. Flattée, l'actrice leur souriait en prenant la pose.
Réponds à ton père quand il t'appelle ! Réponds-lui quand il t'appelle !
J'ai deux cousins qui vivent en France depuis bientôt trois ans. J'en ai deux qui y vivent depuis bientôt trois ans.
J'ai envie de commander une douzaine d'huîtres. J'ai envie d'en commander une douzaine.
Je profite de mes vacances pour lire quelques romans policiers. J'en profite pour en lire quelques-uns.
Vous pouvez rappeler Monsieur Langlois dans la soirée si vous tenez à lui parler personnellement. Vous pouvez le rappelerdans la soirée si vous le tenez.
Ne dérange pas ta sœur pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée ! Ne la dérange pas pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée !

3-15:
As-tu montré ton nouvel ordinateur à Michel ? Oui, je le lui ai montré.
Ils vous ont indiqué la route à suivre ? Oui, ils nous l'ont indiquée.
Vous avez songé à cette alternative ? Oui, j'y ai songé.
Est-ce qu'elle t'a demandé de passer la voir ? Non, elle ne m'en a pas demandé.
Vous avez parlé de cette possibilité à votre collègue ? Oui, je lui en ai parlé.
Vous aimez le roquefort ? Ah oui, je l'aime beaucoup.
Elle t'a expliqué ce que tu dois faire ? Oui, elle l'a bien expliqué.
Tu as remis les clés à la concierge ? Oui, je les lui ai remises.
Vous vous attendiez à une telle réaction ? Non, je ne m'y attendais pas.
lexicographie
3-16:
Est-ce que tu as acheté un tapis à ce marchand ? Oui, je le lui ai acheté.
Vous vous retrouvez souvent dans ce petit café ? Oui, nous nous y retrouvons tous les mardis.
Tu as envie de faire cette excursion ? Non, franchement, je n'en ai pas tellement envie.
Est-ce qu'ils ont envoyé cette circulaire à tous les propriétaires ? Oui, ils la leur ont envoyée le mardi.
Nous irons un jour à New York ? Oui, je te promets que nous y irons.
Vous avez expliqué à vos clients que nous aurions un retard de livraison ? Oui, ne vous inquiétez pas, nous le leur avons expliqué.

3-17:
Vraiment, sa mère a dû être hospitalisée d'urgence ? Je n'en suis pas absolument sûr mais je le crains en effet.
J'ai une longue composition, alors je dois m'y mettre tout de suite, sinon je n'arriverai jamais à la terminer à temps.
J'ai cherché ce document partout dans ma chambre, mais il n'y est pas. Est-ce que quelqu'un l'aurait pris par mégarde ?
Tu veux nous accompagner ce soir ? Nous allons boire un verre avec des amis. Oui, je le veux bien, avec plaisir !
Vous pensez que vous retrouverez du travail à Lyon ? Oui, enfin je l'espère car toute ma famille y habite et je n'ai pas envie d'aller m'établir ailleurs.
La réunion a été annulée ? Ça alors ! Mais enfin, pourqoui est-ce qu'on ne me l'a pas dit ?
Mon grand-père a de moins en moins de mémoire. Il se répète de plus en plus, bien qu'il n'en soit pas du tout conscient.
J'aime beaucoup ces jens : je les admire et je leur fais entièrement confiance.
Pour faire plaisir à mes parents, nous leur avons offert un voyage en France : je crois qu'ils y iront au mois de juin.
Ne t'en fais pas ! Ça s'arrangera !
Boudreaux
3-18:
Est-ce vraiment la meilleure solution ? Je me le demande aussi. En fait j'en doute un peu, mais je n'ose le dire qu'à toi.
Il a failli oublier son rendez-vous. Il ne s'en est souvenu qu'à la toute dernière minute.
Tu as dit à Martine qu'on se retrouvait à huit heures devant le cinéma ? Non pas encore, mais je te téléphonerai tout à l'heure pour te le dire.
Eleni est brillante : elle le sait mais ne s'en vante jamais.
Vous y croyez, vous, à cette histoire ? Non, c'est une histoire à dormir debout !
Leur arrogance finira par leur nuire mais ils ne semblent pas s'en préoccuper le moins du monde.
Tu n'es pas d'accord avec moi ? Si, si, je le suis, mais ne m'en veux pas si je ne le dis pas tout haut : je ne veux pas avoir d'ennuis...
Son intuition féminine ? À ta place, je ne m'y fierais pas trop...
Excusez-moi, je me sauve : on m'attend.
Si vous avez des questions, posez-les-moi par courrier électronique. J'y répondrai ce soir, je vous le promets.
Je certifie que toutes les informations soumises dans le cadre de la procédure d'admission - y compris la présente demande et tout autre document justificatif - sont mon propre travail, qu'elles sont conformes aux faits et présentées honnêtement, et que ces documents deviendront la propriété de l'institution auprès de laquelle je postule et ne me seront pas restitués. Je comprends que je peux faire l'objet de diverses mesures disciplinaires, y compris la révocation de l'admission, l'expulsion ou la révocation des crédits de cours, des notes et du diplôme si les informations que j'ai certifiées sont fausses.
Je m'engage à informer immédiatement les institutions auxquelles je m'adresse en cas de modification des informations demandées dans la présente demande, y compris les antécédents disciplinaires.
Je comprends qu'une fois que ma demande a été soumise, elle ne peut être modifiée en aucune façon ; je devrai contacter directement l'institution si je souhaite fournir des informations supplémentaires.
Je reconnais avoir pris connaissance des instructions relatives à la candidature pour le collège qui reçoit cette demande. Je comprends que toutes les offres d'admission sont conditionnelles, en attendant la réception des relevés de notes définitifs montrant un travail de qualité comparable à celui sur lequel l'offre était fondée, ainsi qu'un licenciement honorable de l'établissement.
J'affirme que j'enverrai un dépôt d'inscription (ou l'équivalent) à un seul établissement ; l'envoi de plusieurs dépôts (ou l'équivalent) peut entraîner le retrait de mes offres d'admission de tous les établissements. [Note : les étudiants peuvent envoyer un dépôt d'inscription (ou l'équivalent) à un deuxième établissement où ils ont été admis à partir de la liste d'attente, à condition d'informer le premier établissement qu'ils ne s'inscriront plus].
enregistrement
congé
ennuyer
Affirmation de la FERPA pour 2019-2020
cathédrale
Le Family Educational Rights and Privacy Act (FERPA) (20 U.S.C. § 1232g ; 34 CFR Part 99) est une loi fédérale qui protège la confidentialité des dossiers scolaires des étudiants. La loi s'applique à toutes les écoles qui reçoivent des fonds dans le cadre d'un programme applicable du ministère américain de l'éducation. Les candidats se verront présenter les affirmations indiquées ci-dessous et pourront choisir de renoncer ou non au droit d'examiner toutes les recommandations et les documents justificatifs soumis au collège. Tous les candidats verront et répondront à ces options avant de soumettre une demande.

J'autorise chaque école que j'ai fréquentée à communiquer tous les dossiers et recommandations demandés aux collèges auxquels je demande l'admission. J'autorise également les employés de ces collèges à contacter confidentiellement mes écoles actuelles et antérieures s'ils ont des questions sur les informations soumises en mon nom.
Les candidats peuvent choisir l'une de ces deux options :
Je renonce à mon droit d'examiner toutes les recommandations et les pièces justificatives soumises par moi ou en mon nom
Je ne renonce pas à mon droit d'examiner toutes les recommandations et les pièces justificatives soumises par moi ou en mon nom.
J'ai choisi de ne pas renoncer à mon droit d'examiner mes recommandations et les pièces justificatives. Je comprends que ma décision peut amener mes conseillers ou mes enseignants à refuser de rédiger des recommandations en mon nom. Je comprends également que ma décision peut amener les collèges à ne pas tenir compte des recommandations présentées en mon nom.
Je comprends que ma renonciation ou l'absence de renonciation à la sélection ci-dessus concerne tous les collèges auxquels je postule et que mes sélections sur cette page ne peuvent être modifiées après la présentation d'une recommandation ou d'une candidature.
étourdi
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
haranguer
harangue
Boudreaux
RATTRAPAGE
L'interro sera disponible à partir de 17h aujourd'hui
corrigé.
copains
réfléchis
pages
lues
accompagner
supermarché
s'intéresser à
vient
embouchure
Guadeloupe
lire
magazine
copine
livres
montre
envoie
Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouches
De l'homme auquel j'appartiens
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon cœur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause
C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré pour la vie
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon cœur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause
C'est toi pour moi, moi pour toi dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré pour la vie
Et dès que je t'aperçois
Alors je sens dans moi
Mon cœur qui bat
La la, la la, la la
La la, la la, ah la
La la la la

Les rêves des amoureux sont comme le bon vin
Ils donnent de la joie ou bien du chagrin
Affaibli par la faim, je suis malheureux
Volant en chemin tout ce que je peux
Car rien n'est gratuit dans la vie
L'espoir est un plat bien trop vite consommé
À sauter les repas je suis habitué
Un voleur solitaire est triste à nourrir
Ah, jeux si amer, je ne peux réussir
Forme fruste
Car rien n'est gratuit dans la vie
Jamais on ne me dira
Que la course aux étoiles
Ça n'est pas pour moi
Laissez-moi vous émerveiller
Et prendre mon envol
Nous allons enfin nous régaler
La fête va enfin commencer
Sortez les bouteilles, fini les ennuis
Je dresse le table de ma nouvelle vie
Je suis heureux à l'idée de ce nouveau destin
Une vie à me cacher et puis libre enfin
Le festin est sur mon chemin
Une vie à me cacher et puis libre enfin
Le festin est sur mon chemin
lettre
copaine
Français 400 – Interrogation sur les pronoms personnels

I. Répondez aux questions suivantes en remplaçant les noms soulignés par des pronoms. Attention aux détails y compris les accords du participe passé.

a. As-tu préparé ces gâteaux toi-même? NON, je _______________________________________________________________________

b. Avez-vous offert cette vidéo à votre copine? OUI, je

_________________________________________________________________________

c. Aimerait-il accompagner son amie en Australie ? OUI, il

_________________________________________________________________________

d. Ta mère vient-elle de Guadeloupe? NON, elle

_________________________________________________________________________

e. Est-ce qu’ils ont lu ces articles à leurs copains? OUI, ___________________________________________________________________________

f. Sait-elle qu’elle sera en retard ? OUI, elle________________________________________________________________________.

g. Pensez-vous à vos vacances ? OUI, nous _______________________________________

h. Mabo Julie s’occupe-t-elle de Maryse ? OUI, elle ___________________________________________________________________________

i. Pourrais-tu sortir le beurre du frigo s’il te plaît ? OUI, je veux bien ___________________________________________________________________________

II. Récrivez chaque phrase impérative en remplaçant les noms soulignés par des pronoms :

a. Envoie un message à Julia et à Marie !__________________________________________ !


b. Ne me montre pas tes photos ! ____________________________________________ !


c. Donnez encore de la soupe à Alice!_________________________________________ !


-----CONTINUEZ À LA PAGE SUIVANTE------POINTS DE RATTRAPAGE 
Maintenant, écrivez votre propre question avec deux noms (compléments d’objet direct, d’objet indirect, objets d’une préposition, etc...) à remplacer dans la réponse, que vous allez écrire aussi.

Question:

______________________________________________________________________________?

Réponse: NON,

____________________________________________________________________________________.
1. a. Non, je ne les ai pas faits moi-même.
b. Oui, je la lui ai offerte.
c. Oui, il aimerait l'y accompagner.
d. Non, elle n'en vient pas.
e. Oui, ils les leur ont lus.
f. Oui, elle le sait.
g. Oui, nous y pensons.
h. Oui, elle s'en occupe.
i. Oui, je veux bien l'en sortir.

2. a. Envoie-le-leur !
b. Ne me les montre pas !
c. Donnez-l'en !

3. a. Pourriez-vous parler du problème à Jacques demain ?
b. Oui, je lui en parlerai demain.
amener
chien
bibliothèque
argent
que dalle
états-unis
tapageur
montreux
bruyant
prudent
grand mal
frères
ami
pense à
rêve
vacances
demandé
délai
professeur
date limite
lieu
mort
enseveli
beauté
« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »
1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ? Une excellente question. On verra bien !
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ? Une autre question bien juste. On est frappé par l’image d’une « taille de guêpe » qui évoque une rivalité entre la narratrice et les amies de son frère. On verra plus loin l’attachement démesuré qu’a la narratrice à Sandrino et à ses avis.
avancer à coll.

cristal
neige
dépend de
régularité
symétrie
mathématiques
répertoire
manière
association
nombreuses
variantes
même
type
apparentées
identiques
augmente
considérablement
plaisir
admiration
en général
structures
dotées
légitimité
réalisation
naturelle
continu
du reste
théories
purement
algébrique
groupes abstraits
groupes
abstraits
étranges
apparaissant
automorphisme
figure
continues
énervé
action
blâmable
regretter
fait
faute
permission
s'absenter
attouchement tendre
finalement
éprouver
ennui
effectué
réflexion
en masse
activer
feu
thibault
mourir
passer
sommeil
état
veille
avancé
âge
ménager
eau
toilette
eau de toilette
suite
sons
musicaux
produits
voix
mal à propos
turbulent
exubérant
violent
houleux
rempli
tendresse
affection
entretien
de l'histoire
en
famille
progresser
tourner
film
complet
demander
quelqu'un
participer
quelque chose
langage
codé
consiste
syllabes
certains
mots
ordre
arrêter
adopter
inverse
née
nord
passé
partie
pensionnats
notamment
insatisfaite
progrès
première
année
collège
restée
expérience
immersion
totale
en tant que
fille au pair
lycéenne
Normandie
doctorante
assistante
enseignement
troisième
complète
échange
Montpellier
université
rejoint
faculté
dirigé
reprises
voyage
étude
automne
présidé
département
langues
modernes
chaire
féminine
encadré
à travers
travers
pays
à plusieurs reprises
début
actuellement
conseillère
club
s'est engagée
à long terme
terme
programme
placement
correcteur
examens
membre
comité
La Bayadère
développement
rédacteur
questions
passionnée
course à pied longue distance
pied
course
distance
Re-bonjour à tous,



Je vous écris pour vous dire que les interros seront disponibles à partir de 17h aujourd’hui, et jusqu’à 12h30 demain. Notez quand même qu’à partir du moment où vous aurez accédé à votre interro, vous aurez une limite de temps de 18 minutes pour la compléter et la télécharger de nouveau sur la page de Canvas.



N’oubliez pas que ceci est une évaluation, et donc qu’il est formellement INTERDIT DE CHERCHER DES RÉPONSES EN DEHORS DE VOTRE PROPRE CERVEAU. C’est-à-dire pas de dictionnaires, de notes, de traducteurs en ligne, d’amis gentils…etc.



J’espère que cela vous permettra de passer l’interro à l’heure qui vous convienne le mieux.



A mercredi et bonne soirée !



Mme. Fair
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Dans "Ce qui naît de la tristesse", Hee-sook est décrite comme "n'étant pas le genre de personne à pinailler et à se plaindre" -- très moyenne, acceptante et donc acceptable. En effet, elle incarne l'idéal de quelqu'un qui renonce à son propre bonheur pour maximiser celui des autres, ou à tout le moins pour minimiser leurs souffrances. Cela se reflète également dans l'écriture de cette histoire : malgré les événements pénibles que Hee-sook a vécus au cours de l'histoire, les descriptions de ses sentiments et émotions bruts sont rares (on perçoit l'effet d'une déférence presque totale envers le lecteur). C'est ce qui motive ses décisions, comme on peut le voir dans sa relation avec Jeong-soo : elle s'en veut de la violence physique qu'il lui a infligée et refuse d'aborder le sujet elle-même, n'en parlant que lorsqu'il entame la conversation. La société récompense à son tour ce comportement ; voyez la description de la façon dont son état a "consterné" ceux qui la connaissaient : "Que diable se passe-t-il ? Une personne comme elle, qu'est-ce qui arrive au monde, quelle sorte d'absurdité est-ce là ?
Nous pouvons ensuite formaliser tout cela par le biais d'un cadre éthique : Hee-sook agit de manière déontologique -- chaque action est envisagée dans l'idée de minimiser le mal immédiat fait à autrui et de moins se soucier de ses conséquences par la suite. Je ne prétendrai pas que cette analyse est infaillible--elle semble involontairement laconique ou brusque lorsqu'elle désire simplement la vérité pure--mais en général, elle fait tout son possible pour sauver la face. Dans cette optique, la dynamique de sa relation avec Jeong-soo est claire : elle a agi comme elle le devait - comme la société l'attend - à chaque étape. Seule la vue panoramique nous permet de voir les effets durables que cela a sur elle et sur ceux qui l'entourent - bien que son travail de maintien du statu quo l'ait fait respecter, en ne confrontant pas les abus de Jeong-soo, elle a ouvert la voie à la poursuite du mal envers son prochain partenaire : son ami. La question de savoir si ce lien est vraiment causal (et d'ailleurs ce qu'elle aurait dû faire) n'est ni ici ni là - la pierre angulaire de cette analyse est que son amie perçoit qu'elle a causé du tort dans le présent en raison de ses actions passées. Le code moral de Hee-sook, que la société approuve sans réserve, ne permet tout simplement pas de lutter contre cela.
Nous voyons l'autre face de la médaille dans l'histoire "La petite chose" -- lorsqu'une femme décide plutôt de passer de l'attente déontologique à la réalité conséquentialiste, pour ainsi dire. Confrontée à un harcèlement durable sur son lieu de travail, alors que Hee-sook se contenterait de hocher la tête poliment, Young-joo expose plutôt publiquement ses plaintes : elle agit en fonction des conséquences de ses actes et non pas en fonction de ce qui est le plus acceptable pour le moment. Mais tenter de s'assurer un avenir plus tolérable en tant que tel a des effets immédiats sur sa vie personnelle : son mari remarque : "C'est la première fois que je suis confrontée à des rumeurs de ce genre. La rumeur court dans toute ma société que j'ai épousé une sorcière". Elle se défait de son conséquentialisme, épuisée, vers la fin de l'enquête : elle accepte la démission de l'auteur au lieu des excuses qu'elle souhaitait tant. Seo brosse ainsi un portrait sinistre de ces femmes, forcées de souffrir sous les attentes de la société et pourtant réprimandées pour avoir exercé une pression significative sur elles.
La société attend de la femme de Seo qu'elle supprime les sentiments qui pourraient avoir un impact négatif sur les autres personnes - pour sauver la face sur le moment - mais elle ne tient pas compte des effets que cela peut avoir sur elles ; pour Hee-sook, son cancer est comparé à cette tristesse différée qui la ronge de l'intérieur. La forme narrative longue contraste avec ces exigences fugitives et favorise le conséquentialisme au détriment de la déontologie, car nous pouvons voir le déroulement des événements à travers ces histoires instantanément. Le travail de Seo, en embrassant le lointain et en considérant les destins à long terme de ces femmes, confronte ainsi cette société et ses exigences momentanées, montrant que même sa femme parfaite est finalement ratée.
jeux d'eau
déjà-vu
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Chaque année, après la fin de l'école primaire pour l'été, ma famille se réunissait autour de la télévision pour regarder America's Favorite Pastime™ : le Scripps National Spelling Bee, bien sûr. Nous étions enchantés de voir ces enfants, dont beaucoup de mon âge ou plus jeunes, épeler des mots incroyablement étrangers, alors que nous nous demandions quelle lettre serait leur erreur fatale. Un an, j'ai demandé à ma mère si elle avait déjà participé à un concours d'orthographe dans son enfance. Elle m'a répondu sans hésiter : "Non, nous n'en avons pas fait. Pourquoi l'aurions-nous fait ?"
Vous voyez, ma mère est portoricaine, et l'espagnol - avec son orthographe fiable - n'a pas besoin d'enfants à la télévision nationale pour faire des suppositions éclairées sur l'orthographe d'un mot ; il n'y a tout simplement pas d'irrégularité. L'espagnol homogénéise ses mots ; l'anglais les laisse tels quels.
Grandir dans un foyer portoricain-allemand-américain a conduit à un compromis linguistique : en raison des difficultés de mes parents à apprendre l'anglais à la manière "adulte" - par le vocabulaire des affaires et les listes de verbes à particule - notre foyer a toujours été allemand ou espagnol - mais anglophone pour que je ne répète pas leur combat. Ce n'est pas que l'espagnol et l'allemand étaient absents - j'ai ressenti l'influence de l'espagnol chaque fois que mon abuelita faisait des chicharrones sous le ronflement de la hotte de cuisine, en bloquant habilement les éclaboussures d'huile avec des coups rapides du couvercle de la sartén ; j'ai vu l'allemand dans les yeux de mon Oma quand elle parlait de son enfance dans la Schwarzwald ou qu'elle coupait le papier de veau en tranches fines pour faire des Wiener Schnitzel. Mais c'était faible, et jamais assez pour me faire une idée complète. Je craignais de ne parler à mes grands-parents qu'entre deux hésitations d'une langue empruntée, et je me suis juré de communiquer un jour avec eux selon leurs conditions, et non les miennes.
Bientôt, j'ai appris qu'il y avait une faille dans mes plans : la "période critique". Les adultes peuvent apprendre la plupart des facettes du langage sans trop de difficultés, mais la prononciation est plus délicate : à treize ans, la langue se fossilise et on ne peut plus imiter parfaitement les sons. Mon moi de deuxième année a donc décidé du meilleur plan d'action qu'il pouvait trouver : regarder le même Let's Plays dans autant de langues qu'il pouvait trouver. Après tout, peut-être vingt ans plus tard, j'aurais voulu partir à l'étranger comme mes parents l'avaient fait, et j'avais besoin d'être préparé. L'espagnol et l'allemand étaient des choix évidents, mais ils ont vite rejoint le français, le mandarin et le japonais, entre autres. Je murmurais, essayant de saisir les nuances de la prononciation tout en déchiffrant comment contorsionner ma langue pour pouvoir leur répéter leurs mots. Peu importait que je les comprenne ou non, car l'apprentissage de la langue était un problème qui me tenait à cœur depuis longtemps - il suffisait que je comprenne la prononciation avant que le temps ne s'écoule.
Il suffit de dire que j'ai été fasciné par la linguistique dès mon plus jeune âge. Mais j'ai toujours aimé les mathématiques et la physique : l'élégance du Lagrangien et la solution du problème de Bâle sont sans pareilles (jeu de mots peut-être voulu). Pendant longtemps, je n'ai trouvé aucune relation entre mes intérêts pour la langue et les STEM - qui ont produit l'autre ? Finalement, j'ai réalisé qu'aucun des deux n'était plus essentiel : c'était la découverte - comprendre soudainement l'inintelligible auparavant - que j'aimais. Cette passion pour la recherche de règles dans le chaos m'a permis de devenir le seul élève de 11e année à suivre un cours de preuve mathématique (le deuxième plus haut niveau du département), et l'un des deux à suivre le cours de mécanique quantique (le sommet du département de physique). Cela m'a également aidé à me placer dans les cours de troisième et quatrième année en espagnol, français, mandarin et japonais.
Nous adorons détester l'orthographe anglaise, souvent absurde, mais il y a une certaine beauté dans la facilité avec laquelle elle emprunte les mots en bloc. Malgré tous ses défauts, je me sens à l'aise en anglais, car quelle autre langue pourrait représenter aussi fidèlement mes contradictions et moi-même ? Elle m'apprend que je n'ai pas à justifier la disparité de mes hobbies et que je peux accepter mes incohérences apparentes, que je n'ai pas à me limiter aux STEM ou aux sciences humaines, que je peux m'épanouir dans les derniers traits de "Puerto Rican-German-American".

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)


Bonne année à tous!
crisser
l'instruction est la clef qui ouvre la deuxieme porte de notre liberte

Un mot pour vous dire que si vous le désirez, vous pouvez déjà commencer vos devoirs pour la semaine prochaine, affichés sur Canvas.



En tout cas, bon week-end et à très bientôt,

Que signifie la dernière phrase « et [je] laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique » (c’est moi qui souligne) ?
Qu’est-ce que Maryse accepterait comme parents « ordinaires » ?
La majeure partie de la seconde moitié est centrée sur un exemple physique du racisme plus implicite dont ses parents parlent au début du chapitre. Maryse ne comprend jamais le «‌ raisonnement » raciste qui sous-tend les coups d’Anne-Marie – en effet, pourquoi le devrait-elle ? – mais elle voit certainement les effets réels qu’il a sur elle. Elle soulève une question intéressante à la fin : pourquoi une personne aussi rebelle que la Maryse décrite dans les chapitres précédents acquiescerait-elle à la volonté d’Anne-Marie ? Est-ce le caractère interdit de leur jeu, qui lui fait honte d’en parler à ses parents ? Avec ce que nous savons de ses parents, seraient-ils susceptibles de chercher à la justifier, ou réprimanderaient-ils Maryse pour avoir laissé Anne-Marie prendre le contrôle ? Quoi qu’il en soit, cette expérience constitue un rite de passage pour elle, pour ainsi dire ; Maryse se voit s’aligner sur ce que des générations de ses ancêtres avant elle ont fait : se taire.

Une Fois pour toutes
Mme. Fair
blasé
Leçon d'histoire
Souvent, après le dîner qu'Adélia servait à sept heures du soir tapantes, mon père et ma mère, se tenant par le bras, sortaient prendre la fraîcheur. Ils descendaient notre rue jusqu’à la somptueuse maison entre cour et jardin des Lévêque, des blancs-pays qu’on voyait à la grand-messe, le père, la mère, cinq enfants et une tante demoiselle montée en graine sous sa mantille, mais qui, le reste du temps, semblaient vivre derrière rideaux baissés et portes closes. Après quoi mes parents tournaient à gauche et en passant devant le cinéma-théâtre la Renaissance, ils jetaient un coup d’œil de mépris aux affiches des premiers films américains en technicolor. Ils haïssaient l’Amérique sans y avoir jamais mis les pieds parce qu’on y parlait anglais et parce que ce n’était pas la France. Ils faisaient le tour de la darse humant la brise qui venait de la mer, poussaient jusqu’au quai Ferdinand-de-Lesseps où une odeur de morue salée s’accrochait toujours aux branches basses des amandiers-pays, revenaient vers la place de la Victoire et, après avoir monté et descendu trois fois l’allée des Veuves, ils s’asseyaient sur un banc. Ils demeuraient là jusqu’à neuf heures et demie. Puis, se levaient avec ensemble et rentraient à la maison par le même chemin tortueux.
Ils me traînaient toujours derrière eux. Parce que ma mère était toute fière d’avoir une si jeune enfant dans son âge plus que mûr et aussi parce qu’elle n’était jamais en paix lorsque je me trouvais loin d’elle. Moi, je ne prenais aucun plaisir dans ces promenades. J’aurais préféré rester à la maison avec mes frères et sœurs. Sitôt que mes parents leur avaient donné dos, ils commençaient à chahuter. Mes frères s’entretenaient avec leurs gamines sur le pas de la porte. Ils mettaient des disques de biguine sur le phonographe, se racontaient toutes espèces de blagues en créole. Sous le prétexte qu’une personne bien élevée ne mange pas dans la rue, au cours de ces sorties, mes parents ne m’offraient ni pistaches bien grillées, ni sukakoko. J’en étais réduite à convoiter toutes ces douceurs et à me poster devant les marchandes dans l’espoir que malgré mes vêtements achetés à Paris, elles me prendraient en pitié. Des fois, la ruse marchait et l’une d’entre elles, la figure à moitié éclairée par son quinquet, me tendait une main pleine :
--- Tiens pour toi ! Pitit à manman !
En plus, mes parents ne s’occupaient guère de moi et parlaient entre eux. De Sandrino qu’on avait encore menacé de renvoyer du lycée. D’une de mes sœurs qui n’étudiait pas à l’école. D’investissements financiers, car mon père était un excellent gestionnaire. Encore et surtout de la méchanceté de cœurs des gens de La Pointe qui n’en revenaient pas que des nègres réussissent leur vie comme ils réussissaient la leur. À cause de cette paranoïa de mes parents, j’ai vécu mon enfance dans l’angoisse. J’aurais tout donné pour être la fille de gens ordinaires, anonymes. J’avais l’impression que les membres de ma famille étaient menacés, exposés au cratère d’un volcan dont la lave en feu risquait à tout instant de les consumer. Je masquais ce sentiment tant bien que mal par des affabulations et une agitation constants, mais il me rongeait.
Mes parents s’asseyaient toujours sur le même banc, contre le kiosque à musique. S’il était occupé par des indésirables, ma mère restait plantée devant eux, battant la mesure du pied, avec une mine tellement impatiente qu’ils ne tardaient pas à déguerpir. Seule, je m’amusais comme je pouvais. Je sautais à cloche-pied dans les allées. Je shootais des cailloux. J’écartais les bras et je devenais un avion qui s’élève dans les airs. J’interpellais les étoiles et le croissant de lune. À voix haute, avec de grands gestes, je me racontais des histoires. Un soir au milieu de mes jeux solitaires, une petite fille surgit de la noirceur. Blondinette, mal fagotée, une queue de cheval fadasse dans le dos. Elle m’apostropha en créole :
--- Ki non a-w ?
Je me demandai en mon for intérieur pour qui elle me prenait. Pour l’enfant de rien du tout ? Espérant produire mon petit effet, je déclinai mon identité avec emphase. Elle ne sembla pas ébranlée, car il était visible qu’elle entendait mon patronyme pour la première fois et elle poursuivit avec la même autorité, toujours en créole :
--- Moi, c’est Anne-Marie de Surville. On va jouer ! Mais attention, ma maman ne doit pas me voir avec toi sinon, elle me battrait.
Je suivis son regard et j’aperçus quelques femmes blanches immobiles, assises de dos, les cheveux flottant uniformément sur les épaules. Les façons de cette Anne-Marie ne me plaisaient pas du tout. Un moment, je fus tentée de tourner les talons et de rejoindre mes parents. En même temps, j’étais trop heureuse de trouver une partenaire de mon âge même si elle me commandait comme à sa servante.
Immédiatement, Anne-Marie prit la direction de nos jeux et, toute la soirée, je me soumis à ses caprices. Je fus la mauvaise élève et elle me tira les cheveux. En plus, elle releva ma robe pour m’administrer la fessée. Je fus le cheval. Elle monta sur mon dos et elle me bourra les côtes de coups de pied. Je fus la bonne et elle me souffleta. Ella m’abreuvait de gros mots. Je frémissais en entendant voler les kouni à manman a-w et les tonnè dso interdits. Finalement, une ultime taloche me fit tellement mal que je courus me réfugier dans les bras de ma mère. Dans ma honte, je ne m’expliquai pas. Je prétextai que j’avais pris un saut et laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique.
gâcher
Le lendemain, Anne-Marie m’attendait au même endroit. Pendant plus d’une semaine, elle fut fidèle au poste et je me livrai sans protester à ses sévices. Après qu’elle eut manqué m’éborgner, je finis par protester, lassée de sa brutalité :
--- Je ne veux plus que tu me donnes des coups.
Elle ricana et m’allongea une vicieuse bourrade au creux de l’estomac :
--- Je dois te donner des coups parce que tu es une négresse.
J’eus la force de m’éloigner d’elle.
Sur le chemin du retour, j’eus beau méditer sa réponse, je ne lui trouvai ni rime ni raison. Au moment du coucher, après les prières aux divers bons anges gardiens et à tous les saints du paradis, j’interrogeai ma mère :
--- Pourquoi doit-on donner des coups aux nègres ?
Ma mère sembla estomaquée, elle s’exclama :
--- Comment une petite fille aussi intelligente que toi peut-elle poser pareilles questions ?
Elle traça en vitesse un signe de croix sur mon front, se leva et se retira en éteignant la lumière de ma chambre. Le lendemain matin, à l’heure de la coiffure, je revins à la charge. Je sentais que la réponse fournirait la clé à l’édifice souvent mystérieux de mon monde. La vérité sortirait de la jarre où on la tenait enfermée. Devant mon insistance, ma mère me frappa sèchement avec le dos du peigne :
--- Enfin, cesse de raconter des bêtises. Est-ce que tu vois quelqu’un donner des coups à ton papa ou à moi ?
La suggestion était invraisemblable. Pourtant, la fébrilité de ma mère trahissait son embarras. Elle me cachait quelque chose. À midi, j’allai rôder dans la cuisine autour des jupes d’Adélia. Hélas ! Elle faisait tourner une sauce. Aussitôt qu’elle m’aperçut, avant seulement que j’ouvre la bouche, elle se mit à crier :
--- Sors de là ou j’appelle ta maman.
Je ne pus qu’obéir. J’hésitai, puis montai frapper à la porte du bureau de mon père. Alors qu’à tout moment je me sentais enveloppée de l’affection chaude et tatillonne de ma mère, je savais que je n’intéressais guère mon père. Je n’étais pas un garçon. Après tout, j’étais sa dixième enfant, car il avait eu deux fils d’un premier mariage. Mes pleurs, mes caprices, mon désordre l’excédaient. Je lui posai ma question en forme de leitmotiv :
--- Pourquoi doit-on donner des coups aux nègres ?
Il me regarda et me répondit distraitement :
--- Qu’est-ce que tu racontes ? On nous donnait des coups dans le temps. Va trouver ta maman, veux-tu ?
Désormais, je ravalai mes questions. Je ne demandai rien à Sandrino, car j’avais peur de son explication. Je devinais qu’un secret était caché au fond de mon passé, secret douloureux, secret honteux dont il aurait été inconvenant et peut-être dangereux de forcer la connaissance. Il valait mieux l’enfouir au fin fond de ma mémoire comme mon père et ma mère, comme tous les gens que nous fréquentions, semblaient l’avoir fait.
Les jours suivants, je retournai sur la place de la Victoire avec mes parents, bien décidée à refuser de jouer avec Anne-Marie. Mais j’eus beau la chercher tout partout, remonter les allées, errer de droite et de gauche, je ne la revis pas. Je courus jusqu’au banc où s’étaient assises sa maman et ses tantes. Il était vide. Je ne les revis plus jamais. Ni elle. Ni les femmes de sa famille.
Aujourd’hui, je me demande si cette rencontre ne fut pas surnaturelle. Puisque tant de vieilles haines, de vieilles peurs jamais liquidées demeurent ensevelies dans la terra de nos pays, je me demande si Anne-Marie et moi, nous les réincarnations miniatures d’une maîtresse et de son esclave souffre-douleur.
Sinon comment expliquer ma docilité à moi si rebelle ?

arrivés
patagon

Mabo Julie
Avant de perdre mabo Julie, je n’avais jamais rencontré la mort. Ma mère était enfant unique. Mon père aussi. Son propre père, marin au long cours, ayant abandonné son épouse aussitôt qu’il lui avait planté un enfant dans le ventre. Ceux qui grandissent au sein de ces vastes tribus où l’on ne fait pas le compte des demi-frères, des demi-sœurs, des oncles, des tantes, des cousins, des cousines, des parents et des alliés, sont un jour ou l’autre confrontés à la terrible grimace de la mort. Ce n’était pas mon cas.
Est-ce pour cela que la mort avait commencé d’exercer sur moi une fascination qui ne s’est jamais démentie ? Chaque fois qu’un enterrement descendait le faubourg Alexandre-Isaac, je me précipitais sur le balcon pour contempler la procession qui se dirigeait lentement vers la cathédrale. Je n’appréciais pas les enterrements de malheureux, ceux qu’une poignée de fidèles accompagne à leur dernière demeure, sans fleures ni couronnes. Je n’aimais que les enterrements qui étalent l’opulence de ceux qui désormais ne possèdent plus rien. En tête, la nuée des enfants de chœur dans leurs surplis ailés entourant le prêtre brandissant la croix à bout de bras. Derrière, le corbillard drapé dans ses oripeaux argentés. Dans la foule habillée en noir, je n’avais d’yeux que pour les premières rangées, celles des proches : les veuves invisibles sous les replis de leurs crêpes, les hommes, leurs lourds brassards cousus sur la manche, les enfants marchant mécaniquement, petits automates. À y réfléchir, c’était comme si j’avais pressenti que je n’assisterais pas à l’enterrement de ceux que j’avais de plus cher. Comme si je cherchais à imaginer ce qu’aurait pu être mon deuil. Parfois, en ce temps-là, des musiciens étaient du cortège. Les uns soufflaient dans des saxophones. Les autres frappaient sur des cymbales. Et leurs accords étaient la préfiguration de mes bien-aimés requiems d’aujourd’hui. Quand mabo Julie tomba malade d’une pleurésie avec complications pulmonaires, ma mère eut peur de la contagion. Aussi, je ne lui rendis pas visite et ne la revis que sur son lit de mort.
Mabo Julie était la bonne qui m’avait charroyée dans ses bras et promenée sur la place de la Victoire pour faire admirer à tous ceux qui avaient des yeux pour admirer mes casaques en soie, en tulle ou en dentelle. Elle m’avait aidée quand j’apprenais à marcher, relevée, consolée chaque fois que je tombais. Quand je n’eus plus besoin d’elle ma mère la garda à notre service --- elle était sans ressources --- et elle devint notre blanchisseuse. Chaque mercredi, elle arrivait chez nous, pourtant sur la tête un tray rempli d’un linge d’une propreté étincelante et parfumée. Mon père tellement sourcilleux sur les cols glacés de ses chemises ne trouvait rien à redire. Mabo Julie était une vieille mulâtresse, très blanche de peau, les yeux délavés, les joues ridées comme pomme calebasse tombée sous le pied depuis trois jours. Je crois qu’elle était originaire de Terre-de-Haut des Saintes. Je n’ai jamais vu ni mari ni enfant à l’entour d’elle et c’est peut-être pour cette raison qu’elle dépendait de notre famille. Moi, je l’adorais à l’égal de ma propre mère qui en était jalouse, je le sais. Bien à tort. Mes sentiments pour l’une et l’autre étaient radicalement différents. Ma mère attendait trop de moi. J’étais perpétuellement sommée de me montrer partout et en tout la meilleure. En conséquence, je vivais dans la peur de la décevoir. Ma terreur était d’entendre ce jugement sans appel que, bien souvent, elle portait sur moi :
--- Tu ne ferais jamais rien de bon dans ta vie !
Elle était toujours à critiquer. À me trouver trop haute pour mon âge, je dépassais tous les enfants de ma classe, trop maigre, je faisais pitié avec ma peau sur les os, mes pieds étaient trop grands, mes fesses trop plates, mes jambes jattellées. Par contraste, aux yeux de mabo Julie, je n’avais aucun effort à fournir pour être la plus belle et la plus douée des petites filles de la terre. Mes paroles aussi bien que mes actions étaient marquées du sceau de la perfection. Chaque fois que je la voyais, je l’enlaçais si violemment que son madras se dénouait et découvrait ses cheveux de soie blanche. Je la dévorais de baisers. Je me roulais sur ses genoux. Elle me donnait entièrement accès a son cœur et à son corps. Les années précédant sa mort, toujours couchée malade avec la dysenterie, la bronchite, la fièvre, elle ne s’occupait plus de notre linge et elle me manquait comme un onguent à une blessure. Je n’oublierai jamais le soir où ma mère m’apprit sans trop de ménagements qu’elle avait fait une rechute et n’était plus. Tout d’abord, je n’eus pas le sentiment que j’éprouvais du chagrin. J’eus l’étrange impression que la lune passait entre la terre et le soleil et que l’ombre devenait épaisse autour de moi. Je tâtonnais comme une aveugle. J’entendis ma mère demander son avis à mon père. À mon âge, est-ce que je pouvais assister à une veillée ? Est-ce que je pouvais voir un mort ? Ils discutèrent interminablement. Ils estimaient tous les deux qu’il faillait m’aguerrir. Je faisais trop de manières. Toujours à pleurnicher pour un oui, pour un non. Pendant ce temps, ma peine naissait, montait, montait. Je m’attendais à ce qu’elle jaillisse plus puissante qu’un geyser. Enfin, ma mère décida de m’emmener avec elle. Nous allions sortir quand Sandrino me glissa à l’oreille, facétieux à son habitude :
--- Attention ! Si tu ne te tiens pas comme une grande, elle va venir tirer tes pieds.
Mabo Julie habitait non loin dans le quartier du Carénage, un quartier que je ne connaissais pas. Un vieux quartier de pêcheurs, serré autour de l’usine Darboussier qui était encore en activité. Malgré l’heure tardive, la rue bordée de maisons basses grouillait de monde. Des enfants couraient dans tous les sens. Des marchandes offraient toutes qualités de douslets, sukakoko, gâteaux-patate. Assis devant leurs portes, des hommes en tricot de corps claquaient leurs dés ou leurs dominos en braillant :
--- An tchyou a-w !
D’autres buvaient coude à coude dans des débits de boissons. À mes yeux, cette animation n’était pas effrayante, mais choquante. On aurait cru que la disparition de mabo Julie ne comptait pas pour les gens. En approchant de la maison mortuaire aux portes drapées de noir, on entendait la rumeur des voix. La maison de mabo Julie était petite. Une seule pièce coupée en deux par un rideau. Dans la moitié qui servait de chambre à coucher, à cause d’une quantité de bougies, il faisait aussi clair qu’en pleine journée. Il faisait également très chaud. Les voisins et les voisines, qui me masquaient la couche jonchée de fleurs, s’écartèrent à la vue de ma mère. Alors, mabo Julie m’apparut, habillée avec sa plus belle robe matador, les cheveux coiffés en choux gonflant sur les tempes, à droite et à gauche de son madras noir. Je ne la reconnus pas. Elle était plus grande. Carrée. Une autre personne avait pris sa place. Je ne retrouvais pas son sourire. Elle avait soudain l’air hostile et menaçant. Ma mère me commanda :
--- Embrasse-la !
L’embrasser ?
J’allais reculer. Au même moment, je me rappelai la mise en garde de Sandrino. Je m’efforçai d’obéir. J’appuyai ma bouche sur la joue que j’avais tant de fois embrassée et je m’étonnai de la trouver non pas fondante et tiède comme je la connaissais, mais rigide et froide. Froide. D’une froideur que je ne pouvais comparer à rien. Pas même à celle de la glace. Plutôt à celle d’une pierre. D’une pierre tombale. Un sentiment confus me remplit : chagrin, peur, honte d’avoir peur de celle que j’avais aimée et qui soudain me devenait étrangère. Je hoquetai et commençai de pleurer. Ma mère n’apprécia pas. Elle aurait voulu que, pareille à un enfant royal, je ne manifeste en public aucune émotion. Agacée, elle me secoua :
--- Tiens-toi bien, voyons !
Je reniflai. Nous restâmes une heure ou deux dans la proximité du cadavre. Chapelet à la main, ma mère priait. Moi, sous l’odeur des fleurs, je sentais celle de la charogne. Enfin, nous rentrâmes à la maison.
La même nuit, mes cauchemars commencèrent. Il suffisait que ma mère ferme la porte de ma chambre pour que mabo Julie y entre. Non pas celle que j’avais chérie pendant ses années de vie, mais l’autre, l’inconnue. Des fois, elle se couchait à côté de moi dans mon lit. On me mit à dormir avec Thérèse que tout ce cinéma exaspérait :
--- Tu es toujours là à faire ta grande personne, alors qu’au fond tu n’es qu’une poltronne.
Je me demande comment tout cela aurait fini si, un soir, ma mère ne m’avait prise sur ses genoux et caressée comme elle savait si bien le faire tandis que je pleurais enfin toutes les larmes de mon corps.
--- Comment veux-tu qu’une personne qui t’aimait tant puisse te faire du mal ? C’est comme ton ange gardien à présent !
Sans doute venait-elle de se souvenir que je n’avais que neuf ans.

The bluest eye
La rue Alexandre-Isaac, où s’élevait notre maison, commençait un peu plus haut que la place de la Victoire, cœur qui rythmait la vie de La Pointe, et se perdait dans un faubourg populeux mais de bonne tenue. Rien à voir avec le canal Vatable, ses golomines et ses taudis. C’était une rue digne, habitée par des notables, parfois aussi par des gens aux revenus modestes, toujours de parfaites manières. Mes parents y avaient emménagé quelques mois avant ma naissance quand rester rue Condé ne convenait plus ni à leur quantité d’enfants ni surtout à leur nouveau standing. Mon père venait d’être décoré de la Légion d’honneur, je ne sais pas pourquoi, et ma mère avait fièrement cousu des rubans à toutes ses boutonnières. Elle se tenait les côtes de rire en rapportant la question d’une curieuse :
--- Monsieur Boucolon, c’est quoi ce fil rouge sur votre veste ?
Les maisons de la rue Alexandre-Isaac étaient en bois, construites selon un modèle identique. Pourtant, elles se distinguaient les unes des autres par de subtiles nuances : le rouge plus ou moins vif du minium de la tôle des toits, la fraîcheur du dernier revêtement de peinture ou l’éclat des fleurs alignées sur les balcons. Les Driscoll, une famille de douze enfants, occupaient une maison d’angle, très vaste, mais assez peu entretenue, au toit rapiécé, au balcon sans bougainvillées ni hibiscus. Quand mes parents et eux se croisaient, ils se donnaient poliment le bonjour ou le bonsoir. Mais ils ne se fréquentaient pas. Au fond de leur cœur, mes parents se sentaient bien au-dessus d’eux. M. et Mme Driscoll étaient des fonctionnaires obscurs, sans panache, qui ne possédaient même pas une voiture. On disait aussi que c’étaient des gens spéciaux et qu’ils ne faisaient rien comme les autres. Et puis, c’étaient des mulâtres. En ce temps-là, en Guadeloupe, on ne se mélangeait pas. Les nègres marchaient avec les nègres. Les mulâtres avec les mulâtres. Les blancs-pays restaient dans leur sphère et le Bon Dieu était content dans son ciel. Heureusement, les enfants ne s’occupaient pas tellement de ces affaires de grandes personnes. Nous vivions en bon voisinage avec les Driscoll de notre âge, tout mulâtres qu’ils étaient, et Gilbert aurait pu être mon premier amoureux.
C’était un petit garçon pas très costaud, bouclé comme un gamin arabe, avec un maintien timide qui tranchait sur celui de ses batailleurs de frères.
Je n’avais jamais entendu le son de sa voix et je l’imaginais flottant légère comme la flûte des mornes. Nous nous étions découverts au catéchisme, à l’occasion d’une retraite pascale, parmi une soixantaine d’autres enfants. Depuis, nous nous signifiions nos sentiments en passant des heures entières à nous fixer avec des regards d’adoration de nos balcons. Le jeudi matin, nous n’attirions pas l’attention car nos familles se bousculaient sur les balcons. Bonne-maman Driscoll allongeait ses vieux os dans un pliant ou bien berçait le dernier-né. Mes sœurs piquaient l’aiguille dans des services de table. Les garçons Driscoll apprenaient leurs leçons. Mais l’après-midi, il devenait difficile de s’attarder parmi les plantes en pots. Tout le monde rentrait à l’intérieur des maisons pour la sieste et baissait les persiennes. Le petit marché du coin de la rue se mettait debout. Les lolos fermaient boutique et il ne restait plus à traîner dans la rue qu’un fou surnommé Banjo à cause de son bas-ventre ballonné par une hernie. Ma mère, en chemise de coton, reposant déjà sous sa moustiquaire, s’impatientait :
--- Viens donc ! Qu’est-ce que tu fais au soleil comme un linge à blanchir ?
Je ne bougeais pas. Gilbert, lui, chaussait des lunettes noires, se couvrait le chef d’un vieux bacoua ou s’abritait sous un parasol. Moi, je n’osais pas, de peur d’éveiller des soupçons et, stoïque, je continuais à suer à grosses gouttes et à recevoir des coups de marteau sur la tête. Après des mois à risquer ainsi l’insolation, Gilbert s’enhardit. Moins méfiant que moi qui ne m’étais ouverte à personne, il mit dans la confidence Julius, l’un des frères d’Yvelise, son meilleur camarade de classe. Récemment, j’avais pas mal trituré le kiki de Julius, m’émerveillant de le voir se rigidifier entre mes doigts. Mais nous n’avions jamais prétendu à un attachement du cœur. C’était amusement, initiation des corps. Déjouant toutes les surveillances, une fin d’après-midi, Julius vint me glisser une enveloppe. Elle contenait une photo qui m’étonna. Au premier abord, on pensait que c’était celle d’un chien. Un berger allemand, assis sur son arrière-train, énorme, gueule ouverte, langue pendante. Ensuite, on distinguait dans le coin gauche Gilbert, torse nu, si petit qu’on aurait dit un cornac à côté de son éléphant. La photo avait dû être prise deux ou trois ans auparavant, et il ne devait guère avoir plus de six ans. Les cheveux dans les yeux, il souriait d’un sourire édenté. Au verso de la photo, étaient inscrits les mots magiques : « Je t’aime. » J’enfouis mon trésor dans un petit panier caraïbe qui contenait mes affaires de messe, seul endroit que ma mère n’inspectait pas régulièrement. Puis je me torturai l’esprit, cherchant ce que je pouvais donner en échange. Dans ma famille, on n’appréciait que les photos de groupe : les huit enfants entre papa et maman. Ou bien mes frères avec mon père. Ou bien mes sœurs et moi entourant ma mère. Il n’y avait aucun instantané de moi seule. Même avec un chien. Alors, offrir un mouchoir que j’aurais brodé ? Un coquillage que j’aurais peint ? Une ceinture en carata que j’aurais tressée ? Je ne savais rien faire de mes dix doigts. Je collectionnais les zéros en travaux manuels. Je finis par me décider pour un nœud en écaille de tortue grâce auquel ma mère agrémentait mes coiffures.
Après cela, son amour ayant été officiellement déclaré et agréé, Gilbert me fit parvenir une lettre par le même messager. Au premier coup d’œil, rien à redire. Elle était rédigée sur un fort joli papier bleu. Pas de pâtés d’encre. Les jambages en étaient fermes. S’ils avaient figuré sur un cahier d’exercices, la maîtresse la plus sévère aurait apprécié : « Excellente écriture. » Je me mis à la lecture. Mon cœur battait à grands coups. Pourtant, dès les premières lignes, il s’arrêta : « Maryse adorée, pour moi, tu es la plus belle avec tes yeux bleus. »
Je crus avoir mal lu. Yeux bleus ? Moi ? Je courus jusqu’au cabinet de toilette et me regardai dans la glace. Pas de doute possible : mes yeux étaient marron foncé. Presque noirs. Pas même kako. Je revins dans ma chambre et m’assis sur mon lit. J’étais déconcertée. C’était comme si j’avais lu une lettre adressée à une autre personne. Tout au long du dîner, je fus si morose et silencieuse, contrairement à mes habitudes, que tout le monde s’inquiéta :
--- Mon Dieu, est-ce que cette enfant-là ne fait pas un accès de fièvre ?
Je remontai dans ma chambre et relus ma lettre. Les termes n’avaient pas changé : « Maryse adorée, pour moi, tu es la plus belle avec tes yeux bleus. »
Par exception, je ne voulus pas me confier à Sandrino qui, je le savais, s’esclafferait et me servirait une de ces explications alambiquées dont il avait le secret. Que s’était-il passé ? Gilbert m’avait-il mal vue ? Est-ce qu’il avait voulu se moquer de moi ? Est-ce qu’il s’agissait d’un méchant jeu ? Ma colère monta, finit par déborder. Quand Julius se présenta pour la réponse, je lui remis un mot emphatique trouvé dans le Delly favori d’une de mes sœurs : « Gilbert, tout est fini entre nous. »
Je ne me rendis nullement compte que je commettais l’erreur qui avait été fatale à Gilbert : je copiais. Je copiais de mauvaises lectures. Pour s’aventurer sur le terrain inconnu de la correspondance amoureuse, il avait sans doute cherché des guides. Hélas ! Nos guides étaient des romans français de quatre sous. Les jours suivants, de peur de l’apercevoir, je ne me montrai point au balcon et restai terrée à l’intérieur. Il ne renonça pas tout de suite. Je me heurtai à lui un après-midi, sur le trottoir devant chez Yvelise. Il était flanqué de son alter ego pour se donner du cœur. Je ne l’avais jamais approché d’aussi près. Il s’était peigné, aspergé d’eau de Cologne Jean-Marie Farina. Je m’aperçus qu’il avait de grands yeux gris mélancoliques. Il murmura d’une voix mourante :
--- Qu’est-ce que je t’ai fait ?
Mais sa voix n’était pas celle que j’attendais. Qui aurait convenu à son corps gracile. C’était une grosse voix. Presque une voix d’adulte. Le souvenir allait m’en hanter. Je ne trouvai rien à répondre. Je me précipitai chez Yvelise et je fondis en larmes sur son épaule en racontant le triste épisode.

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Paradis perdu
Quand j’eus neuf ou dix ans, ma mère me mit chez les « jeannettes », une branche de girl-scouts. Elle estimait à juste titre que je ne prenais pas assez d’exercice. Molle. Dernière en gymnastique. À vrai dire, je ne faisais guère que traîner mon corps quatre fois par jour de la maison au lycée Michelet et, au serein, m’asseoir sur un banc de la place de la Victoire à côté d’Yvelise à manger cornet sur cornet de pistaches grillées. En dehors de cela, je passais le plus clair du temps dans ma chambre, persiennes baissées, entortillée dans mes draps, des fois à lire, plus souvent à rêvasser. À mettre au point les histoires invraisemblables avec lesquelles je remplissais la tête de ceux qui avaient la patience de m’écouter. J’avais créé de véritables feuilletons dont les personnages revenaient régulièrement, toujours aux prises avec des aventures extraordinaires. Je soutenais, par exemple, que je rencontrais chaque jour un homme et une femme, M. Guiab et Mme Guiablesse. Tout de noir vêtus, ils tenaient à la main une « lanterne des magies pour deux noix » et, le front éclairé par leurs bougies, ils me racontaient les détails de leurs sept vies. D’abord bœufs au piquet dans une savane, puis pigeons ramiers volant dans la verdure, puis… que sais-je encore ! Ma mythomanie inquiétait beaucoup ma mère. Mains jointes sur mon livre de prières, elle me forçait d’en demander pardon à mon ange gardien et de jurer de ne plus m’écarter de la vérité vraie, ce que je faisais avec contrition, du fond du cœur. Si je ne tenais pas ma promesse, c’est que je n’éprouvais de bonheur qu’au plus fort de ces divagations. À mon jeune âge, ma vie me pesait. Elle était trop bien réglée. Sans fioritures ni fantaisie. Je l’ai déjà dit, nous n’avions ni parents ni alliés. Nous ne recevions personne. Les visites des amies de ma mère ne coupaient pas la monotonie de l’existence. C’étaient toujours les mêmes, poudrées, chapeautées, bijoutées : Mme Boricot, Mme Revert, Mme Asdrubal. Rares celles qui trouvaient grâce à ses yeux. Celle-là riait trop fort. Celle-là racontait des blagues grivoises devant les enfants. Celle-là aimait trop les douteux calembours. Jamais de fêtes de famille, de banquets, de ripailles sans fin, de veillées. Jamais de bals, de danse, de musique. En outre, au fond de moi-même, j’éprouvais déjà ce sentiment d’à-quoi-bon qui m’a rarement quittée et que, par la suite, j’ai essayé de dissimuler sous une frénésie d’activité.
Je n’étais bien que lorsque j’inventais des univers à ma fantaisie.
Ma mère n’a pas atteint son but. Je me mis à haïr les jeannettes. D’abord, l’uniforme : gros bleu, malséant, une cravate, un béret basque. Ensuite, les sorties hebdomadaires. Chaque jeudi après le déjeuner, Adélia plaçait dans un petit panier une gourde pleine de limonade à l’anis, un pain natté, une tablette de chocolat et des tranches de gâteau marbré. Avec une vingtaine de fillettes sous la conduite d’un quatuor de cheftaines, je prenais le chemin du morne de l’Hôpital. Pour nous y rendre, nous suions en rang, deux par deux, une bonne demi-heure sous le chaud soleil. Arrivées là, nous ne pouvions même pas prendre un peu de fraîcheur et nous allonger à l’ombre des pieds de tamarins des Indes. Il fallait tout de suite courir, sauter, découvrir des signes de piste, chanter à tue-tête. Si je n’appréciais pas les autres jeannettes qui me le rendaient bien, j’adorais les cheftaines. Surtout l’une entre elles : cheftaine Nisida Léro qui cachait des trésors d’affection dans sa poitrine de jeune fille de très bonne famille, malheureusement montée en graine. J’ignore ce qu’elle est devenue et lui souhaite tout le bonheur du monde avec la tralée d’enfants qu’elle désirait à l’époque. J’étais son chouchou. Elle m’asseyait sur ses genoux et me dorlotait. Ma mémoire garde l’image d’une mulâtresse très brune, une ombre de moustache, un nez aquilin. Je prenais plaisir à coiffer son opulent chignon toujours à deux doigts de crouler sur ses épaules. On ne m’enlèvera pas de la tête qu’elle avait aussi peu de goût que moi pour la gymnastique, les sauts en hauteur, les sauts en longueur, tous ces exercices à mettre le corps en nage qu’elle nous faisait pratiquer avec tellement d’enthousiasme. Simplement, elle croyait avoir découvert la bonne manière de meubler sa vie en attendant un mari.
Des fois, aux vacances, nous allions camper. Oh, pas bien loin ! Jamais au-delà des environs de Petit-Bourg. À Bergette, Juston, Carrère, Montebello. Au camp, impossible de rêvasser, une fois réveillées et habillées, il nous était défendu de revenir sous les tentes. Mouvement perpétuel. Nous étions constamment de corvée. De ménage : le balai à la main. De vaisselle : des piles de gamelles et de quarts à laver. De cuisine : des montagnes de racines à éplucher. De ramassage de bois : les mamzel-Marie nous zébraient les mollets dans les savanes. Le soir, la fumée des feux, autour desquels nous étions assises en rond pour débiter des contes insipides, nous piquait les yeux et la gorge. Une fois qu’ils étaient éteints, les moustiques nous dévoraient. Chaque soir, je m’endormais dans les pleurs. En ce temps-là, à la Guadeloupe, il n’y avait pas de téléphone. Je ne pouvais pas appeler ma mère pour lui confier mes misères et la supplier de venir me chercher. À l’issue de ces séjours interminables (combien de temps duraient-ils ?), je retrouvais les miens amaigrie, hagarde et, de longtemps, je refusais de quitter le giron de ma mère.
--- Laisse-moi tranquille, tu m’étouffes, protestait-elle quand je la mangeais de baisers.
Mon pire souvenir demeure un séjour à Barbotteau, dans les hauteurs de la Lézarde. J’ai l’impression qu’un ciel d’encre n’arrêta pas un seul jour de crever en eau. Incapables de dresser nos tentes sur l’herbe détrempée, nous occupions un bâtiment sans confort, humide, délabré. Une école ? Enfermées à l’intérieur, nous jouions à ti point, ti croix. Nous buvions des té peyi en chantant des chansons absurdes :
Il ne fera plus kokodi kokoda.
Après ce temps d’enfer vint enfin le moment du retour, parsemé de signes funestes, qu’aveugle, je ne sus pas déchiffrer. L’auto-char de location s’embourba au sortir de la Lézarde. Il fallut descendre la pousser sous des trombes de pluie. À la hauteur d’Arnouville, elle écrasa en purée sanguinolente un coq gimb qui traversait le goudron luisant en battant des ailes. Exceptionnellement, le pont de la Gabarre était ouvert et nous restâmes des temps et des temps à l’arrêt sur le bas-côté de la route. Bref, quand nous arrivâmes à La Pointe, il faisait presque nuit. Le point de ralliement était toujours le même : devant la maison de cheftaine Nisida. Elle était située dans un quartier plus résidentiel que le nôtre, de l’autre côté de la place de la Victoire qui faisait quelque peu fonction de 5e Avenue. C’était là que servante ou maman, selon le rang de la famille, reprenait possession de sa jeannette. Certaines fillettes retournaient au bercail bombant le torse, toutes faraudes, et on pouvait imaginer leurs récits romancés. Je rentrais toujours la tête basse et moi, si bavarde, je n’avais rien à dire.
Ce soir-là, j’attendis sur le trottoir pendant plus d’une heure : personne ne vint me chercher. Aussi, cheftaine Nisida me prit par la main et, accompagnées de ses frères, nous nous rendîmes rue Alexandre-Isaac.
En passant devant la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, massive dans la noirceur, sombre présage, un nuage de chauves-souris s’envola des niches des saints et nous enveloppa. Piquetée des quinquets des marchandes, la place de la Victoire était livrée à ceux qui cachent leurs agissements dans l’ombre. J’avançais, mon cœur battant un rythme de deuil. Mon intuition me soufflait que ma souffrance ne faisait que commencer. Nous arrivâmes à l’angle de la rue Condé.
La maison de mes parents était plongée dans l’obscurité. De haut en bas, elle était hermétiquement close. Grosses portes tirées, bouclées à double tour. Une voisine, Mme Linsseuil, toujours makrel, nous informa de son balcon que mes parents s’étaient rendus dans notre maison de changement d’air à Sarcelles. Quand devaient-ils rentrer ? Elle n’en savait rien. En entendant cela, je poussai un hurlement si terrible que d’autres voisins sortirent sur les balcons, me reconnurent, commentèrent que j’étais bien grande pour faire une scène pareille. Il est vrai qu’avec l’éducation que je recevais ! Mes parents se préparaient un bel avenir en m’élevant ainsi. Cheftaine Nisida n’accorda aucun crédit à ces malparlants et, à force de baisers, parvint à me calmer. Nous retournâmes chez elle. Je marchais comme une zombie, comprenant que ce soir-là encore, j’allais m’endormir sans ma mère.
Deux bonnes voletaient autour de la table, et de la famille Léro qui s’apprêtait à dîner. Une famille très bourgeoise, rieuse pourtant. Le père, un vieux mulâtre assez desséché, mais blagueur. La mère, pareille à sa fille, l’embonpoint en plus. Les fils chahuteurs. La bonne-maman, une mantille sur ses cheveux de neige. Tante Cécé aux façons un peu ma-sœur. Deux cousins bitako. Une cousine. On me fit place à côté de cheftaine Nisida et tout le monde rivalisa d’attentions. Si mes parents n’étaient pas rentrés le lendemain matin, me promit M. Léro, son chauffeur m’emmènerait à Sarcelles. Ce soir, je dormirais dans sa chambre, me sourit cheftaine Nisida. Quels jolis zanno je portais aux oreilles, me câlina Mme Léro. Je n’entendais rien. Par égards pour tant de gentillesse, je m’efforçais de retenir mes gémissements et le flot de mes larmes. Mais j’avais la gorge serrée, je ne pouvais rien avaler. Rien de rien. Mon assiette demeurait pleine. Je ne touchai à aucun plat. Ni au vivanot grillé. Ni aux christophines au gratin. Ni à la salade de pourpiers. Pour finir, une servante posa devant moi un ramequin rempli de crème au chocolat.
J’adorais la crème au chocolat.
Malgré ma peine, mes yeux séchèrent instantanément. J’hésitai, infiniment honteuse de céder à la gourmandise en un moment pareil. Enfin, je me décidai. J’allais comme à regret me saisir de ma cuiller quand, rapide, l’autre servant m’enleva la crème et la rapporta dans les profondeurs de la cuisine. Je restai mofwase.
Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image de ce ramequin bleu liséré d’or empli d’un délice onctueux auquel je n’ai pas pu goûter passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ?

Johannesbourg

La plus belle femme du monde
À la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, notre banc portait le numéro 32 de l’allée centrale. Toute petite, j’aurais pu me diriger les yeux fermés vers ce refuge, passer le bedeau qui m’effrayait fort quand il frappait le sol de sa hallebarde, me laisser guider par le flot de la musique de l’orgue et les odeurs des lys et des tubéreuses entassés sur le maître-autel. Le banc était étroit. Le bois en était brillant comme frotté à la cire. Le dossier, très haut. Il aurait fallu que je me mette à genoux sur la banquette, ce qui m’était défendu, si j’avais voulu apercevoir ce qui se passait derrière.
Mon père qui avait flirté avec la franc-maçonnerie ne nous accompagnait jamais à la cathédrale. Il restait à la maison en bras de chemise et en profitait pour recevoir ses amis, mécréants comme lui, soupirait ma mère. Avec eux, il fumait des cigares et, une fois n’est pas coutume, prenait un sec ou deux. De notre maison à la cathédrale, il n’y avait guère que quelques minutes de marche en ligne droite. Il suffisait de traverser la place de la Victoire. Mais ma mère s’arrêtait tous les dix pas pour donner le bonjour, faire la conversation avec une connaissance et nous devions l’attendre. De toute façon, je ne pouvais pas m’éloigner, gambader, m’égailler de droite et de gauche, car elle emprisonnait ma main dans la sienne. Sandrino venait toujours en queue de peloton, faisant une tête d’enterrement, lui qui se prétendait athée. Nous gravissions de concert les marches du parvis, entrions deux par deux à l’intérieur de l’église, ma mère et moi ouvrant la marche. Arrivés à la hauteur de notre banc, nous nous signions, et, comme un singe savant, je m’efforçais d’imiter le geste ample de ma mère. Puis, nous nous agenouillions sur l’arête coupante du prie-Dieu. Nous gardions la tête entre les mains pendant quelques minutes, toujours à l’imitation de ma mère. Après quoi, nous nous asseyions. Dans la cathédrale aussi claire qu’une verrière, le silence était entrecoupé de toux retenues et de pleurs d’enfants. Enfin, l’orgue donnait de la voix et le prêtre faisait son apparition, entouré d’un aréopage d’enfants de chœur en robe rouge, balançant l’encensoir à toute volée. Je crois que, l’une après l’autre, mes grands frères avaient été enfants de chœur, à l’exception de Sandrino qui s’y était farouchement refusé. Dieu, l’Église étaient les seuls sujets de divergence de mes parents. Pourtant, ils ne se disputaient pas là-dessus. Mon père trouvait naturel qu’une femme de bien ait de la religion et ma mère, inévitable qu’un homme n’en ait pas.
Malgré une excessive coquetterie qui me faisait adorer la parure, je n’aimais pas aller à l’église. Il fallait porter un chapeau qui tirait les cheveux, des chaussures vernies qui serraient les orteils, des mi-bas de coton qui tenaient chaud et, surtout, se taire pendant plus d’une heure, ce qui m’était une torture puisque j’avais tout le temps une histoire à raconter. Souvent, dans mon inconfort, je fermais les yeux et parvenais à piquer du nez après l’évangile. Mais cela déplaisait à ma mère qui me secouait le bras comme une branche de surettier. Elle, qui me passait tout à en croire mes sœurs, manifestait la plus grande sévérité en ce qui concernait la tenue à la messe. Elle était déterminée à ce que je demeure éveillée jusqu’à la phrase libératrice de l’Ite missa est. Pour ne pas prendre sommeil, je chantonnais une rengaine dans ma tête. Hélas, je m’oubliais parfois. Elle descendait alors dans ma bouche et je recevais une tape sans douceur. Je détaillais pour la énième fois les statues de plâtre au fond de leurs niches : saint Antoine de Padoue avec sa calvitie. L’Enfant Jésus assis à cheval sur son livre de prières. Sainte Thérèse de Lisieux les yeux levés vers le ciel sous sa couronne de boutons de rose. Saint Michel Archange portant des sandales --- quelle imprudence ! --- pour piétiner un serpent. Je tournais le regard vers les vitraux illuminés par le soleil. Rien de nouveau de ce côté-là non plus. Du jaune, du rouge, du bleu. J’essayais de repérer les amis de mes parents dans la marée des visages. Quelques-uns étaient là pareillement solennels et endimanchés. Le docteur Mélas qui venait de me soigner d’une otite. M. Vitalise qui enfermait des crapauds dans les bocaux de sa pharmacie. Au fur et à mesure que je grandissais, je ne pouvais m’empêcher de remarquer combien elles étaient rares, les figures noires ou simplement colorées dans la nef centrale de la cathédrale sous la carène renversée de la voûte. Elles tranchaient comme si elles étaient tombées dans le bol de lait de la comptine que nous chantions sans y voir aucune ironie :
Une négresse qui buvait du lait
Ah, se dit-elle, si je le pouvais
Tremper ma figure dans un bol de lait
Bonjour Madame. On va prendre deux forfaits Navigo Semaine, s'il vous plaît.
Je deviendrais plus blanche
Que tous les Français
Ais-ais-ais !
Des blancs-pays partout. Des blancs-pays dans le banc devant nous, dans le banc derrière nous. Sortis des quatre coins de La Pointe. Des hommes, des femmes, des enfants. Des vieux, des jeunes, des bébés dans les bras. On n’en voyait jamais autant qu’à la grand-messe. À croire que la cathédrale était leur bien. Que le Bon Dieu était leur proche parent.
Je n’éprouvais aucun sentiment d’agressivité vis-à-vis des blancs-pays, malgré l’épisode avec Anne-Marie de Surville, à cette époque commodément enfoui dans ma mémoire. On l’a vu, mes parents ne m’en parlaient pas plus qu’ils ne me racontaient des histoires de zombies ou de soukougnans. Mes camarades blanches, une fois quitté l’école, je n’aurais jamais eu à l’idée de les fréquenter. Si nos chemins se croisaient, nos regards savaient ne pas se croiser. Un dimanche, je ne sais pourquoi, je me mis à considérer les blancs-pays à l’entour avec curiosité.
Je savais que le créole les baptisait « zorey ». Et c’est vrai que les hommes et les garçonnets exhibaient des lobes rouges, puissants, décollés. Les femmes s’efforçaient de les dissimuler sous les volutes de leurs rubans. Malgré cela, elles pointaient, comiques ou menaçantes, à droite à gauche de leurs couvre-chefs. Mon regard monta, descendit, parcourut les rangées de figures marquées d’un même sceau de pâleur jaunâtre, buta sur le promontoire impérieux des nez, rôda autour des lèvres dessinées avec le fil d’un rasoir. Et c’est alors que, à la faveur de mon exploration un peu moqueuse, je tombai sur une femme, très jeune, une toque de paille noire plantée sur ses cheveux fauves, le front à moitié recouvert par une voilette, les joues veloutées, la bouche en bouton de rose. Elle portait un tailleur de lin beige dont le revers était piqué d’un camée. Je n’avais jamais rien vu d’aussi parfait. Du restant de la messe, je ne pus m’arrêter de l’observer. À un moment, ses yeux rencontrèrent les miens et, à ma vive douleur, ils se détournèrent aussitôt, ne contenant qu’indifférence. Elle ne m’avait pas remarquée. Après l’Ite missa est, elle se leva de son banc, s’agenouilla pieusement, se signa et prit le bras d’un homme. Le dimanche suivant, de mon poste d’observation, je la vis arriver entourée des siens, toujours au bras de son mari très jeune lui aussi, moustachu, la mine assez ordinaire, indigne en tous points de posséder un pareil trésor. Cette fois, elle était de dentelle blanche vêtue, sa toque remplacée par une capeline à larges bords, son camée par un collier chou de grosseur respectable. Avec ce qui me semblait une grâce inimitable, elle prit place dans la rangée 29. Tel un détective, je notai le numéro. La curiosité me dévorait. Une fois à la maison, je demandai à ma mère qui était cette famille de blancs-pays de la rangée 29, non loin de la nôtre. Je le savais, ma mère et ses bonnes amies étaient des généalogistes de première. Elles maîtrisaient de mémoire le tableau des parentés, des mariages, des alliances, des séparations. Une grande partie de leurs entretiens consistait à le mettre à jour tant et si bien qu’elles auraient pu conseiller des notaires peinant sur des problèmes de successions et de partages de biens. Elle connut sa réponse sur le bout des doigts :
--- Ce sont les Linsseuil. Bonne affaire, ils viennent de marier Amélie au fils du propriétaire de l’usine Grosse Montagne.
Elle allait pour passer à autre chose quand, à la réflexion, ma question l’étonna. Elle vira de bord sur moi. Qu’est-ce que j’avais à faire avec ces gens-là ?
--- C’est, répondis-je avec emportement, tout à ma passion, parce que je trouve Amélie la plus belle personne que j’aie jamais vue.
Et j’ajoutai sans prendre garde à sa mine :
--- C’est mon idéal de beauté !
Silence de mort. Elle resta sans voix. Elle fit quérir mon père qui rigolait au salon, convoquer mes frères et sœurs qui devisaient tranquillement à la fenêtre de leur chambre. Elle exposa mon crime : comment mon idéal de beauté pouvait-il être une femme blanche ? N’existait-il pas des personnes de ma couleur qui méritaient cette distinction ? Passe encore si j’avais choisi une mulâtresse, une capresse, une koolie même ! Mon père, qui savait qu’il ne faisait pas bon contredire ma mère, pour une fois prit ma défense. N’était-ce pas beaucoup de bruit pour rien ? J’étais bien jeune. Ma mère n’accepta pas ces circonstances atténuantes. J’avais déjà du jugement. Je savais ce que je faisais. S’ensuivit un discours bien senti dont les thèmes préfiguraient ceux de Black is beautiful. Mes joues étaient incendiées. J’éprouvais d’autant plus de honte que Sandrino, mon allié de chaque instant, avait l’air d’approuver. Je me retirai dans ma chambre. D’une certaine façon, je devinais que ma mère avait raison. En même temps, je n’étais pas coupable. Je n’avais pas admiré Amélie parce qu’elle était blanche. Oui, mais sa peau rosée, ses yeux clairs et ses cheveux moussants étaient parties intégrantes de cet ensemble que j’admirais tant. Tout cela dépassait mon entendement.
Le dimanche suivant, du coin de l’œil, je vis Amélie s’agenouiller et se signer à l’entrée de son banc. Je ne tournai pas la tête dans sa direction.
J’avais compris que sa beauté m’était interdite.
s'engager

Je suis dans la voiture.
Je suis en Amérique.
Je suis dans le salon.
Les jouets sont dans la boîte.
Le paquet arrivera dans deux jours.
Je peux lire le livre en deux heures.
Je pars dans dix minutes.
Il est dans la maison.
valdôtain
À partir de mes propres expériences de vie dans des régions profondément religieuses des États-Unis, je n’ai jamais vu la religion présentée avec un fossé aussi important entre les sexes que dans ce chapitre. Alors, qu’est-ce qui sous-tend cette « distinction » ?
Sa mère a-t-elle choisi de fréquenter une église plus riche (et donc plus blanche, peut-être comme un symbole de leur mobilité sociale), ou est-ce simplement parce que les Blancs contrôlent les églises dans leur ensemble ?

Chemin d’école
Je devais avoir treize ans. Encore un séjour en « métropole ». Le troisième ou le quatrième depuis la fin de la guerre. J’étais de moins en moins persuadée que Paris est la capitale de l’univers. En dépit de l’existence réglée comme papier à musique que j’y menais, La Pointe, ouverte sur le bleu de la darse et du ciel, me manquait. Je regrettais Yvelise, mes camarades de lycée et nos déambulations sous les sabliers de la place de la Victoire, seule distraction qui nous soit permise jusqu’à six heures du soir. Car, alors, la noirceur s’installe et, d’après mes parents, tout pouvait arriver. Sortis d’au-delà le canal Vatable, des nègres au sexe vorace pouvaient s’approcher des vierges de bonne famille et les dérespecter avec des paroles et des gestes obscènes. À Paris je regrettais aussi les lettres d’amour que, malgré toutes les barrières dressées autour de moi, les garçons parvenaient à me glisser.
Paris, pour moi, était une ville sans soleil, un enfermement de pierres arides, un chevêtrement de métro et d’autobus où les gens commentaient sans se gêner sur ma personne :
--- Elle est mignonne, la petite négresse !
Ce n’était pas le mot « négresse » qui me brûlait. En ce temps-là, il était usuel. C’était le ton. Surprise. J’étais une surprise. L’exception d’une race que les Blancs s’obstinaient à croire repoussante et barbare.

Cette année-là, mes frères et sœurs étant entrés à l’université, je jouais les filles uniques, rôle qui me pesait fort, car il impliquait un surcroît d’attentions maternelles. J’étais élève au lycée Fénelon, à deux pas de la rue Dauphine où mes parents avaient loué un appartement. Dans ce bahut prestigieux, mais austère, je m’étais, comme à l’accoutumée, mis à dos tous les professeurs par mes insolences. Par contre, et pour la même raison, j’avais gagné le statut de meneuse et je m’étais fait pas mal d’amies. Nous traînions en bande dans un quadrilatère délimité par le boulevard Saint-Germain, le boulevard Saint-Michel, les eaux mortes de la Seine et les boutiques d’art de la rue Bonaparte. Nous nous arrêtions devant le Tabou où flottait encore le souvenir de Juliette Gréco. Nous feuilletions des bouquins à la Hune. Nous lorgnions Richard Wright, massif comme un bonze à la terrasse du café de Tournon. Nous n’avions rien lu de lui. Mais Sandrino m’avait parlé de son engagement politique et de ses romans, Black Boy, Native Son et Fishbelly. L’année scolaire finit par finir et la date du retour à la Guadeloupe par approcher. Ma mère avait acheté tout ce qui pouvait être acheté. Aussi, mon père remplissait méthodiquement de grandes cantines en fer peinturées en vert. Au lycée Fénelon, le chahut, la paresse étaient des pratiques inconnues. Pourtant, les programmes ayant été bouclés, on sentait dans les classes comme un parfum de légèreté, voire de gaieté. Un jour, le professeur de français eut une idée :
--- Maryse, faites-nous un exposé sur un livre de votre pays.
Mlle Lemarchand était le seul professeur avec lequel je m’étais assez bien entendue. Plus d’une fois, elle m’avait donné à comprendre que ses cours sur les philosophes du XVIIIe siècle m’étaient destinés tout spécialement. C’était une communiste dont nous nous étions passé de main en main la photo en première page de L’Huma. Nous ne savions pas exactement ce que recouvrait l’idéologie communiste, entendue tout partout. Mais nous la devinons en complète contradiction avec les valeurs bourgeoises que le lycée Fénelon incarnait à nos yeux. Pour nous, le communisme et son quotidien L’Huma sentaient le soufre. Je pense que Mlle Lemarchand s’imaginait comprendre les raisons de ma mauvaise conduite et me proposait de les examiner. En m’invitant à parler de mon pays, elle ne voulait pas seulement nous distraire. Elle m’offrait l’occasion de me libérer de ce qui, d’après elle, me pesait sur le cœur. Cette proposition bien intentionnée me plongea au contraire dans un gouffre de confusion. C’était, rappelons-le, le tout début des années 50. La littérature des Antilles ne fleurissait pas encore. Patrick Chamoiseau dormait informé au fond du ventre de sa maman, et moi-même, je n’avais entendu prononcer le nom d’Aimé Césaire. De quel auteur de mon pays pouvais-je parler ? Je courus vers mon recours habituel : Sandrino.
Il avait bien changé, Sandrino. Sans qu’on le sache, la tumeur qui allait l’emporter le rongeait malignement. Toutes ses maîtresses l’avaient abandonnée. Il vivait dans une solitude extrême au neuvième étage sans ascenseur d’un minable garni de la rue de l’Ancienne-Comédie. Car, dans l’espoir de le ramener vers les amphithéâtres de la faculté de droit, mon père lui avait coupé les vivre. Il subsistait fort mal de l’argent que ma mère lui adressait en cachette, amaigri, essoufflé, sans forces, tapant avec trois doigts sur une machine à écrire poussive des manuscrits qu’invariablement les éditeurs lui renvoyaient avec des formules stéréotypées.
--- Il ne me disent pas la vérité, rageait-il. Ce sont mes idées qui leur font peur.
Car, bien sûr, lui aussi était communiste. Une photo de Joseph Staline en grande moustache ornait sa cloison. Il s’était même rendu à un Festival mondial de la jeunesse communiste à Moscou et en était revenu éperdu d’admiration pour les dômes du Kremlin, la place Rouge et le mausolée de Lénine. Comme par le passé, il ne me laissait pas lire ses romans et je m’efforçais sans succès d’en déchiffrer les titres tracés au verso de chemises écornées. Pour moi, il tâchait malgré tout de retrouver son sourire de lumière et reprenait ses manières rassurantes de grand frère. Nous fouillâmes dans ses livres empilés en désordre sur les meubles et dans la poussière du plancher. Gouverneur de la rosée de Jacques Roumain. Il s’agissait d’Haïti. Il me faudrait exposer le vaudou et parler d’un lot de choses que je ne connaissais pas. Bon Dieu rit d’Edris Saint-Amant, un de ses derniers amis, haïtien aussi. Nous allions désespérer quand Sandrino tomba sur un trésor. La Rue Cases-Nègres de Joseph Zobel. C’était la Martinique. Mais la Martinique est l’île sœur de la Guadelope. J’emportai La Rue Cases-Nègres et m’enfermai avec José Hassan.
Ceux qui n’ont pas lu La Rue Cases-Nègres ont peut-être vu le film qu’Euzhan Palcy en a tiré. C’est l’histoire d’un de ces « petits-nègres » que mes parents redoutaient tellement, qui grandit sur une plantation de canne à sucre dans les affres de la faim et des privations. Tandis que sa maman se loue chez des békés de la ville, il est élevé à force de sacrifices par sa grand-mère Man Tine, ammareuse en robe matelassée par les rapiéçages. Sa seule porte de sortie est l’instruction. Heureusement, il est intelligent. Il travaille bien à l’école et se prépare à devenir petit-bourgeois au moment précis où sa grand-mère meurt. Je pleurai à chaudes larmes en lisant les dernières pages du roman, les plus belles à mon avis que Zobel ait jamais écrites.
« C’étaient ses mains qui m’apparaissaient sur la blancheur du drap. Ses mains noires, gonflées, durcies, craquelées à chaque repli, et chaque craquelure incrustée d’une boue indélébile. Des doigts encroûtés, déviés en tous sens ; aux bouts usés et renforcés par des ongles plus épais, plus durs et informes que des sabots… »
Pour moi, toute cette histoire était parfaitement exotique, surréaliste. D’un seul coup tombait sur mes épaules le poids de l’esclavage, de la Traite, de l’oppression coloniale, de l’exploitation de l’homme par l’homme, des préjugés de couleur dont personne, à part quelquefois Sandrino, ne me parlait jamais. Je savais bien sûr que les Blancs ne fréquentaient pas les Noirs. Cependant, j’attribuais cela, comme mes parents, à leur bêtise et à leur aveuglement insondables. Ainsi, Élodie, ma grand-mère maternelle, était apparentée à des blancs-pays qui assis à deux bancs d’église du nôtre ne tournaient jamais la tête vers nous. Dommage pour eux ! Car ils se privaient du bonheur de posséder une relation comme ma mère, la réussite de sa génération. Je ne pouvais en aucune manière appréhender l’univers funeste de la plantation. Les seuls moments où j’aurais pu rencontrer le monde rural se limitaient aux vacances scolaires que nous passions à Sarcelles. Mes parents possédaient dans ce coin alors tranquille de la Basse-Terre une maison de changement d’air et une assez belle propriété que coupait par le mitan la rivière qui donnait son nom à l’endroit. Là, pour quelques semaines, tout le monde, excepté ma mère, toujours sur son quant-à-soi, cheveux soigneusement décrêpés sous sa résille et collier grenn’d’ô autour du cou, jouait aux bitako. Comme il n’y avait pas d’eau courante, on se bouchonnait avec des feuilles, tout nu près de la citerne. On faisait ses besoins dans un toma. Le soir, on s’éclairait à la lampe à pétrole. Mon père enfilait un pantalon et une chemise de drill kaki, abritait sa tête d’un bakoua et s’armait d’un coutelas avec lequel il ne sabrait guère que les herbes de Guinée. Nous les enfants, éperdus de bonheur d’aérer nos orteils et de pouvoir salir ou déchirer nos vieux vêtements, nous dévalions les savanes à la recherche d’icaques noires et de goyaves roses. Les verts champs de canne semblaient nous inviter. Parfois, intimidé par notre mine de petits citadins et notre parler français, un cultivateur nous tendait respectueusement une canne kongo dont nous déchirions l’écorce violacée à belles dents.
Pourtant, j’eus peur de faire pareil aveu. J’eus peur de révéler l’abîme qui me séparait de José. Aux yeux de ce professeur communiste, aux yeux de la classe tout entière, les vraies Antilles, c’étaient celles que j’étais coupable de ne pas connaître. Je commençai par me révolter en pensant que l’identité est comme un vêtement qu’il faut enfiler bon gré, mal gré, qu’il vous siée ou non. Puis, je cédai à la pression et enfilai la défroque qui m’était offerte.
Quelques semaines plus tard, je fis devant la classe suspendue à mes lèvres un brillant exposé. Depuis des jours, mon ventre traversé des gargouillis de la faim s’était ballonné. Mes jambes s’étaient arquées. Mon nez s’était empli de morve. La tignasse grenée de mes cheveux s’était roussie sur ma tête sous l’effet du soleil. J’étais devenue Josélita, sœur ou cousine de mon héros. C’était la première fois que je dévorais une vie. J’allais bientôt y prendre goût.
Aujourd’hui, tout me porte à croire que ce que j’ai appelé plus tard un peu pompeusement « mon engagement politique » est né de ce moment-là, de mon identification forcée au malheureux José. La lecture de Joseph Zobel, plus que des discours théoriques, m’a ouvert les yeux. Alors j’ai compris que le milieu auquel j’appartenais n’avait rien de rien à offrir et j’ai commencé de le prendre en grippe. À cause de lui, j’étais sans saveur ni parfum, un mauvais décalque des petits Français que je côtoyais.
J’étais « peau noire, masque blanc » et c’est pour moi que Frantz Fanon allait écrire.

À nous la liberté ?
Pour mes seize ans, mes parents me firent cadeau d’un vélo, un Motobécane, une jolie machine bleue avec des garde-boue d’argent et, alors, des ailes me poussèrent.
Le séjour à Dolé-les-Bains m’avait donné l’envie d’ouvrir la cage dans laquelle j’étais enfermée depuis ma naissance. Je m’étais aperçue que je ne connaissais pas mon pays. Je m’étais aperçu que je ne connaissais de La Pointe qu’un étroit quadrilatère. Comme je devenais de plus en plus rétive, mes parents comprirent qu’ils devaient me permettre de respirer un peu d’air. À soixante-dix-huit ans, mon père avait pratiquement perdu la vue. Si des fils invisibles le guidaient tant qu’il restait à l’intérieur de sa maison, une fois dehors, tout se brouillait. Il ne pouvait ni traverser les rues ni trouver son chemin. Ma mère n’ayant aucune patience avec lui, il se réfugiait à Sarcelles, seul endroit où il se sentait bien, et, pareil à un soubawou, passait les jours sans changer de vêtements ni se laver. Ma mère, quant à elle, n’était plus la même. À la suite d’une mauvaise grippe, elle était devenue presque chauve et couvrait son front de maladroits postiches d’un noir d’encre qui contrastaient avec son restant de cheveux poivre et sel. Sa piété avait atteint des extrêmes que la mort de Sandrino, moins d’un an plus tard, allait encore accentuer. Elle ne ratait ni messe d’aurore, ni grand-messe, ne messe basse, ni messe chantée, ni vêpres, ni rosaire, ni ténèbres, ni chemin de croix, ni mois de Marie. Elle faisait des neuvaines, des pénitences, des jeûnes, roulait les grains de son chapelet, de son rosaire, prenait la confession, la communion. Quand elle n’était pas occupée à ses dévotions, elle se disputait avec moi. Pour un oui, pour un non. Pour un non, pour un oui. Je ne me rappelle plus ce qui causait ces querelles constantes. Je me rappelle seulement que j’avais toujours le dernier mot. Je la lacérais avec mes coups de langue et elle finissait immanquablement par fondre en larmes en bégayant :
--- Tu es une vipère !
Hélas ! Le sentiment d’ivresse de mes dix ans avait disparu. Ces larmes étaient devenues un spectacle quotidien et banal qui, du coup, ne retenait plus mon attention. Mes premières années avaient été ensoleillées par la présence de mes frères et sœurs, secrètement en fronde contre mes parents. Mon adolescence avait la couleur d’une fin de vie. Je me retrouvais face à deux vieux corps dont je ne comprenais pas les humeurs. Dans notre maison régnait une atmosphère de veillée funèbre. Le deuxième étage avait été condamné. Portes et fenêtres clouées puisque personne n’y habitait plus. J’errais misérablement à travers une enfilade de pièces vides : la chambre de Thérèse, celle de Sandrino. Je feuilletais des livres couverts de poussière sur les étagères. J’ouvrais des penderies où traînaient encore de vieux linges. Je m’asseyais sur des lits aux sommiers défoncés. C’était comme si je rôdais dans un cimetière pour me ressouvenir de ceux que j’avais perdus. À présent, Sandrino venait d’être admis à l’hôpital de la Salpêtrière. Ma mère se persuadait que sa maladie était bénigne, mais elle en devinait l’issue. Elle n’avait pas la force de se rendre en France pour le voir et sa pensée le tuait. Thérèse, elle, se vengeait. Elle adressait de rares et courtes lettres. Elle s’était mariée à un étudiant en médecine africain, lui-même fils d’un médecin fort connu dans son pays. Pourtant, mes parents, si sensibles au prestige, n’avaient pas apprécié. D’abord, parce que depuis l’enfance ils n’appréciaient rien de ce que faisait Thérèse. Ensuite parce que l’Afrique est trop loin, de l’autre côté de la terre. Ma mère parlait d’ingratitude et d’égoïsme. Elle n’avait même pas pris la peine de disposer sur le piano les photographies d’Aminata, pourtant sa première petite-fille.
À quinze ans, je me regardais dans la glace et me trouvais laide. Laide à pleurer. Au bout d’un corps en gaule sans fin, une figure triste et fermée. Les yeux à peine fendus. Les cheveux peu fournis et mal coiffés. Les dents d’un bonheur dont je ne voyais pas l’amorce. Seule parure, une peau de velours que l’acné n’osait pas attaquer. Aucun garçon ne tournait plus la tête de mon côté, ce qui me chagrinait, car j’avais commencé d’apprécier les beaux mâles. Gilbert Driscoll s’était métamorphosé en un bellâtre coiffé à l’embusqué qui paradait ses gamines dans le quartier. Je n’avais pas plus d’amies que d’admirateurs, Yvelise ayant quitté l’école afin de travailler pour son père. Nous ne nous fréquentions plus et ma mère malparlait, affirmant qu’elle prenait des hommes et récolterait bientôt un ventre. Au lycée, où j’étais plus impertinente que jamais, professeurs et élèves avaient peur de moi. Esseulée, j’affûtais comme des flèches des épigrammes que je lançais à la volée contre tous. Comme je m’apprêtais à passer mon deuxième bac avec un an d’avance, je paraissais l’incarnation de l’intelligence couplée avec la méchanceté.
Une fois que j’eus mon Motobécane, je n’eus plus besoin de personne. Je ne m’occupai plus de ma mauvaise réputation. Je pédalais, je pédalais. Je m’aventurai bientôt en dehors de La Pointe. Je découvris les côtes basses et vaseuses du Vieux-Bourg de Morne-à-l’Eau, à moitié recouvertes par l’eau de mer, la mangrove peuplée d’échassiers tout de blanc vêtus. Je poussai dans une autre direction vers le Bas-du-Fort. Émerveillement ! Je n’avais jamais admiré les hautes falaises calcaires ciselées de lapiés littoraux et le sable d’or. En fait de plage, je ne connaissais que celle de Viard, avec son sable volcanique endeuillé comme les ongles d’un pied mal lavé. Trois ou quatre fois pendant les grandes vacances, nous y passions la journée, ma mère affublée d’un ensemble fait main par Jeanne Repentir, sa couturière, mon père portant des caleçons longs, mais dénudant impudiquement les poils blancs de son torse. Une servante louée à Petit-Bourg pour la saison réchauffait le colombo sur un feu allumé entre quatre pierres et nous pique-niquions sous les amandiers-pays. Parfois, un natif-natal rôdait dans les parages et lorgnait ce tableau familial avec curiosité. Je restais des heures n’en croyant pas mes yeux, allongée sur le sable, à grimacer sous la brûlure du soleil. Malgré mon envie, je ne plongeais pas dans ce grand bleu. Certes, Sandrino m’avait appris à nager, un peu à la manière des chiens, mais je n’avais pas de maillot de bain. Cet article vestimentaire n’apparaîtrait que fort tardivement dans ma garde-robe et j’étais trop grande pour entrer dans la mer en culotte Petit-Bateau comme autrefois. Après le Bas-du-Fort, je m’enhardis et pédalai jusqu’au Gosier. J’avais déjà connaissance de Virginia Woolf et de sa Promenade au phare. Si je n’inventais plus d’histoires, je compensais en lisant voracement tout ce qui me tombait sous la main. Aussi, je fixais l’îlet, largué dans la mer à quelques encablures de la côte. Je le transfigurais en objet littéraire, intersection du rêve et du désir. Une fois, en peinant, je me rendis jusqu’à Sainte-Anne, en ce temps-là paisible commune ignorant le tourisme. Je me laissai tomber sur le bord de mer. Assis en tailleur à côté de moi, sans s’occuper de ma mine peu commune, les pêcheurs blaguaient en ravaudant leurs filets. Les revendeuses offraient à leurs pratiques des kreyes de tanche et de grand’gueule. Des enfants noirs comme du goudron se baignaient tout nus. Je pris sommeil, la bouche ouverte, et ne rouvris les yeux qu’au serein. Autour de moi, la plage était déserte, la marée haute.
D’habitude, je m’efforçais de rentrer à La Pointe avant la nuit. C’était la première fois que je laissais la noirceur tomber sur moi en traître. J’avais peur. Peur de la route tout en courbes. Peur des formes des maisons soudain métamorphosées en guiablesses, des arbres menaçants, des bancs de nuages aux bords déchiquetés. Alors, je filai comme une folle, mes genoux touchant mon menton, aplatie sur mon guidon. Et sans que je comprenne pourquoi, ma vitesse me monta à la tête. Elle me rendit libre, de toute la liberté dont j’allais bientôt jouir. D’ici un an, je quitterais la Guadeloupe, moi qui ne m’étais jamais séparée de mes parents pour plus de deux semaines. Cette perspective m’exaltait et me terrifiait. Qu’allais-je étudier ? Je ne me sentais aucune vocation. Mes professeurs me destinaient à l’hypokhâgne, aux grandes écoles, c’est-à-dire que je retrouverais le lycée Fénelon. Cela revenait à quitter une prison pour une autre. Quand même, j’entrevoyais au-delà de la geôle qu’on me préparait des portes par lesquelles je pourrais me glisser. Quand, hors d’haleine, j’arrivai à la rue Alexandre-Isaac, ma mère me guettait du salon. Elle commença ses imprécations. Qu’est-ce que j’avais à courir comme une femme folle sous le soleil ? Est-ce que je n’étais pas assez laide et assez noire comme cela ? Je ressemblais à une Kongo. Si c’est un homme que je cherchais, je perdais ma peine.
Je passai sur elle sans la regarder et montai m’enfermer dans ma chambre. Elle continua à babier. Au bout d’un moment, essoufflée, elle se tut et à son tour monta au premier avec des difficultés infinies, car elle était de plus en plus percluse avec cette arthrose qu’elle m’a léguée. Je l’entendis cogner aux meubles, chercher sa place dans son lit qui craquait comme un canot qui prend la mer. Sous les couleurs trompeuses de la pitié, tout l’amour que je lui portais reflua vers mon cœur et manqua m’étouffer. J’entrai sans frapper dans sa chambre, ce qui était défendu. Assise dans le mitan du lit, elle était adossée à une pile d’oreillers, car elle se plaignait d’étouffements la nuit. Son livre de prières était ouvert devant elle. Elle avait ôté ses postiches et son crâne était dénudé par endroits. Elle était vieille et seule. Mon père était à Sarcelles depuis le début de la semaine. Seule et vieille. Je grimpai sur son lit comme du temps où j’étais petite, où rien ne pouvait m’en empêcher, même les plus sévères interdictions. Je la serrai dans mes bras, fort, fort, et la couvris de baisers. Brusquement, comme à un signal, nous nous mîmes à pleurer. Sur quoi ? Sur le bien-aimé Sandrino qui se mourait au loin. Sur la fin de mon enfance. Sur la fin d’une certaine forme de vie. D’un certain bonheur.
Je glissai la main entre ses seins qui avaient allaité huit enfants, à présent inutiles, flétris, et je passai toute la nuit, elle agrippée à moi, moi roulée en boule contre son flanc, dans son odeur d’âge et d’arnica, dans sa chaleur. C’est cette étreinte-là dont je veux garder le souvenir.
J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital et, de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème véritable était un « coup de chaleur d'exercice », exacerbé par l'intoxication alimentaire). Tout d'abord, ils ne croyaient pas que je disais* la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et j'ai dû demander à mes camarades de classe de me donner leurs médicaments antiémétiques (nous avons chacun reçu une petite trousse de secours avant que nous ne partions) parce que les chaperons n'avaient pas de réserves propres, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais bien pendant les quatorze heures du vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important que je me prépare à toute éventualité et que je doive faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.

*: Je sais qu'en espagnol on utiliserait l'indicatif ici car il n'y a pas de doute dans mon « esprit d'écrivain » que je disais la vérité, mais ce principe peut-il être transposé en français ?

Il y a plein de raisons de ne pas aimer la K-Pop. Les artistes interchangeables; le côté très manufacturé et sans âme de la musique; les fans insupportables; et j'en passe. La raison principale demeure toutefois musicale : la plupart du temps, la qualité n'est simplement pas au rendez-vous. Des milliers de chansons anonymes, à consommer comme des kleenex, parmi lesquelles surnagent parfois quelques pépites. La loi de Sturgeon dans ce qu'elle a de plus implacable, la musique dans ce qu'elle a de plus cynique. Heureusement, il y a f(x). Par je ne sais quel miracle, le désormais quatuor a déjoué toutes les probabilités et réussi là où tous les autres groupes du genre ont échoué : se bâtir une discographie totalement irréprochable où chaque album ne fait que confirmer son statut unique de seul groupe de K-Pop qui compte.

Ça, c'est la belle petite construction mentale que j'ai échafaudée dans mon cerveau malade pour me convaincre de ne pas trop perdre mon temps à jouer les explorateurs de la K-Pop. Dans les faits, je n'y connais pour ainsi dire rien, surtout qu'à la base j'ignore un pan entier de la production pop coréenne (les groupes masculins). Mais bon, il est plus facile de déformer un peu la réalité pour ne pas avoir à l'affronter. Dans ce cas-ci, ça ne mange pas de pain, et puis ce n'est pas comme si je n'avais fait aucun effort pour me défaire de cette certitude. J'aimerais vraiment trouver d'autres groupes de K-Pop aussi solides que f(x), capables de tenir la distance pendant plus longtemps que deux chansons. À chaque nouvelle tentative, mon état d'esprit est le même, et je fais mon possible pour laisser sa chance au coureur, tout en gardant en tête que les probabilités sont minces. Ouvert, mais lucide. On n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise après tout.

Il semble bien que mon vœu ait finalement été exaucé. Au moment même où la rumeur du retour de f(x) commençait à enfler, Red Velvet est revenu dans le décor. Je me souvenais vaguement d'avoir écouté leur premier single "Happiness", et plus tôt en 2015 j'avais trouvé "Ice Cream Cake" particulièrement prometteur (dommage que l'EP du même nom m'ait plutôt conforté dans mes préjugés). C'est avec "Dumb Dumb" que les choses ont basculé. Je me suis soudain senti prêt à dévier du droit chemin et à renier momentanément mon monothéisme f(x)ien. Peu m'importait que la chanson soit une pompe éhontée (mais néanmoins jouissive) de "Bang Bang", je voyais enfin venir un vent de changement. Une seule écoute de The Red a suffi pour me confirmer que j'avais touché le gros lot.

C'est une des raisons pour lesquelles je continue de m'intéresser à la K-Pop : malgré tous ses défauts, le genre présente l'avantage de ne pas niaiser avec la puck. En clair, on sait très rapidement à quoi s'en tenir et il n'est pas nécessaire de faire tourner un album vingt fois pour se faire une idée. Il suffit de faire abstraction de la qualité des arrangements et de la réalisation (qui va presque toujours de soi, professionnalisme coréen oblige) pour se concentrer sur les chansons, ce qui est d'autant plus facile que les albums de K-Pop sont souvent très courts. Si vous décrochez avant la fin d'un album qui dure à peine 35 minutes, c'est qu'il a manqué sa cible. Mais The Red, lui, a frappé en plein dans le mille.

Ne vous méprenez pas, il s'agit tout de même d'un album de K-Pop. C'est putassier, puissamment accrocheur, bourré jusqu'à la gueule de tous les tics qui affligent la pop mainstream, avec en prime ce petit côté R&B typiquement coréen. A priori, absolument rien ne distingue The Red des autres albums de K-Pop que j'ai pu écouter jusqu'à maintenant, et j'inclus mes chères f(x) dans le tas. La différence, presque impalpable mais cruciale, se cache dans les micro-détails : une mélodie par-ci, une ligne de chant par-là, un beat qui tue ou une couche supplémentaire dans les arrangements, bref un ensemble indéfinissable de facteurs qui, mis bout à bout, parviennent à extirper Red Velvet de la médiocrité. Comme chez f(x) avant elles, on sent une petite étincelle de vie suffisamment chargée d'énergie pour enflammer nos cœurs.

Il s'agit évidemment là d'un ressenti tout personnel. Je sais que ma vision de la K-Pop est particulièrement biaisée, et que ma recherche de l'album parfait ne cadre pas forcément avec les véritables aspirations du genre. Restent les faits, irréfutables : The Red m'a fait découvrir une dimension parallèle insoupçonnée, où f(x) ne règne plus en dieu et maître sur la galaxie K-Pop. Il aura suffi d'une poignée de chansons irréprochables, voire franchement bluffantes à l'occasion (mention spéciale à "Huff n Puff", "Oh Boy", "Time Slip" et l'irrésistible "Day 1"), impeccablement composées, réalisées et interprétées, prêtes à écouter jusqu'à plus soif. Quand on y pense, ce n'était pas beaucoup demandé, non?

Une chose que j'ai remarquée, c'est que le titre du chapitre — peut-être le thème — est axé sur un événement qui ne se produit qu'à la dernière page. Il y a beaucoup de détails avant que l'histoire n'atteigne le moment crucial, et il s'avère qu'elle n'est pas tellement liée au reste de l'histoire sur son manque d'effort physique et son adhésion aux jeannettes. Condé y fait quelque peu référence dans la dernière phrase, en écrivant : « Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image... passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ? » D'une certaine manière, elle explore et explique le lien entre Nisida et Maryse, mais cela n'a pas d'importance : il s'agit de son interaction avec les bonnes, et de la façon dont le fait qu'elle ne mange pas est perçu comme un manque d'envie de manger. Peut-être qu'elle juxtapose deux idées : être tellement choyée par Nisida, s'attendre à ce que cela continue chez elle, et se faire enlever sous vos yeux.
Une chose que j'ai remarquée, c'est que le titre — peut-être le thème du chapitre — est axé sur un événement qui ne se produit jusqu'à la dernière page. Il y a beaucoup d'histoire avant de comprendre le sens du titre, et il s'avère qu'il n'est pas si lié à l'intrigue secondaire sur son manque d'effort physique et sur ses parents qui la forcent à rejoindre les scouts. Condé y fait quelque peu référence dans la dernière phrase, en écrivant : « Pourquoi, à plus de cinquante ans de distance, l’image... passe et repasse devant mes yeux, symbole de tout ce que j’ai désiré et n’ai pas obtenu ? » D'une certaine manière, l'histoire explore et explique le lien entre Nisida et Maryse, mais je ne suis pas convaincu que cela ait trop de poids sur la fin : il s'agit de son interaction avec les servantes, et de la façon dont le fait qu'elle ne mange pas est perçu comme un refus. Peut-être que la fin juxtapose la relation de Maryse avec Nisida et sa relation avec les bonnes : la façon dont elle est tellement choyée par Nisida (et s'attend à ce que cela continue chez elle), et voit ensuite ce qu'elle veut le plus se faire arracher sous ses yeux.



usine Darboussier
memorial acte
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échappé
cadrer
aller en colonie
Alors, ils ont emmené le reste des enfants en vacances et pas Maryse ?
Je veux dire, je pensais qu'ils seraient capables de faire un décompte précis de leurs propres enfants, n'est-ce pas, ou du moins de savoir combien d'enfants ils ont ? Peut-être pensaient-ils qu'elle allait camper pendant une plus longue période ? Je n'avale pas qu'ils aient simplement oublié un enfant entier qu'ils ont mis au monde et dont ils se sont occupés.

Juste une dernière chose sur le sujet précédent.

On voit tout au long du livre la volonté constante des parents de Maryse : leur désir de démontrer au monde qu’ils sont des « citoyens honnêtes », plus avancés que la populace qui les entoure. Mais ce chapitre offre un regard non seulement sur les luttes des parents de Maryse, mais aussi sur les siennes, et sur la façon dont elle s’approprie une partie de cette mentalité. Cela n’est nulle part plus clair que dans la rapidité avec laquelle elle semble grandir : la rapidité – et l’âge ! – avec laquelle elle commence à s’engager dans l’activité sexuelle, la rapidité avec laquelle elle souhaite entrer dans une romance adulte. Ce chapitre montre que leur relation ne lui était pas destinée : elle et Gilbert n’ont pas assez d’expérience pour la rendre durable. Ce qui m’a le plus frappé dans la fin, ce sont trois phrases en particulier : « C’était une grosse voix. Presque une voix d’adulte. Le souvenir allait m’en hanter. Je ne trouvai rien à répondre. » Peut-être qu’en entendant la voix d’un adulte de la bouche de Gilbert, elle se rend compte du décalage entre ses rêves et sa réalité : que son merveilleux romantisme n’est que châteaux en Espagne.

clés
Que signifie la dernière phrase « et [je] laissai mon bourreau gambader en toute impunité près du kiosque à musique » (c’est moi qui souligne) ?
Qu’est-ce que Maryse accepterait comme parents « ordinaires » ?
Les pronoms personnels:
Cherches-tu la gare ? Non, je ne la cherche pas.
Aimez-vous les haricots verts ? Oui, je les aime.
Est-ce que vous écoutez votre amie ? Non, je ne l'écoute pas.
Voudrais-tu accompagner mon ami au supermarché ? Oui, je voudrais l'y accompagner.
Ta mère vient-elle du Portugal ? Non, elle n'en vient pas.
Est-ce que tu lis des bandes dessinés à tes copains ? Oui, je les leur lis.

Donne tes livres à Julia et à Marie ! Donne-les-leur !
Ne me montre plus de photos ! Ne m'en montre plus !
Envoie cette lettre à ta copine ! Envoie-la-lui !
Mes salutations distinguées à M. Wastaken.
M. Clay "Dream" Wastaken :
Cela fait plusieurs années que nous n'avons pas correspondu, et je souhaitais vous donner mon avis sur votre dernière composition, "Masque". C'est une polyphonie étonnante dans le style européen continental, qui me rappelle le travail des grands compositeurs italiens Vivaldi et Palestrina, malgré la poésie qui possède un mètre et une rime inconnus depuis les jours de gloire de Virgile et Algieri. Sans doute sera-t-elle jouée dans les cours du Roi, qui aura le grand honneur de vous recevoir comme invité. C'est ce qu'est la masque en effet.
Avec tout l'honneur et la dignité,
Lord D. T. Rex de RYM
[Laink] Oh, je vais faire comme toi !

[Laink] Ho j'te copie, j'te copie. Je fais la même chose que toi !

[Laink] DASHHH !!!

[Terra] Le mec il fait exactement la même chose que moi.

[Terra] T'es une petite p**e sans personnalité.

[Terra] Mais du coup t'as fait la même chose ?

[Laink] Ouais, mais heu..

[Terra] T'es une sous-merde..

[Laink] Mais alors du coup on a une égalité.

[Terra] Mais t'es une grosse merde !

[Terra] Tu mériterais de perdre pour avoir fait ça !

[Laink] Hey mais t'as déjà joué !

[Terra] Heu pas suffisamment pour pouvoir dire que j'ai déjà joué

[Laink] Ha t'as vraiment joué, genre en fait 10min c'est plutôt 1min ?

[Terra] Bah tu vois je viens de comprendre déjà que j'étais à gauche !

[Laink] Hey mais c'est compliqué parce que si

[Laink] Y'a pas de sol

[Terra] Heuu ouais.. alors bah déjà je suis coincé ça y est,

[Terra] parce que je vois pas comment je peux le mettre

[Laink] HOOOOOO !
gymnopédie
|Laink] Y'a de la physique !!

[Terra] Je te l'ai dit juste avant.

[Laink] Mais oui mais je pensais que c'était faux ! Y'a pas de physique dans un tetris !

[Terra] Ha bah voilà, OK !

[Terra] Ok bon bah j'ai perdu !!

[Laink] Hé bah c'est..Hé put**n j'ai adoré !

[Laink] Faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres

[Laink] On arrête,

[Laink] On s'en fait d'autres genre au prochain stream

[Terra] Là déjà je crois que j'ai ma dose.

[Terra] Alors là c'est le premier qui atteint heu...

[Terra] Hé m*rde voilà !

[Terra] Voilà j'ai déjà fait de la m*rde et je fais comment moi pour rattraper ça ?

[Laink] Qui atteint quoi ?

[Terra] Cette m*rde en haut là !

[Laink] Bah faut faire juste une pyramide, moi je veux bien la faire, c'est pas compliqué.

[Laink] Ha on sent que j'ai joué quand j'étais petit hein !

[Terra] J'suis dans la m*rde à cause de ma connerie du début. Tout se repose sur un équilibre à la base.

[Laink] NAN !!

NAAN !!

NAAAN !!

[Laink] Mais, c'est y'a du vent ou quoi !?

[Laink] J'te jure y'a du vent..

[Terra] T'as tout un tas de...

[Laink] De trucs comme ça

[Terra] Voilà !

[Laink] Ha on maintient une espèce d'équilibre là quand même

[Terra] J'ai oublié de te dire : je peux te mettre des malus.

[Laink] Comment ça tu peux me mettre des malus ?

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que cet Enfer ?

[Laink] Tu m'as dit des conneries, j'arrête pas d'atteindre la ligne et il se passe rien du tout !

[Terra] Mais non ça c'est les étapes

[Terra] C'est pas la ligne d'arrivée.

[Laink] Mais quand est-ce qu'on perd ?

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] J'SUIS DANS LA M**DE !!

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] Arrêtez ! Restez !!

[Laink] Restez !

[Terra] On dirait un mec, y'a des gens qui partent de sa soirée

Restez !

"Je vais changer de musique"

"C'est une bonne soirée.."

T'en a déjà fais une comme ça ?

Moi non

Toi aussi t'a déjà fais des soirées de m*rde ?

Moi c'est juste que j'ai jamais osé en faire

parce que je croyais que ça allait faire ça

[Laink] NAAAAN !!

D'où t'as fait un pâté comme ça ?

T'as fait un beau pâté.

[Terra] Ouais enfin un beau pâté, il tient vraiment en équilibre.

[Terra] Allez salut !

[Laink] Mais elle est ou la musique heu

*Tu tut tutu tuut t ututu *

[Laink] 'tain tu te fais un pâté compact hein !

[Terra] Ouais t'as raison. Pas la peine de me s*cer la b*te hein !!

[Terra] Tu vas pas plus gagner.

[Laink] Ho regardez comment je vais la caler.

[Laink] OOOOHH nan !

[Terra] Ho là ! Nom d'un pâté !!

[Terra] HOOOo

[Laink] t'en as...

[Laink] Nan...

[Laink] Nan

[Laink] Nan RESTEZ !

Mais toi avec ton vieux pâté de mort là !

Mais au début il était bien.

Mais nan mais...

[Laink] Laink qui est pas au courant des bonus

QUOI ?

Oui c'est soit tu te mets un bonus soit un malus

T'appuies sur "B" pour les bonus et.. "X" pour les..bonus... Je sais plus.

Ok bah j'y penserais parce que maintenant que je le sais c'est mieux tu vois.

Ha bah il fallait regarder sur ton écran c'était affiché en grand.

Ha...Ha bah tu vois j'aurais dû lire hein

Ou un ami aurait dû me prévenir

Un ami LOYAL

Tu crois que quand moi j'ai joué on m'a prévenu ?

Bah...

ça n'empêche rien

[Laink] Ha genre là

[Laink] HASARD !!

[Laink] Tiens une porte !

[Terra] C'est pas du tout un malus pour moi ça.

[Laink] Ha bon ? bah une porte pourtant c'est quand même heuu...

Ho non une porte chez soi c'est quand même heu..

ça me parait compliqué

Hey rajouter une porte c'est pas n'importe quoi !

[Laink] Ha le mec mais ..

[Laink] mais il se fait un building

[Laink] Il se fait sa "TRUMP Tower"

[Laink] Il s'en bat les couilles

"A freaking building"

[Laink] Ha merci parce que justement..

QUOI ?

[Laink] T'avais plus de vie.

[Laink] Ha bah voilà c'est ça que je me demandais

[Laink] quand on fait tomber des pièces y'a bien des vies.

[Laink] Parce que là je me disais sinon si elle me convient pas

je vais la foutre à la poubelle

[Terra] Le mec qui trouve que le jeu est trop facile

[Terra] "Si j'aime pas la pièce j'ai qu'à la jeter"

[Laink] Si ça me fait chier tu vois..

[Laink] Attention je vais passer le premier pallier et pas toi.

[Terra] Je l'ai déjà passé tiens regarde pour te le prouver

Ho un piano, je voulais justement un piano chez moi

Ho un piano ça tombe bien parce que je voulais vraiment un piano.

Bah ouais je..je vois pas le problème

Ha une porte ! Ouais justement

Ho ça tombe bien je voulais justement une porte

Nan parce que j'avais un piano mais pas une porte.

[Laink] ATTENTION IL EST ÉNORME !!!

[Terra] Gros c*n

Gros c*n

[Terra] HHHHHHHANNNNN

[Laink] Holalalalalalalala

T'es une grosse m*rde

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ? Mais qu'est ce que je fais ?

[Laink] NNNOOOOOOOOOONNNNNN

[Terra] Mais mon pov' vieux

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ?
[Laink] AAAAAAAAAAHHHHHH

[Terra] Oh p**in
[Laink] AAAAAAAAAH

[Laink] MONTEZ VITE !

[Laink] MONTEEEEZ

[Laink] MONTEZ !

[Laink] FAITES DES LIGNES !

[Laink] MONTEZ !

[Laink] Elle est énorme encore une fois !!!!

[Laink] Naaaaaan !

[Laink] J'invoque un bateau

[Terra] Allez, vas-y consolide toi, consolide toi, consolide toi comme ça..

[Terra] Oui oui oui !! OUI OUI

[Laink] LA LIGNE !

[Terra] OUI OUI !! OUI OUI OUI

[Laink] Nan j'ai gagné.

[Laink] Quoi j'ai pas gagné ?!

[Terra ] Nan c'est moi qui ai gagné regarde la pointe.

[Laink] On n'a pas les mêmes pièces je viens de vérifier

ça se trouve t'as de la LUCK !!

Alors d'après le "théorème de Laink de la mauvaise foi"

C'est : Si je gagne c'est parce que j'ai de la Luck

Si tu gagnes c'est parce que tu a eu du talent.

A peu près !

C'est à peu près ça.

Cette théorie est universelle pour chaque jeu de chaque époque.

ça fait des années que je la connais, c'est une théorie qui est fiable.

[Laink] Tiens. Sois Maudit !!

Ha bah ça tombe bien je voulais un moulin

regarde il s'emboîte parfaitement.

[Laink] Put*in, c*nn*rd !!

[Laink] Il était parfait.

[Laink] Et quand tu mets tes lignes comme ça dans Tetris ça faisait un éclaire ça faisait :

"Pabaaah"

[Terra] Tiens regarde HOP ! 2 Kilos

Ha regarde, nickel je voulais un cube chez moi.

[Terra] Attends attends.. prend ça d'abord.

Ha bah merci, parce que.....

Heu nan, nan boh nan ça me fait...ça me fait chier !!

[Terra] Et ça, ça fait quoi?

[Laink] Ha !!

[Laink] Alors..

[Laink] Alors, ha..bon bah voilà.

[Laink] Ho non du brouillard.

[Laink] Ha par contre arrête de rire là

[Laink] Nan c'est quoi cette m*rde ?

[Laink] Sois maudit par les livres !

[Terra] C'est quoi ça ?

[Terra] HO ARRÊTE !

[Laink] Haa et après tu auras celle-ci
[Terra] C'est du cheat !

[Laink] Et après celle-là !!
[Terra] C'est du cheat !

Mais c'était du "CHEAT"

Et un château !!

[Laink] HÉ



HÉÉ

les bouquins !!

LES BOUQUINS ! NAN mais c'est de la triche !!

[Laink] C'est de la triche de ouf ce truc.

[Laink] Et vas-y que Mr le Dieu du brouillard se ramène encore là.

[Laink] Reste, RESTE !

[Terra] OUF, c'était de justesse, il allait tomber mon château.

[Laink] Mais qu'est ce que c'est, mais j'ai de la m*rde, mais j'ai de la m*rde !!

[Terra] Ho on a les mêmes choses arrête un peu ton cinéma

[Laink] Mais ça en plus c'est faux !! Et en plus c'est faux !!

Toutou, và !

Toutou !

Bon chien.

[Laink] Qu'est ce que tu fais ?

MAIS TOUCHE A TON C*L !

[Laink] Pour ceux qu'ont pas vu il m'a fait tourner ma pièce hein, j'suis pas un boloss !

[Laink] ça va être tendu

[Terra] HÉÉE M**DE

[Laink] ça va être tendax

[Terra] Gros c*n !

[Terra] Il faut vite que je choppe un bonus.
[Laink] HAAA HAAA

[Laink] HAAAAAA

HHAAAAAAA

[Terra] ha j'étais en train de t'en envoyer un.

[Laink] Elle était en train de tomber

[Terra] Ho puta*n

[Terra] c'est vraiment du cheat, téma c'est la tour de Pise.

HÉ oui !

MÉDOU !

Mais arrête de *djoudjoudj*

[Laink] Mais tu sais quoi ton pâté il est dégeulasse

[Terra] Ouais le carré au millieu il m'a sauvé

En tombant sur le côté il a fait que tout était solide.

OUiiiiiiiiii

Dégeulasse !! 12-8 Bah c'est pas net hein

[Laink] Tiens des buissons. J'sais pas ce que c'est. amuse toi bien avec.

T'es un gros c*n, doublé d'un mauvais joueur.

Ah ouais ?

[Terra] Mais les buissons ils ont solidifié ma base et du coup..

[Laink] ATTENTIOOON !!

[Terra] Mais t'es vraiment une m*rde !

[Terra] Ha ouais ils ont rien solidifié du tout.

[Terra] Ho p*tain, holala

[Laink] C'est pas des buissons solides.

[Laink] HA ! OH j'aurais dû d...AAAAAAA

[Terra] Mais nan mais, ça faut que ça s'en aille ça !!

OOhOOh

OOHOOHHOOO

[Laink] Restez !

[Terra] Moi j'ai une très belle base.

De toute façon ma mère me l'a toujours dit : "Damien tu a une très belle base"

Ouais t'a une belle base ouais...

[Laink] Allez vas-y, mais vas-y

[Terra] On fait chier les petits camarades

[Laink] Mais de toute façon tu m'emm*rde.

LES LIIIIIVRES !

[Terra] Mais ça tourne, il me manque plus qu'un truc.

[Laink] ça fait pas mal de pièces Terra.

[Laink] Comment tu vas arriver à monter ?

[Terra] NOOON NONN ONOOONN

Ho nan...

Ho le bébé !

Il a fait tomber son château de sable.

[Terra] Mais c'est à cause de cette pièce à la c*n là !!

Ho non, alors que moi je prends un équilibre précaire.

[Laink] Allez, Allez ! Solidifie moi ça avec des buissons.

YES !!

Ma plus belle tour !

C'est terminé.

regardez moi cette tour qui ne ressemble à rien.

bah je pense que la je vais gagner du coup.

ha bon ?

Ouais

Tu peux me dire pourquoi ? Ou pas ? Ou pas encore

Je sais pas si tu bluff ou pas.

[Terra] Mais va te faire enc*ler avec tes pièces de c*n là !!

[Laink] DEUX PI ECES !!!!

Faut voir sa tour comme la France

Il faut une base solide. "Avec un grand flux migratoire"

"Avec une culture bien Française"

"pour soutenir la base"

[Terra] à cause de ta grosse pièce à la c*n

[Laink] Tiens les petits amis..Allez-y manger sa tour les petits amis !!

[Laink] Mais j'suis trop c*n mais pourquoi j'suis comme en mode normal !!!!

[Terra] T'as fait tomber trop de pièces t'avais plus de vie, gros c*n !

[Laink] Pu*** moi j'étais là genre : "ça j'aime pas, ça j'aime pas, ça j'aime pas"

[Laink] Ha bah justement j'en avais pas besoin de celle-là.

MAIS QU'EST-CE QUE TU EZUIFGEZO

[Terra] Je me disais elle m'embête

[Laink] P*tain t'es c*n, parce que je croyais qu'elle allait remonter jusqu'au ciel, elle est restée.

[Laink] je sens une fragilité dans la France.

je sens un gros flux migratoire là.

j'ai l'impression qu'on est en train de me voler mes emplois.

[Terra] Ils peuvent pas retourner chez eux ces briques là ?

Au début on avait une belle base et regarde ce que c'est devenu, c'est pleins de couleurs.

P*taiin !!

Haa elle est belle la France, regarde la, là !

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que ces gros pâtés que tu m'envoies ?

Je t'ai mis un de ces pâtés !
Ah merde

Salut

Je vais te donner de quoi ni**** ta mère

[Laink] Ha les caisses de l'état..HAAA

[Terra] Mais non mais elle était bien celle-ci

[Terra] Repose...remet la.

Bah ouais des fois c'est comme ça la France Terra. On a pas toujours ce qu'on veut mon ami.

Pour une base insoumise !!

Va te faire enc*ler !

Allez Looser.

t'es dans la m*rde

[Terra] Nan mais serieux la ? Je commence sur une base comme ça ?

[Laink] Ho elle est belle ta tour, elle représente quoi ?

Ton avenir.

OUHHHHHHHH

[Laink] J'arrive plus à respirer

[Terra] Faites lui du bouche à bouche

J'ai vu flou

[Terra] Nan mais la c'est bon c'est mort.

T'as une France heu..qui doute.

[Terra] Tiens et la tu vas douter quand tu vas devoir la mettre ?

Plus c'est gros plus ça passe.

[Terra] Attends, parce que t'as pas vu celle-la !

[Laink] Ha pour équilibrer.

Logiquement par le théorème de l'équilibre...

[Laink] Voilà , voilà, refaite moi, ok. Redonnez moi ma France.

[Terra] NOOOOOOOON !

Ma France, tu l'aimes ou tu la quittes.

Tiens tu vas la quitter ta France.

Tiens ! Tiens !

Tiens prends les tes acquis sociaux.

Tadam

[Laink] C'est lourd !!
[Terra] Vas te faire en**** !

[Terra] Eh tu sais quoi ? J'pouvais vraiment pas avoir mieux quoi.

J'me disais tout à l'heure: mais il me faut vraiment quelque chose de solide

OH NOOOONN

[Laink] Rooh c'est chiant. P*tain, c'est chiant.

Ha c'est dégeulasse ce que je fais, c'est dégeulasse.

C'est nickel

[Laink] Qu'est ce que tu fous ? Pu**** mais t'as pas le droit.

[Laink] MAIS T'AS PAS LE DROIT !

Mais j'peux rien faire contre !!

[Terra] T'es sérieux ? Fils de p*te !

[Laink] HAAAAA , mon arnaque !!

[Laink] Mais y a du vent aussi là haut pu*** !

[Laink] MAIS Y A DU VENT !!

[Terra] Oh oh OH OH

[Laink] J'ai gagné !!!

VAS TE FAIRE EN*****

[Laink] YeEES, à une seconde.

ha j'ai pas le compas dans l'oeil hein ça c'est sûr !

[Laink] MAIS JE SUIS TROP C*N !!!

[Laink] Mais quel débile !

[Laink] Mais pourquoi j'ai fait ...

[Laink] J'avais oublié qu'y'avait une ligne.

Le premier mod j'oublie toujours ce que c'est. je joue comme un débile.

[Terra] C'est des mods aléatoires.

[Laink] Ouais, Ouais. je te laisse gagner pour qu'on joue plus longtemps.

[Laink] ça sent déjà la m*rde !!!

Pourquoi je fais ça ? je me tire des bâtons dans les roues.

Est-ce qu'ont peut vraiment se tirer des bâtons dans les roues ?

Le Français se le demande.

Oui avec un pistolet à bâtons.

"Les Français en ont marre que le patronat tire des bâtons, avec des pistolets à bâtons."

On se fait ba*ser par le grand *incompréhensible*

"des bâtons qui sont tirés.."

On en parle pas des bâtons ! Des pistolets à bâtons.

"Est-ce que vous trouvez ça normal *???* on tire des bâtons à 2% sur les salariés.

[Laink] Mais au pire faites tout tomber, faites tout tomber mais faites tout tomber.

[Laink] J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus.

[Terra] Ho celle-ci t'en voudras bien un petit peu ?

Pourquoi je l'ai mise comme ça ?

J'ai l'impression d'avoir le cerveau déconnecté

[Laink] Quand on mettra la France en ordre, tu seras le premier à partir mon gars.

[Terra] Tu connais le principe de la réémigration de Lesquen ?

[Laink] Avec des congoïdes ?

Oui.

Allez tu sais quoi sur le "tec", comme une casquette que j'aurais posée.

[Laink] Ouais bah jolie casquette ouais.

[Laink] Hey je te rappelle que je t'ai mis un perfect avant, donc si tu m'en met un t'auras même pas le..

[Terra] Attend, oui donc tu disais ? En parlant de perfect..

Tu parles de ce que je viens de te mettre !? Ha d'accord.

[Laink] Y'a quelqu'un qui a dit dans le Tchat que j'était raciste parce que j'avais dit "congoïde"

En même temps Laink, excuse moi mais heuu..

T'as un public jeune

T'as un public jeune donc surveille un peu tes paroles.

[Laink] Nan j'avoue après imagine à la cour de récré les profs ils arrivent, ils entendent des mecs se traiter de "congoïdes"

Ils vont paniquer !

"Hey..Sale congoïde !! La réémigration tu vas voir"

[Laink] Ils vont paniquer de ouf !

"Mais qu'est-ce qu'il s'est passé, je comprends pas ?"

[Laink] Hey regardez comme c'est beau

Tu voulais une tour de Pise je suis en train de te la faire hein.

Hey mais c'est un équilibre qui fonctionne ça !!

[Terra] C'est ce qu'il faut faire en fin de game mais pas...

pas dès le début !

[Laink] Si regarde !

[Terra] Surtout quand je t'envoie des pièces comme ça.

Alors euh ....

Alors ça effectivement

Alors regarde regarde regarde...

C'est bon pas de casse. je continue, ça tient ça ?

Nan ça tient pas !!

Ou est ce qu'on en est dans les scores ?

Je crois que je viens de te ré-immigré..heu..

vers la sortie

Allez, attention ! Houla c'est bien..

ça sent le charter pour toi hein !

Nan, nan, nan t'inquiète !!

[Laink] Un malus buissons ?

[Laink] Ouais nan j'aurais peut-être pas dû le faire finalement.

[Terra] "J'ai bien réfléchi et c'est nul"

[Laink] J'crois que je regrette un peu ce que je viens de faire.

[Terra] On dirait vraiment une carte piège pourrie

"Ha oui mais tu n'as pas vu mon attaque..Buisson"

"Ha tu peux plus rien voir !!"

"Toute cette végétation, c'est terrible"

[Laink] Ho la belle ligne que tu nous as mis là. Elle sert à quoi ?

[Laink] Je te fais un pâté ! C'est un beau pâté, un pâté d'enfant.

Qu'est ce que c'est que cette m*rde ???

[Terra] Voilà ce qu'il te dit mon pâté d'enfant !

[Laink] ça tiendra jamais..mais..

mais ça ne tiendra jamais et c'est normal !! Et c'est normaal !!

[Terra] Le mec est quand même un peu énervé.

"Les Français ne voudront pas et c'est normal !!"

"C'est normal Madame"

[Laink] ha tiens vas-y met celle-la

[Laink] Elle ressemble à rien ta tour, t'es qu'un arnaqueur !

Par contre ça glisse, ça glisse là par contre.

[Terra] Mais ta gu**le avec tes réfléxions à la c*n.

[Terra] Tiens, ça, ça glisse ou pas ?

[Laink] Mais ça me fait chier ton truc qui glisse. Regarde ! j'ai un p*tain de cône glissant au dessus de ma tour.

je peux plus rien poser.

je peux plus rien poser Terra

Mais qu'est ce que je fais ?

[Terra] Hoow, mais j'ai l'impression que c'est une victoire.

Mais je ne peux plus rien poser

[Terra] OUUUUH

De toute façon tout le monde savait que tu étais d'extrême droite. Tout le monde le savait.

T'es vraiment un c*n !

Allez Laink, direction la Guadeloupe !

"Attends c'est un DOM-TOM, je comprends pas.."

Bah si il veut recoloniser heu..~~

ouais, ha oui c'est vrai.

~~les DOM-TOM

Bon bah c'est bon je t'ai foutu une pâté !

ouai ouai bon bah...hey,

Alors, j'avoue ma défaite mais on va dire que c'était serré d'accord ?

Est-ce qu'ont peut s'arrêter la dessus ?

C'était serré !!

J'ai gagné !!

Je gagne haut la main en te mettant heu..une victoire d'affilée.

'tain mais le mec..c'était serré..

"hmm bah j'ai gagné"

Sur les deux victoires je t'ai quand même mis 4 sans fautes !

quand même incroyable..






Ils ne m'ont pas appelé.
Il était drôle ? Oui, il l'était.
Elle leur a donné les devoirs ? Non, elle ne les leur a pas donnés.
Tes amis vont aux États-Unis ? Ils y vont.
Je n'ai pas de frères, mais mon ami en a deux.
J'ai reçu la vidéo. Montre-la-nous !

3-1:
Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
Vous avez visité le musée du Louvre ? --- Oui, nous l’avons visité hier.
Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! --- Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? --- Oui, je les ai perdues hier soir.
J’espère que vous avez réservé votre place ? --- Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? --- Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
Tu aimes cette couleur ? --- Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? --- Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? --- Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
Tu connais cette fille ? --- Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.
e muet
e instable
e caduc
3-2:
Il a pris la voiture ? --- Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
Vraiment, il n’aime pas les confitures ? --- Non, il n’aime pas ça.
Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? --- Si, je l’ai bien vu !
Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? --- Oui, je les ai remarquées, et alors ?
Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? --- Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
Est-ce qu’il a revu Véronique ? --- Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
Vraiment, il déteste l’opéra ? --- Oui, il déteste ça !
Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? --- En principe, nous devrions la voir demain.
Tu crois qu’ils seront à l’heure ? --- Oh oui, en général, ils le sont.
Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? --- Oui, ils le savaient.
Vous aimez les champignons ? --- Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? --- Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? --- Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.
Pourquoi utilisent-ils "ne" la plupart du temps ?

3-3:
Il a pris la voiture ? Non, il ne l’a pas prise aujourd’hui.
Tu savais qu’il faisait du russe ? Oui, je le savais.
Tu aimes le chocolat noir ? Oui, j’adore ça.
Quand est-ce que vous prenez vos vacances ? Nous les prenons au mois de mai.
Tu aimerais aller en France ? Oui, j’aimerais bien ça.
Tu rendras visite à tes grands-parents cet été ? Oui, je l’espère.
Est-ce qu’il a vendu sa voiture ? Oui, il l’a vendue à son frère.
Est-ce qu’ils t’ont dit qu’elle divorçait ? Oui, ils me l’ont dit.
Vous aimez le champagne ? Oui, je l’adore.
Est-ce que tu as déjà vu ce DVD ? Non, je le regarderai ce soir.
écueil
3-4:
Il parle souvent à sa voisine. Il lui parle souvent.
Cet hôtel ne convenait pas à mes parents. Cet hôtel ne leur convenait pas.
N’oublie pas d’écrire à ta grand-mère. N’oublie pas de lui écrire.
Il ne faut pas trop en vouloir à ton frère. Il ne faut pas trop lui en vouloir.
Cela ferait plaisir à Marc et Cécile. Cela leur ferait plaisir.
le spahi

3-10:
Vous avez envoyé à cette cliente la réponse qu'elle attendait ? Vous la lui avez envoyée ?
Est-ce que tu nous louerais ta maison pour cet été ? Est-ce que tu nous la louerais pour cet été ?
C'est ma tante qui m'a donné cette belle gourmette en or. C'est ma tante qui me l'a donnée.
Cet agriculteur nous vend toujours les produits de sa ferme à très bon prix. Cet agriculteur nous les vend toujours à très bon prix.
N'oublie pas de souhaiter son anniversaire à ta sœur. N'oublie pas de le lui souhaiter.
Ils ne nous ont pas expliqué les vraies raisons de leur départ. Ils ne nous les ont pas expliquées.
Dois-je prêter à Jacques les cent euros dont il a besoin ? Dois-je les lui prêter ?
Réclame à ces gens l'argent qu'ils te doivent à la fin ! Réclame-leur l'argent qu'ils te doivent à la fin !
Il a racheté cette voiture à ses parents. Il la leur a rachetée.
Tu crois qu'on accordera à Luc les délais supplémentaires qu'il demande ? Tu crois qu'on les lui accordera ?

3-14:
Cette coupe de cheveux ne va pas du tout à Vanessa. Cette coupe de cheveux ne luis va pas du tout.
Reprends un peu de mousse au chocolat. Reprends-en un peu.
Va vite à la boulangerie et achète-moi deux baguettes pas trop cuites. Vas-y vite et achète-m'en deux pas trop cuites.
Flattée, l'actrice souriait aux nombreux photographes en prenant la pose. Flattée, l'actrice leur souriait en prenant la pose.
Réponds à ton père quand il t'appelle ! Réponds-lui quand il t'appelle !
J'ai deux cousins qui vivent en France depuis bientôt trois ans. J'en ai deux qui y vivent depuis bientôt trois ans.
J'ai envie de commander une douzaine d'huîtres. J'ai envie d'en commander une douzaine.
Je profite de mes vacances pour lire quelques romans policiers. J'en profite pour en lire quelques-uns.
Vous pouvez rappeler Monsieur Langlois dans la soirée si vous tenez à lui parler personnellement. Vous pouvez le rappelerdans la soirée si vous le tenez.
Ne dérange pas ta sœur pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée ! Ne la dérange pas pour cela, tu vois bien qu'elle est occupée !

3-15:
As-tu montré ton nouvel ordinateur à Michel ? Oui, je le lui ai montré.
Ils vous ont indiqué la route à suivre ? Oui, ils nous l'ont indiquée.
Vous avez songé à cette alternative ? Oui, j'y ai songé.
Est-ce qu'elle t'a demandé de passer la voir ? Non, elle ne m'en a pas demandé.
Vous avez parlé de cette possibilité à votre collègue ? Oui, je lui en ai parlé.
Vous aimez le roquefort ? Ah oui, je l'aime beaucoup.
Elle t'a expliqué ce que tu dois faire ? Oui, elle l'a bien expliqué.
Tu as remis les clés à la concierge ? Oui, je les lui ai remises.
Vous vous attendiez à une telle réaction ? Non, je ne m'y attendais pas.
caqueter
carafe
3-16:
Est-ce que tu as acheté un tapis à ce marchand ? Oui, je le lui ai acheté.
Vous vous retrouvez souvent dans ce petit café ? Oui, nous nous y retrouvons tous les mardis.
Tu as envie de faire cette excursion ? Non, franchement, je n'en ai pas tellement envie.
Est-ce qu'ils ont envoyé cette circulaire à tous les propriétaires ? Oui, ils la leur ont envoyée le mardi.
Nous irons un jour à New York ? Oui, je te promets que nous y irons.
Vous avez expliqué à vos clients que nous aurions un retard de livraison ? Oui, ne vous inquiétez pas, nous le leur avons expliqué.
Ma naissance
Indifférent comme à son habitude, mon père n’avait pas de préférence. Ma mère, elle, désirait une fille. La famille comptait déjà trois filles et quatre garçons. Cela égaliserait les camps. Passé la honte d’avoir été prise, à son âge respectable, en flagrant délit d’œuvre de chair, ma mère ressentit une grande joie de son état. De l’orgueil même. L’arbre de son corps n’était pas flétri, desséché. Il pouvait encore porter des fruits. Devant sa glace, elle regardait avec ravissement s’arrondir son ventre, rebondir ses seins, doux comme une paire de pigeons ramiers. Tout le monde lui faisait compliment de sa beauté. C’est qu’une nouvelle jeunesse activait son sang, illuminait sa peau et ses yeux. Ses rides s’estompaient magiquement. Ses cheveux poussaient, poussaient, touffus comme une forêt et elle faisait son chignon en fredonnant, chose rare, une vieille chanson créole qu’elle avait entendu chanter à sa mère morte cinq ans plus tôt :
Sura an blan,
Ka sanmb on pijon blan
Sura an gri
Ka sanmb on toutewel.
Pourtant, son état tourna vite à la mauvaise grossesse. Quand les nausées cessèrent, les vomissements prirent la relève. Puis, les insomnies. Puis, les crampes. Des mordants à crabe tenaillaient ses mollets à les couper. À partir du quatrième mois, elle fut épuisée, en nage au moindre mouvement. Tenant son parasol d’un poignet sans force, elle poussait son corps dans la chaleur torride du carême jusqu’à Dubouchage où elle s’obstinait à faire classe. En ce temps-là, on ne connaissait pas ces scandaleux congés de maternité ; ou vice versa. Les femmes travaillent jusqu’à la veille de leur délivrance. Quand, vannée, elle arrivait à l’école, elle se laissait tomber de tout son poids sur un fauteuil dans le bureau de la directrice, Marie Célanie. Dans son for intérieur, celle-ci estimait qu’à quarante ans passés, avec un mari déjà vieux-corps, on ne fait plus l’amour. C’est bon pour les jeunesses. Pourtant, elle ne manifestait rien de ces pensées peu charitables. Elle épongeait la sueur du front de son amie et lui donnait à boire de l’alcool de menthe dilué dans de l’eau glacée. Sous la brûlure du mélange, ma mère retrouvait sa respiration, et prenait le chemin de sa classe. En l’attendant, ses élèves, qui la craignaient, n’en profitaient pas pour faire du désordre. Têtes baissées, elles s’appliquaient comme si de rien n’était sur leurs pages d’écriture.
Heureusement pour le repos, plus que le dimanche avec sa grand-messe devenue une corvée, il y avait le jeudi. Ce jour-là, mes aînés étaient sommés de se faire oublier. Ma mère gardait le lit, montagne de chair sous les draps de toile brodée, dans la pénombre de sa chambre, car toutes les persiennes restaient fermées. Le ventilateur ronronnait. Vers dix heures, Gitane, chargée du ménage, avait fini de promener son plumeau sur les meubles, de battre les tapis et de boire sa énième tasse de kiololo. Elle montait alors des brocs d’eau chaude et assistait ma mère à sa toilette. Celle-ci s’asseyait dans la baignoire en zinc, son ventre en obus coiffé d’un nombril barbare pointant devant elle, tandis que la bonne lui récurait le dos d’un bouchon de feuillage. Ensuite, Gitane l’épongeait avec un drap de bain, la farinait de poudre de talc, blanc comme poisson qui va frire, et l’aidait à enfiler une chemise de nuit en coton brodé avec des jours. Après quoi, ma mère se recouchait et somnolait jusqu’au retour de mon père. La cuisinière avait beau préparer de petits plats : blanc de poulet, vol-au-vent de lambi, feuilleté de chatrou, ouassous à la nage, ma mère, qui avait des envies, repoussait les plateaux, chagrinée :
— Je veux des acras pisquettes !
Pas découragée, la cuisinière se précipitait à nouveau derrière son potager tandis que mon père impatienté, jugeant que sa femme s’écoutait trop, mais se gardant de trahir son humeur, s’absorbait dans la lecture du Nouvelliste. C’est avec un sentiment de libération que vers deux heures de l’après-midi, après un baiser posé en vitesse sur le front moite, il quittait la chambre à couche qui sentait la fleur d’oranger et l’asa foetida et qu’il retrouvait le grand soleil. Quelle chance d’être à l’abri de toutes ces dégoûtasseries ! Règles, grossesses, accouchements, ménopauses ! Dans sa satisfaction d’être un homme, il bombait le torse en traversant la place de la Victoire. Les gens le reconnaissaient et le prenaient pour ce qu’il était : un vaniteux. Ce fut une période où, sans commettre rien de bien coupable, mon père se rapprocha des amis qu’il avait négligés parce qu’ils déplaisaient à ma mère. Il reprit goût à des tournois de belote ou de dominos qu’elle trouvait communs et fuma énormément de cigares Montecristo.
Vers son septième mois, les jambes de ma mère commencèrent à enfler. Un matin, elle se réveilla avec deux poteaux striés d’un lacis de veines gonflées qu’elle pouvait à peine bouger. C’était le signe grave qu’elle faisait de l’albumine. Du coup, le docteur Mélas lui prescrivit le repos absolu, finie l’école, et un régime très strict, plus un grain de sel. Désormais, ma mère se nourrit de fruits. Des sapotilles. Des bananes. Du raisin. Des pommes France surtout, rondes et rouges comme les joues du bébé Cadum. Mon père les commandait par cageots entiers à un ami, commerçant sur les quais. La cuisinière les préparait en compote, au four avec la cannelle et la cassonade, en beignets. L’odeur de ces fruits qui mûrissaient trop vite s’infiltrait, têtue, du rez-de-chaussée jusqu’aux chambres à coucher du deuxième étage et tournait le cœur de mes frères et sœurs.
Chaque après-midi, vers cinq heures, les bonnes amies de ma mère s’asseyaient autour de son lit. Comme mon père, elles jugeaient qu’elle s’écoutait trop. Aussi faisaient-elles la sourde oreille quand ma mère commençait de geindre et elles lui contaient les faits de La Pointe : les baptêmes, les mariages, les décès. Figure-toi, le magasin de matériaux de construction Pravel a brûlé comme une allumette ! Des débris, on avait retiré les corps calcinés de cinq ouvriers et M. Pravel, un blanc-pays, un sans-cœur, ils le sont tous, s’en moquait pas mal. On parlait de grève. Ma mère, qui en temps normal ne se souciait pas de problèmes sociaux, s’y intéressait moins que jamais. Elle revenait à elle-même : j’avais bougé dans son ventre. Je lui avais décoché mon premier coup de pied. Fameux ! Si, à Dieu ne plaise, j’étais un garçon, je serais un footballeur de première.
Le terme de ma mère finit par arriver. Elle était tellement énorme qu’elle n’entrait plus dans sa baignoire et passait le temps dans son lit ou sa berceuse. Elle avait rempli trois paniers caraïbes avec mes effets et les faisait admirer à ses amies. Dans l’un, les casaques en batiste, en soie ou en dentelle ainsi que les chaussons crochetés au fil DMC, le burnous, les bonnets, les bavoirs, le tout en rose. Dans l’autre, les gilets et les couches de deux qualités : en tissu-éponge ou simples pointes en coton. Dans le troisième, les draps brodés, les courtepointes, les serviettes de toilette… Il y avait aussi des bijoux dans une jolie boîte en papier mâché : une gourmette sans nom gravé, bien sûr, une chaîne de cou avec sa grappe de médailles pieuses, un amour de broche. Ensuite, sur la pointe des pieds, les visiteuses pénétraient dans le saint des saints : la pièce qui m’était destinée, un ancien débarras transformé au flanc de la chambre de mes parents. Ma mère était très fière d’une reproduction de la Visitation, l’ange Gabriel, sa fleur de lys au poing, que j’ai considérée toute mon enfance sur une des cloisons, et, posée sur la table de chevet, d’une veilleuse en forme de pagode chinoise qui distillait une lumière rose.
Cependant, c’était le carnaval et La Pointe était en chaleur. En fait, il y avait deux carnavals. L’un bourgeois, avec demoiselles déguisées et défilés de chars sur la place de la Victoire et l’autre, populaire, le seul qui importait. Le dimanche, les bandes de mas sortaient des faubourgs et convergeaient vers le cœur de la ville. Mas à fète, mas à konn, mas à goudron. Moko zombi juchés sur leurs échasses. Les fouets claquaient. Les sifflets défonçaient les tympans et le gwoka battait à coups qui faisaient verser la bassine d’huile jaune du soleil. Les mas remplissaient les rues, inventaient mille facéties, caracolaient. La foule se battait sur les trottoirs pour les regarder. Les gens de bien, chanceux, se massaient sur les balcons et leur lançaient des pièces à la volée. Ces jours-là, on ne pouvait retenir Sandrino à la maison. Il disparaissait. Parfois, les bonnes qui partaient à sa recherche le retrouvaient enivré, les habits maculés de taches qui résistaient à la Javel. Mais c’était rare. En général, il réapparaissait à la nuit et, sans un gémissement, il recevait les raclées à coups de cuir que lui administrait mon père.
Le matin du Mardi gras, vers dix heures, des douleurs qu’elle crut reconnaître saisirent ma mère : les premières contractions. Bientôt, pourtant, elles s’espacèrent et la laissèrent tranquille. Le docteur Mélas, quéri en hâte, assura après examen que rien ne se passerait avant le lendemain. À midi, ma mère mangea de bon appétit les beignets de la cuisinière, en redemanda même et trinqua une coupe de vin mousseux avec mon père. Elle eut l’énergie de composer un sermon édifiant à l’adresse de Sandrino que Gitane venait de rattraper, la chemise flottant comme un drapeau, à l’angle de la rue Dugomier. Sous peu, le Bon Dieu lui ferait cadeau d’une petite sœur (ou d’un petit frère) qu’il aurait mission de guider de ses conseils et bons exemples. Ce n’était pas le moment de faire le brigand. Sandrino écoutait avec ce scepticisme qu’il réservait à tous les propos de mes parents. Il n’avait envie de servir d’exemple à personne et n’avait que faire d’un nouveau-né. Pourtant, m’assura-t-il, il m’aima tout de suite quand, quelques heures plus tard, il me vit tellement laide et chétive dans ma parure digne d’une princesse.
À une heure de l’après-midi, déferlant de tous les coins des faubourgs, les mas envahirent La Pointe. Quand les premiers coups de gwoka firent trembler les piliers du ciel, comme si elle n’attendait que ce signal-là, ma mère perdit les eaux. Mon père, mes aînés, les servantes s’affolèrent. Pas de quoi ! Deux heures plus tard, j’étais née. Le docteur Mélas arriva pour me recueillir, toute visqueuse, dans ses larges mains. Il devait répéter à qui voulait l’entendre que j’étais passée comme une lettre à la poste.
Il me plaît de penser que mon premier hurlement de terreur résonna inaperçu au milieu de la liesse d’une ville. Je veux croire que ce fut un signe, signe que je saurais dissimuler les plus grands chagrins sous un abord riant. J’en voulus à ma grande sœur Émilia qui elle aussi était née au milieu des pétarades et des feux d’artifice d’un 14 Juillet. Elle volait à ma naissance ce qui lui donnait à mes yeux son caractère unique. Je fus baptisée en grande pompe un mois plus tard. Selon la coutume des familles nombreuses, mon frère René et ma sœur Émilia furent mes parrain et marraine.
Quand, dix fois pour jour, par le menu et le détail, ma mère me faisait le récit des incidents bien ordinaires qui avaient précédé ma naissance, ni éclipse de lune ou de soleil, ni chevauchements d’astres dans le ciel, ni tremblements de terre, ni cyclones, j’étais toute petite, assise contre elle, sur ses genoux. Rien ne me faisait comprendre pourquoi je n’étais pas restée à l’intérieur de son ventre. Les couleurs et les lumières du monde autour de moi ne me consolaient pas de l’opacité où, neuf mois durant, j’avais circulé, aveugle et bienheureuse avec mes nageoires de poisson-chat. Je n’avais qu’une seule envie : retourner là d’où j’étais venue et, ainsi, retrouver un bonheur que, je le savais, je ne goûterais plus.
le tablier
le sapeur
le para
sauter
le parachutiste
larguer
à plus de
le spécialiste
le saut
la précision
toucher terre
au milieu de
la place
la concorde
l'assassin (m.)
On... on arrive à la Gare du Nord tous les deux, alors, j'y dis, tu viens boire, y a une demi-heure à attendre.
Métis
Tordez-y les parties viriles.

Tu me passes un mouchoir, s'il te plaît.

-- Tu fais quoi ce soir ? -- Ben, j'ai le taxi. Et...
-- Tu te pointes vers sept heures chez Francis. Tu t'installes. Tu te bois une bière. Tu mates les femmes. Et quand ton pote arrive, tu lui dis bonjour.

Alors j'dis, dis donc j'dis, c'est justement lui, j'dis, qui m'a d'mandée en mariage. Y veut, j'dis, qu'j'aille chez lui, y voulait s'mett' en ménage avec moi pis plaquer mon logement ! Et pis l'jour qu'ça va pas, y m'fout dehors, hein ! J'suis pas si bête que ça ! Y m'dit : dites Madame Angèle, ah oui, parce qu'il sait mon nom, j'dis oui ? Qu'est-ce qu'y a ? Y s'appelle... Comment qu'y s'appelle ? Ah ben, j'm'rappelle plus d'son nom ! C'est un tout p'tit bonhomme, moi qu'aime pas les p'tits, alors y tombe mal ! Il est pas plus grand qu'moi ! Oh ! J'aime pas les p'tits bonhommes comme ça ! Même que j'suis vieille, j'en voudrais pas hein ! Ah non, même un grand d'abord, j'veux pas m'emmerder avec ! Non, j'suis trop habituée toute seule. Vous savez, quand on est habitué tout seul, hein, on a du mal à s'y faire. Alors v'la qu'y m'dit : Madame Angèle, vous savez pas, qu'y m'dit, j'voudrais vous d'mander quelque chose. J'dis : quoi, j'dis ? Y dit : assoyez-vous, prenez quelque chose. Alors bon, j'ai pris un diabolo-citron, j'adore ça.

Vaut-il mieux vivre en France et y être un chômeur secouru, ou vivre en Hollande ou en Grande-Bretagne et y être un chômeur enfin pourvu d'un travail mal payé ? Les statisticiens se disputent sur le point de savoir quelles conclusions tirer de leurs savants calculs. Les sociologues, eux, se demandent plutôt où c'est-y que les pauvres ils sont le moins malheureux. Quant au penseur, il s'interroge : qu'est-ce qui est le plus sage, travailler pour des clopinettes ou toucher des clopinettes en restant à la maison ? On atteint là à la morale, stade ultime de la réflexion philosophique. Marcel, t'as pensé à rapporter de la bière ?

Sa ferme est démolie. Ses vaches sont éventrées. C'est au Monténégro. Des dizaines de petites bombes jaunes, celles-ci non explosées, jonchent sa cour et son champ. Il dit : « Ce sont des mines antipersonnelles interdites par les conventions internationales. » L'Otan le reprend : « Ce sont des mines anti-matériel. » Ses vaches avaient qu'à être moins cons. Les petites filles aussi, sur la route. Pas savoir qu'on n'est pas du matériel !

J'ai une copine au journal, ça va pas, ça va pas bien du tout. Tragique ! Une crème, cette fille, douce, indulgente, gentille. Très cool, très relax, très calme. Un lac, une mer étale, jamais de vagues. Oui et alors ? Qu'est-ce qu'elle a ? Ben, elle a ça, bon caractère, et ça ne se pardonne pas. Non, sérieux, contrairement à ce qu'on croit, c'est pas le stress qui est fatal, c'est la sérénité. Bonne humeur égale mauvaise santé. Pour les femmes, attention ! Les hommes, eux, plus ils se contrôlent, mieux ils se portent. D'où je le tire ? D'une étude menée pendant onze ans à l'université du Michigan. Il en ressort que sa colère faut la piquer, pas la rentrer, si on veut couper à une mort prématurée.

A droite en montant, il y a la porte du bistrot à Mme Pellicia, une petite porte avec une petite fenêtre que tu devinerais jamais que c'est un bistrot s'il n'y avait pas écrit sur la vitre : « Au Petit Cavanna ». Parce qu'avant c'était le bistrot à Grand-mère, la grand-mère Cavanna, la mère du grand Dominique, le Patron. Ça s'appelait « Au Petit Cavanna » pour pas que les gens confondent avec l'autre Cavanna, le grand beau restaurant juste en face du commissariat qu'il y en a qui viennent de loin et même de Paris, des fois, par l'autobus, pour y faire la noce tellement que la cuisine est bonne.

Y a qu'Olivier qui pourrait dire mais je veux pas l'emmerder avec ça. Et puis ils posent pas de questions, sauf Quentin, un jour, en plein Prisunic : Dis maman, tu l'aimes Thérèse ? -- Ben, oui. -- Tu fais l'amour avec elle ? Je savais plus où me mettre, j'ait dit : Chut Quentin, chut ! Il devait avoir sept ans. Un jour il m'a demandé : Et si papa il buvait plus est-ce tu retournerais avec lui ? Je lui ai répondu que non : Parce que quand on aime plus quelqu'un on retourne plus avec. -- Alors tu l'aimes plus ? J'ai dit : Non. Il a dit : Ça fait rien, même si c'est pas l'même, moi j'voudrais bien un papa.

Merde j'ai perdu la formule magique. Abra ca da bra je veux qu'il revienne. Tu dérailles ma vielle tu yoyotes de la touffe. Bouche bée t'es prête à croire au miracle. Le lapin sortant du chapeau du prestidigitateur tu l'as bouffé un certain dimanche ça te suffit pas pauv' niace. T'aimes ça vraiment le mélo-mélasse. Mehdi si tu revenais on chialerait comme deux veaux et on se dirait qu'on s'est aimés comme personne. Que vraiment finir comme ça aussi connement avec autant d'amour dans le cœur... Allez. Arrête. Souviens-toi. La lettre. Tu l'as perdue rapide hein. La preuve d'une telle glauquerie. La fuite de Valentino se regardant en train d'être aimé à la folie. Prends ça dans la tronche Lucette. Remets tes patins à roulettes on s'en va. Mouche ton nez et dis au revoir à la dame. Et toujours les potes et les potines. Y t'aime plus. De toute façon depuis six mois faut reconnaître t'es pas brillante y t'démolit.

Malgré qu'il pleut, on part à Gif, nous deux mon chien. C'est pour sortir Azor, surtout qu'il n'est pas bien.

Huit heures venaient de sonner. Ma femme et moi étions en train de dîner, lorsque nous entendîmes des cris affreux partant de la cour. Nous sortîmes en hâte et, là, nous aperçûmes sur le sol le corps de la locataire du troisième étage, horriblement défigurée et baignant dans une mare de sang. La malheureuse, qui s'adonnait, dit-on, à la pratique des stupéfiants, avait mis fin à ses jours en se précipitant dans la vide.

Il était quéque chose comme huit heures. Nous deux ma bourgeoise on mangeait. Même qu'on avait ce soir-là des z'haricots verts. Puis, voilà qu'on entend gueuler dans la cour ; mais alors, ça, vous parlez d'un boucan ! Vivement on se trotte pour voir qu'est-ce que c'est. Y avait la môme du troisième qui s'avait f... par la fenêtre. Qu'est-ce qu'on a trouvé comme mélasse. Pour moi, voulez-vous que je vous dise, elle en tenait une muffée de première ; c'est encore un de leurs trucs de coco.

Je pige. Combien forte est la vie ! Quelle belle sève vivace ! Comme c'est dru, impétueux ! Ça me fait penser à la frêle pousse de lierre qui finit par étrangler l'orgueilleux sapin. Vous avez jamais vu grimper du lierre après un spain ? Au début c'est joli. Ça pare le tronc. Ça lui ôte son côté futur poteau télégraphique. Et puis, quand le lierre est bien haut, bien fourni, bien luisant, on s'aperçoit que les branches basses de l'arbre jaunissent. C'est irréversible chez le sapin. C'est comme les tifs des bonshommes. Quand ça crève, ça repousse plus. Un jour, le sapin, il lui reste plus que son cône, tout là-haut. Il est clamsé dans la verdure.

Mort de mes os ! Je reconnais une grenade. Une main on ne peut plus criminelle vient de la jeter par l'entrebâillement de la lourde. Je fonce comme un fou dans le couloir en entraînant Béru. On vient à peine de débouler dans l'entrée qu'une explosion formidable retentit. Je pourrais essayer de vous l'exprimer avec des « rrraôum ! » des « vlangggg » et des « tziboum-babadoum » (les meilleurs), mais à quoi bon ? Et surtout à quoi bonds ? Et même, à quoi James Bond ? Ça plâtrarde partout. Y an une brèche dans la cloison. Par icelle, je coule un z'œil dans la cuisine. J'aimerais bien savoir ce qu'il est advenu (des Champs-Elysées) d'Alfred. Au milieu de ce bignt il a dû être décoiffé, le coquet. Je le vois pas, biscotte la fumaga. Le plaftard continue de faire des petits. Ça remue-ménage dans l'immeuble. Ça déménage ! Ça change de rue ! Les bouillaveurs changent de rut ! Les marchands de bagnoles change de ruses ! (Je peux vous en pondre commak à la pelle, ça ne me fatigue pas.)

Doukipudonktan, se demanda Gabriel, excédé. Pas possible, ils se nettoient jamais. Dans le journal, on dit qu'il y a pas onze pour cent des apparements à Paris qui ont des salles de bains, ça m'étonne pas, mais on peut se laver sans. Tous ceux-là qui m'entourent, ils doivent pas faire de grands efforts. D'un autre côté, c'est tout de même pas un choix parmi les plus crasseux de Paris. Y a pas de raison. C'est le hasard qui les a réunis. On peut pas supposer que les gens qu'attendent à la gare d'Austerlitz sentent plus mauvais que ceux qu'attendent à la gare de Lyon. Non vraiment, y a pas de raison. Tout de même quelle odeur.

T'avais ta gueule enfarinée, hein, grand saligaud qu'on l'asticotait nous Robinson, histoire de le faire grimper et de le mettre en boîte.

Vous savez Ferdinand qu'ils n'arrêtent même plus la nuit de se forniquer à longueur de rêves ces salauds-là ! ... C'est tout dire. Et je te creuse ! Et je te la dilate la jugeote ! Et je te me la tyrannise !

La sienne Robinson d'enfance, il ne savait plus par où la prendre quand il y pensait tellement qu'elle était pas drôle.

Au bord du quai les pêcheurs ne prenaient rien. Ils n'avaient même pas l'air de tenir beaucoup à en prendre des poissons. Les poissons devaient les connaître. Ils restaient là tous à faire semblant. Un joli dernier soleil tenait encore un peu de chaleur autour de nous, faisant sauter sur l'eau des petits reflets coupés de bleu et d'or. Du vent, il en venait du tout frais d'en face à travers mille feuilles, en rafales douces. On était bien. Deux heures pleines, on est resté ainsi à ne rien prendre, à ne rien faire. Et puis, la Seine est tournée au sombre et le coin du pont est devenu tout rouge du crépuscule. Le monde en passant sur le quai nous avait oubliés là, nous autres, entre la rive et l'eau.

La nuit est sortie de dessous les arches, elle est montée tout le long du château, elle a pris la façade, les fenêtres, l'une après l'autre, qui flambaient devant l'ombre. Et puis, elles se sont éteintes aussi les fenêtres.

Des précisions sur l'interro de vocabulaire...

« Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient. »

« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »

1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ?
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ?

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Merci d'avoir posé votre candidature à l'université de Starvumbicincetitale. C'est avec grand plaisir que nous ne pouvons pas vous offrir une place dans notre nouvelle classe de première année.

Nous sommes conscients qu'à ce stade du courrier électronique, vous avez déjà commencé à vous dire que vous seriez plus qu'heureux dans votre école de sécurité (alerte spoiler : vous ne le serez pas), mais nous aimerions vous donner un aperçu de notre processus décisionnel, qui est opaque. Cette année, nous avons reçu un nombre sans précédent de 10 millions de candidatures pour les 12 places de notre classe de première année, et avec notre équipe d'admission composée de 9 étudiants de la filière anglaise surchargés de travail, nous n'avons tout simplement pas eu le temps d'examiner votre candidature de manière "holistique" traditionnelle.

Sachez que nous nous engageons toujours à examiner les candidatures de manière "holistique", tant que vous remplissez nos conditions d'admission simples. Comme nous étions à moitié obligés de rendre notre processus de test optionnel, nous avions moins d'informations que jamais pour vous examiner, et donc au lieu de notre marge habituelle de 0,01 en MPC non pondérée, nous n'avons pu examiner que le million d'entre vous avec des notes parfaites. Chaque membre de notre personnel a alors dû faire face à la tâche décourageante de lire 100 000 candidatures (et le reste nous l'avons simplement reporté - nous n'allions pas vous accepter de toute façon !), ce qui signifie que même avec notre délai d'une semaine et le flou de la "mi-décembre", nous n'avions que cinq secondes pour prendre une décision sur la question la plus importante de votre vie jusqu'à présent.

Nous vous remercions d'avoir soumis une candidature qui nous a permis d'arriver immédiatement à cette décision, que ce soit par votre choix déconcertant de postuler malgré une moyenne pondérée de 3,17 ou par votre inexplicable essai sur la façon dont "l'esprit de mes parents décédés s'est réincarné dans mon désir bouillant de participer à Starvumbicincetitale". Au lieu de bouder sur votre lit en position fœtale jusqu'au Nouvel An, envisagez quelques alternatives :

Essayez de lire les livres que vous avez déclaré aimer sur votre demande. Pensiez-vous vraiment pouvoir nous convaincre que La lettre écarlate était votre livre préféré ? Nous comprenons, vous étiez doué dans votre enfance et vous lisiez beaucoup à l'époque, mais nous savons que tout ce que vous faites aujourd'hui, c'est parcourir Reddit.

Continuez le travail d'intérêt général que vous avez fait pendant deux semaines en première année et que vous avez ensuite extrapolé sur le reste de votre carrière au lycée. Bien sûr, vous avez peut-être pensé au travail d'intérêt général pendant deux heures la semaine dernière, mais comment avez-vous réussi à faire quelque chose pendant "quatre ans" et n'avez rien à y gagner ?

Appliquez-vous à une autre sécurité - nous savons que votre estime de soi est directement liée à votre réussite perçue, et vous pourriez vraiment avoir besoin d'un coup de pouce pour votre ego en ce moment même.

Pour rappel, cette décision est définitive et il n'y a pas de procédure d'appel.

Le vôtre est en perpétuel dégoût,

Starvumbicincetitale Admissions à l'université


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Savoir sans voir est au cœur de la chimie.

Philosophie du cours

-3 cuillères à soupe de beurre

-2 œufs, fouettés

-2 carottes moyennes

-1 petit oignon blanc

-1/2 tasse de petits pois surgelés

-3 gousses d'ail

-sel et poivre

-4 tasses de riz cuit et réfrigéré

-3-4 oignons verts

-sauce de soja (à goûter)

-2 cuillères à café de sauce aux huîtres (facultatif)

-1/2 cuillère à café d'huile de sésame grillé

Je parie que vous n'avez pas lu ces chiffres.

Je vais vous confier un secret - moi non plus.

Les ingrédients ci-dessus ont été copiés et collés à partir du premier résultat de recherche Google pour "recette de riz frit". Mais, sans vouloir manquer de respect au propriétaire de la recette, je peux vous dire que c'est faux.

La seule vraie recette de riz frit est l'absence de recette. Il n'y a pas de mesures, pas d'instructions précises, pas de minuteur pour savoir combien de temps quelque chose doit grésiller dans la casserole. Il n'y a que des odeurs, des sensations et des souvenirs. J'ai appris à cuisiner du riz frit sur le tabouret branlant recouvert d'autocollants Blues Clues, entouré par les odeurs du tablier Minnie Mouse de mon nainai, du pull en cachemire de mon yéyé ou du shampoing Pantene de ma mère ; dans le confort de notre confortable appartement et de notre étouffant appartement de Hángzhou ; en regardant les œufs craquer sur de délicats bols en porcelaine, jetés et remués dans des woks à l'aide de spatules en bois inclinées. Nous avons utilisé les restes de riz que nous avions, le nombre d'œufs que nous trouvions approprié et une combinaison de tout et de rien qui se trouvait dans le réfrigérateur.

Et pourtant -

J'ai toujours été plus un boulanger qu'un cuisinier. J'aime les recettes - j'aime être précis et trouver des détails, ajuster, niveler et peser. D'autres personnes auront des recettes transmises par leurs arrière-grands-parents ; moi, j'aurai des souvenirs, qui me sont chers, mais pas moyen de transmettre autre chose que la reconstitution de moments d'enfance. Dès mon plus jeune âge, j'ai trouvé du réconfort dans les recettes de pâtisserie méticuleuses que l'on trouve dans les livres de cuisine occidentaux.

Cette convoitise de tout ce qui est exact ne se retrouve pas dans le reste de ma vie. Ma mère vous dira que mon bureau est en désordre - je l'appelle "la place pour la licence créative". Ma mère vous dira que mon placard est aussi en désordre - je l'appelle "la curiosité à la mode". Ma mère vous dira que ma vie est parfois, vous l'avez deviné !, un désordre. Je l'appelle MAPWIFOWISTBSIDMOTBOML, aussi connu sous le nom de "ma phase artistique où je suis en train de trouver qui je suis supposé être, je me suis jeté moi-même, je suis organisé beaucoup plus tard". C'est une bouchée, alors je l'ai raccourcie, évidemment.

D'un autre côté, j'aime mesurer le liquide dans mon cylindre gradué à partir du bas du ménisque. Si votre SMS contient une faute de frappe, je ressens le besoin lancinant de vous corriger. Si le cygne en origami que j'ai plié a une queue inégale, je le démonterai et je recommencerai. (Cela a certainement été préjudiciable à ma vie pendant la mission de mon collège qui consistait à plier 3 000 cygnes en papier).

Mais je comprends la beauté de la spontanéité et de la création organique. Il y a quelque chose de spécial à réaliser qu'il n'y aura jamais deux recréations du riz frit de mon grand-père qui seront identiques, et vraiment, n'est-ce pas ce qu'est la vie ? La création, sans recette ?

C'est drôle. Cela contredit peut-être tout ce que j'ai écrit jusqu'à présent, mais plus je fais de la pâtisserie, plus je me rends compte que la pâtisserie est peut-être aussi spontanée. Je n'ai pas toujours besoin de peser ma farine au préalable pour obtenir des biscuits parfaits, ni d'ajouter les quantités de sucre abondantes que la recette exige. Ma spécialité, ce sont les brownies, mais je me suis mise au défi d'utiliser une recette différente à chaque fois. Vous seriez surpris du goût différent des brownies si vous y ajoutiez un œuf et vous seriez particulièrement incertain de mes compétences en matière de pâtisserie si vous essayiez mes brownies qui contiennent beaucoup trop de bicarbonate de soude (essais et erreurs...).

J'apprends à aimer l'improvisation. Ce n'est pas incompatible avec une précision aimante, et cela fait tellement partie intégrante de ma culture, que je ne pourrais pas le faire autrement. Accepter et embrasser l'inconnu est effrayant et c'est certainement un processus, mais je vous assure : Un jour, je maîtriserai mon propre riz frit.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

D'aussi loin que je me souvienne, l'un de mes passe-temps favoris a été de manipuler ces permutations délicates de 26 lettres pour remplir cette signature, le tableau quadrillé vert vif de la Roue de la Fortune.

Chaque soir, à 18h30 précises, ma famille et moi nous réunissons inlassablement dans notre salon en attendant l'annonce joyeuse de Pat Sajak : "Il est temps de faire tourner la roue !" Et le jeu est lancé, notre badinage ponctué par le potentiel de grosses récompenses ou de faillites encore plus importantes : "Elle doit connaître ce mot - mon Dieu, pourquoi achète-t-elle une voyelle ?!"
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Alors qu'un jeu comme La Roue de la fortune est plein de pièges financiers, je n'ai jamais été très intéressé par l'argent ou les nouvelles voitures à gagner. Je me suis retrouvé attiré par les lettres et l'application ludique de l'alphabet anglais, les unités complexes de la langue.

Par exemple, des phrases comme "I love you", dont l'incroyable émotion est quantifiée à un simple ensemble de huit lettres, ne cessent de m'étonner. Qu'il s'agisse de l'émotion définitive d'un simple "je suis" ou d'une crise existentielle posée par le "je suis", j'ai reconnu très tôt l'impact des lettres et de leur ordre sur le langage.

Les abeilles orthographes ont toujours été mon point fort. J'ai toujours été capable de visualiser les mots, puis d'enchaîner verbalement les consonnes et les voyelles individuelles. Je ne connaissais peut-être pas la signification de chaque mot que j'épelais, mais je savais que le soliloque me poussait toujours à bout : cette fin -quy était si bizarre et pourtant mémorable ! Et la taille-douce avec son "g" silencieux a roulé sur la langue comme du beurre de culture.

Finalement, les lettres se sont assemblées pour former des mots plus grands et plus complexes.

J'étais un lecteur passionné au début, dévorant livre après livre. De la série Magic Treehouse au trop réel 1984, en passant par l'angoissant The Bell Jar et les nouvelles pittoresques de Tagore, j'ai accumulé un océan de nouveaux mots, certains réels (épitome, effervescence, apricité), et d'autres entièrement fictifs (doubleplusgood), et j'ai rassemblé tous mes favoris dans un petit journal, ma Panoplie de mots.

Ajoutez à cela le fait que j'ai été élevé dans un foyer bengali et que j'ai étudié l'espagnol au lycée pendant quatre ans, et j'ai pu ajouter d'autres mots exotiques. Sinfin, zanahoria, katukutu et churanto ont rapidement pris la place qui leur revenait aux côtés de mes préférés anglais.

Et pourtant, pendant cette période d'enrichissement du vocabulaire, je n'ai jamais pensé que l'anglais des études supérieures et la biologie avaient beaucoup en commun. Imaginez ma surprise un soir de première année, alors que je feuilletais nonchalamment un manuel de sciences. Je suis tombé sur de nouveaux termes fascinants : adiabatique, axiome, cotylédon, phalanges... et je ne pouvais pas m'empêcher de me demander pourquoi ces mots non littéraires, apparemment aléatoires, m'attiraient. Ces mots avaient des syllabes acérées, étaient difficiles à énoncer et ne possédaient pas de sens particulièrement abstrait.

J'étais ébahi, mais curieux... je continuais à lire.

"L'air dans le moteur se comprime rapidement..."

"Vérité mathématique incontestable..."

"Une feuille naissante dans un angiosperme..."

"Des os de doigts et d'orteils ossifiés...
Mon collège était une école modèle (dans laquelle les éducateurs venaient assister à nos cours et apprenaient de la façon dont on nous enseignait), et nous avions un certain nombre de parrainages d'entreprises, donc l'une des choses que les enseignants aimaient faire avec l'argent était de nous emmener à l'étranger après nous avoir enseigné l'histoire de l'endroit où nous allions. En huitième année, nous sommes allés à Johannesburg, et la première moitié du voyage a été consacrée au service communautaire, et la seconde moitié à des safaris dans des régions plus éloignées. Bien que nous ayons mangé dans des restaurants de maisons de personnes vivant dans des zones très pauvres, j'ai été choqué de constater que nous n'avions pas de problème avec la nourriture avant d'arriver à la station de vacances en pleine nature. Ces derniers jours, deux étudiants et moi-même avons été victimes d'une intoxication alimentaire et, apparemment, au cours des années passées, deux étudiants tombaient toujours malades lorsqu'ils séjournaient dans cette station, ce qui me rendait perplexe quant à la raison pour laquelle ils choisissaient d'y rester année après année. J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital, et de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème réel était un coup de chaleur, exacerbé par une intoxication alimentaire). D'une part, ils ne croyaient pas que je disais la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et je devais demander à mes camarades de classe de me donner leurs médicaments anti-nausée (nous avons chacun reçu une petite trousse médicale avant de partir) parce que les chaperons n'avaient pas de magasin à eux, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais probablement bien pendant les quatorze heures de vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important pour moi de me préparer à toute éventualité, et que je dois faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.










Mon collège était une « école modèle » (dans laquelle des éducateurs venaient assister à nos cours et apprendre de la façon dont on nous enseignait), et nous avions un certain nombre de parrainages d'entreprises, donc l'une des choses que les professeurs aimaient faire avec cet argent était de nous emmener à l'étranger après nous avoir enseigné l'histoire de l'endroit où nous allions. En huitième année, nous sommes allés à Johannesbourg ; la première moitié du voyage a été consacrée au bénévolat, et la seconde moitié à des excursions et des safaris dans la nature. Cela m'a choqué qu'il n'y ait eu aucun problème de nourriture pour nous jusqu'à ce que nous arrivions à l'hôtel-club, bien que nous ayons mangé dans des restaurants clandestins dans des bidonvilles. Ces derniers jours, quelques étudiants et moi-même avons été victimes d'une intoxication alimentaire et, apparemment, au cours des années passées, quelques étudiants étaient toujours tombés malades pendant leur séjour dans cette station, ce qui me rendait perplexe quant à la raison pour laquelle ils choisissaient d'y rester année après année. J'ai fini par devoir rester quelques jours à l'hôpital, et de temps en temps, je pense à la mauvaise gestion de la situation par l'école, et au fait que s'ils avaient été correctement préparés, je n'aurais pas eu à aller à l'hôpital (le problème véritable était un coup de chaleur, exacerbé par l'intoxication alimentaire).

D'une part, ils ne croyaient pas que je disais la vérité sur ma maladie jusqu'à ce que nous soyons sur le point de prendre l'avion pour rentrer à la maison, et j'ai dû demander à mes camarades de classe de me donner leur médicament anti-nausée (nous avons chacun reçu une petite trousse médicale avant de partir) parce que les chaperons n'avaient pas de magasin à eux, et le dernier jour, on m'a dit de rationner ce qui restait et que j'irais probablement bien pendant les quatorze heures de vol de retour. Cette expérience m'a appris qu'il est important pour moi de me préparer à toute éventualité, et que je dois faire savoir très clairement si je suis mal à l'aise avant qu'il ne soit trop tard.
...et puis ça m'a frappé. Malgré tout mon intérêt pour les cours de STEM, je n'ai jamais pleinement saisi la beauté du langage technique, le fait que les mots ont le pouvoir de communiquer simultanément des idées et des sensations infinies ET des relations complexes et des processus complexes.

C'est peut-être la raison pour laquelle mon amour des mots m'a conduit à une vocation scientifique, une opportunité de mieux comprendre les parties qui permettent au monde de fonctionner. À la fin de la journée, c'est le langage qui est peut-être l'outil le plus important dans l'éducation scientifique, nous permettant à tous de communiquer de nouvelles découvertes de manière compréhensible, qu'elles soient axées sur de minuscules atomes ou sur de vastes galaxies.

Il est à la fois humiliant et passionnant de penser que moi, Romila, j'ai peut-être encore quelque chose à ajouter à ce glossaire scientifique, une petite permutation de mon cru qui pourrait transcender certains aspects de la compréhension humaine. Qui sait, mais je suis bien décidée à faire tourner la roue, Pat, et à voir où cela me mène...

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J'ai réussi à me libérer de l'emprise de ma mère, j'ai chargé. Avec les bras qui battent et les jambes potelées qui flottent sous moi, j'étais le féroce enfant de deux ans qui se déchaînait sur Costco un samedi matin. Les yeux de ma mère s'écarquillaient d'horreur lorsque je lâchais mon churro ; la fusée au sucre de cannelle se frayait un chemin dans l'air avec grâce tandis que je continuais ma folie. J'ai sprinté dans les allées, regardant avec émerveillement les produits en vrac massifs qui me dominaient. Accablé d'émerveillement, je voulais toucher et goûter, mettre la tête dans des congélateurs de taille industrielle, explorer chaque recoin. J'étais un conquistador, mais plutôt que de chercher l'Eldorado, j'ai parcouru les allées à la recherche d'échantillons gratuits. Avant d'être inévitablement emporté dans un chariot, j'ai escaladé une montagne de peluches et j'ai exploré l'étendue qui s'étendait devant moi : le royaume de Costco.

Connu pour ses portions surdimensionnées et son assortiment de hot-dogs à un dollar cinquante, Costco est le sommet du consumérisme. Depuis les jours passés à faire les courses dans un chariot jusqu'au moment où j'ai enfin été assez grand pour atteindre de hauts plateaux d'échantillons, Costco a été présent tout au long de ma vie. En tant qu'acheteur vétéran de Costco, je navigue dans les allées des produits alimentaires, en jetant la majeure partie de mon poids sur un chariot généreusement rempli dont l'énormité juxtapose mon petit cadre. Au fil du temps, j'ai pris l'habitude d'observer mes collègues clients entasser dans leur chariot des burritos congelés, des soufflés au fromage, des pots de glace et des compléments alimentaires pour la perte de poids. En parcourant les allées, j'ai eu le temps de réfléchir. Qui a besoin d'un kilo de crème aigre ? Le yogourt cultivé était-il plus apprécié que son homologue non cultivé ? Costco a donné naissance à ma curiosité sans limite.

Tout en dégustant un hot-dog obligatoire, je ne me suis pas surpris à penser aux qualités "tout bœuf" dont Costco se vantait. J'ai plutôt envisagé des finitudes et des infinitudes, des utilisations inimaginables pour des pots de crème aigre, le mouvement de projectile dudit pot lorsqu'il est lancé d'une étagère de quatre-vingts pieds ou peut-être lorsqu'il est poussé d'une charrette rapide par un jeune maigre de dix-sept ans. J'ai réfléchi à la question philosophique suivante : s'il existe un pot de Nutella d'une contenance de trois onces, avons-nous vraiment le libre arbitre ? J'ai vécu une dure leçon de physique en observant un acheteur qui n'avait aucune familiarité évidente avec le fonctionnement de l'inertie. Avec un chariot rempli à ras bord, elle s'est dirigée vers la sortie en pente, continuant à pousser et à pousser tout en perdant progressivement le contrôle jusqu'à ce que le chariot lui échappe et s'écrase contre une colonne de béton, un écran plasma de 52 pouces et tout le reste. L'achat du jambon fumé de Yuletide Hickory a inévitablement conduit à une conversation entre mon père et moi sur la controverse d'Andrew Jackson. Le dévouement de Old Hickory n'était pas remis en question ; il était inébranlable dans ses convictions et ses activités - des qualités que je suis obligé d'admirer, et pourtant sa morale était tordue. Nous avons tous deux trouvé le jambon plus agréable et plus tendre.

J'ai adopté mes talents d'explorateur, affinés par Costco, pour mes efforts intellectuels. Tout comme j'ai goûté à la sauce au poulet de buffle ou aux truffes au chocolat, j'ai sondé les domaines de l'histoire, de la danse et de la biologie, à la recherche de la charrette idéale, qui déborde de situations théoriques et de notions à la fois idiotes et sérieuses. J'ai goûté au calcul, à la course de fond, à la recherche scientifique, qui sont aujourd'hui les préférés des ménages. Avec le chariot en main, je fais ce qui me fait peur ; j'absorbe l'entrepôt qu'est le monde. Que ce soit en essayant le yoga aérien, en apprenant à cartographier les radiations du corps noir à l'aide d'un logiciel d'astronomie ou en dansant devant des centaines de personnes, je suis obligé d'essayer toute activité qui m'intéresse le moins du monde.

Mon désir intense de connaître, d'explorer au-delà des limites de la pensée rationnelle ; c'est ce qui me définit. Costco alimente mon insatiabilité et cultive la curiosité en moi au niveau cellulaire. Encodé pour m'immerger dans l'inconnu, j'ai du mal à accepter avec complaisance le "quoi" ; je veux chasser le "pourquoi" et disséquer le "comment". En substance, je vis de la découverte.

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Il s'agit d'un cours de chimie accéléré. Il est conçu comme un cours d'un an qui s'efforcera de couvrir deux années de chimie en une seule. Le rythme de ce cours devrait être rapide et la profondeur stimulante. Le cours introduira les concepts et les idées fondamentales de la chimie par l'expérimentation, la résolution de problèmes et la discussion. Il est prévu que vous suiviez le rythme du cours. Il est impératif que vous vous engagiez dans la préparation et le déroulement de ce cours.

Créer une atmosphère d'inclusion et de coopération
Ce travail appartient à chacun d'entre nous dans cette classe. Voici un aperçu des normes de la classe et des directives de conduite.
Normes de classe : Les mesures spécifiques que nous prendrons pour entretenir cette atmosphère...
Nous apprendrons et utiliserons les noms des uns et des autres.
Nous nous traiterons mutuellement de la manière dont nous aimerions être traités.
Nous utiliserons un langage qui rendra l'environnement de la classe accessible et sûr pour tous.
Nous écouterons attentivement les questions et les idées des autres.
Nous nous efforcerons de faire en sorte que la compréhension et l'apprentissage des autres soient aussi importants que les nôtres.
Lignes directrices de conduite : Des attentes spécifiques pour chacun d'entre vous...
Partager équitablement le temps d'antenne. Connaissez-vous, équilibrez votre écoute et votre parole.
Valorisez les différences. N'oubliez pas que votre point de vue n'est pas le seul.
Assurez-vous que les autres se sentent en sécurité. La sécurité n'est pas la même chose que le confort.
Ayez votre propre impact. Vos intentions peuvent ne pas être les mêmes que votre impact sur les autres.

Attentes en matière de cours
Participation : La participation en classe est un élément essentiel de ce cours. L'apprentissage de la chimie est un processus et souvent le meilleur apprentissage se fait par la préparation individuelle et la participation en classe. Votre investissement contribuera à guider votre apprentissage et à soutenir celui de toute la classe. Vous devez vous efforcer d'offrir quelque chose, au moins, à chaque autre classe. Vous pouvez le faire soit pendant les discussions de toute la classe, soit dans le cadre de petits groupes de discussion. Participez. Bien sûr, la nature virtuelle de notre classe (en ce début de trimestre) pose quelques problèmes. Nous devons être attentifs à ces défis et travailler ensemble pour que la classe soit la meilleure possible.
Préparation : Investissez-vous dans ce cours en effectuant les lectures, en essayant de résoudre les problèmes et en respectant les délais des devoirs. Soyez prêt, faites le travail et restez maître de la situation.
La ponctualité : Nous aurons trois réunions synchrones (zoom, pour commencer) par semaine, qui sont obligatoires, et il y a une période par semaine où vous pouvez avoir un devoir à rendre, un problème à résoudre ou une activité à réaliser. Veuillez être présent et à l'heure pour nos réunions synchrones.

Conseils pour réussir
Restez à la pointe de l'information. Ce cours est cumulatif. Vous aurez besoin d'une bonne partie des sujets que vous avez étudiés cet automne. Nous continuerons à renforcer et à développer notre compréhension au cours du semestre.
Soyez curieux. La plupart des découvertes scientifiques ont eu lieu parce que quelqu'un était curieux, à propos de quelque chose qu'il avait observé ou sur lequel il s'était interrogé. L'apprentissage de la science est également plus efficace si son fondement est la curiosité et l'émerveillement.
Posez des questions. Le cours est plus efficace et votre apprentissage sera plus approfondi si vous posez des questions sur des sujets que vous ne comprenez pas ou sur lesquels vous êtes confus. Travaillons ensemble pour tirer le meilleur parti du temps que nous passerons en classe cet automne.

Zoom Etiquette
c'est votre classe - faites ce que vous pouvez pour qu'elle soit la meilleure !
vérifiez votre technologie au préalable - caméra, vidéo, microphone
s'habiller de manière appropriée et s'assurer que vos antécédents sont acceptables pour nous tous
lorsque vous entrez dans une classe de zoom, ayez votre appareil photo allumé et votre micro en sourdine
bien sûr, si vous êtes en avance sur les cours, n'hésitez pas à rétablir le son et à dire bonjour
réduire au minimum le bruit de fond, c'est-à-dire mettre votre téléphone en sourdine et désactiver les notifications de votre ordinateur
gardez votre micro en mode silencieux jusqu'à ce que vous souhaitiez contribuer - il n'est pas nécessaire de lever la main - gardez simplement à l'esprit que le zoom a été conçu pour un seul orateur - soyez attentif au fait que si deux d'entre vous commencent à parler en même temps, cela peut prêter à confusion
ne pas être multitâche, rester concentré sur la discussion en classe et sur votre apprentissage
Un point non négociable : votre écran doit être allumé pendant toute la durée du cours - vous êtes assis à la table virtuelle Harkness !

Boulons et écrous (alias politiques de cours)

Matériel nécessaire

Texte : Chimie : La nature moléculaire de la matière, Jespersen et Hyslop, 7e éd.

Calculatrice avec solveur : suivez les conseils de votre professeur de mathématiques

Matériaux recommandés

Tableau périodique plastifié ou photocopié (pour faciliter l'utilisation)

Un classeur à trois anneaux - pour garder vos documents organisés et prêts à être étudiés.

Devoirs

Tous les devoirs et le matériel de cours seront affichés sur Canvas. Chaque semaine, il y aura un affichage du contenu de chaque cours de la semaine. Il y aura également des devoirs à faire à la maison après chaque cours, généralement pour être prêt pour la prochaine réunion de classe. Faites attention aux dates d'échéance et aux délais. Je vous suggère de consulter Canvas le lundi matin (ou le dimanche soir) pour vous faire une idée précise de ce qui est attendu cette semaine. Les principaux devoirs ou évaluations seront affichés dans votre calendrier.

Politique de notation
le tireur

Votre note finale sera basée sur le total des points obtenus par rapport au total des points possibles. Voici les valeurs approximatives des points (elles peuvent varier) :

Tests (évaluations) : 50-780 points

Rédactions et activités du laboratoire : 25-45 points

Problème noté ou devoir : 10 - 25 points

Postes de discussion sur la toile : 1-5 points

Remarque : toutes les notes seront affichées dans Canvas - vous pourrez ainsi suivre et contrôler vos progrès.

Échelle de notation (selon le département des sciences)

100 - 93,4% A 93,3 - 90,0% A-

89,9 - 86,7% B+ 86,6 - 83,4% B 83,3 - 80,0% B-

79,9 - 76,7% C+ 76,6 - 73,4% C 73,3 - 70,0% C-

69,9 - 66,7% D+ 66,6 - 63,4% D 63,3 - 60,0% D-

Participation aux cours : Vos efforts pour répondre aux attentes du cours et pour construire et maintenir une communauté de classe inclusive et coopérative peuvent faire augmenter votre note finale jusqu'à 1 %.

Politique en matière de travaux en retard (travaux notés) :

Devoir tardif : la note du devoir est réduite d'un tiers de note pour chaque jour de classe jusqu'à la réception du devoir, après trois jours la note est un zéro
Absences excusées : si vous n'êtes pas en classe pour une raison excusée - il n'y a pas de pénalité - le devoir doit être rendu le jour de classe suivant
Absences non excusées : les missions seront considérées comme tardives et pénalisées en tant que telles
Prolongations : si vous avez besoin d'une prolongation pour un travail noté, veuillez en faire la demande au moins 24 heures avant l'échéance du travail. Si vous demandez plusieurs prolongations, nous nous réunirons pour discuter de la meilleure façon de vous préparer pour ce cours et de gérer votre temps

Une aide supplémentaire : Les heures de bureau sont prévues les jeudis de cet hiver de 22h55 à 23h40. Le lien Zoom est disponible dans la section "heures de réunion de classe" de ce module. Ce lien fonctionnera pendant tout le trimestre. Je trouve souvent que les nombreuses questions ou problèmes liés au matériel peuvent être résolus en 10-15 minutes. Demandez de l'aide - c'est pour cela que je suis là !
le yachtman

Je vous présente un récit autobiographique de la chaîne d'événements qui a provoqué une période chaotique et mouvementée de ma vie. Je vous prie de rester à proximité pendant quelques instants seulement pour me raconter comment je me suis métamorphosé en l'héritier présomptif de la municipalité appelée Bel-Air, en Californie. Au milieu de l'ouest de Philadelphie, j'ai été ramené à la vie et j'ai été nourri. Une grande partie de ma jeunesse et de mon adolescence a été consacrée aux installations de divertissement en plein air du parc. En compagnie de mes camarades, en faisant la fête au maximum de mes capacités et en me détendant, je participais souvent à un match amical de basket-ball dans l'arène de l'école. C'est au cours de l'une de ces excursions qu'un couple de camarades de jeu a fait preuve de malveillance. Je n'ai pris part qu'à une seule escarmouche, mais ma mère s'est plongée dans la peur et m'a alors ordonné de transférer ma résidence de son logement à celui de ma tante et de mon oncle à Bel-Air, en Californie. Je me suis mis à héler un taxi et, à son arrivée, j'ai fait une inscription sur la plaque d'immatriculation qui disait "FRESH" et j'ai été intrigué par une paire de dés drapés sur le rétroviseur. On pourrait à tout le moins affirmer que ce taxi était atypique ; cependant, j'en suis venu à la conclusion que se remémorer cette occasion à l'avenir serait une entreprise infructueuse, aussi au lieu de tenter d'implanter cet incident dans ma mémoire, j'ai imploré le chauffeur de me transporter à ma destination de Bel-Air, en Californie. Vers la septième ou huitième heure, je suis descendu et j'ai informé le chauffeur que je prendrais inévitablement connaissance de son odeur à un moment ultérieur. À ce moment-là, j'ai vu ma nouvelle demeure et j'ai compris que ma mission de devenir l'héritier présomptif de Bel-Air, en Californie, était accomplie.

Oui, c'était mon travail d'été de servir des glaces aux clients, mais ce sont vraiment les clients qui me servaient des glaces. Et en cours de route, j'ai appris quelque chose sur les menaces violentes.
L'avion qui nous transportait tous de l'église a atterri au Costa Rica et nous avons été embarqués dans un vieux bus délabré. Nous avons voyagé au plus profond de la forêt, toute trace de civilisation ayant disparu. Et c'est là que j'ai réalisé que je n'appartenais à aucun groupe religieux. Et tous ces gens "d'église" étaient membres d'une force paramilitaire radicale anti-gouvernementale. J'étais censé rendre visite à ma grand-mère à Seattle. Je me suis trompé d'avion ! Quoi qu'il en soit, j'ai aidé à renverser le gouvernement. Mais en fin de compte, c'est le gouvernement qui m'a renversé.
Quand le moment est venu d'enterrer grand-mère, tout le monde a eu son opinion. Papa a dit qu'on devrait lire de la poésie. Ma soeur voulait chanter une chanson et distribuer les paroles à tout le monde. Mes oncles et mes tantes n'arrivaient pas à décider où organiser la réception après l'enterrement et quel genre de nourriture préparer. Grand-mère voulait qu'on arrête de la salir parce qu'elle insistait sur le fait qu'elle n'était pas morte. Tout le monde n'a pas eu ce qu'il voulait, mais ce sont nos différences qui font de nous une famille.
Collège. Qu'est-ce que c'est ? Selon mon dictionnaire, le collège est défini comme "un vieux cheval meurtri dont les habitants se moquent". J'ai trouvé mon dictionnaire dans une benne à ordures derrière un Arby's et je ne pense pas que ce soit un très bon dictionnaire et peut-être que c'est juste une brochure sur la location de fêtes d'animaux. Mais laissez-moi vous demander ceci : les dictionnaires de votre "collège" sont-ils meilleurs ? J'espère que oui. Les normes académiques de la benne ont vraiment commencé à déraper.
Quand nous avons trouvé Fluffy, il était en assez mauvais état, barbouillé de terre, sifflant sur la défensive, et essayant de trouver quelque chose à manger dans les ordures. En d'autres termes, c'était le chat le plus triste qu'on ait jamais vu. Mes parents ne voulaient pas qu'on l'accueille, disant que nous n'étions pas en mesure de nous occuper d'un chat, que c'était trop de travail, de factures de vétérinaire, bla bla bla, mais ils ont fini par céder (merci, menaces violentes !) à la condition que nous le gardions dans la chambre de ma soeur. Fluffy a mangé toute la nourriture que nous lui avons donnée, mais il a continué à siffler et quoi que nous fassions, nous ne pouvions pas lui enlever les traces de saleté noire. Lorsque nous l'avons emmené chez le vétérinaire pour un examen, celui-ci nous a dit : "C'est un raton laveur ! Mais nous savions que le vétérinaire essayait juste de nous piéger. Nous avons tellement de profondes éraflures maintenant. Et la rage.
Je serai le premier de ma famille à aller à l'université. C'est parce que je suis le premier de ma famille à m'échapper de la cabane à outils enchantée après que nous ayons été emprisonnés par le roi des trolls. Je suis le seul à avoir résolu l'énigme du Roi des Trolls. Je pourrais crier la réponse à mes frères et sœurs et à mes parents pour qu'ils puissent eux aussi s'en sortir, mais où est le plaisir dans tout ça ?
Je serai le premier de ma famille à fréquenter l'université. Je ne serai pas le premier à essayer. Beaucoup ont déjà essayé dans le passé. Ils ont fait une demande, ont été acceptés, ont payé les frais de scolarité, ont fait leurs bagages et sont partis pour le campus. Mais ils se font toujours capturer par le roi des trolls. C'est triste, mais d'une autre manière, c'est un exemple de la terrible beauté de la nature.
Les enfants se moquaient toujours de mon apparence. "Tu vis dans une grange ?", "Pourquoi ne portes-tu pas les vêtements cool comme nous ?", "Hé, tu ne portes pas de vêtements du tout !", "Comment as-tu fait pousser une barbe si jeune ?", "Ce sont de vraies cornes ?", "Ce n'est qu'une chèvre, n'est-ce pas ?", "Est-il même légal d'avoir une chèvre dans cette classe ?", "Le Roi des Trolls était-il impliqué d'une manière ou d'une autre ?" Mais moi, je me contentais de rire à gorge déployée. Il m'a fallu plusieurs heures pour taper ça à cause de mes sabots fendus.
Ce qui est le plus excitant à l'université, ce sont les questions auxquelles je pourrais enfin obtenir des réponses. Des questions comme "Qu'est-ce que tu es, un petit malin ?", "Que dirais-tu d'un sandwich au poing américain ?" et "Pensez-vous que je suis une sorte de palooka ?" Je suis un dur de la rue des années 20 de Brooklyn qui a découvert une machine à remonter le temps. Pour moi, c'est soit votre école d'apprentissage de livres fantaisistes, soit une autre année à l'école Da des coups durs ! J'ai la polio.
Chaque enfant de l'école finit par être connu pour quelque chose. Le quarterback. La pom-pom girl. Le gamin aux cheveux longs qui traîne avec le gamin de la fanfare qui porte le fedora. Le stagiaire du gang gothique. Le gamin qui a créé un modèle en papier mâché sinistrement réaliste de la chef de la cantine mais qui n'entre jamais dans la cantine avec. Gross Angela. Le gamin qui rampe à travers les chevrons et, soyons honnêtes, n'est pas réel. Le gamin technicien du théâtre avec un couteau. Eric Roberts. Il peut être difficile de se démarquer vraiment dans notre école. Et puis il y a moi : le garçon qui a toujours au moins cent pénis.
Je regardais les grandes maisons de ma ville et je souhaitais que ma famille puisse y vivre. Non pas que mes parents ne soient jamais allés dans ces maisons parce qu'ils y sont allés. En tant que femmes de ménage. C'était leur travail. Je savais que même si maman et papa ne pouvaient pas se permettre un tel endroit, ils travaillaient dur, allant parfois nettoyer ces maisons au milieu de la nuit mais souvent au milieu de la journée quand il n'y avait personne. Je suppose que les propriétaires ne voulaient même pas voir mes parents. Maman et papa rentraient à la maison avec de grands sacs remplis d'or, de bijoux et d'argent qu'ils disaient avoir trouvé sur le trottoir. Je suppose que Dieu veillait sur maman et papa et les aimait beaucoup. Maintenant, nous vivons dans une VRAIE grande maison. C'est comme si papa disait toujours : "Ne dis rien !"
Il est rare que les gens de ma communauté aillent à l'université. La plupart du temps, on naît, on grandit, on travaille au bord de la mer et on meurt. Les gens ne passent pas beaucoup de temps à apprendre la philosophie ou à lire les grands romans ; ils s'intéressent plutôt à la capture de crabes, de mollusques ou de petits poissons. Tout ce que vos longues tentacules charnues peuvent prendre au piège, vraiment. Le romantisme est inouï lorsque le bourgeonnement asexué est une option. Mais moi, je suis différent. Je veux être la première anémone de mer de mon groupe à fréquenter une grande université et à me spécialiser dans le théâtre musical. J'aurai besoin d'une série de cuves et de pompes assez élaborées.
Moi, roi des trolls. Moi aller à l'université ou moi casser l'université. Moi attendre votre réponse.
récemment
triathlon
nouvellement
arrivée
L'humour peut être disséqué, comme le fait une grenouille, mais la chose meurt au cours du processus et les entrailles sont décourageantes pour tout le monde, sauf pour l'esprit scientifique pur.

Analyser l'humour, c'est comme disséquer une grenouille. Peu de gens s'y intéressent et la grenouille en meurt.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Collaboration sur les missions écrites
Et qu'est-ce que j'en ai pensé ? J'ai été exclu de mon groupe d'amis, injustement contraint à la détention et aux corrections, et je suis devenu le paria de ma classe. Alors, qu'est-ce que j'en ai pensé ? Non, je n'ai pas pensé. J'ai pleuré.
Dans le "monde réel", la science est un travail de groupe. Cependant, lorsque deux ou plusieurs personnes travaillent ensemble sur un projet, la collaboration est reconnue. En même temps, nous voulons être sûrs que vous comprenez ce qui constitue une collaboration appropriée et que vous reconnaissez quand vous devez reconnaître l'aide que vous recevez des autres.
crasse à boyaux
Souvent, la meilleure façon d'apprendre quelque chose est d'essayer de le comprendre d'abord par vous-même, puis d'expliquer votre pensée à quelqu'un d'autre. Le moment où la collaboration devient malhonnête est celui où une personne fait tout ou presque tout le travail alors que l'autre personne ne prend pas activement part au processus d'apprentissage mais adopte simplement le travail et la pensée des autres comme siens. Si le travail que vous remettez est simplement le résultat de la pensée d'autrui, vous êtes malhonnête, à moins que vous ne documentiez soigneusement la ou les sources de ces pensées et de cet effort. Cela concerne aussi bien les données que l'interprétation des données. Les signes de malhonnêteté comprennent, entre autres : les solutions à des problèmes complexes qui ont des structures et/ou des noms de variables identiques ; les étapes sautées ; les réponses identiques mot à mot aux questions ; la même mauvaise réponse ; l'incapacité d'expliquer ou de refaire une réponse ou une solution.
s'investir

Bien que cela soit acceptable et que nous vous encouragions à discuter d'idées avec d'autres étudiants, le département des sciences considère comme un acte de malhonnêteté académique le fait de partager des travaux écrits, y compris les rapports de laboratoire et autres devoirs notés. Vous ne devez pas lire votre travail aux autres ou le leur donner à lire. De même, vous ne devez pas lire le travail de quelqu'un d'autre. Si un étudiant permet sciemment à un autre étudiant de lire un travail écrit qui sera noté, le département des sciences estime que les deux étudiants partagent une responsabilité égale et que, par conséquent, toute mesure disciplinaire qui s'ensuit peut être prise à l'encontre des deux.

Il peut arriver que l'on vous demande de remettre un rapport ou un travail de laboratoire de groupe. Dans ce cas, il est attendu que tous les membres du groupe contribuent aux idées et à la rédaction, et cette collaboration est reconnue par l'énumération de tous les auteurs du rapport. Il peut également arriver que votre professeur organise une "évaluation par les pairs" et vous demande de lire et de réviser le travail d'un camarade de classe. Il s'agit là d'exceptions à la politique susmentionnée.

Lorsque vous souhaitez inclure des réflexions ou des méthodes que vous avez apprises d'un de vos camarades de classe, veillez à mentionner la source de ce matériel.

Si vous ne savez pas si vos actes constituent ou non une malhonnêteté académique, parlez-en à votre professeur avant de remettre le travail.
Utilisation de calculatrices programmables et d'appareils électroniques

Lorsque votre professeur vous demande de mémoriser des éléments pour un quiz ou un test, par exemple des faits, des réactions, des formules, des équations, il est considéré comme malhonnête d'entrer ces informations dans la mémoire de votre calculatrice ou de tout autre appareil électronique et de les utiliser pendant un test. Si vous avez des doutes sur les informations qui seront fournies et sur ce qui doit être mémorisé, demandez à l'avance à votre professeur.

La malhonnêteté académique est un délit grave et entraîne généralement une sanction disciplinaire.

L'honnêteté est une valeur fondamentale de PEA. Sans honnêteté, la communauté et la confiance qui la soutient ne peuvent pas s'épanouir. Sans honnêteté académique, il ne peut y avoir de véritable enseignement et apprentissage.

Dans de nombreux cas, la malhonnêteté académique est synonyme de plagiat. Présenter le langage, les idées ou les jugements critiques des autres comme étant les siens est du plagiat. Paraphraser le langage, les idées ou les jugements critiques des autres sans en donner le crédit est du plagiat.

Mais la malhonnêteté académique peut également se référer à la soumission de votre propre travail précédent sans communication complète avec votre professeur actuel, et à la soumission du même travail simultanément dans différents cours. Et le fait de consulter des sources secondaires (en ligne ou sur papier) et de présenter ces idées comme étant les vôtres en classe viole l'intégrité de l'enseignement et de l'apprentissage qui s'y déroulent.

Si vous avez des questions sur ces principes, il est de votre responsabilité de les soulever avec votre professeur. Il vous appartient de comprendre comment utiliser les mots et les idées des autres, ainsi que votre propre travail antérieur. L'ignorance, la précipitation, la négligence et la pression des autres travaux ne peuvent excuser la malhonnêteté académique. Les étudiants qui sont reconnus coupables de malhonnêteté académique peuvent être obligés de se présenter devant le comité de discipline et de se retirer de l'Académie.

Si vous avez des questions à ce sujet, adressez-vous à votre professeur. (Août 2020)

Je ne pense pas que même nous, les âmes chanceuses de la côte Est, ayons encore une notion du temps.



Déclaration du département anglais sur les limites de la confidentialité

Dans les écrits que vous rédigez pour vos cours d'anglais, vous partagez parfois des histoires avec vos camarades de classe et vos professeurs sur votre vie. Nous sommes reconnaissants de nous voir confier ces histoires. Sachez que certaines informations ne pourront pas être gardées confidentielles par les enseignants. Dans les circonstances suivantes, les enseignants sont tenus par la loi de partager le travail des étudiants avec le doyen des étudiants ou le directeur du bien-être des étudiants et éventuellement avec d'autres adultes :

lorsqu'il existe une menace de préjudice pour eux-mêmes, pour autrui ou pour les biens ;
lorsqu'on craint que le bien-être d'un étudiant (même si cet étudiant n'est pas l'auteur) soit en danger ;
lorsqu'il y a des informations sur une inconduite sexuelle (telle que décrite aux pages 27 et 28 du livre électronique), y compris des contacts sexuels avec des personnes n'ayant pas atteint l'âge légal de consentement (16 ans), que l'inconduite sexuelle ait eu lieu ou non sur le campus ;
lorsqu'on soupçonne qu'un enfant (toute personne de moins de 18 ans) ou un adulte handicapé a été ou est maltraité ou négligé, que la maltraitance ou la négligence se soit produite ou non sur le campus ;
lorsqu'il y a des informations sur le bizutage d'étudiants, que ce bizutage ait eu lieu ou non sur le campus ;
lorsqu'il existe des informations provenant de la victime d'un acte criminel de vol, de destruction ou de violence couvert par la loi sur les zones scolaires sûres.

Sachez que si vous partagez ces informations par écrit, vous recevrez le soutien dont vous avez besoin. Si vous décidez de ne pas partager de telles informations dans vos écrits, nous espérons que vous les partagerez avec l'un des nombreux adultes sur le campus (au Centre de santé et de bien-être de Lamont et au Bureau du doyen des étudiants) qui sont là pour vous aider. Votre sécurité et votre bien-être sont nos principales préoccupations.

Veuillez consulter The E Book pour plus d'informations sur les lois du New Hampshire en matière de signalement obligatoire. (Août 2020)



Déclaration du département anglais sur le mot "N" (N-word)

Le mot "N" ne sera pas utilisé dans cette classe par une personne de quelque race que ce soit, même s'il apparaît systématiquement dans nos textes. Cette classe sera exempte de tout discours de haine concernant l'orientation sexuelle, l'expression de genre, la race et le statut ou le milieu socio-économique. De telles remarques incendiaires ne seront pas tolérées et ne seront pas contrôlées. Chaque membre de cette classe est chargé de favoriser un environnement dans lequel les personnes et leurs idées sont respectées.

[adapté de Koritha Mitchell]

(juillet 2020)

Toutes les réunions individuelles et les conférences sur papier auront lieu dans ma salle de réunion personnelle. Si d'autres étudiants s'entretiennent déjà avec moi, vous devrez peut-être attendre dans la salle d'attente.

Bienvenue à Beyond Korean Cool.

Les étudiants qui n'ont pas terminé les lectures assignées à la date prévue se trouveront dans une situation très désavantageuse lorsqu'on leur demandera de parler et d'écrire sur le texte étudié. Une lecture attentive du texte est essentielle si l'on veut avoir des discussions constructives. Annotez votre copie au fur et à mesure de votre lecture. Rédigez les questions qui vous viennent à l'esprit et recherchez les mots que vous ne connaissez pas et les mots familiers qui vous semblent importants. Soulignez les passages qui vous paraissent importants. Notez les endroits dans le texte où vous êtes confus ou avez une question. Observez où la langue vous entraîne.

Chaque élève aura un dossier sur Google Drive qui sera partagé uniquement avec Mme Knapp. Les devoirs seront rendus en les copiant dans ce dossier.

En cas d'urgence, vous pouvez m'appeler sur mon téléphone portable (603) 479-3548. Veuillez essayer d'avoir des urgences avant 21 heures. N'hésitez pas à envoyer des SMS avec des problèmes de devoirs.

Vous effectuerez les devoirs suivants :

Un document de 2 pages qui explore une idée que vous avez vue dans plusieurs histoires. Au fur et à mesure de votre lecture, commencez à remarquer des liens entre les différentes histoires. Rassemblez vos observations et examinez un fil conducteur dans au moins deux histoires. Faites des références précises au texte et citez les numéros de page en utilisant les citations de MLA dans le texte. Date limite : 18 décembre.

Un podcast. Plus d'informations présentées après la pause. Il s'agit de la principale tâche du cours, et elle sera due en mars.

Une présentation de groupe sur une période de l'histoire de la Corée, de l'occupation japonaise à nos jours. Nous y travaillerons en petits groupes après la pause.

Une réflexion sur les parasites.
méfiance
l'hexagone
Un court article sur La maison avec une cour engloutie.

Un court article sur Kim, Jiyoung, née en 1982.

Participation (forums de discussion et classes virtuelles) 40%.
Articles, présentations orales, devoirs et projets 60

Toutes les missions doivent avoir un titre.
Nom
Affectation
Anglais 587
Date

Si vous avez besoin d'une prolongation, veuillez me consulter bien avant la date limite. Les ébauches, les premières ébauches et les plans seront évalués comme des devoirs ; les élèves qui ne se présentent pas en classe avec des ébauches terminées à la date prévue recevront un zéro. Il est essentiel que vous veniez en classe avec votre brouillon pour que vos camarades puissent le réviser et obtenir un retour d'information. Si vous remettez un brouillon, vous pouvez demander une prolongation de deux jours pour le projet final. Si vous ne remettez pas votre brouillon à la date prévue, vous ne pouvez pas bénéficier d'une prolongation. Si vous ne rendez pas votre document dans les deux jours suivant la date limite, votre ébauche devient votre projet final et sera évalué. Les documents remis en retard qui ne font pas l'objet d'un accord de prolongation seront notés d'une demi-grade ou de cinq points par jour. Les documents qui n'ont pas été remis dans les dix jours suivant la date limite seront automatiquement notés zéro.

Je reconnais qu'il s'agit d'une situation sans précédent et que certains d'entre nous pourraient être confrontés à des circonstances imprévues au cours de cette période. N'hésitez pas à me faire savoir si vous avez des difficultés ou si vous avez besoin d'aide. Nous devrons faire preuve de patience les uns envers les autres en participant à cette aventure d'apprentissage à distance. Faites-moi savoir s'il se passe des choses qui vous gênent dans votre vie d'étudiant. Vous entendrez sans cesse qu'il est important de communiquer avec vos professeurs. Lorsque je vois des élèves en classe, je peux parfois sentir s'ils sont inquiets, contrariés ou confus. Mon sens de l'araignée n'est pas aussi efficace sur Zoom. Je vous encourage à me faire savoir si quelque chose vous préoccupe. Ne vous inquiétez pas seul. Je ferai des aménagements raisonnables pour les élèves - il vous suffit de demander.

Les écrans et les appareils ne font pas partie de la classe. Nous devons les utiliser pour passer du temps en conversation les uns avec les autres, mais nous devons nous concentrer sur les interactions avec les membres de la classe. Veuillez éviter les distractions qui détourneraient votre attention du travail du groupe.

Nous travaillerons ensemble pour élaborer des lignes directrices pour nos classes Zoom. Nous créerons des lignes directrices qui nous aideront à faire preuve de respect les uns envers les autres et à être gentils et courtois les uns envers les autres. Chacun de nous est responsable de ses propres actions et paroles. Nos paroles et nos actions doivent contribuer à une éthique de classe qui permet à chaque individu d'être un membre respecté et apprécié du groupe. La déclaration suivante du département anglais régira la façon dont nous nous parlons les uns les autres :

Déclaration du département d'anglais sur le mot N
Le mot "N" ne sera pas utilisé dans cette classe par une personne de quelque race que ce soit, même s'il apparaît systématiquement dans nos textes. Cette classe sera exempte de tout discours de haine concernant l'orientation sexuelle, l'expression de genre, la race et le statut ou le milieu socio-économique. De telles remarques incendiaires ne seront pas tolérées et ne seront pas contrôlées. Chaque membre de cette classe est chargé de favoriser un environnement dans lequel les personnes et leurs idées sont respectées.
[adapté de Koritha Mitchell] (juillet 2020)

Lorsque nous discutons de textes et partageons nos histoires personnelles, il est primordial que nous fassions preuve de respect les uns envers les autres. Lorsque vos pairs lisent, veuillez leur accorder toute votre attention.

Lorsque vous choisissez de partager vos histoires, veuillez comprendre qu'il y a des moments où les adultes sont tenus de divulguer certains événements. Veuillez lire les deux pages suivantes qui comprennent la déclaration du département anglais sur la confidentialité et la déclaration du département anglais sur l'honnêteté académique.

Déclaration du département anglais sur la confidentialité


Déclaration du département anglais sur les limites de la confidentialité
Dans les écrits que vous rédigez pour vos cours d'anglais, vous partagez parfois des histoires avec vos camarades de classe et vos professeurs sur votre vie. Nous sommes reconnaissants de nous voir confier ces histoires. Sachez que certaines informations ne pourront pas être gardées confidentielles par les enseignants. Dans les circonstances suivantes, les enseignants sont tenus par la loi de partager le travail des étudiants avec le doyen des étudiants ou le directeur du bien-être des étudiants et éventuellement avec d'autres adultes :
- lorsqu'il existe une menace de préjudice pour eux-mêmes, pour autrui ou pour les biens ;
- lorsqu'on craint que le bien-être d'un étudiant (même si cet étudiant n'est pas l'auteur) soit en danger ;
- lorsqu'il y a des informations sur une inconduite sexuelle (telle que décrite aux pages 27 et 28 du livre électronique), y compris des contacts sexuels avec des personnes n'ayant pas atteint l'âge légal de consentement (16 ans), que l'inconduite sexuelle ait eu lieu ou non sur le campus ;
- lorsqu'on soupçonne qu'un enfant (toute personne de moins de 18 ans) ou un adulte handicapé a été ou est maltraité ou négligé, que la maltraitance ou la négligence se soit produite ou non sur le campus ;
- lorsqu'il y a des informations sur le bizutage d'étudiants, que ce bizutage ait eu lieu ou non sur le campus ;
- lorsqu'il existe des informations provenant de la victime d'un acte criminel de vol, de destruction ou de violence couvert par la loi sur les zones scolaires sûres.
Sachez que si vous partagez ces informations par écrit, vous recevrez le soutien dont vous avez besoin. Si vous décidez de ne pas partager de telles informations dans vos écrits, nous espérons que vous les partagerez avec l'un des nombreux adultes sur le campus (au Centre de santé et de bien-être de Lamont et au Bureau du doyen des étudiants) qui sont là pour vous aider. Votre sécurité et votre bien-être sont nos principales préoccupations.
Veuillez consulter The E Book pour plus d'informations sur les lois du New Hampshire en matière de signalement obligatoire.


Les seuls outils dont vous avez besoin pour effectuer une grande partie de votre travail en anglais sont votre esprit, le texte, vos pensées, les outils d'écriture, le papier, le dictionnaire et le temps. Afin de développer votre propre capacité de lecture critique, veuillez ne pas consulter d'autres sources que vos camarades de classe, l'enseignant et le texte. Si vous lisez un texte écrit par quelqu'un d'autre, veuillez indiquer où vous avez trouvé l'information et le nom de la personne qui l'a écrit. Vous pouvez utiliser des sources extérieures lorsque vous construisez votre podcast ou lorsque vous recherchez des allusions. Toutes les sources doivent être créditées et citées conformément aux directives de la MLA.


Déclaration du département d'anglais sur l'honnêteté académique
L'honnêteté est une valeur fondamentale de PEA. Sans honnêteté, la communauté et la confiance qui la soutient ne peuvent pas s'épanouir. Sans honnêteté académique, il ne peut y avoir de véritable enseignement et apprentissage.
Dans de nombreux cas, la malhonnêteté académique est synonyme de plagiat. Présenter le langage, les idées ou les jugements critiques des autres comme étant les siens est du plagiat. Paraphraser le langage, les idées ou les jugements critiques des autres sans en donner le crédit est du plagiat.
Mais la malhonnêteté académique peut également se référer à la soumission de votre propre travail précédent sans communication complète avec votre professeur actuel, et à la soumission du même travail simultanément dans différents cours. Et le fait de consulter des sources secondaires (en ligne ou sur papier) et de présenter ces idées comme étant les vôtres en classe viole l'intégrité de l'enseignement et de l'apprentissage qui s'y déroulent.
Si vous avez des questions sur ces principes, il est de votre responsabilité de les soulever avec votre professeur. Il vous appartient de comprendre comment utiliser les mots et les idées des autres, ainsi que votre propre travail antérieur. L'ignorance, la précipitation, la négligence et la pression des autres travaux ne peuvent excuser la malhonnêteté académique. Les étudiants qui sont reconnus coupables de malhonnêteté académique peuvent être obligés de se présenter devant le comité de discipline et de se retirer de l'Académie.
Si vous avez des questions à ce sujet, adressez-vous à votre professeur. (Août 2020)

En cas de doute, adressez-vous à moi ou à un autre membre de la communauté. Nous pouvons travailler ensemble pour élaborer un plan pour un document qui n'est pas terminé ou un document qui vous met au défi.

Lignes directrices pour les forums de discussion en ligne
● Normes d'auto-expression. Comme toujours, tenez-vous à un niveau de discours élevé et faites preuve de respect envers tous les membres de la classe. Lisez vos commentaires à voix haute avant de les afficher pour voir si vous devez ajuster le ton. Les attaques personnelles, les blasphèmes, le langage socialement inacceptable, le sarcasme, les cris en TOUTES MAJUSCULES sont inacceptables. Les commentaires des forums de discussion ne sont pas des textes, alors : évitez les abréviations et l'argot ; utilisez une ponctuation et une grammaire correctes ; utilisez les émojis avec parcimonie. L'humour est le bienvenu tant que nous rions ensemble.
● Faites de la place pour toutes les voix. Comme à la table de Harkness, nous voulons entendre tout le monde. À moins que vous ne corrigiez une erreur, ne clarifiiez quelque chose que vous venez d'écrire, ne répondiez à une question qui vous est adressée ou ne vous excusiez, essayez d'attendre 4 réponses avant de poster à nouveau. Lorsque vous posez une question, résistez à y répondre avant que les autres n'aient eu l'occasion de le faire. Poser 3-4 fois au cours d'une discussion est généralement suffisant.
● Respirez. Il peut être tentant de réagir rapidement à des idées ou des points de vue avec lesquels vous n'êtes pas d'accord. Les expériences uniques de chaque membre de la classe peuvent donner lieu à des perspectives différentes. Plutôt que de vous précipiter pour juger, faites une pause et cherchez à comprendre. Posez des questions pour comprendre des idées différentes des vôtres.
● Lisez tout. Lisez tous les commentaires avant de les afficher sur un forum de discussion. Ne répétez pas les idées qui ont déjà été exprimées.
● Soyez précis. Gardez vos commentaires et questions enracinés dans le particulier. Citez vos textes et autres documents assignés avec précision.
● Citez la source. Si vous citez des informations provenant d'une source extérieure ou d'une autre personne, citez la source et fournissez des liens si vous le pouvez. Donnez à vos camarades de classe le crédit de leurs idées et utilisez leurs noms si vous retournez à des commentaires faits précédemment.
● Concernant le contenu. Si vous avez une inquiétude concernant un poste, faites savoir à la personne, au groupe et/ou à l'enseignant l'impact que le poste ou le commentaire a eu sur vous.
● Respect de la vie privée. Respectez la vie privée de vos camarades de classe. Le contenu généré sur un site de cours Canvas, via Zoom ou ailleurs ne doit pas être partagé sous quelque forme que ce soit, y compris les médias sociaux, les mèmes ou les chats de messagerie. Les captures d'écran ou les enregistrements des interactions nécessitent l'approbation explicite et préalable de tous les participants
● Problèmes de droits d'auteur. Tout matériel protégé par des droits d'auteur distribué dans le cadre de ce cours est destiné à votre usage exclusif. Vous ne pouvez pas publier, partager ou distribuer des textes, des vidéos ou d'autres matériels protégés par des droits d'auteur.
● Des questions ? Posez-les à votre professeur.

Français 400F – Hiver 2020-2021 (Mme. Fair)

Livres du cours: Maryse Condé, Le Coeur à rire et à pleurer
Françoise Ghillebaert, Face-à-face – conversation sans frontières, 3e édition, Vista Higher Learning, 2021, chapitres 3-4.

Cet hiver, nous allons continuer à réviser les structures et le vocabulaire de base du français, en nous focalisant sur les chapitres 3 et 4 de Face-à-face. Grâce à la lecture de Maryse Condé, Le Cœur à rire et à pleurer – contes vrais de mon enfance, nous allons découvrir ensemble la Guadeloupe des années d’après-guerre, cadre dans lequel évolue la narratrice, sa famille et ses proches. Chaque chapitre de ce texte présente une nouvelle étape dans la vie de la narratrice et témoigne de ses aspirations, défis, réussites et échecs.

Mes attentes:
• Préparez soigneusement les devoirs. Vous lirez Face-à-face et Maryse Condé de très près en cherchant tout le vocabulaire, que vous noterez dans un cahier séparé. Toutes les deux ou trois semaines environ, vous me rendrez 25 mots ou expressions et passerez une interro individuelle sur votre propre vocabulaire. Vous allez également partager des réflexions écrites au sujet de Condé sur Canvas – Collaborations.

• Participez régulièrement à toute activité, y compris à la discussion. Votre but devrait être de parler un minimum de trois ou quatre fois chaque jour, sinon davantage.

• Essayez de vous servir de la grammaire que nous étudions dans vos devoirs écrits sur Condé. Tâchez peu à peu d’employer un vocabulaire de plus en plus riche et d’utiliser des structures de plus en plus complexes. Prenez des risques et votre français s’améliorera !

• En rédigeant vos devoirs, n’oubliez pas qu’il est strictement interdit de vous servir d’un traducteur en ligne tel que Google translator pour traduire des phrases entières. (Cf. notre Departmental Statement on Academic Honesty.) Vous pouvez, bien sûr, vous servir de dictionnaires en ligne tels que Lexilogos, WordReference, Collins, Larousse, etc. pour chercher des mots ou expressions individuels, mais jamais des phrases complètes.

• Venez à nos réunions synchrones à l’heure.

• Eteignez votre téléphone portable et tout autre appareil – sauf celui que vous utilisez pour Zoom - pendant le cours.

Les notes :

Votre note finale sera fondée sur :

1- Votre préparation et participation quotidiennes ;
2- Vos devoirs écrits, y compris vos questions et réflexions écrites sur la Collaboration au sujet de Condé ;
3- Les interros de vocabulaire personnel;
4- Les exercices et interros sur VHL, Face-à-face.

Les heures de bureau : si vous voulez vous réunir avec moi, veuillez prendre rendez-vous, soit pour un créneau pendant les heures de bureau, soit pour un autre moment. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions sur quoi que ce soit. Vous pouvez m’envoyer un mail ou un texto au 518-744-7672. Vous pouvez m’appeler aussi, mais pas après 21h (9 :00 du soir). Merci !


PLANNING DES SEMAINES 1-2

NB: Les devoirs sont à rendre le jour où ils figurent sur le planning. Ces devoirs seront postés sur Canvas par jour, et figureront sur le Calendrier.

Semaine du: Jour 1 - le lundi 7 décembre -synchrone Jour 2 – le mardi 8 décembre - asynchrone Jour 3 – le mercredi 9 décembre - synchrone Jour 4 – le vendredi 11 décembre - synchrone
7 décembre
Présentations; introduction au cours. Vos attentes et les miennes. Les devoirs oraux et écrits. La grammaire : ce trimestre nous allons réviser les pronoms personnels et le subjonctif. Y a-t-il autre chose que vous voudriez réviser ?
Condé : lecture du titre, des épigraphes, de la première page… Condé, Le Cœur à rire et à pleurer – relisez la p. 11, lisez les pp 12-14 jusqu’à « …à la cheville ? »

Sur Canvas – Collaborations : écrivez deux questions et trouvez deux citations que vous voulez discuter en classe. Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Condé : Finissez de lire le premier chapitre. Que pensez-vous de la question qui finit le chapitre ? Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Condé : Ch 3, Lutte des classes : lisez les pp 29-30. Ecrivez deux questions sur la Collaboration.
Semaine du: Jour 1 - le lundi 14 décembre -synchrone Jour 2 – le mardi 15 décembre - asynchrone Jour 3 – le mercredi 16 décembre - synchrone Jour 4 – le vendredi 18 décembre - synchrone
14 décembre Condé, Lutte des classes – finissez de lire le chapitre, puis écrivez un commentaire sur la Collaboration.
Sur VHL, Face-à-face, faites les exercices sur le site

Exercices supplémentaires sur les pronoms : à faire et à rendre sur Canvas

Rendez-moi une liste de 25 mots/expressions pour votre première interro de vocabulaire (vendredi) Condé, Yvelise, pp 37-39 : lisez, et rédigez 3 questions sur la Collaboration, à poser en classe


Les pronoms : exercices d’hier à corriger ensemble
Condé, Yvelise, finissez le chapitre et soyez prêt(e)s à en discuter ensemble.

Première interro de vocabulaire personnel (sur Canvas, en classe).

Pronoms objets directs. Complétez les réponses suivantes en remplaçant les mots en gras par les pronoms qui conviennent.
- Où est-ce qu’il a garé sa voiture ? ---Je crois qu’il l’a garée dans la rue.
- Vous avez visité le musée du Louvre ? ---Oui, nous l’avons visité hier.
- Ne me dis pas que Thierry a oublié ses dossiers ! ---Eh bien si, justement, il les a laissés chez lui !
- Tu as perdu tes belles boucles d’oreille ? ---Oui, je les ai perdues hier soir.
- J’espère que vous avez réservé votre place ? ---Oui, ne vous inquiétez pas, je l’ai réservée il y a une semaine.
- Est-ce qu’ils ont déjà vendu la maison de leurs parents ? ---Non, ils ne l’ont pas encore vendue.
- Tu aimes cette couleur ? ---Non, franchement, je ne l’aime pas du tout, je la trouve terne.
- Est-ce que je peux rappeler Monsieur Danin ? ---Oui, vous pouvez le rappeler ce soir si vous voulez, mais faites-le avant dix heures si possible.
- Saurais-tu me démontrer le théorème de Pythagore ? ---Oh là, là, non, je serais bien incapable de te le démontrer !
- Tu connais cette fille ? ---Oui, je la connais très bien, c’est ma voisine du dessus ; elle est charmante.
- Ton ami François ? Oui, je le trouve très sympathique.

- Il a pris la voiture ? ---Oui, il l’a prise ce matin pour aller au travail.
- Vraiment, il n’aime pas les confitures ? ---Non, il n’aime pas ça.
- Tu n’as pas vu qu’il était déçu ? ---Si, je l’ai bien vu !
- Est-ce que tu as remarqué ces deux filles là-bas ? ---Oui, je les ai remarquées, et alors ?
- Tu n’as pas remarqué que ces deux filles se moquent de nous ? ---Non, je ne l’avais pas remarqué ; tu crois vraiment ?
- Est-ce qu’il a revu Véronique ? ---Oui, il l’a revue hier soir chez des amis.
- Vraiment, il déteste l’opéra ? ---Oui, il déteste ça !
- Quand est-ce que nous verrons ta sœur ? ---En principe, nous devrions la voir demain.
- Tu crois qu’ils seront à l’heure ? ---Oh oui, en général, ils le sont.
- Est-ce qu’ils savaient qu’elle était malade ? ---Oui, ils le savaient.
- Vous aimez les champignons ? ---Non, je vous avoue que je n’aime pas beaucoup ça.
- Est-ce qu’on a retrouvé sa voiture ? ---Oui, on l’a finalement retrouvée, mais dans un piteux état.
- Est-ce qu’elle admettra qu’elle avait tort ? ---Non, tu la connais, elle ne l’admettra jamais.

J'ai une liste de mots sans genre en français, alors je les ajoute lentement un par un dans mon jeu Anki. J'ai cependant remarqué que la détection des doublons ne fonctionne pas toujours quand je m'y attends (cliquez ici pour les images, car je ne peux poster que deux liens) :

Créer une carte avec "le vin" devant, en le tapant directement et en s'assurant que l'éditeur HTML ne dit que ces deux mots sans artefacts. (Image n°1.)

Créer une nouvelle carte, en retapant "le vin" (sans artefacts). La détection des doublons fonctionne comme prévu. (Image n°2.)

Faites une autre nouvelle carte, en tapant "le " puis en copiant le mot "vin" d'un autre endroit et en le collant (jusqu'à présent, j'ai testé avec Chrome/Firefox/Excel mais je suis sûr que c'est similaire pour n'importe quel matériel source). Cette fois, aucun double n'a été trouvé. (Image n°3.)

En examinant le HTML, nous constatons qu'en effet, un espace non cassant a remplacé notre précédent espace normal (Image #4.)

Maintenant, l'ajout d'espaces non séparables dans Anki est un problème connu (voir /r/Anki/comments/ea80dx/nbsp_misery/), mais ce n'est pas le but de ce billet. Non, le problème est l'absence de détection des doublons malgré les espaces différents, qui était à un moment donné opérationnel 1.

Problème présent dans Anki 2.1.37.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Point n° : SCP-173

Classe d'objets : Euclide

Procédures spéciales de confinement : L'article SCP-173 doit être conservé à tout moment dans un conteneur verrouillé. Lorsque le personnel doit entrer dans le conteneur SCP-173, pas moins de trois personnes peuvent y entrer à tout moment et la porte doit être verrouillée à nouveau derrière elles. En tout temps, deux personnes doivent maintenir un contact visuel direct avec le SCP-173 jusqu'à ce que tout le personnel ait quitté le conteneur et l'ait reverrouillé.

Description : Déménagement sur le site 19 1993. L'origine est encore inconnue. Il est construit à partir de béton et de barres d'armature avec des traces de peinture en aérosol de marque Krylon. Le SCP-173 est animé et extrêmement hostile. L'objet ne peut pas bouger lorsqu'il est dans une ligne de mire directe. Le SCP-173 ne doit en aucun cas interrompre la ligne de vue. Le personnel affecté à l'entrée du conteneur a pour instruction de se mettre en alerte avant de clignoter. On signale que l'objet attaque en brisant le cou à la base du crâne, ou par strangulation. En cas d'attaque, le personnel doit observer les procédures de confinement des objets dangereux de classe 4.

Le personnel signale des bruits de grattage de pierre provenant de l'intérieur du conteneur lorsque personne n'est présent à l'intérieur. Ceci est considéré comme normal, et tout changement de ce comportement doit être signalé au superviseur intérimaire du HMCL en service.

La substance brun-rougeâtre sur le sol est une combinaison d'excréments et de sang. L'origine de ces matériaux est inconnue. L'enceinte doit être nettoyée toutes les deux semaines.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

La Guadeloupe des années cinquante. Contre des parents qui semblent surtout soudés par le mensonge, contre une mère aussi dure avec les autres qu'avec elle-même, contre un père timoré, la petite Maryse prend le chemin de la rébellion. La soif de connaissance, les rêves d'autonomie et de liberté la guident vers son destin d'écrivain. Mais peu à peu les épreuves de la vie appellent l'indulgence, la nostalgie de l'âme caraïbe restitue certains bonheurs de l'enfance. Et Maryse se souvient alors de cet instant qui lui redonna l'amour des siens, de cette ultime nuit où « roulée en boule contre son flanc, dans son odeur d'âge et d'arnica, dans sa chaleur », elle retrouva sa mère en la perdant.
Carmen]
L’amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser,
Et c’est bien in vain qu’on l’appelle
S’il lui convient de refuser.

Rien n’y fait, menace ou prière.
L’un parle bien, l’autre se tait.
Et c’est l’autre que je préfère.
Il n’a rien dit mais il me plait.
[Echoes Choeur]

L’amour! L’amour! L’amour! L’amour!

L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime;
Si je t’aime, prends garde à toi! (Prends garde à toi!)
[Echoes Choeur]

Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime, (Prends garde à toi!)
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi!

L’oiseau que tu croyais surprendere
Battit d’aile et s’envola.
L’amour est loin, tu peux l’attendre,
Tu ne l’attends pas, il est là!

Tout atour de toi, vite vite,
Il vient, s’en va, puis il revient.
Tu crois le tenir, il t’evite;
Tu crois l’eviter, il te tient.
[Echoes Choeur]

L’amour! L’amour! L’amour! L’amour!

L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime;
Si je t’aime, prends garde à toi! (Prends garde à toi!)
best regards french
Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime, (Prends garde à toi!)
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi!
Introduction à la comptabilité
Comptabilité
Une introduction aux histoires et aux théories de l'architecture jusqu'en 1800
Une introduction aux histoires et aux théories de l'architecture de 1800 à nos jours
Principes fondamentaux de la construction
Principes fondamentaux de la conception des structures
Principes fondamentaux de la conception environnementale
Afrikaans II
L'Angleterre avant la conquête normande
L'histoire scandinave à l'époque des Vikings
Les peuples brittoniques du IVe au XIIe siècle
Les peuples de langue gaélique du IVe au XIIe siècle
Langue et littérature anglaises anciennes
Langue et littérature nordiques anciennes
Langue et littérature galloises médiévales
Langue et littérature irlandaises médiévales
Langue et littérature latines insulaires
Paléographie et codicologie
Arabe I
Arabe II
Les objets de l'histoire de l'art
La fabrication de l'art (essais)
La fabrication de l'art (visuels)
La signification de l'architecture et de l'art (essais)
La signification de l'architecture et de l'art (visuels)
Une introduction à l'art et au design
Projets dans le domaine de l'art et du design
Design et textiles
Médias numériques et design
Études sur les médias
Archéologie mondiale
L'archéologie en action
Introduction aux cultures d'Égypte et de Mésopotamie
Être humain : perspectives interdisciplinaires
Langue babylonienne
Langue égyptienne I
L'homme dans une perspective biologique
Concepts de la biosphère
Une introduction à la gestion de l'environnement
Alimentation et nutrition
Une introduction aux sciences de la mer
L'éducation physique
La science combinée

Ch 3 :
Logan
1. Quelle réputation avait sa mère pour faire en sorte que les sœurs Rama ne veuillent pas laisser entrer Maryse dans leur école ?
2. La famille de Maryse fait-elle partie de la bourgeoisie ou plutôt aspire-t-elle à en faire partie ?
D’autres excellentes questions. Nous verrons à quel point la réputation de sa mère n’est plus à faire ! Quant à votre deuxième question, la famille Boucolon fait bien partie de la bonne bourgeoisie.

Commentaire:
Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.
Un excellent commentaire, nuancé et juste, de ce passage. On a souvent tendance à donner raison au fils de Madonne dans ce chapitre, et j’aime bien le fait que vous ayez mis côte à côte les deux versions de l’histoire en vous interrogeant sur la conclusion qu’il faut en tirer.
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Histoire européenne, 1450-1760
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Chinois II
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Textes chinois modernes I
Littérature chinoise I

Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.

Une phrase que j'ai remarquée plus attentivement lors de la relecture était "notables dans leur pays". Les mots impliquent que la narratrice elle-même croit que sa famille n'est pas vraiment française. Et je sais que cela veut probablement dire "région" ici, mais le fait qu'elle n'ait pas choisi d'utiliser "région" ou "département" en dit long.

Il est intéressant de voir comment cela reflète l'évolution de la langue française elle-même ; elle a été essentiellement gravée dans le marbre au dix-huitième siècle et si la langue parlée s'est développée à sa manière, il existe toujours la notion d'un français "pur" que les gens devraient parler. Et on voit le stéréotype renversé, non : que les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises idéalistes sont ceux qui en sont le plus privés par les hommes et les femmes du quotidien.

Il est intéressant de voir comment cela reflète ce que nous voyons dans l'histoire de la langue française elle-même ; elle a été essentiellement gravée dans le marbre au dix-huitième siècle et si la langue parlée s'est développée à sa manière, il existe toujours la notion d'un français "pur" que les gens devraient parler. Et on voit le stéréotype inversé : les personnes qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes ne sont pas de vieux Français blancs mais plutôt ceux qui sont les plus privés de leur francité par les gens ordinaires.

Et nous voyons le stéréotype inversé, à savoir que les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes sont ceux qui en sont le plus privés par les gens ordinaires.

les gens qui s'accrochent le plus à la culture et à la langue françaises suprêmes sont ceux qui en sont le plus privés par les gens ordinaires.

Notons également que le mot "aliéné" a deux sens, à savoir "fou" et "étranger", et que la première fois que Sandrino le dit, c'est dans un

Et notons également les deux sens du mot "aliéné" pour signifier à la fois "fou" et "étranger".

Parce que quand Sandrino le dit, on dirait plutôt qu'il veut dire que leurs parents sont fous, et non qu'ils ne sont pas acceptés par la société française. Mais cela s'inscrit dans une discussion plus générale sur leur rôle dans la société.

grain de sel

Mes professeurs ont été plus qu'heureux de nous donner beaucoup de devoirs.

Comment sont

Notons également les deux sens du mot "étranger" pour signifier à la fois "fou" et "étranger".

Quand Sandrino le dit, on dirait plutôt qu'il veut dire que leurs parents sont fous, et non qu'ils ne sont pas acceptés par la société française. Mais cela s'inscrit dans une discussion plus générale sur leur rôle dans la société.

donnez vos deux sous


C'est très bizarre.

Je n'avais que des travaux de laboratoire pour la chimie qui étaient en personne.

Les gens de mon dernier groupe ne parlaient pas du tout, alors j'espère que ce

Vous devrez me pardonner de ne pas avoir regardé la caméra.

qui les rend ignorants

Quelles sont les deux questions que vous avez posées ?

Elle s'est promise de ne jamais devenir comme ses parents, mais elle les admire.

Pensez-vous que ça va vraiment marcher ?
J'ai l'impression que

assimiler

Re-bonjour à tous,



Vous allez passer votre première interro de vocabulaire personnel après les vacances. Ceci dit, rendez-moi votre liste de vocabulaire demain sur Canvas, comme prévu.



Quant à l’interro : vous allez devoir soit définir le mot en français, soit le replacer dans le contexte du texte, toujours en français. Si vous choisissez de contextualiser le mot, il faut que ce contexte soit parfaitement clair. A noter aussi : si vous faites des erreurs de français, pas de soucis! Elles ne compteront pas contre vous, à condition que je puisse comprendre votre définition ou contextualisation.



A mercredi et bon après-midi !



Mme. Fair

Alyssa, je ne sais pas quoi écrire. J'ai deux soeurs, et... de toute façon, prenez tout le temps qu'il vous faut. Pas besoin de documentation.

Et vous n'avez pas besoin de promettre de ne pas prendre une autre prolongation - je vous donne une flexibilité générale à l'avance. Vous avez déjà fait du bon travail jusqu'à présent, et mon objectif est que vous tiriez quelque chose de positif de la classe, et après ce qui vient de se passer, si vous participez juste dans la mesure du possible, je ferai en sorte que ça marche. Prenez soin de vous.
AU-DELÀ DE LA FROID CORÉENNE : Hallyu, la vague culturelle coréenne, a propulsé la République de Corée sur la scène mondiale en tant qu'exportateur de drames, de boys bands, de girl bands et de films. Après la guerre de Corée, la Corée était l'une des nations les plus pauvres du monde. Aujourd'hui, la Corée du Sud est considérée comme le pays le plus branché du monde et la capitale mondiale de la chirurgie plastique. Comment la littérature sud-coréenne contemporaine explore-t-elle le coût des changements rapides et de l'urbanisation ? Si les écrivains brandissent un miroir de cette nation divisée, que demandent-ils que nous voyions ? En 2013, l'Institut coréen de traduction littéraire, en collaboration avec Dalkey Archive Press, a publié un recueil de 25 romans et nouvelles coréennes en anglais. L'étude des textes littéraires en traduction nous permettra de regarder au-delà de la culture populaire coréenne pour examiner le concept de han et ce qui a été sacrifié dans la poursuite de la croissance économique. Les étudiants rédigeront de courts textes analytiques et réaliseront un projet indépendant de leur propre conception.
INTRODUCTION À LA THERMODYNAMIQUE STATISTIQUE : La thermodynamique est la base sur laquelle la science de la chimie physique est construite, et la thermodynamique statistique fournit la base fondamentale, au niveau moléculaire, des idées de la thermodynamique. Ce cours se concentrera sur la capacité de la thermodynamique statistique à utiliser des modèles physiques simples, ainsi que certaines mathématiques inspirées, pour prédire le comportement des atomes et des molécules (appelé "l'efficacité déraisonnable de simplifications irréalistes"). Le concept d'entropie sera un thème fédérateur tout au long du cours et, compte tenu de son rôle central, du temps sera consacré à l'élaboration d'un modèle mathématique rigoureux de l'entropie par l'utilisation de la probabilité et du calcul multi-variable. Les sujets plus traditionnels de la thermodynamique seront présentés relativement rapidement. Les première et deuxième lois de la thermodynamique seront explorées ; les équations fondamentales de la thermodynamique, en tant qu'équations différentielles, seront utilisées pour définir les propriétés de la température, de la pression et du potentiel chimique ; et le concept d'énergie libre (et son importance dans la description de l'équilibre) sera développé. La loi de distribution de Boltzmann (et la fonction de partition) sera dérivée puis utilisée, avec des modèles physiques simples, pour calculer les propriétés thermodynamiques et physiques des systèmes à l'équilibre. Après un bref aperçu de la théorie quantique et de la mécanique statistique, l'expression de la constante d'équilibre sera dérivée (en employant la fonction de partition) et les valeurs des constantes d'équilibre chimique en phase gazeuse seront calculées et comparées aux valeurs empiriques. Enfin, des modèles en treillis seront utilisés pour explorer les propriétés des liquides, l'équilibre liquide/vapeur et les solutions. Il y aura des travaux expérimentaux, permettant aux étudiants d'étudier un système réel et d'utiliser les modèles simples, et les mathématiques, de la thermodynamique statistique pour étudier son comportement physique et/ou chimique.
LA COLLISION DES MOTS DANS LA LITTÉRATURE FRANCOPHONE COLONIALE ET POSTCOLONIALE : Ce cours explore les attitudes conflictuelles sur l'histoire, la politique, la culture et l'identité explicites et implicites dans la production littéraire francophone coloniale et postcoloniale. Les sujets abordés peuvent inclure la négritude, l'oralité, l'engagement, les moeurs, la désillusion, la religion et la justice sociale. Le cours peut se concentrer sur des zones géographiques, des genres et/ou des auteurs spécifiques. Les étudiants ont la possibilité d'enrichir leur compétence culturelle par l'étude de l'actualité, de documentaires, de films et de télévision.
ABSTRACT ALGEBRA : Ce cours traite des structures algébriques qui apparaissent dans de nombreux domaines des mathématiques et des sciences. Prenez un tétraèdre, par exemple. Toutes les rotations de trois espaces qui déplacent le tétraèdre de manière à ce qu'il occupe le même espace qu'au départ (avec des sommets éventuellement dans des positions différentes) sont appelées les symétries du tétraèdre. Il existe une opération sur deux symétries qui se comporte (en quelque sorte) comme une multiplication ordinaire de nombres : si A et B sont deux symétries (rotations), alors A*B peut être défini comme étant la rotation appliquée au tétraèdre en tournant d'abord selon B puis selon A. Ce qui est intéressant dans cette "multiplication", c'est qu'elle est associative mais non commutative. L'ensemble de toutes les symétries (et il y en a exactement 12) forme donc une structure algébrique, qui dans ce cas est appelée un groupe. Le cours part des axiomes d'un groupe et développe en détail de nombreuses et belles propriétés des groupes. L'autre structure principale étudiée dans le cours est celle des anneaux, qui sont des ensembles avec une addition et une multiplication qui ont des propriétés similaires à celles satisfaites par l'ensemble Z des entiers et l'ensemble R des nombres réels. S'il reste du temps à la fin du cours, nous appliquerons certains des résultats de la théorie des anneaux pour construire et étudier les champs.
LA CHIMIE ACCÉLÉRÉE : Introduction au cadre théorique de la chimie moderne, ce cours en laboratoire est conçu pour favoriser la réflexion scientifique, les compétences en matière de résolution de problèmes et l'apprentissage coopératif. Les sujets abordés comprennent la structure atomique et moléculaire, la stoechiométrie, les états de la matière, le comportement chimique et physique des éléments et des composés, la chimie des solutions, la cinétique, l'équilibre, la thermochimie et l'électrochimie.
Brandon veut un chien. Il veut un gros chien. Il veut un très gros chien ! Il veut un très gros chien comme Clifford, mais il ne veut pas un chien rouge comme Clifford. Brandon ne veut pas d'un chien rouge, il veut un chien de couleur normale. Il veut un chien blanc ou un chien noir. Il veut un gros chien !
Sa soeur, Katie, a un rat, mais Brandon ne veut pas de rat. Les rats sont horribles. Brandon ne veut pas d'un rat horrible. Brandon veut un chien !
Son ami, Jamie, a un hamster, mais Brandon ne veut pas de hamster. Les hamsters sont horribles aussi. Brandon ne veut pas d'un horrible hamster. Brandon veut un chien !
Son ami, Jake, a un chien. Le chien de Jake est grand et intelligent aussi. Brandon veut un chien comme le chien de Jake. Il veut un chien grand et intelligent.
Les hamsters ne sont pas intelligents. Les rats ne sont pas intelligents non plus. Mais les chiens sont intelligents et Brandon veut un chien intelligent ! Il veut un gros chien intelligent !
Dans le parc, il y a beaucoup de chiens. Brandon voit les chiens et dit : "Je veux un chien !" Il voit un chien noir et s'exclame : "Je veux un chien noir !" Il voit un chien blanc et s'exclame : "Je veux un chien blanc !" Il voit un gros chien et s'exclame : "Je veux un gros chien !" Il voit un petit chien et s'exclame : "Je veux un chien, mais je ne veux pas de petit chien. Je veux un gros chien !"
Brandon voit aussi beaucoup de chiens à la télévision. Sur la chaîne 20, Brandon regarde Marley & Me. Brandon s'exclame : "Marley est un chien parfait ! Je veux un chien comme Marley." Sur la chaîne 30, Brandon regarde Beethoven. Brandon s'exclame avec enthousiasme : "Je veux un chien comme Beethoven !" Sur la chaîne Animal Planet, Brandon voit beaucoup de chiens. Il voit des gros chiens et des petits chiens. Brandon s'exclame : "Oh, wow, je veux un chien !"

"Maman," dit Brandon, "Je veux un chien. Je veux un gros chien !"
"Brandon, un chien demande beaucoup de responsabilités", dit sa mère.
"Oui, maman. Je suis responsable."
"Brandon, tu n'as que 8 ans. Un chien est une énorme responsabilité pour un enfant de 8 ans."
"C'est vrai", répond Brandon avec intelligence. "Oui, un chien est une énorme responsabilité pour un enfant de 8 ans. Mais ce n'est pas une énorme responsabilité pour un enfant de 9 ans."
"Ha, ha, ha. Brandon, tu es si intelligent", dit sa mère.
"Oui, maman. Et je suis responsable aussi !"
Brandon a 8 ans, mais il va en avoir 9. Brandon veut un chien pour son anniversaire. Un chien est un cadeau d'anniversaire parfait !
"Maman, je veux un chien pour mon anniversaire."
"Un chien pour ton anniversaire ?"
"Oui, maman !" s'exclame Brandon avec enthousiasme. "Je veux un gros chien pour mon anniversaire."
"Brandon, les chiens sont gênants."
"Dérangeants ?" dit Brandon dans la confusion.
"Oui, Brandon. Les chiens sont gênants. Ils sont très gênants."
Brandon est très intelligent. Il considère le commentaire de sa mère et réagit :
"Maman, tu ne veux pas d'un chien parce que les chiens sont gênants ?"
"C'est vrai. Je ne veux pas de chien parce que les chiens sont gênants, ils sont très gênants", lui répond sa mère.
"Mais les rats sont aussi gênants. Le rat de Katie est gênant et Katie a un rat..."
"Brandon, les rats causent de petits problèmes et les chiens de gros problèmes !" dit sa mère.
"Le chien de Jake ne cause pas de problèmes. Le chien de Jake est le gardien de la famille. Son chien est fantastique !"
La mère de Brandon est irritée. Elle ne veut pas de chien et ne veut pas continuer la conversation. Mais Brandon poursuit la conversation avec beaucoup d'enthousiasme :
"Maman, je veux un chien comme le chien de Jake. Je veux un gros chien".
"Les gros chiens causent de gros problèmes", répond sa mère irritée. "Un chien prend beaucoup de responsabilités."
"Maman, je vais avoir 9 ans. Je suis prête à assumer des responsabilités. Je suis responsable."
La mère de Brandon ne répond pas, et Brandon continue :
"Je ne veux pas de Xbox et je ne veux pas de téléphone portable. Je veux juste un chien. S'il te plaît, maman, je veux un chien pour mon anniversaire !"
À ce moment-là, le téléphone interrompt la conversation. "Sonnerie, sonnerie." Brandon veut continuer la conversation, mais sa mère ne veut pas. Elle va au téléphone et dit : "Allô ?..." au téléphone. Elle ignore Brandon et Brandon n'est pas content. Il veut vraiment un chien !

Brandon part à vélo.
"Au revoir, Brandon", dit sa mère. "Sois de retour pour 20 h."
"D'accord, maman. Je serai de retour à 20 h. Au revoir."
Brandon dit "au revoir" à sa mère et va chez Jake. Il voit son ami et son chien, Tiger, devant la maison.
"Bonjour Jake. Salut Tiger", leur dit Brandon.
"Bonjour Brandon", dit Jake.
Tiger saute et crie "woof, woof !" avec enthousiasme. Brandon est impressionné et dit :
"Ouah ! Tiger est si intelligent !"
"Oui", répond Jake. "Tiger est un chien très intelligent."
"Est-ce que Tiger cause des problèmes ?"
"Non, il ne cause pas de problèmes", dit Jake, curieux.
"Ma mère dit que les chiens causent beaucoup de problèmes."
"Faux ! Tous les chiens ne causent pas de problèmes. Tiger ne cause pas de problèmes. C'est un chien parfait !" dit Jake.
"Je veux un chien comme Tiger !" s'exclame Brandon.
Les deux enfants se rendent au parc à vélo.
"Wouf, wouf !" dit Tiger.
"Au revoir, Tiger", dit Brandon.
Dans le parc, il y a beaucoup de gens et beaucoup de chiens aussi. Brandon et Jake voient des gros chiens et des petits chiens. Ils parcourent le parc à vélo. Soudain, un petit chien passe devant eux. Brandon voit le toutou

[Laink] Oh, je vais faire comme toi !

[Laink] Ho j'te copie, j'te copie. Je fais la même chose que toi !

[Laink] DASHHH !!!

[Terra] Le mec il fait exactement la même chose que moi.

[Terra] T'es une petite p**e sans personnalité.

[Terra] Mais du coup t'as fait la même chose ?

[Laink] Ouais, mais heu..

[Terra] T'es une sous-merde..

[Laink] Mais alors du coup on a une égalité.

[Terra] Mais t'es une grosse merde !

[Terra] Tu mériterais de perdre pour avoir fait ça !

[Laink] Hey mais t'as déjà joué !

[Terra] Heu pas suffisamment pour pouvoir dire que j'ai déjà joué

[Laink] Ha t'as vraiment joué, genre en fait 10min c'est plutôt 1min ?

[Terra] Bah tu vois je viens de comprendre déjà que j'étais à gauche !

[Laink] Hey mais c'est compliqué parce que si

[Laink] Y'a pas de sol

[Terra] Heuu ouais.. alors bah déjà je suis coincé ça y est,

[Terra] parce que je vois pas comment je peux le mettre

[Laink] HOOOOOO !

|Laink] Y'a de la physique !!

[Terra] Je te l'ai dit juste avant.

[Laink] Mais oui mais je pensais que c'était faux ! Y'a pas de physique dans un tetris !

[Terra] Ha bah voilà, OK !

[Terra] Ok bon bah j'ai perdu !!

[Laink] Hé bah c'est..Hé put**n j'ai adoré !

[Laink] Faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres

[Laink] On arrête,

[Laink] On s'en fait d'autres genre au prochain stream

[Terra] Là déjà je crois que j'ai ma dose.

[Terra] Alors là c'est le premier qui atteint heu...

[Terra] Hé m*rde voilà !

[Terra] Voilà j'ai déjà fait de la m*rde et je fais comment moi pour rattraper ça ?

[Laink] Qui atteint quoi ?

[Terra] Cette m*rde en haut là !

[Laink] Bah faut faire juste une pyramide, moi je veux bien la faire, c'est pas compliqué.

[Laink] Ha on sent que j'ai joué quand j'étais petit hein !

[Terra] J'suis dans la m*rde à cause de ma connerie du début. Tout se repose sur un équilibre à la base.

[Laink] NAN !!

NAAN !!

NAAAN !!

[Laink] Mais, c'est y'a du vent ou quoi !?

[Laink] J'te jure y'a du vent..

[Terra] T'as tout un tas de...

[Laink] De trucs comme ça

[Terra] Voilà !

[Laink] Ha on maintient une espèce d'équilibre là quand même

[Terra] J'ai oublié de te dire : je peux te mettre des malus.

[Laink] Comment ça tu peux me mettre des malus ?

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que cet Enfer ?

[Laink] Tu m'as dit des conneries, j'arrête pas d'atteindre la ligne et il se passe rien du tout !

[Terra] Mais non ça c'est les étapes

[Terra] C'est pas la ligne d'arrivée.

[Laink] Mais quand est-ce qu'on perd ?

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] J'SUIS DANS LA M**DE !!

[Laink] Quand est-ce que tu perds ?

[Laink] Arrêtez ! Restez !!

[Laink] Restez !

[Terra] On dirait un mec, y'a des gens qui partent de sa soirée

Restez !

"Je vais changer de musique"

"C'est une bonne soirée.."

T'en a déjà fais une comme ça ?

Moi non

Toi aussi t'a déjà fais des soirées de m*rde ?

Moi c'est juste que j'ai jamais osé en faire

parce que je croyais que ça allait faire ça

[Laink] NAAAAN !!

D'où t'as fait un pâté comme ça ?

T'as fait un beau pâté.

[Terra] Ouais enfin un beau pâté, il tient vraiment en équilibre.

[Terra] Allez salut !

[Laink] Mais elle est ou la musique heu

*Tu tut tutu tuut t ututu *

[Laink] 'tain tu te fais un pâté compact hein !

[Terra] Ouais t'as raison. Pas la peine de me s*cer la b*te hein !!

[Terra] Tu vas pas plus gagner.

[Laink] Ho regardez comment je vais la caler.

[Laink] OOOOHH nan !

[Terra] Ho là ! Nom d'un pâté !!

[Terra] HOOOo

[Laink] t'en as...

[Laink] Nan...

[Laink] Nan

[Laink] Nan RESTEZ !

Mais toi avec ton vieux pâté de mort là !

Mais au début il était bien.

Mais nan mais...

[Laink] Laink qui est pas au courant des bonus

QUOI ?

Oui c'est soit tu te mets un bonus soit un malus

T'appuies sur "B" pour les bonus et.. "X" pour les..bonus... Je sais plus.

Ok bah j'y penserais parce que maintenant que je le sais c'est mieux tu vois.

Ha bah il fallait regarder sur ton écran c'était affiché en grand.

Ha...Ha bah tu vois j'aurais dû lire hein

Ou un ami aurait dû me prévenir

Un ami LOYAL

Tu crois que quand moi j'ai joué on m'a prévenu ?

Bah...

ça n'empêche rien

[Laink] Ha genre là

[Laink] HASARD !!

[Laink] Tiens une porte !

[Terra] C'est pas du tout un malus pour moi ça.

[Laink] Ha bon ? bah une porte pourtant c'est quand même heuu...

Ho non une porte chez soi c'est quand même heu..

ça me parait compliqué

Hey rajouter une porte c'est pas n'importe quoi !

[Laink] Ha le mec mais ..

[Laink] mais il se fait un building

[Laink] Il se fait sa "TRUMP Tower"

[Laink] Il s'en bat les couilles

"A freaking building"

[Laink] Ha merci parce que justement..

QUOI ?

[Laink] T'avais plus de vie.

[Laink] Ha bah voilà c'est ça que je me demandais

[Laink] quand on fait tomber des pièces y'a bien des vies.

[Laink] Parce que là je me disais sinon si elle me convient pas

je vais la foutre à la poubelle

[Terra] Le mec qui trouve que le jeu est trop facile

[Terra] "Si j'aime pas la pièce j'ai qu'à la jeter"

[Laink] Si ça me fait chier tu vois..

[Laink] Attention je vais passer le premier pallier et pas toi.

[Terra] Je l'ai déjà passé tiens regarde pour te le prouver

Ho un piano, je voulais justement un piano chez moi

Ho un piano ça tombe bien parce que je voulais vraiment un piano.

Bah ouais je..je vois pas le problème

Ha une porte ! Ouais justement

Ho ça tombe bien je voulais justement une porte

Nan parce que j'avais un piano mais pas une porte.

[Laink] ATTENTION IL EST ÉNORME !!!

[Terra] Gros c*n

Gros c*n

[Terra] HHHHHHHANNNNN

[Laink] Holalalalalalalala

T'es une grosse m*rde

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ? Mais qu'est ce que je fais ?

[Laink] NNNOOOOOOOOOONNNNNN

[Terra] Mais mon pov' vieux

[Terra] Mais qu'est ce que je fais ?
[Laink] AAAAAAAAAAHHHHHH

[Terra] Oh p**in
[Laink] AAAAAAAAAH

[Laink] MONTEZ VITE !

[Laink] MONTEEEEZ

[Laink] MONTEZ !

[Laink] FAITES DES LIGNES !

[Laink] MONTEZ !

[Laink] Elle est énorme encore une fois !!!!

[Laink] Naaaaaan !

[Laink] J'invoque un bateau

[Terra] Allez, vas-y consolide toi, consolide toi, consolide toi comme ça..

[Terra] Oui oui oui !! OUI OUI

[Laink] LA LIGNE !

[Terra] OUI OUI !! OUI OUI OUI

[Laink] Nan j'ai gagné.

[Laink] Quoi j'ai pas gagné ?!

[Terra ] Nan c'est moi qui ai gagné regarde la pointe.

[Laink] On n'a pas les mêmes pièces je viens de vérifier

ça se trouve t'as de la LUCK !!

Alors d'après le "théorème de Laink de la mauvaise foi"

C'est : Si je gagne c'est parce que j'ai de la Luck

Si tu gagnes c'est parce que tu a eu du talent.

A peu près !

C'est à peu près ça.

Cette théorie est universelle pour chaque jeu de chaque époque.

ça fait des années que je la connais, c'est une théorie qui est fiable.

[Laink] Tiens. Sois Maudit !!

Ha bah ça tombe bien je voulais un moulin

regarde il s'emboîte parfaitement.

[Laink] Put*in, c*nn*rd !!

[Laink] Il était parfait.

[Laink] Et quand tu mets tes lignes comme ça dans Tetris ça faisait un éclaire ça faisait :

"Pabaaah"

[Terra] Tiens regarde HOP ! 2 Kilos

Ha regarde, nickel je voulais un cube chez moi.

[Terra] Attends attends.. prend ça d'abord.

Ha bah merci, parce que.....

Heu nan, nan boh nan ça me fait...ça me fait chier !!

[Terra] Et ça, ça fait quoi?

[Laink] Ha !!

[Laink] Alors..

[Laink] Alors, ha..bon bah voilà.

[Laink] Ho non du brouillard.

[Laink] Ha par contre arrête de rire là

[Laink] Nan c'est quoi cette m*rde ?

[Laink] Sois maudit par les livres !

[Terra] C'est quoi ça ?

[Terra] HO ARRÊTE !

[Laink] Haa et après tu auras celle-ci
[Terra] C'est du cheat !

[Laink] Et après celle-là !!
[Terra] C'est du cheat !

Mais c'était du "CHEAT"

Et un château !!

[Laink] HÉ


Elle aime certainement plus leur famille, c'est certain, mais je ne suis pas sûr que ce soit parce que leur famille est plus libre. J'ai trouvé intéressant qu'elle aime le nom d'Yvelise parce qu'il combine ceux de ses parents, même si elle voulait aussi être libre de ses parents.

La mère a une forte volonté.

Ils

Ou plutôt, qu'on s'attend à ce qu'elle réussisse, ce qui n'est pas le cas de la famille d'Yvelise.

On a plus d'options, donc si on vient d'une petite ville et que l'on se fait des amis par nécessité, les amis d'Exeter seront plus intéressants.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
HÉÉ

les bouquins !!

LES BOUQUINS ! NAN mais c'est de la triche !!

[Laink] C'est de la triche de ouf ce truc.

[Laink] Et vas-y que Mr le Dieu du brouillard se ramène encore là.

[Laink] Reste, RESTE !

[Terra] OUF, c'était de justesse, il allait tomber mon château.

[Laink] Mais qu'est ce que c'est, mais j'ai de la m*rde, mais j'ai de la m*rde !!

[Terra] Ho on a les mêmes choses arrête un peu ton cinéma

[Laink] Mais ça en plus c'est faux !! Et en plus c'est faux !!

Toutou, và !

Toutou !

Bon chien.

[Laink] Qu'est ce que tu fais ?

MAIS TOUCHE A TON C*L !

[Laink] Pour ceux qu'ont pas vu il m'a fait tourner ma pièce hein, j'suis pas un boloss !

[Laink] ça va être tendu

[Terra] HÉÉE M**DE

[Laink] ça va être tendax

[Terra] Gros c*n !

[Terra] Il faut vite que je choppe un bonus.
[Laink] HAAA HAAA

[Laink] HAAAAAA

HHAAAAAAA

[Terra] ha j'étais en train de t'en envoyer un.

[Laink] Elle était en train de tomber

[Terra] Ho puta*n

[Terra] c'est vraiment du cheat, téma c'est la tour de Pise.

HÉ oui !

MÉDOU !

Mais arrête de *djoudjoudj*

[Laink] Mais tu sais quoi ton pâté il est dégeulasse

[Terra] Ouais le carré au millieu il m'a sauvé

En tombant sur le côté il a fait que tout était solide.

OUiiiiiiiiii

Dégeulasse !! 12-8 Bah c'est pas net hein

[Laink] Tiens des buissons. J'sais pas ce que c'est. amuse toi bien avec.

T'es un gros c*n, doublé d'un mauvais joueur.

Ah ouais ?

[Terra] Mais les buissons ils ont solidifié ma base et du coup..

[Laink] ATTENTIOOON !!

[Terra] Mais t'es vraiment une m*rde !

[Terra] Ha ouais ils ont rien solidifié du tout.

[Terra] Ho p*tain, holala

[Laink] C'est pas des buissons solides.

[Laink] HA ! OH j'aurais dû d...AAAAAAA

[Terra] Mais nan mais, ça faut que ça s'en aille ça !!

OOhOOh

OOHOOHHOOO
ce sont des Japonais
le colonel Blanc
le docteur Dupont
saint Paul
mon cher Monsieur Dupont
la Comédie-Française
la rue de la Paix
Johannesbourg
le boulevard Saint-Michel
l'avenue des Champs-Élysées
la place de la Concorde
le carrefour de l'Odéon
les animaux
un léger incident
un ami
avenue Albert-1er-de-Monaco
avenue Général-Leclerc
avenue du Président-Kennedy
avenue George-V
boulevard Vincent-Auriol
gare St-Lazare
place Charles-de-Gaulle
place de la Reine-Astrid
quai Henri-IV
rue de l'Abbé-Grégoire
rue Paul-Valéry
rue du Professeur-Louis-Renault
pont Alexandre-III
square Charles-Dickens
Aix-en-Provence
Colombey-les-deux-Églises
Hautes-Pyrénées
Saint-Denis
Seine-et-Marne
Le Havre
La Ferté-sous-Jouarre
Les Andelys

[Laink] Restez !

[Terra] Moi j'ai une très belle base.

De toute façon ma mère me l'a toujours dit : "Damien tu a une très belle base"

Ouais t'a une belle base ouais...

[Laink] Allez vas-y, mais vas-y

[Terra] On fait chier les petits camarades

[Laink] Mais de toute façon tu m'emm*rde.

LES LIIIIIVRES !

[Terra] Mais ça tourne, il me manque plus qu'un truc.

[Laink] ça fait pas mal de pièces Terra.

[Laink] Comment tu vas arriver à monter ?

[Terra] NOOON NONN ONOOONN

Ho nan...

Ho le bébé !

Il a fait tomber son château de sable.

[Terra] Mais c'est à cause de cette pièce à la c*n là !!

Ho non, alors que moi je prends un équilibre précaire.

[Laink] Allez, Allez ! Solidifie moi ça avec des buissons.

YES !!

Ma plus belle tour !

C'est terminé.

regardez moi cette tour qui ne ressemble à rien.

bah je pense que la je vais gagner du coup.

ha bon ?

Ouais

Tu peux me dire pourquoi ? Ou pas ? Ou pas encore

Je sais pas si tu bluff ou pas.

[Terra] Mais va te faire enc*ler avec tes pièces de c*n là !!

[Laink] DEUX PI ECES !!!!

Faut voir sa tour comme la France

Il faut une base solide. "Avec un grand flux migratoire"

"Avec une culture bien Française"

"pour soutenir la base"

[Terra] à cause de ta grosse pièce à la c*n

[Laink] Tiens les petits amis..Allez-y manger sa tour les petits amis !!

[Laink] Mais j'suis trop c*n mais pourquoi j'suis comme en mode normal !!!!

[Terra] T'as fait tomber trop de pièces t'avais plus de vie, gros c*n !

[Laink] Pu*** moi j'étais là genre : "ça j'aime pas, ça j'aime pas, ça j'aime pas"

[Laink] Ha bah justement j'en avais pas besoin de celle-là.

MAIS QU'EST-CE QUE TU EZUIFGEZO

[Terra] Je me disais elle m'embête

[Laink] P*tain t'es c*n, parce que je croyais qu'elle allait remonter jusqu'au ciel, elle est restée.

[Laink] je sens une fragilité dans la France.

je sens un gros flux migratoire là.

j'ai l'impression qu'on est en train de me voler mes emplois.

[Terra] Ils peuvent pas retourner chez eux ces briques là ?

Au début on avait une belle base et regarde ce que c'est devenu, c'est pleins de couleurs.

P*taiin !!

Haa elle est belle la France, regarde la, là !

[Laink] Mais qu'est ce que c'est que ces gros pâtés que tu m'envoies ?

Je t'ai mis un de ces pâtés !
Ah merde

Salut

Je vais te donner de quoi ni**** ta mère

[Laink] Ha les caisses de l'état..HAAA

[Terra] Mais non mais elle était bien celle-ci

[Terra] Repose...remet la.

Bah ouais des fois c'est comme ça la France Terra. On a pas toujours ce qu'on veut mon ami.

Pour une base insoumise !!

Va te faire enc*ler !

Allez Looser.

t'es dans la m*rde

[Terra] Nan mais serieux la ? Je commence sur une base comme ça ?

[Laink] Ho elle est belle ta tour, elle représente quoi ?

Ton avenir.

OUHHHHHHHH

[Laink] J'arrive plus à respirer

[Terra] Faites lui du bouche à bouche

J'ai vu flou

[Terra] Nan mais la c'est bon c'est mort.

T'as une France heu..qui doute.

[Terra] Tiens et la tu vas douter quand tu vas devoir la mettre ?

Plus c'est gros plus ça passe.

[Terra] Attends, parce que t'as pas vu celle-la !

[Laink] Ha pour équilibrer.

Logiquement par le théorème de l'équilibre...

[Laink] Voilà , voilà, refaite moi, ok. Redonnez moi ma France.

[Terra] NOOOOOOOON !

Ma France, tu l'aimes ou tu la quittes.

Tiens tu vas la quitter ta France.

Tiens ! Tiens !

Tiens prends les tes acquis sociaux.

Tadam

[Laink] C'est lourd !!
[Terra] Vas te faire en**** !

[Terra] Eh tu sais quoi ? J'pouvais vraiment pas avoir mieux quoi.

J'me disais tout à l'heure: mais il me faut vraiment quelque chose de solide

OH NOOOONN

[Laink] Rooh c'est chiant. P*tain, c'est chiant.

Ha c'est dégeulasse ce que je fais, c'est dégeulasse.

C'est nickel

[Laink] Qu'est ce que tu fous ? Pu**** mais t'as pas le droit.

[Laink] MAIS T'AS PAS LE DROIT !

Mais j'peux rien faire contre !!

[Terra] T'es sérieux ? Fils de p*te !

[Laink] HAAAAA , mon arnaque !!

[Laink] Mais y a du vent aussi là haut pu*** !

[Laink] MAIS Y A DU VENT !!

[Terra] Oh oh OH OH

[Laink] J'ai gagné !!!

VAS TE FAIRE EN*****

[Laink] YeEES, à une seconde.

ha j'ai pas le compas dans l'oeil hein ça c'est sûr !

[Laink] MAIS JE SUIS TROP C*N !!!

[Laink] Mais quel débile !

[Laink] Mais pourquoi j'ai fait ...

[Laink] J'avais oublié qu'y'avait une ligne.

Le premier mod j'oublie toujours ce que c'est. je joue comme un débile.

[Terra] C'est des mods aléatoires.

[Laink] Ouais, Ouais. je te laisse gagner pour qu'on joue plus longtemps.

[Laink] ça sent déjà la m*rde !!!

Pourquoi je fais ça ? je me tire des bâtons dans les roues.

Est-ce qu'ont peut vraiment se tirer des bâtons dans les roues ?

Le Français se le demande.

Oui avec un pistolet à bâtons.

"Les Français en ont marre que le patronat tire des bâtons, avec des pistolets à bâtons."

On se fait ba*ser par le grand *incompréhensible*

"des bâtons qui sont tirés.."

On en parle pas des bâtons ! Des pistolets à bâtons.

"Est-ce que vous trouvez ça normal *???* on tire des bâtons à 2% sur les salariés.

[Laink] Mais au pire faites tout tomber, faites tout tomber mais faites tout tomber.

[Laink] J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus, J'en veux plus.

[Terra] Ho celle-ci t'en voudras bien un petit peu ?

Pourquoi je l'ai mise comme ça ?

J'ai l'impression d'avoir le cerveau déconnecté

[Laink] Quand on mettra la France en ordre, tu seras le premier à partir mon gars.

[Terra] Tu connais le principe de la réémigration de Lesquen ?

[Laink] Avec des congoïdes ?

Oui.

Allez tu sais quoi sur le "tec", comme une casquette que j'aurais posée.

[Laink] Ouais bah jolie casquette ouais.

[Laink] Hey je te rappelle que je t'ai mis un perfect avant, donc si tu m'en met un t'auras même pas le..

[Terra] Attend, oui donc tu disais ? En parlant de perfect..

Tu parles de ce que je viens de te mettre !? Ha d'accord.

[Laink] Y'a quelqu'un qui a dit dans le Tchat que j'était raciste parce que j'avais dit "congoïde"

En même temps Laink, excuse moi mais heuu..

T'as un public jeune

T'as un public jeune donc surveille un peu tes paroles.

[Laink] Nan j'avoue après imagine à la cour de récré les profs ils arrivent, ils entendent des mecs se traiter de "congoïdes"

Ils vont paniquer !

"Hey..Sale congoïde !! La réémigration tu vas voir"

[Laink] Ils vont paniquer de ouf !

"Mais qu'est-ce qu'il s'est passé, je comprends pas ?"

[Laink] Hey regardez comme c'est beau

Tu voulais une tour de Pise je suis en train de te la faire hein.

Hey mais c'est un équilibre qui fonctionne ça !!

[Terra] C'est ce qu'il faut faire en fin de game mais pas...

pas dès le début !

[Laink] Si regarde !

[Terra] Surtout quand je t'envoie des pièces comme ça.

Alors euh ....

Alors ça effectivement

Alors regarde regarde regarde...

C'est bon pas de casse. je continue, ça tient ça ?

Nan ça tient pas !!

Ou est ce qu'on en est dans les scores ?

Je crois que je viens de te ré-immigré..heu..

vers la sortie

Allez, attention ! Houla c'est bien..

ça sent le charter pour toi hein !

Nan, nan, nan t'inquiète !!

[Laink] Un malus buissons ?

[Laink] Ouais nan j'aurais peut-être pas dû le faire finalement.

[Terra] "J'ai bien réfléchi et c'est nul"

[Laink] J'crois que je regrette un peu ce que je viens de faire.

[Terra] On dirait vraiment une carte piège pourrie

"Ha oui mais tu n'as pas vu mon attaque..Buisson"

"Ha tu peux plus rien voir !!"

"Toute cette végétation, c'est terrible"

[Laink] Ho la belle ligne que tu nous as mis là. Elle sert à quoi ?

[Laink] Je te fais un pâté ! C'est un beau pâté, un pâté d'enfant.

Qu'est ce que c'est que cette m*rde ???

[Terra] Voilà ce qu'il te dit mon pâté d'enfant !

[Laink] ça tiendra jamais..mais..

mais ça ne tiendra jamais et c'est normal !! Et c'est normaal !!

[Terra] Le mec est quand même un peu énervé.

"Les Français ne voudront pas et c'est normal !!"

"C'est normal Madame"

[Laink] ha tiens vas-y met celle-la

[Laink] Elle ressemble à rien ta tour, t'es qu'un arnaqueur !

Par contre ça glisse, ça glisse là par contre.

[Terra] Mais ta gu**le avec tes réfléxions à la c*n.

[Terra] Tiens, ça, ça glisse ou pas ?

[Laink] Mais ça me fait chier ton truc qui glisse. Regarde ! j'ai un p*tain de cône glissant au dessus de ma tour.

je peux plus rien poser.

je peux plus rien poser Terra

Mais qu'est ce que je fais ?

[Terra] Hoow, mais j'ai l'impression que c'est une victoire.

Mais je ne peux plus rien poser

[Terra] OUUUUH

De toute façon tout le monde savait que tu étais d'extrême droite. Tout le monde le savait.

T'es vraiment un c*n !

Allez Laink, direction la Guadeloupe !

"Attends c'est un DOM-TOM, je comprends pas.."

Bah si il veut recoloniser heu..~~

ouais, ha oui c'est vrai.

~~les DOM-TOM

Bon bah c'est bon je t'ai foutu une pâté !

ouai ouai bon bah...hey,

Alors, j'avoue ma défaite mais on va dire que c'était serré d'accord ?

Est-ce qu'ont peut s'arrêter la dessus ?

C'était serré !!

J'ai gagné !!

Je gagne haut la main en te mettant heu..une victoire d'affilée.

'tain mais le mec..c'était serré..

"hmm bah j'ai gagné"

Sur les deux victoires je t'ai quand même mis 4 sans fautes !

quand même incroyable..


Ce cours a abordé le concept de l'eau de différentes manières et sous différents angles. Nous avons commencé le trimestre par la lecture d'un poème sur l'eau dans toute l'Amérique latine, puis nous avons regardé un film sur la privatisation de l'eau en Bolivie et un autre sur la vie de la pieuvre, nous sommes passés à la lecture de l'axolotl, une espèce menacée, et nous avons terminé le trimestre par une histoire de Carlos Fuentes sur un dieu aztèque de l'eau. Chacun a exploré cette question sous différents angles, notamment la protestation, la faune et la culture indigène. Mais ce que chacune de ces lectures a en commun, c'est un respect indéniable pour l'eau et la nature en général. Prenons par exemple "Grand-mère Cricket" et "Chac mool" ; ces deux histoires impliquent que les gens en viennent à accepter le rôle et le pouvoir qu'une certaine manifestation de l'eau a sur eux (bien que dans des buts très différents) : dans "Grand-mère Cricket", nous voyons que les gens du village en viennent à accepter le personnage principal ; dans "Chac mool", Filiberto essaie d'éviter le pouvoir de la divinité et finit par échouer. Malgré leurs tonalités très différentes, il est intéressant de constater que les deux histoires partagent un respect croissant pour leur personnification de la nature. De même, dans "Also the Rain", nous voyons comment l'eau est une ressource qui ne devrait pas être transformée en marchandise, car nous voyons une mer de gens qui protestent contre sa privatisation. Dans "Mon professeur de pieuvre" et "Axolotl", nous voyons le narrateur en venir à respecter et à s'identifier à un être vivant si différent de lui ; les deux ont des décors qui sont proches de l'eau, oui, mais le respect est le véritable thème qui demeure tout au long de ces œuvres. Il y a une raison pour laquelle les dieux de l'eau ont traditionnellement été représentés comme inconstants mais autoritaires ; pour laquelle le retour à l'eau peut nous aider à nous détendre ; pour laquelle l'eau est si vitale pour notre vie : elle représente quelque chose de primordial, quelque chose qui nous lie irrévocablement à notre passé. Tout au long de ce parcours, l'eau a donc servi de fenêtre à travers laquelle nous avons pu observer et apprécier des mondes très éloignés du nôtre. Dans "Also the Rain", l'eau montre le fossé entre le colonisateur et le colonisé dans notre société post-coloniale ; elle offre une perversion facile de notre attente privilégiée - que l'eau est un droit humain, qu'elle est bon marché et largement disponible - et de la réaction qui en résulte lorsque ces deux perspectives entrent en collision. Il montre comment des étrangers bien intentionnés peuvent renoncer à leurs idéaux et ne pas apporter de réels changements là où ils sont le plus nécessaires. Dans "Cricket Grandma", nous voyons les dommages que la privatisation peut causer en personnifiant les pluies comme une grand-mère bienveillante, enfermée pour chanter les lamentations de sa vie passée au profit d'un autre. Dans "Chac mool", la personnification montre à nouveau clairement que Mère Nature est toute-puissante, et nous oblige à regarder ce que nous avons fait à l'environnement et aux peuples indigènes en étant soumis à leurs caprices vengeurs. "Axolotl" nous apprend que ce n'est pas facile - que considérer de manière significative une perspective différente est un travail difficile si nous voulons vraiment comprendre le mode de vie d'autrui - mais que c'est néanmoins un travail précieux, et "Mon professeur de pieuvre" nous donne quelqu'un à qui s'accrocher qui récolte les bénéfices d'une véritable compréhension. En général, l'eau elle-même est un sujet important, mais il est purement accessoire : le véritable objectif est de mieux apprécier les autres. Mais si nous n'avions pas utilisé l'eau comme véhicule pour en discuter, si nous n'avions pas vu comment l'eau peut affecter les autres, nous n'aurions peut-être pas obtenu la perspective que nous avons maintenant.

Nous avons abordé l'identification du métal inconnu en supposant que le métal avait un état d'oxydation inconnu (n) et une masse molaire inconnue (M_M). En équilibrant l'équation de sa réaction avec l'acide chlorhydrique en termes de n, et en répétant cet équilibrage pour l'équation décrivant la réaction du sel métallique avec l'hydroxyde de sodium, nous avons pu écrire la quantité du sel métallique en termes d'autres variables, et en la substituant dans notre équation originale, nous avons produit une autre équation qui a pu être résolue pour donner une approximation numérique de l'état d'oxydation. Ceci, combiné à notre connaissance de la masse du métal, nous a donné une valeur possible pour sa masse molaire.

L'analyse de l'état d'oxydation suggère qu'un élément du groupe 1 correspond le mieux aux données données données, ce qui nous donne cinq possibilités (H, Li, Na, K, Rb, Cs et Fr) ; le rubidium, le césium et le francium sont suffisamment coûteux pour être totalement exclus de ce qu'un laboratoire entier d'étudiants (relativement peu formés) peut reproduire, et la forme solide du métal à la STP exclut l'hydrogène. Il nous reste donc trois candidats réalistes : le lithium, le sodium et le potassium. Des interactions antérieures avec le potassium en laboratoire suggèrent qu'un élément si réactif qu'il prend feu lors d'une interaction avec de l'eau froide ne se comporterait pas de manière aussi apprivoisée en présence d'acide chlorhydrique ; cependant, pour une réponse plus définitive, nous pouvons nous baser sur la masse molaire calculée. Les données suggèrent (avec un arrondi gratuit et une marge d'erreur en plusieurs étapes) une masse molaire d'environ 7 g/mol, et certainement pas plus de 10 g/mol. Le seul élément satisfaisant à la fois la condition précédente et la présente est le lithium, et nous affirmons donc avec confiance que le métal utilisé dans cette expérience était le lithium.

Bien que l'absence de l'auteur dans le laboratoire le jour de l'expérience entraîne une lacune nécessaire dans les explications rétroactives des observations expérimentales, le lecteur est encouragé à fournir celles qui peuvent être raisonnablement déduites des directives d'activité ; par exemple, noter la directive de placer la fiole acide-métal sur une plaque chauffante pour accélérer la progression de la réaction, ce qui serait presque inutile (compte tenu du long processus de standardisation de l'acide chlorhydrique) si le métal sodium ou potassium, et son apparence comme quelque chose qui peut être raisonnablement pesé sans l'interférence d'un revêtement d'huile minérale soutiennent davantage (ou plutôt, cimentent) la conclusion précédente.

(dieu est-ce que je canalise le fantôme d'un universitaire du début du 20e siècle ??)
12/8 Sur Canvas – Collaborations : écrivez deux questions et trouvez deux citations que vous voulez discuter en classe.


Siona
“Mon père ancien séducteur au maintien avantageux, ma mère couverte de somptueux bijoux créoles, leurs huits enfants, mes soeurs yeux baissés, parées comme des châsses, mes frères adolescents, l’un d’eux déjà à sa première année de médecine, et moi, bambine outrageusement gâtée." (12-13)


Dans ces pages, Condé se compare à sa famille. Que montre sa langue sur sa perception de soi?


“‘Qu’est-ce que vous parlez bien le francais!’” (13)


Que montre sa situation sur le contexte de la France en ce moment?


Alexander
“J’éprouvais à chaque fois le même chagrin: je n’avais pas été désirée"(p. 12).
C'est une opinion significative. Quel est l'effet sur la narratrice?


“Pourtant, nous sommes aussi français qu’eux, soupirait mon père"(p. 13).
Est-ce que la déclaration du père signifie un conflit idéologique?


Taraz
“Ils lâchaient invariablement en servant les diabolos menthe: ‘Qu’est-ce que vous parlez bien le français!’” (13)


(Je pense que Siona a déjà écrit sur cette citation, mais je veux poser une autre question.)
C’est clair que cette citation est importante, et on commence à voir un thème important du texte. Qu'est-ce que cette citation montre au sujet de l'identité de Condé?


“Il y avait dans cet échange un pathétique qui, toute petite que j'étais, me navrait. C’est d’une grave injustice qu’ils se plaignaient.” (13)


Comment Condé se sent quand elle écrit ces phrases? Est-ce-qu’elle veut que nous, les lecteurs, sympathisons avec ce "pathétique" ?


Zander
«Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse...» (12)


L'éducation de Condé semble être quelque peu différente de ses frères et sœurs. Son rôle de «kras à boyo» est-il la raison de son point de vue protégé dans ces pages?


«Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient.» (14)
Condé a entendu sa mère dire pourquoi sa famille est plus française que «les garçons qui les servaient». Que montre cette dynamique sur l’intersection du classisme et du racisme dans la France d'après-guerre?






Erik
“Plus français, renchérissent ma mère avec violence. Elle ajoutait en guise d'explication: nous sommes plus instruits. Nous lisons davantage. Certains d'entre eux n'ont jamais quitté Paris alors que nous connaissons le Mont-Saint-Michel, La Côte d'azur et la Côte basque” (pg.13)


Pourquoi les “vrais Français” sont-ils si racistes envers les gens des DROM-COMs?


“Ils possèdent tout naturellement cette identité française qui, malgré leur bonne mine, était niée, refusée à mes parents.”


De quoi les parents étaient-ils exclus parce qu’ils n'étaient pas considérés comme vraiment français?


Olivier:
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire, j’éprouvais à chaque fois le même chagrin: je n’avais pas été désirée.”


“C’est d’une grave injustice qu’ils se plaignaient. Sans raison, les rôles s’inversaient.”


Il sera intéressant de voir comment les différents membres de la famille s’adaptent à vivre en France. Quelles différences avons-nous déjà vues?


J’ai choisi une citation sur la naissance du narrateur, et je me demandais si cela pourrait changer sa compréhension du monde d’une manière ou d’une autre. Peut-être qu’il est trop tôt pour le dire.


Aubrey


“Pourquoi enviaient-ils si fort des gens qui de leur propre aveu ne leur arrivaient pas à la cheville?” (14)
La famille de Maryse Condé semble très instruite et riche (« ma mère couverte de somptueux bijoux créoles »), mais ils ont encore le désir d’être acceptés comme français. Quel était l’effet du racisme sur la classe supérieure guadeloupéenne, et où dans la hiérarchie sociétale était la famille de Condé par rapport aux « vrais Français » ?
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire j’éprouvais à chaque fois le même chagrin : je n’avais pas été désirée.” (12)
Condé semble être un peu éloignée de sa famille parce qu’elle était la dernière enfant. Pensez-vous que cela va affecter les identités française et guadeloupéenne de Condé? Essaiera-t-elle devenir aussi française que possible ou penchera-t-elle davantage vers sa culture familiale malgré sa position dans la famille?


Bai
“Comme chaque fois que j’étais dans l’embarras, je me tournai vers mon frère Alexandre qui s’était lui-même rebaptisé Sandrino « pour faire plus américain ». Premier de sa classe, les poches bourrées des billets doux de ses gamines, Sandrino me faisait l’effet du soleil dans le ciel. Bon frère, il me traitait avec une affection protectrice. Mais je ne me consolais pas d’être seulement sa petite sœur”(14).
Je ne sais pas ce que c'est d'avoir un frère aîné, parce que je suis un enfant unique, mais je pense que ce n'est pas normal qu’elle pense qu' elle était non désirée. Pourquoi est-elle “seulement sa petite sœur?” Qu’est-ce qui la fait se sentir si "inutile?”
“Elle avait beau ajouter en me couvrant de baisers que sa kras à boyo était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire j’éprouvais à chaque fois le même chagrin : je n’avais pas été désirée.” (12)
(Aubrey a déjà écrit sur cette citation, mais j’ai une question différente.)
Je crois que chaque mère aime son enfant, mais leur amour n'est pas égal. Combien d'amour la mère de Maryse lui donne-t-elle parmi ses huit enfants? Et est-ce que possible que sa mère ne l’ait pas aimée l'aimait-elle pas quand Maryse est née, mais qu’après un certain temps, l'amour ait grandi sur sa kras à boyo?


Rachel Shu
“Pourtant, nous sommes aussi français d'eux, soupirait mon père. Plus français, renchérissait ma mère avec violence. Elle ajoutait en guise d’explication: Nous sommes plus instruits. Nous avons de meilleures manières. Nous lisons davantage. Certains d’entre eux n’ont jamais quitté Paris alors que nous connaissons le Mont-Saint-Michel, la Côte d’Azur, et la Côte basque.” (13)
Pourquoi ses parents gardent-ils un visage heureux alors qu'ils se rappellent constamment de leur lutte pour le pouvoir et ils en sont fâchés?
“Pourquoi enviaient-ils si fort des gens qui de leur propre aveu ne leur arrivaient pas à la cheville?” (14)
Je pense que cette question est très importante pour nous donner un aperçu de ses parents. J’ai l’impression que ses parents ne sont pas vraiment envieux, mais plus en colère contre des ignorants qui n’auraient peut-être pas travaillé aussi dur qu’eux, mais qui ont plus de respect et de pouvoir dans la société. Que pensez-vous de cette question?
Logan Valenti
« Et moi, je ne comprenais pas en vertu de quoi ces gens orgueilleux, contents d'eux-mêmes, notables dans leur pays, rivalisaient avec les garçons qui les servaient. »
« Mais je ne me consolais pas d'être seulement sa petite sœur. Oubliée aussitôt qu'une taille de guêpe passait alentour ou qu'un match de football débutait. Est-ce qu'il y comprenait quelque chose au comportement de nos parents ? »
1. Pensez-vous que Maryse a le même sentiment d'altérité que ses parents, ou qu'elle en viendra à le développer ?
2. Dans la deuxième citation, pourquoi place-t-elle ces deux idées (être « oubliée » et savoir si son frère comprenait leurs parents) l'une à côté de l'autre ?


Jacqueline Subkhanberdina
«Il y avait dans cet échange un pathétique qui, toute petite que j’étais, me navrait.» (13)


Que montre cette situation sur son enfance?

«Mon père ancien séducteur au maintien avantageux, ma mère couverte de somptueux bijoux créoles, leurs huit enfant, mes soeurs yeux baissés, parées comme des châsses, mes frères adolescents, l’un d’eux déjà à sa première année de médecine, et moi, bambine outrageusement gâtée, l'esprit précoce pour son âge. » (13)


Pourquoi pensez-vous que l'auteur se décrit son jeune comme « (...) bambine outrageusement gâtée, l'esprit précoce pour son âge. » ? Qu'est-ce qu'elle essaie d'exprimer sur sa famille à travers cette description?

Rachel Shu
Pourquoi pensez-vous que sa mère a bu de l'alcool alors qu’elle était enceinte juste pour aller en classe?
Quelle est la signification de la chanson de la mère de sa mère?


Commentaire:
Ce chapitre introduit des idées sur les classes sociales et les batailles qui se passent parfois entre elles. Condé commence par parler d'école et du matériel qu’ils apprennent, expliquant les différences entre son éducation et celle de sa mère par rapport à celle de sa grand-mère. Elle souligne la fierté et le travail acharné que les mères de sa communauté mettent dans leur travail, écrit, “Elles étaient pour la plupart institutrices et ressentaient le plus vif mépris pour les tâches manuelles qui avaient tellement défait leur mères. Pour nous, pas de mamans restant à la maison en golle défraîchie, nous accueillant avec de gros baisers sur le pas de la porte, après leur journée à laver ou à faire bouillir des racines et, le soir, nous racontant les contes créoles de Zamba ou de Lapin” (31). Tandis que les mères travaillent dur, les pères aussi travaillent à leur travail respectif. L'assemblée des parents du quartier a choisi Madonne pour s’occuper des enfants du quartier, comme une nounou.
Un jour, quand Madonne n’est pas venue travailler parce qu’elle devait amener sa fille à l'hôpital, la mère de Condé renvoya Madonne. Après, sur le chemin de l'école, Condé était souvent rencontrée par un grand garçon qui la menaçait. Le garçon a disparu quand son père l'a accompagnée à l'école. Sandrino a expliqué que Madonne cherchait à se venger de la famille de l’avoir renvoyée en s’attaquant au membre le plus vulnérable. Ses parents ont décrit ce type de conflit entre les classes, déclarant, “Le monde se divisait en deux classes: la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s’en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu’un. L’autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu'à leur nuire. La première classe ne doit donc jamais traîner en marchant et à tout instant se garder” (35). Je pense que cette déclaration n’est pas très viable. Oui, parfois les gens de la classe “inférieure” peuvent être jaloux des gens des classes “supérieures,” mais ils n'agissent pas sans raison. Comme la façon dont sa mère renvoie Madonne pour la pire des raisons, le droit qui fait que les autres se sentent inférieurs suscite les sentiments de haine que les gens de classe inférieure développent. Cette insensibilité divise encore les classes.


Taraz
Les relations entre les sœurs Rama et la mère de Condé ne sont pas bonnes. Qu’est-ce que ça donne à l'histoire et comment est-ce pertinent?


Quelles impressions sont montrées par la description des sœurs Rama: Valérie et Adélaïde?


Commentaire:


Dans ce chapitre, on peut voir les relations qui changent entre Condé et sa famille, et il y a un tournant où Condé commence à considérer que sa vie est «comme une prison où l’on est sommé de se conformer à des règles dénuées de signification» (31). Ce chapitre nous montre aussi l’opinion de Condé sur sa mère, et comment elle s’entoure de mères similaires qui sont des institutrices, ou qui «restent à la maison en golle défraîchie» (31). Je pense que Condé commence à réaliser que ses parents sont similaires aux autres parents dans leur milieu, et pour cette raison, elle devient moins proche de ses parents. Malheureusement pour Condé et ses frères et sœurs, sa mère (qui s'était fâchée déjà dans l'histoire), a payé et puis immédiatement renvoyé Madonne, une femme qui travaille pour la famille. Madonne était bien-aimée par les enfants (elle leur permettait de faire beaucoup des choses que leur mère ne leur aurait pas laissé faire), et à cause de ça ils étaient «bien chagrinés quand le drame survint» (32) . Les actions de la mère de Condé ont ciblé les enfants, tant et si bien qu'un garçon a approché Condé et l'a menacée. Cependant, ce qui est intéressant est que Condé
pensait que le garçon «ne ressemblait pas à un vaurien, ni à un sacripant» (34), et qu'il pouvait être un orphelin, ce qui suggère un sentiment de pitié. Le chapitre finit avec une explication de Sandrino, qui aide Condé et lui explique les deux classes, et à cause de ça elle sympathise avec la deuxième classe, ce qui n’est pas bourgeoise.


Alexander
Quelle impression Conde essaye-t-il de créer avec la description des sœurs?


Pourquoi les sœurs ont-elles refusé d'avoir Condé parmi les fillettes?


Commentaire
Quand Condé écrit: “L’explication de Sandrine me séduisant bien davantage. Elle était plus convaincue parce que plus romanesque”(p. 35), on voit qu'elle choisit l'option la plus dramatique car elle est plus dramatique, même si elle prend plus de risques parce que l'attaque est personnelle. Le livre dépeint la vie de Condé quand elle était jeune comme ayant beaucoup de difficultés, avec son éducation et sa famille. Après avoir été menacée, elle suppose que la mauvaise option est la vraie.


Un autre sujet important est Madonne. Au chapitre 1, Sandrino dit à Condé que «Papa et maman sont une paire aliénés» (p. 15). Cette déclaration indique que les parents de Condé ont un gros désavantage dans la vie. Mais, au chapitre 3, nous apprenons qu'ils ont un serviteur, un avantage. Lorsque la servante Madonne est en crise avec sa famille, les parents de Condé la renvoient aussitôt. «Ma mère calcula rapidement, paya tout ce qu’elle demandait plusieurs jours de congé»(p. 32). Une vie se réduit au calcul. Ils ne se soucient pas de son gros problème et ne l'aideront pas personnellement; ils la veulent uniquement pour son travail. C'est de l'arrogance et de l'égoïsme. Cet abus de pouvoir n'a pas de corrélation avec le désavantage du parent d'être «aliéné».


La famille de Condé, en particulier sa famille, est un sujet de discussion intéressant. Quelle est sa relation avec ses parents?








Zander
Quelle est la signification de la célèbre littérature française que les sœurs Rama ont au bureau? Cela ressemble aux valeurs de la famille Condé.


Pourquoi les sœurs Rama doivent-elles administrer une correction à Condé quand elle la mérite?


Commentaire:
Je pense que ce chapitre montre le ressentiment que Condé développe pour sa mère. Elle se rend compte que ses parents, et sa mère en particulier, ne sont pas empathiques envers les classes populaires. Condé est en colère parce que le manque d’empathie de sa mère contribue à sa terreur.


Puisque la mère de Condé et les autres mères de la même classe «ressentaient le plus vif mépris pour les tâches manuelles qui avaient disaient défait leurs mères» (p. 31), elles ne sont pas empathiques envers les classes populaires. La mère de Condé était particulièrement insensible. Elle a licencié Madonne, que Condé aimait, parce que sa fille devait aller à l'hôpital et «on le savait déjà, c'était une sans-entrailles». (p. 33) Parce que Madonne était partie, Conde était en danger sur le chemin de l'école. Tout le monde pensait que Condé mentait, et sa mère même «allait se résoudre à m'emmener consulter le docteur Melas, car la constance de mon délire l'inquiétait». (p. 34) Adélaïde Rama a découvert le garcon et d’autres personnes ont finalement cru Condé.


L’explication de Sandrino pour le garçon à la page 35 avait du sens pour Condé. Le garçon était un fils de Madonne qui était triste et en colère après la mort de sa fille. Avec cette explication, le licenciement inutile de Madonne par sa mère a causé la mauvaise expérience de Condé. C’est une bonne raison de la colère de Condé envers sa mère.






Bai
Y a-t-il une histoire derrière pourquoi la mère de Condé et les sœurs rama ne s'aiment pas? Peut-être que c’est à cause du père des sœurs?


En haut de la page 31, Condé décrit comment elle a pensé à l'école des sœurs Rama. D’où vient l'idée que l'école est considérée comme une prison? Ses frères et sœurs le lui ont-ils dit?


Commentaire:
Le chapitre trois met l'accent sur la différence entre les classes sociales. L'école des gens riches et «éduqués». Et l'agression de la mère de Condé envers la classe inférieure. La mère de Condé est probablement une personne bien éduquée dans les universités, mais elle manque de gentillesse. Peut-être que la mère a travaillé très dur pour sa position sociale et pense qu'elle mérite la supériorité. Sa fierté est plus importante que ses relations et son humanité. Par exemple, le travail fait partie de cette fierté, "Dans notre milieu, toutes les mères travaillaient, et c'était leur grande fierté ... Pour nous, pas de mamans restant à la maison en golle défraîchie, nous accueillant avec de gras baisers sur la porte ... »(p.31). Les gens accordent plus d'importance à la fierté et à l'identité sociale qu'à leur famille et à leurs soins. Dans le premier chapitre, le livre a introduit l'idée que la famille Condé veut être française, être égale aux Blancs. Peut-être que la mère de Condé pense qu'en plus d'être "française", c'est qu'elle doit mépriser les gens, surtout ceux "moins" qu'elle.


“Un matin, Madone commit la faute impardonnable de ne pas se présenter à son travail.” Plus tard, il est justifié que sa fille était gravement malade(p.32), mais la mère de Condé n'a montré aucune sympathie et a renvoyé Madonne “sur-le-champ”, alors qu'elle avait le plus besoin d'argent. J'ai eu la même pensée que Sandrino, quand Condé a mentionné le garçon. Mais la mère, qui n'a que l'orgueil et la richesse à ses yeux, ne peut pas voir qu'elle avait abandonné son humanité.


Aubrey
Quelle était la situation économique à La Pointe à cette époque? Pourquoi est-ce qu’il n’y avait pas de maternelles ni de jardins d’enfants?


Que pensez-vous de la dynamique familiale de Condé? Il semble que sa mère soit plus affirmée et agressive que son père (en bas de page 30).


Commentaire:
Je pense que ce chapitre montre une perspective plus complète de la mère envers les différentes classes et races de la société. Nous avons appris, dans le premier chapitre, que les parents de Condé voulaient être acceptés comme français, mais il y avait une certaine division culturelle et quantité de racisme dans la société. Il semble qu'en réponse à cela, la famille de Maryse n’avait pas peur de se battre pour le respect. Par exemple, au café, les parents ont assuré à Maryse qu’ils étaient plus instruits et avaient de meilleures manières (13). Cette fierté est bonne, à mon avis, pour lutter contre l’oppression, pourtant je pense que comme effet secondaire, cet environnement divisé et oppressé, a aussi façonné l’attitude négative des parents envers des gens moins fortunés et de la classe inférieure.
Dans le troisième chapitre, la mère a démontré une personnalité très agressive envers les autres. À la page 30, la mère s’est battue avec persistance pour l’éducation de Maryse, et à la page 32, elle a renvoyé Madonne sans une seconde pensée. Je pense que c’était comme si la mère dirigeait une partie de ses sentiments d’oppression envers les gens sous elle en classe en étant impitoyable. À la fin du chapitre, les parents ont dit que « le monde se divisait en deux classes » pour expliquer les attaques du garçon, ce qui, je pense, montre aussi leur perspective fixée et froide de la société. (c’est intéressant aussi que les parents n’aient pas inclus les français quand ils ont décrit la division de la société. Nous pourrions en discuter pendant la classe.)








Oliver
Condé écrit que les sœurs Rama avaient un père célèbre en Guadeloupe. Comment cela affecte-t-il l’école et les sœurs?


Pourquoi la mère de Condé n’aime-t-elle pas les sœurs et leur capacité à épouser quelqu’un?


Commentaire:
J’ai trouvé intéressant que Condé a attendu la fin du chapitre pour présenter la vraie “lutte des classes.” Je ne sais pas si c’était intentionnel, mais cela m’a fait réaliser que des problèmes entre des classes peuvent passer tous les jours. Le problème entre le narrateur et le garçon n’est évidemment pas un problème de classe au début. Les idées présentées par la mère enseignent à tous ses enfants une très mauvaise idée de la classe. Cela peut perpétuer l’inégalité des classes. Les différentes explications illustrent les idées de certains membres de la famille. La mère du narratrice, probablement fière de ses origines, ne respecte pas les membres des classes inférieures. La fin du chapitre m’a fait aimer Sandrino. Il comprend la vraie raison des attaques. C’est pourquoi Condé lui décrit comme “plus romanesque.” Il comprend qu’il y a une injustice entre les classes. Malheureusement, la solution du garçon de Madonna a été d’attaquer le plus jeune enfant. Je veux voir comment les idées de sa mère affecte sa vie.


Erik
Pourquoi est-ce que la bourgeoisie veut envoyer ses enfants à l'école des sœurs Rama?


Pourquoi est-ce que la mère pense que les sœurs Rama sont stupides parce qu' elles ne se marient pas. Et pourquoi est-ce qu'elle dit son opinion en public.


Commentaire:


Je pense que c'est très intéressant le nom du chapitre. Quand j’ai commencé à lire le chapitre j'ai pensé que le nom “Lutte des classes” signifiait les problèmes que l’auteur avait à l'école. Je le pensais parce que la mère de Maryse et les sœurs qui ont l'école, ont argumenté. Quand le chapitre a commencé à parler des bonnes j’ai vu les classes sociales des enfants et sa familles, et les bonnes. On peut voir que quand Madone, la bonne de famille Condé, avait dû emmener sa fille à l'hospice et avait besoin de plusieurs jours de congé, la mère renvoya Madone sur- le-champ. Il y a des conséquences parce que quand Maryse a marché à l'école, un garçon l’attaque. Quand elle essaie de dire a les autres qu'une personne l'attaque, ils ne la croient pas. Quand une des sœurs Rama dit qu’elle a vu un garçon avec une description similaire, ils la croient finalement. Les parents de Maryse disent "Le Monde se divisait en deux classes : la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s'en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu'un. L'autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu'à leur nuire.” Je pense que c’est ironique qu'en Guadeloupe la famille Conde est dans la classe haute, mais quand ils vont en France les gens pensent que la famille Conde est dans la classe inférieure.









Logan
1. Quelle réputation avait sa mère pour faire en sorte que les sœurs Rama ne veuillent pas laisser entrer Maryse dans leur école ?
2. La famille de Maryse fait-elle partie de la bourgeoisie ou plutôt aspire-t-elle à en faire partie ?


Commentaire:
Une phrase en particulier m'a marqué dans ce chapitre : « [l’explication de Sandrino] était plus convaincante parce que plus romanesque ». Cela m'a beaucoup rappelé l'épigraphe qui commençait le livre (« Ce que l’intelligence nous rend sous le nom de passé n’est pas lui. ») parce que nous voyons que ce qui reste de nos souvenirs, après que le temps a(it) fait son œuvre, c'est l'émotion et non la vérité. Nous le voyons dans la décision de Condé de mener la discussion sur la « faute impardonnable » de Madonne directement à son agresseur -- dès le début, Condé laisse entendre que l’histoire de Sandrino est plus plausible en mettant ces deux événements disparates côte à côte. Le chapitre se termine par un passage de la Bible, tel que raconté par Sandrino : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées. » -- c'est-à-dire : « Les parents ont mangé des raisins aigres, mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » ou plus directement : « Les parents ont été lésés, mais ce sont les enfants qui se vengent. » Ce chapitre brosse un tableau narratif fort du fils de Madonne, furieux que la mère de Condé ait injustement renvoyé sa mère, et nous devons, en tant que lecteurs, le croire au pied de la lettre. Mais le devrions-nous ? Ne pouvons-nous pas dire que l'explication de ses parents ne souffre pas de défauts tout aussi fatals ? Devons-nous simplement accepter que la moitié de la population soit naturellement encline à la « lutte » et à l'anarchie ? Dans un certain sens, l'explication de ses parents et celle de Sandrino sont donc des déformations de la vérité tout aussi graves.




Siona
Pourquoi est-ce que les sœurs Rama ne voudraient pas compter Condé parmi les fillettes? Qu’est-ce que ça veut dire de la culture de l'éducation en ce moment?


Il y a trois écoles des soeurs.et la mère de Conde n’aimait pas les sœurs Rama. Donc, pourquoi a-t-elle choisi cette école et qu’est-ce ça veut dire de sa style parental?


Commentaire:


Ce chapitre introduire le lutte des classes avec la femme de chambre, Madonne et ses gamins. Une phrase qui me ressorti est “Un matin, Madonne commit la faute impardonnable de ne pas se présenter à son travail.” Ça montre la pénurie d'empathie pour les classes populaires. Une erreur n’est pas juste une erreur; mais c’est une remarque concernant le caractère de Madonne. Oui, c’est mal que la famille de Condé ait renvoyé Madonne, mais est-ce que ça justifie les actions de Boucolon. A la fin du chapitre, les lecteurs apprennent que Boucolon a harcelé Condé pour vengeance pour sa mère, à qui la fille était morte. Boucolon murmura de manière très mal à l'aise et il réapparut alors que Condé l’esprit oublieux. Aussi à la fin, Sandrino a donné un monde se divisait en deux classes: “la classe des enfants bien habillés, bien chaussés, qui s’en vont à l'école pour apprendre et devenir quelqu’un [et] l’autre classe, celle des scélérats et des envieux qui ne cherchent qu’à leur nuire.” Peut-être c’est le manque de soins de la part de la première classe qui garanti que les classes populaires restent dans la seconde catégorie - comme avec Madonne et la famille de Condé. En plus de la lutte des classes, ce chapitre montre aussi Conde’s haïr croissant pour sa mère. Peut-être cette assertion est plus sévère, mais Conde décrit le travail de sa mère et comment les femmes de chambre ont fait lui attention - et maintenant, Madonne est cuit à cause de sa mère.


le dumping


Jacqueline
1. La relation entre Maryse et sa famille, mais spécifiquement avec sa mère, est très intéressante. Qu'est-ce que l'auteur essaie de montrer en décrivant comment sa mère "n'aimait pas les sœurs Rama (...)”? (p.30)
2. Pourquoi n'y avait-il pas beaucoup de jardins d'enfants ou de maternelles pendant son temps à La Pointe? (p.29)


Commentaire:


Le chapitre Lutte de Classe décrit plus en détail l'expérience de Maryse en grandissant ainsi que le caractère de sa mère et de sa famille. Il est clair que sa perception de son école et les gens autour d'elle se développe qu'elle grandit. Par exemple, sa bonne, Madonne, qui était gentille mais a dû partir pour s'occuper de sa fille. J'ai trouvé le personnage de Madonne particulièrement intéressant car il semblait que Maryse s'entendait vraiment bien avec elle, contrairement peut-être à sa famille parfois. Maryse écrit, “Elle me permettait de ramasser des graines d’église sur la place de la Victoire (...) Pour toutes ces raisons, nous nous trouvâmes bien chagrinées quand le drame survint.” Je me demande à quel point l'influence de Madonne a affecté Maryse tant ses parents étaient si occupés. Aussi, je veux continuer à lire sur sa relation avec ses parents parce que ce chapitre décrit un peu de cela avec sa mère quand il dit: “ (...) toutes les mères travaillaient, et c'était leur grande fierté.” Sur une autre note, son attitude envers l'école se développe clairement tout au long du chapitre comme lorsqu'elle évoque sa rencontre effrayante avec un garçon un après-midi et ce qu'elle a dit plus tôt dans le chapitre sur l'école, "Je n'avais pas encore commencé de le haïr, de la considérer comme un prison."


Nina
1. Qu’est-ce que l’effet de diser le prénom du narrateur par le premièr fois quand boucolon a été attaquer par l’enfant?
2. Pourquoi est-ce que les parents ne croient pas que le narrateur a été attaquer au début?


Commentaire:
Pendant ce chapitre, il y a un enfant qui suit le narrateur. Le narrateur avait peur de l'enfant, et elle doit décider de ce qu'elle va faire. Nous ne savons pas qu'est-ce que l'enfant voulait de Condé, ou s'il veut bien faire, mais les actions de l'enfant étaient troublantes. Au début, la mère ne croyait pas Condé quand elle a dit qu'il y avait un enfant qui la suivait. Mais, l'enfant s'est arrêté quand le père de Condé l'a accompagnée. Aussi, le première fois que nous lisons le nom de Condé était quand l'enfant l'a dit. Je pense que l'effet de ça a associé le narrateur au danger. Je me demande comment le thème du danger continuera pour le reste du livre.


ses
(3rd person possessive, plural)

sait
knows

poignet
wrist

poignée
handful

sévir
to rage

servir
to serve

sans
without

son
his, hers (m sg)

saint
saint

pou
louse

boue
mud

tout
all

doux
sweet

fou
crazy

vous
you (pl)

sous
under

zoo
zoo

cou
neck

goût
taste

mou
soft

nous
we, us

agneau
lamb

parking
parking lot

chou
cabbage

joue
cheek

roue
wheel

loup
wolf

soin
care

sien
his, hers

suint
grease on sheep's wool

abeille
bee

abbaye
monastery

enchaînement
enchaînement

liaison
liaison

La bise et le soleil se disputaient, chacun assurant qu’il était le plus fort. Quand ils ont vu un voyageur qui s’avançait, enveloppé dans son manteau, ils sont tombés d’accord que celui qui arriverait le premier à le lui faire ôter serait regardé comme le plus fort. Alors, la bise s’est mise à souffler de toutes ses forces, mais plus elle soufflait, plus le voyageur serrait son manteau autour de lui. Finalement, elle renonça à le lui faire ôter. Alors, le soleil commença à briller et au bout d’un moment le voyageur, réchauffé, ôta son manteau. Ainsi, la bise dut reconnaître que le soleil était le plus fort.

projet
donc
livre
entrer
vie
celui
moins
chances
résister
forces
néfastes
en raison de
jeunesse
sexe
race
commencé
sombre
récit
meurtre
psychologique
personnage
principal
personnage principal
rester
rester seul
car
passivité
vide
narratif
inventé
camarades de classe
camarade
classe
comprenait
sympathisaient
détresse
bénéficiaient
soutien
parents
fougue
propre
impuissants
sauver
amie
s'est brisée
origine
roman
se trouve
conversation
eue
enfance
commencer
école primaire
venir de
yeux
bleus
regardé
imaginer
violemment
repoussé
imaginer à
ressemblerait
souhait
chagrin
semblait
sympathie
étonné
profanation
proposait
fâché
place
joli
charmant
gentil
laid
certainement
utilisé
beau
aie
ressenti
choc
force
égale
connaissance
reconnaissait
pas même
surtout
possédait
visage
examinais
silence
rue
en début de
début
après-midi
lumière
atmosphère
confession
en tout cas
beauté
imaginée
effort
à ce sujet
sujet
expérience
priait
altération
radicale
désir
implicitement
lié
haine
raciale
me demandais
comprendre
valait
monstre
regardée
trouvé
désirable
petite
balance
picore
regard
condamnée
revendication
raciale
soixante
suscité
réflexions
réfléchir
nécessité
décriée
beauté
pouvait
considérée
allant
au sein de
sein
communauté
avait besoin
besoin
articulation
publique
exister
questions
intelligentes
commencé
histoire
réponses
évidentes
devenues
rapidement
affirmation
autodérision
critique
humoristique
faiblesses
culturelles
raciales
communes
groupes
intériorisation
préjudiciable
suppositions
infériorité
immuable
provenant
regard
extérieur
concentré
grotesque
diabolisation
s'enraciner
membre
délicat
société
enfant
essayant
dramatiser
dévastation
mépris
occasionnel
causer
choisi
situation
unique
representative
extrémité
provenait
en grande partie
Je nettoyais les toilettes aujourd'hui et j'ai découvert qu'elles étaient bouchées à cause d'un œuf vert en décomposition qui s'était logé dans la canalisation. Chaque semaine, je dis qu'il s'est passé quelque chose qui est singulièrement la pire chose que j'ai jamais vécue, mais cela reste vrai ! Une semaine sans chaos, c'est tout ce que je demande.
se révèlent
se réunir
se résumer
se ressentir de
se reprenant
se reposer
se repentir
se rendre
se rendent
se remettre
se recouvrit
se raser
se promener
se produit
se pressaient
se présenter
se préparer
se prenaient
se poster
se porta sur
se planter
se plaindre
se plaignaient
se perdre
se peigner
se passe
se parfumer
se nommait
se moquer de
se montrer
se montrait
se mit à
se mettre en rang
se mettre à table
se mettre
se lever
se laver
se hissaient
se habiller
se garder
se frappez
se fondent
se fixent
se figer
se faire prendre à son propre jeu
se faire choper
se faire
se doucher
se divisait
se dissiperont
se diriger
se dire
se développer
se développent
se déroule
se demander
se dégourdir
se débrouiller
se coucher
se contentait
se conformer
se comporte
se comportait
se coiffer
se brosser les dents
se brosser
se bornaient
se baigner
sculptrice
sculpteure
sculpteur
scripta manent
science-fiction
schups
schupa
scénario
scellé
scélérats
savon
savoir-faire
savoir
saveur
savantes
s'avança
sauvetage
sauvegarder
sauvage
saute
sautais
saut
sauf
s'attribuaient
s'attendre
satellite
s'assurer
s'asseoir
s'articule
s'arrêter net
s'arrête
s'appuyait
s'approcher
s'apprête à
s'appeler
s'apercevoir
santé
sans-travail
sans-gêne
sans-entrailles
sans valeur
sans sucre
sans serif
sans rigueur
sans reproche
sans raison
sans presser
sans précédent
sans nuances
sans manche
sans joie
sans hésiter
sans frontières
sans effort
sans doute
sans difficulté
sans détour
sans délai
sans danger
sans cesse
sans arrêt
sans
s'annoncer
sang
Sandrino
sandalettes
sandales
sanctionné
s'amuser
samedi
salutations
salut
saluer
salope
salon
salles de classe
salles de bains
salles
salle d'instruction
salle de repos
salle de cours
salle de conférence
salle de classe
salle de bains
salle
saler
salée
salé
sale
Salam Aleikum
salade
sait
saison
saisir
sais
Saint-Jean-Baptiste
Sainte-Beuve
Saint-Bernard
saint Paul
saint
saigner
s'agripper
s'agissait
sagement
s'adossa
s'adapte
sacs
sacripant
sache
s'accorde
sac
s'absenter
sable
sa joue
sa
ruraux
rurales
rural
ruisseler
ruisselait
ruisseau
rugissait
rues
rondelle
rond
ronchonna
rompre
romantisme
romanesque
romande
rigolos
rigoler
rieuse
rieur
rien
rides
ricanements
riait
rhotique
rez-de-chaussée
revues
revue
révolution
révolte
revoir
révisez
revis
revienne
reverrouillé
rêver à
revenir à
revendique
revenait
révéler
révélation
rester dans le coin
rester à
rester
restées
restée
restaurant
ressortir
ressentis
ressentir
ressentaient
ressent
ressemblions
ressemble
ressemblait
resquillé
responsable
responsabilités
responsabilité
respecter
résonner
résolution
resister à
résisté
résistance
residentiel
résidence
réservées
réservation
réseau
réputation
République centrafricaine
république
reproduisant
reproductions
reproduction
reproché
reproche
reprochait
reprocha
reprises
reprirent
reprîmes
représenter
représentée
représentation
représentais
repos
reports
reporte
réponse
répondu
répondre
répondez
répond
répliqueuse
replet
répétez
répéter
répète
répétait
répéler
repasser
repas
répartir
repartir
réparé
répandre
repaître
réopérer
renvoya
renvoi
renverser
rentrer chez
rentrer
rentrée
rentre
rentrai
renseignements
rénover
renouveler
renonciation
renoncer à
renne
renforcer
renforce
rendre visite
rendre
rend
rencontriez
rencontres
rencontrer
rencontrer
renchérissait
renaissance
rémunérer
remporter
remplissage
remplis
rempli
remplacer
remous
remonter
remodèlent
remis
remettre
remet
remerciée
remarquer
remarque
remarquait
relisez
religion
religieux
religieuse
reliés
relever
relativement
relations
relation
relancer
relâché
rejouer
rejoint
rejoindre
rejeton
rejeter
rejeté
rejeta
rejet
réinvestiture
reine
réincarner
régulièrement
régulier
régularité
regretter
regret
règne
règles
régler la note
réglé
région
régiment
régime
regarder fixement
regarder
regardées
regardaient fixement
régal
réfuter
refusèrent
refusée
refrain
réfractaires
réformer
reformer
réflexion
réfléchis
réfléchir
réfléchi
réflécchissait
réfèrerais
références entre parenthèses
référence
réfectoire
refaire
réellement
réelle
rééditer
réduits
réduire
redire
rédiger
rédactrice
rédaction
rédacteur
récusa
récurer
recueillir
recueil
reçu
rectangulaire
recrue
récréer
recréer
recrée
récréation
recouvrir
recourir à
recoudre
reconstruisez
reconstruction
reconnaître
reconnaissant
réconforter
réconcilier
recomposer
récompenser
récompense
recommencer
recommander
recommandations
recommandation
recommandant
récolter
récolte
reçoit
réclamant
récits
réciter
récital
récit
recherche
recevoir la visite
recevoir
recevaient
réception
récemment
recalés
rebeu
rebelles
rebelle
rebaptisé
réassortir
réapparut
réalisme
réaliser un rêve
réalisation
réagit
réagir
réactions
réaction
ré-
re-
rayer
ravages
rattraper
rationaliser
rat
rassasier
rasée
rares
rarement
rare
rapports
rapport
rappeller
rappelait
rapides
rapidement
ranger
rang
randonnée
ramification
ramène
ramena
ramasseurs
ramasser
rallye
rajouter
raisonneuse
raisonnable
raison
raisins verts
raisin
railleries
raie
raider
raide
raid
rai
rageux
rage
radiotélescope
racontiez
raconter
racontant
racontait
raclée
racines
race
raccourci
rabat
quotidienne
quoique
quoi
quittée
quitté
quitte
quitta
quinzième
quinze cents
quinze
qu'il eût eu donné
quiche
qui pis est
qui
queue de peloton
queue
questions
questionner
question de savoir
question d'argent
question
qu'est-ce qui ne va pas
querelle
qu'en savez-vous
qu'en dira-t-on
quelqu'un
quelques-uns
quelques
quelquefois
quelque part
quelque chose
quelle est la date d'aujourd'hui ?
quelle
quel
Québec
que
quatrième
quatre-vingt-un
quatre-vingt-treize
quatre-vingts
quatre-vingt-onzième
quatre-vingt-onze
quatre-vingt-neuf
quatre-vingtième
quatre-vingt-douze
quatre-vingt-dix-neuf
quatre-vingt-dixième
quatre-vingt-dix
quatre-vingt-deux
quatre-vingt
quatre
quatorzième
quatorze
quasi-
quartier général
quartier
quarter
quart
quarantième
quarante-neuf
quarante-deux
quarante et unième
quarante et un
quarante
quantre-vingt-unième
quantités
quantité de
quand même
quand
qualités
qualité
qualifiée
qualifié
QG
qd
pyramide
pyjama
PVC
pute
putain
purist
purement
purée
pure
pur
pupille de l'État
pupille de l'Etat
pupille de la Nation
pupille
pupile
punaiser
punaise
puits ouvert
puissent
puisse
puissant
puissance
puisque
puis de
puis
puéril
puce
publiquement
publique
publiées
publié
publicité
public
prune
prudent
prudemment
provoquer
provoquant
proviseure
proviseur
provenir
provence
provenant
prototypage
protestation
protestant
protéines
protectrice
protecteur
propriété
propre
proposé
proposaient
propos
prononcer
prononcé
prononce
prononçait
promulguée
promis
promettre
promenade
prolonger
prolongée
prolongation
proliféraient
projets
projet
projectile
proie
progresser
progrès
programmes
programmer
programme
profusément
profus
profondeur
profondément
profond
profitez bien
profitent de
professionnellement
professionnel
professionels
profession
professeurs
professeure
professeur
proféré
produits animaux
produits
produit
produire
production
productif
prodiguer
proclamer
proches
proche
prochainement
prochaine
prochain
processus
procès
procédure
procédure
procédés
procédé
problème de liquidité
problème
probablement
probable
prix
privés
privée
privé
prit peur
prit la mouche
prit
prison
prise
pris
priorités
prions
print
principe
principales
principale
princesse
prince
prier
prie
price 1993
prévoir
prévenir
preuve par neuf
preuve
prêtresse
prêtre
prétexte
prétendre
prête
prêtais
prêt
prestige
pressions
pression
presque plus
presque à la fin
presque à
presque
présider
présidentiels
présidentielles
présidentielle
présidente
président
présidence
présidé
préservation
présenter
présentement
présente
présentation
présent
présence
prescrire
près de
près
prérogatives
préparez
préparés
préparer
préparé
préparatoire
préparation
prénom
prenne
prenions
prenez
preneurs
prends
prendre un bain
prendre soin de
prendre pour acquis
prendre l'habitude de
prendre la présidence
prendre en main
prendre
prend
prenaient
premières
première
premier ministre
premier
préluder
préliminaire
préfète
préfet
préférons
préférer
préférée
préférait
prédire
précoce
précisons
précision
précises
préciser
précisément
précisait
précis
précipiter
précipitamment
précieux
précédente
précédent
précédemment
précédant
précautionneusement
préalable
pratiqués
pratique
pouvoir
pouvaient
poutine
poussez
pousser
poussé
pousée
pourtant
poursuivre
poursuivit
poursuivent
poursuit
pourrir
pourri
pourquoi
pourpre
pourboires
pour qui
pour que
pour qu'
pour l'heure
pour l'avertir
pour la plupart
pour
poulet
pouffèrent
poubelle
pou
pots
pot-pourri
pote
pot-de-vin
pot-au-feu
potager
pot de chambre
pot
postez
poster
poste mf
poste de secours
poste (m/f)
poste
postcoloniale
possible
possibilité
possédaient
positions
positionnement
position ordinaire
position
positif
poser
posée
portrait droit
portrait de famille
portrait
portes
porter secours
porter dans son cœur
porter
porte-monnaie
portemanteau
portefeuille
porte-fenêtre
portée
porte-bagages
porte-avions
porté
porte
portait
portaient
portable
port
porno
porc
pop-up
populations
population
populaire
pop art
pop
pontificat
pont
pondre
ponctuel
pompière
pompier
Pompidou
pompeux
pomper
pommette
pomme de terre
pomme d'Adam
polygone de destruction
polygone
politique
politique
politesse
polie
policer
poix
poivron vert
poivron rouge
poivron jaune
poitrine
poisson
pois
poireauter
points
pointée
pointe
point de vue
point
poinnt
poilu
poignet
poignant
poids
poésie
poèmes
poème
le piende
poêle (m/f)
poches
poche
pneu
plutôt que
plutôt de
plutôt
plus-que-parfait
plusieurs
plus tôt
plus tard
plus rien
plus que
plus mal
plus du tout
plus de
plus cher
plus … plus
plus ... plus
plus
plupart
pluie
plonger
plongée
plomb
plisser
pli
pleurer
pleurant
pleine
plein de
plein
platine
plateaux
plat typique
plat du jour
plat
plassans
plantés
planter
plantée
planté
planifié
planète
planche à voile
plance à voile
plance à roulettes
plaisir
plaisais
plaire
plainte
plaindres
plaindre
plage
plafond
places
placer
placement
place fixe
place
placard
pittoresques
piteuse
pistolet
piste
pisse
piscine
pis
pire
pique-assiette
pique
pinte
piloter
piles
pigeon
pierres
piège
piégé
pieds-noirs
pieds
pied
pièce
piano
pianiste
physique (m/f)
physique
phrases complètes
phrases
phrase
photos
photoréalisme
photographier
photographie
photographe
photo numérique
photo de film
photo
Phœnix
philosophe
Philippins
phénomène
phare
pharaon
peutits
peut-être
peurs
peureux
peur
peuples
peuple
peu probable
peu pratique
peu de chose
peu de
peu courant
peu à peu
peu
pétrole brut
pétrole
petits-nègres
petits pois
petits annonces
petites salles
petites
petite fille
petite dernière
petite
petit pain
petit lycée
petit déjeuner
petit chapeau
petit à petit
petit
pétiller
pétillant
pétasse
pétait
pet
peste !
pessa'h
peser lourd
peser
perversité
pertinents
Perthshire
persuadée
perspective
personnes
personnels
personnelles
personnellement
personnelle
personnel
personne
personnalité
perso
Perséides
perplexe
Pérou
pérorer
permission
permis
permettre
permettrait
permettait
permet
perle
période
périlleux
périhélie
Périgord
pères
père
perdue
perdu
perdre
perde
perd
perché
perception
perçant
pépite
pénuries
pentecôte
pensionnats
pensionnaire
pension
pensiez
penser pareil
penser
pensées vagabondes
pensées
pense à
pénombrale
péniches
péniche
pénible
pénétrante
pendule (m/f)
pendre
pendant que
pendant
peloton
pelisse
peler
peintures
peinturé
peinture
peintre
peint
peine
peindre
pécho
peau
péage

pays-de-la-loire
paysans
paysanne
paysan
paysage
pays
payés
payer cher
payer
payé
payante
paya
pauvresse
pauvres
pauvre
pause-café
pause
paupière
paume
pattes
patron
patriote
patrie
patois
patient
patience
pathétique
pater familias
pâté
pâte
pate
patauger
patates
pastiche
pasteure
pasteur
pastels
passoire
passionnel
passionnées
passionnée
passion
passif
passiez
passe-temps
passés
passer un examen
passer pour
passer le temps
passer
passées
passée
passé-composé
passé composé
passé
passait
passages
passagère
passager
passage
pascal
pas trop noires noires
pas mal de
pas mal
pas grave
pas grand-chose
pas encore
pas du tout
pas besoin de
pas avant
pas
parut
parus
partout
partit
partisan
partir
partielle
partie
particulièrement
particulière
particulier
participer à
participer
participation
parti
partenaire
partait
partageaient
partage
part
parsemer
parsemé
pars
parole
paroi
parmie
parmi
parlez-vous anglais
parlers
parler franc
parler fort
parler bas
parler
parlement
parlé
parlait
parking
Paris
parier gros
pari
parfum
parfois même
parfois
parfait
parfaire
parents
parenthèses
parentes
parentales
parent
pareilles
pareillement
pareille
pareil
parées
pare-chocs
pare-brise
pardon
par-dessus
pardessus
par-dessous
parcours
parcourir
parcourent
parce que
parc
paravent
paratonnerre
parapluie
parapente
paramétrage
paralympiques
paralegal assistant
paraître
parait
parachutisme
parachute
par trop
par rapport à
par pitié
par pied
par monts et par vaux
par mois
par la suite
par jour
par intérim
par hasard
par devant
par dessus
par derrière
par contre
par conséquent
par cœur
par avion
par ailleurs
par
Pâques (m/f)
paquebot
papier-toilette
papier à lettres
papier
pape
pantalon
panique
pandémie
Paname
palourdes
palme d'or
palais
Pakistan
paix
paisible
pairs
paire
pain au chocolat
pain
paiements
paie
pages
page 7 comprehensive french grammar
page 19 ball colloquial french
page
pachtoune
pachave
oval
ouvrir
ouvrez
ouvre-boîtes
ouvrant
ouvrage
ouverture
ouverture
ouverte
ouvert
outrée
outré
outrageusement
outrage (literary)
outrage
outils
outil
ourdir
ouled
ouï-dire
oui
ouf
ouest
oublieux
oublièrent
oublier
oubliée
oubli
ouais
ouahw
ouah
Ouagadougou
ouaf
où se trouve
ou kaye pousé à pwézan

ou
otite
ôtez
otage
osseuses
oser
osent
osai
osa
os
orthographe
orthodoxe
orpheline
orphelin
Orly
Origines
origine
originaux
original
originaire
orienterait
orientation
orgueilleux
orgueil
organiser
organisée
organisé
organisatrice
organisation
oreilles
oreiller
oreille
ordre
ordonné
ordinateur
ordinaire
orangerie
orange
Oran
oralité
orale
or
option
optimiste
opportunément
opportun
opinion
opérer
opérations et renseignements
opérations
opération
opéra
open
onzième
onze cents
onze cent un
onze
ont fait
on-dit
on s'en fout
on peut ça faire (CH)
on était bien parti
on est le combien ?
on est le 2 janvier
on a du monde
on
ombre
ombrageaient
olivier
oklm
ok
oiseaux
oiseau-mouche
oiseau
oignons
oignon nouveaux
ogresse
ogre
offriront
offrirent
offrir
offrions
offre
offraient
officines
officiers
officiels
officielle
office de tourisme
office
offert
offense
oeuvres
œuvre (m/f)
œufs (pronounced œu)
oeufs
oeuf
œils
œil
odeur
octobre,
octobre
octante
Océanie
occurrence
occupés
occuper
occidentale
occasion
obtenir
obstruer
obstacles
observe
observation
observateur
obsèques
obsédés
obscurément
obscure
obscur
obscènes
Oblique
obligé
obligation
objet
objectifs
objectif
obéissant
obéir
obéi
o
Nymphéas
nuque
numéro
nullement
nulle part
nul ... ne
nul
nuke-ban
nuits
nuitantre
nuitamment
nuit
nuire à
nuire
nui
nucléaire
noyer
novembre,
nouvelles
nouvelle-orlèans
nouvellement
nouvelle
nouvel an
nouvel
nouveau-né
nouveau
nous apprêtions
nous
nourriture
nourrir
nott 1998
notre ère
notre
notion
notez
notes inégales
notes
noter
noté
note
notamment
notaire
notables
nostalgique
nos
normative
Normandie
normand
normalement
normale
nordige
nord
non-paiement
non-lieu
nonante-un
nonante-deux
nonante
non plus
non pas tant pour
non natifs
non
noms
nom-noyau
nommer
nominal
nombreux
nombreuses
nombre de
nombre
nom
noix
noires
noirceur
noir
nœuds
Noël
nocturne
Noblement
niveaux
niveau
niquer
n'importe quoi
n'importe qui
n'importe quel
n'importe quand
n'importe où
Niger
nier
niée
nièce
nid
nickel
ni
nez à nez
nez
New York
neveu
Nevada
neuvième
neufs
neuf
nettoyer
nettoie
nettement
nette
net
n'est-ce pas
nerveux
nerfs
néologie
neiges
neige
négritude
nègres
nègre
négociables
négligent
négligeant
née
nectar
nécessité
nécessaire
néant
néanmoins
ne... plus
ne que
ne pas être dupe
ne pas
ne me touchez pas
ne ... rien
ne ... que
ne ... plus
ne ... pas
ne ... jamais
ne ... guère

ne
navrait
navire
navette
naval
nausée
naufrage
natures
naturellement
naturelle
naturel
nature
naturaliser
naturalisé
nationalité
national
nation
natation
natal
nasales
nasal
narration
narine
nan
names of letters
naître
naît de
naissance
naguère
nager
nage
na
mythiques
mystérieusement
mystérieuse
mystère
mycoses
mutuellement
musulman
musique
musicaux
Musette
musées
musée
murmure
murmurant
murmura
mûres
murailles
mur du son
mur
munitions
municipal
multiplié
multimédia
muettes
muet
mtn
moyeu
moyens
moyen
mouvements
mouvement
moustachu
moussait
mourrait
mourir
moules
moule mf
moule (m/f)
moule
moulage
mouches à miel
mouches
mouche
mou
mots
mot-clé
mot
mortelle
morte
mort
morose
morne
mordre
morceau
moralité
morales
moqueur
Mont-Saint-Michel
montreux
montrer
montrée
Montréal
montre
Montpellier
monter
montée
mont-de-piété
montant
montaigne
montagne
montage
mont
monstre
monsieur
Monseigneur
monotype
monopole
monnaie
mondiale
mondésir
monde
mon Dieu
mon cher Monsieur Dupont
mon cher
mon
momment
momentanément
moment
mollement
mollards
moko zombi
moitié
moite
mois
moins que
moins mal
moins le quart
moins de
moins bien
moins
moindre
moi
mofwase
mœurs
modification
modernes
moderne
modérément
modéré
modeler
modèle
mode mf
mode d'emploi
mode de vie
mode (m/f)
mode
Mme
m'ma
Mlle
mitan
mission
mises en garde
mise en garde
mise au point
mise à flot
mise
miraculeux
miquets
minute
minuscule
minuit
m'intéressais à
minou
ministre
ministère
minimum
mini-jupe
mineur
minéraux
mine
minces
mince
million
millième
millénaire
mille un
mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
mille huit cent soixante
mille deux cents
mille deux cent un
mille cinq cents
mille cent un
mille cent
mille
militaires
militaire
milieu
migrations
migrants
mignon
mieux
miettes
miens
miel
mie
midi
micro-région
micro-ondes
michel
mi
m'expliquais
m'excuser
meuf
meuble
mettre un terme
mettre les pieds
mettre l'accent
mettre en garde
mettre
mettions à
metteur en scène
mets
métropole
mètre
métrages
métis
métier
métier
méthodes
métal
mesurer
mesure
messieurs-dames
messieurs
Messeigneurs
messages
message
mess des officiers
mess
mèsi Bon Dié
Mesdemoiselles
mesdames
mes recherches
mes
merveilleux
merveilles
merveille
méritez
mériterais
mériter
mérite
mères
mère patrie
mère
merde
mercure
mercredi
merci mf
merci (m/f)
merci
mer
mépris
menuisière
menuisier
menu
mentir
mentionné
menthe
menteuse
menteur
mentalité
mentais
mensonge
menotte
ménopause
mener
menée
mène
ménager
ménage
menacer
menacée
menace
mémoire mf
mémoire (m/f)
mémoire
même tabac
même
mème
membres
membre
mêlés
melenchoniste
mêlaient
meilleures
meilleure amie
meilleure
meilleur
mégots
megathread
mégantic
médou
médiums
Méditerranéen
médicaments
médiatique
médias
médecins
médecine
médecin
médaillé
méconnaître
méchants
méchant
méchancetés
méchanceté
mec
me trouvai
me tourner
me tournai
me suis levé
me suis habillé
me sens
me réveillai
me retrouve
me retourner
me répresente
me représente
me rappelle
me moquer de
me mettre
me fis le serment
me détournant
me demander
me débrouiller
me croyais
me consolais
mdr
max
mauvaise
mauvais
Mauritanie
matinée
matinal
matin
matières premières
matière
mathématiques
maternelles
maternelle
matériellement
matériel
match de football
match
m'as-tu-vu
massif
massacre
Massachusetts
masque
mas
martyr
marteler
martelait
marteau-piqueur
marteau
marseille
mars
marron
marre
marques
marquer
marquée
marque
marque
marocain
Maroc
Marne
marmonnant
marmonna
marketing
marins
marie-salope
Marie-Paule
mariées
marié
mariage
mari
marelle
mardi gras
mardi
marchions
marchés
marches
marcher
marchent
marché
marchant
marchandes
marchande
marchand
marchait
marathons
marathon
m'approchai
manuelles
manuel
manteau
manque-à-gagner
manque
manquait
manon
manœuvre mf
manœuvre (m/f)
mannequin
manmans
manifeste
manifestaient
manières
manière
manguiers
mangue
manger gras
manger
mangé
manège
mandat
manchette
manche mf
manche (m/f)
Manche
maman
malus
Malte
mallette
malin
malheurs
malheureusement
malheur
malgré
mâle
malaisienne
Malaisie
maladresse
malade
mal prises
mal finir
mal aux dents
mal à propos
mal
majorité
majeur
maîtrisions
maîtrise
maîtresses
maîtresse
maîtres-nageurs
maître-nageur
maître
maison
mais là
mais aussi
maïs
mais
maire
maintient
maintien
maintes reprises
maintes
maintenir
maintenant
maintenance
main-d'œuvre
main gauche
main droite
main d'œuvre
main
maillot de bain
mail
maigrichonne
mai,
mai
magnifique
magnifique
magistrate
magistrat
magenta;
magazine
magasinage
magasin
mademoiselle
madame le
madame
Madagascar
machine à laver
machine à coudre
machinal
mâcher
ma
M.
lyon
lycéenne
lycée
Luxembourg
luxe
lutte des classes
lutte
lundi
lunatique
lunaire
l'un l'autre
lumière
lui donner une forme ronde
lues
lucide
lubrifier
lu
loyer
loyal
Louvre
lourd
loup
Louisiane
louer
loue
loto
lot
lorsque
lors de
lorgnèrent
loper
lope
longueur
longues
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longue
longtemps
longs
long
l'on
loisirs
loisir
lois
loire
loin
loi
logique
logions
logement
locomotives
location de vacances
locataire
livrez
livres sterling
livres en anglais
livres
livrer
livrée
livre mf
livre (m/f)
livré
livre
littoral
littérature
littéralement
littéraires
littéraire
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lit
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listé
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lignes
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ligne
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légume
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légitime
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légère
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légal
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lecture
leçons
leçon
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le plus souvent
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Le Monde
le moins mal
le moins bien
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le Massachusetts
le Maroc
le long de
le Limousin
le Liban
le lendemain soir
le lendemain midi
le lendemain matin
le lendemain
le Koweït
le Kent
le Jura
le Japon
le Havre
le gros œuvre
le Groenland
le Gers
le français
le fleuve fait 2 kilomètres de large
le Finistère
le docteur Dupont
le Danemark
le couper au carré
le colorier en bleu
le colonel Blanc
le Cher
le carrefour de l'Odéon
le Canada
le Cambodge
le Calvados
le boulevard Saint-Michel
le bon usage
le Berry

le
laveuse
laver
l'avenue des Champs-Élysées
l'avant-veille
lavabo
latin
lassitude
laser
las
larousse
largeur
larges
largement
large
laquelle
laque mf
laque (m/f)
lapin
langues
langue-de-chat
langue de molière
langue
langage des jeunes
langage des cités
langage des banlieues
langage
landau
lancer
lancement
Lakmé
lait
laissez-faire
laissez vibrer
laisser-passer
laissèrent
laisser de côté
laisser
laissé
laisse
laissa-t-il tomber
laissait
laideron
laid
là-haut
là-dessus
là-dedans
lâches
lâchement
lâchaient
lac
laboratoire
là-bas
la Vendée
la veille au soir
la veille au matin
la veille à midi
la veille
la Tamise
la Syrie
la surlendemain
la Suisse
la Seine
la Sardaigne
la Saône
la Rue des Fontaines
la rue de la Paix
la Route de la Lague
la Roumanie
la Pointe de Pleinmont
la plurpart des
la plurpart de
la plupart des
la plupart
la place de la Concorde
la piscine fait 50 mètres de long
la Nouvelle-Zélande
la Norvège
la Normandie
la moitié de
la Mauritanie
la Marne
la Louisiane
la Libye
la leur
la Haute-Garonne
la Grève de St Clément
la France
La Fontaine
la Floride
la Finlande
la Crête
La Corse
La Conquête de Plassans
la Comédie-Française
la Chine
la China
la Champagne
la Californie
la Bretagne
la Baule
là bas

la
L’Étranger
ku
kras à boyo
kouni
klaxonnaient
kilomètre
kilogramme
kilo
kiki
kiffer
kiffant
ki non a-w
keum
kétamine
Kent
Kénia
kasher
karma
kaki
kahba
ka sanmb on toutewel
ka sanmb on pijon blan
ka
justice sociale
justice
justes
juste
jusqu'à présent
jusqu'à ce que
jusqu'à
jus de fruit
jus de canne
jus
juridique
jurer
juré
jure
jurait
Jura
jupon
jupes
jungle
jument
jumelles
jumelle
jumeau
juin,
juin
juillet,
juillet
Juifs
juif
juges
jugèrent
juger
jugement
juge d'instruction
juge
jugaient
joyeux
joviale
jouter
jours
journellement
journel
journées
journée continue
journée
journaliste
journal
jour
joujou
jouissait
jouions
joueurs
inter alia
joueur
jouets
jouet
joues
jouer serré
jouer de
jouer
joué à
joue
Jordanie
joliment
jolie
joli
jointure
joindre le geste à la parole
joindre
joie
ji
jeux olympiques
jeux
jeunesses
jeunesse
jeunes gens
jeunes filles
jeunes
jeune
jeudi
jeu
jeton
jetés
jeter à l'eau
jeter
jet
Jésus-Christ
j'espèrerai
Jersey
Jérôme
j'en sais
jeep
Jean-Pierre
Jean sait
Jean
je vous en prie
je t'en prie
je te mens
je sais bien
je partage tes sentiments
je ne sais quoi
je ne sais plus où j'en suis
je jetterai
je complèterai
je
Java
jaune
jattelé
jardins d'enfants
jardiner
jardin
j'appellerai
Japonais
janvier,
janvier
jambon
jambes
jamais
jaloux
j'ai acheté un sandwich pour moi manger (NE)
j'ai
jadis
jacket
j'achèterai
ivrognesse
ivrogne
ivre
ivoirienne
italien
issu
Israël
islamique
irritée
irrité
Ironman
Irlande
Iran
invité
invite
invitation
invisibles
invisible
investi
inversion
inverser
inverse
inventez
invariablement
invariable
inutile
introduire
intrinsèquement
intonation
intitulée
intime
Interview
interventions
intervalle
interruption
interrupteur
interrompt
interro
interprète
interpersonnelles
internationales
international
interminables
intermédiaire
intermède
intérieur
intérieur
interface
intérêts
intéressé
intéressante
intéressant
interdits
interdit
interdire
interdiction
interagissent
intention
intensément
intense
intempéries
intelligents
intelligente
intelligent
intelligence
intellectuelle
intégrité
intégrées
intégrée
intégrale
insupportable
insulté
insulaire
insuccès
instrument de sondage
instruits
instruction
instructeur
institutrices
institutrice
institut
instinct
instantanés
instant
inspiration
inspirait
insituteur
insinuant
insecticides
inscrire
insatisfaite
inquiétude
inquiétant
inquiétait
inquiet
inopportun
inondation
innovation
innovante
innovant
innocence
injustifiée
injustice
injure
initié
initiative
initiation
initiales
ingrats
ingénieux
ingénieure
ingénieur
ingénierie
infortunes
informé
informations
information
informaticienne
informaticien
informa
infirmerie
infinis calculs
infériorité
infanterie
inédit
inébranlable
indûment
indu
individuelles
individuellement
individuelle
individualisé
indiscipline
indirects
indigo
indifférence
indices
indépendance
inconnu
incongrûment
incongru
inclure
incluant
incivil
incendie de forêt
incendie
incarner
incapable
inauguration
in extremis
impuni
impunément
imprimé
imprimante à jet
imprimante
imprévue
impressions
impressionné
impressionnante
impressionnait
impression
impossible
importunément
importun
importer
important
importance
implantation
impie
impératif
impatient
impartir
imparfait
impardonnable
immuables
immortalisé
immobilité
immobilière
immigrés
immigration
immeuble
immersion
immensément
immense
immédiate
immédiat
immatériel
imiter
imitée
imitant
imberbe
imbéciles
imaginer
imagination
imaginaires
images
imagerie
image
ils
illustrent
illustré
illustration
illicite
illettré
il y a (Time)
il y a
il s'agit de
il n'y a pas de quoi
il le faut
il gèlera
il faut que
il avait eu donné
il aurait eu donné
il aura eu donné
il a eu donné
il
iks
ignorer
ignore
ignorant
ignoraient
ignoble
ieps
idiotisme
idéologique
identité
identitaire
identiques
identique
identification
idées
idée-force
idée
idéal
ici
ibuprofene
i grec
i'
i
hypercorrection
hybride
hurlements
hurlant
humiliées
humiliation
humanité
humanitaire
humains
humaine
huitres
huitième
huitante
huit
huis clos
huile d'olive
huile
Houston
houleux
Hots
hôtesse
Hôtel-Dieu
hôtel de ville
hôtel
hôte
hostile
hospice
hors-bord
hors
horribles
horrible
horizon
horaires d'ouverture
horaire
hôpital
honteuse
honte
honoraires
honneur
honnêtement
honnête
Hongrie
homosexuel
hommes-grenouilles
hommes
homme-grenouille
homme politique
homme
homard
holster
hocher
hobbies
ho
hivers
hivernal
hivernage
hiver
histoires
histoire
histoire
hier soir
hier midi
hier matin
hier après-midi
hier
hiboux
hibou
hey
heurté
heurtait
heureux
heureusement
heureuse
heures d'affluence
heures
heure
heu
hêtre
hésiter
hésite
héros
héroïsme
héroïne
héro
hériter de
héritage
hérisson
herbes de Provence
herbe
Henri
hémisphère
hellénique
hèle
hélas
hein
hébreu
hebdomadaire

Havre
haut-parleur
hauteur
Haute-Garonne
haute montagne
haute
haut placé
haut
hasard
Harrar
harmonie
haricots blancs
haricots
haricot
harem
hardi
harceler
handicapantes
handicapant
hanche
hamster
halloween
Halles
hall
haleter
halal
Haiti
haïr
haine
haie
haha
hachoir
hachis
hachette
hache
habituelles
habitude
habiter
habitations
habitant
habillés
habillement
habillées
habillée
gynécologue
gymnopédie
gymnase
gwoka
Guyane
gutturaux
guise
Guinée
guillemets
guichet automatique
gueuler
guerrier
guerre
guère
guêpe
Guadeloupe
groupes abstraits
groupes
groupement
groupée
groupe de niveau
groupe
grouiller
grosso modo
grossesse
gros cœur
gros
grivois
gris-rouge
grisonnant
gris
gringalettes
grimaces
grièvement
Grevisse/Hanse
grèves
grève générale
grève
grenouille
grenier
grégorien
Grèce
grec
graves
gravement
grave
gratuitement
gratuite
grattement
gratte-ciel
grasseyant
grasse
gras
graphite
graphique
grand-tante
grands-parents
grands-nègres
grands magasins
grands jours
grands bourgeois
grands
grand-rue
grand-route
grand-père
grand-parent
grand-ouvert
grand-oncle
grand-messe
grand-mère
grandir
grandi
grandeur
grandes surfaces
grandes
grande salle
grande personne
grande
grand mal
grand lit
grand
gramme
grammairiens
grammaire
grammaire
graines
grain de raisin
grain de beauté
grain
graillonneuse
grade
grâce à
gouverner
gouvernement
gouttes
goutte
goûts
goûter
goût au gwoka
goût
goulûment
goulu
gouffre
goudron
gothique
gosse
gorille
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gonflement
gonfle
gonflable
gom
golle
golf
gober
gnangnan
glossaire
gloire
globe oculaire
gland
glacial
gîte
gitane
gitan
giraffe
gilet
gigotait
gicle
gestion du flux
gestes
geste
Gers
gérer
gérées
gerbes
géographique
gentiment
gentil
gens
genres
genre
genoux
genou
génie
genial
Genève
Gênés
généreux
générations
génération
générales
généralement
générale
général
gendarme
gênant
gémissement
geler
geindre
géant

gayzor
gaulois
gauche
gâtée
gâteau
gars
garer
Gare routière
gare
gardien
gardez la monnaie
gardes-côtes
garder le pas
garder
garden
gardées
garde
garçons de café
garçons
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garage
gants
gamines
gamine
gamin
galette
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gagnée
gagné
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francophones
francophone
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franchi
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française
français
franc
fraiser
fraise
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foyer de la troupe
foyer
foutre
fous
fourrure
fourrée
fournir
foule
fouilles
foudre
fou
fossé
forte
fort
forneau à charbon
forneau
formuler des griefs
formule
former
formé
forme
formation
forêts
forêt vierge
forêt
forces armées
forcer
forcément
forcées
forcée
forcé
force
footballeuse
footballeur
football
foot
fontaine
font
fondre
fondations
fondation
fondamentales
fondamentalement
fond
fonctionner
fonctionnaire
fonction
fois
foie
foi
fofolle
flux
flûte!
flou
flotter
flottais
flots
flot
Floride
flore
flexibilité
fleurir
fleur
fléchir
flèche
flatteur
flashcard
flâné
fixement
fixée
fit oui de la tête
fis
fioriture
fins
finit par
Finistière
finis
finir par
finir
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financières
financés
financement
finalement
finale
final
fin
fils
films
film
fillettes
fille-mère
fille au pair
fille
filer doux
fil
figure
figurant
fièvre typhoïde
fièvre
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fiers
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fier
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feuillet
feuille
feu
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fête nationale
fête
festival
fessiers
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férocité
fermier
fermez
fermeture
fermement
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fermée
fermé
fer-blanc
fer
fenêtre
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femme-grenouille
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féminine
féminin
femière
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feed-back
féconder
fécale
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favori
faux
fauve
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faute
faut
faune
faudrait vraiment qu'on s'en fasse d'autres
fatigue
fatiguant
fatigant
fatal
fastidieux
farfouilleuse
fards
farce
fantastique
fan
familles
famille
familière
familier
familiaux
familiales
fameux
falloir
fallait
falaises
faits
faites de beaux rêves
faites
faîte
faite
fait
faisant
faisait la sourde oreille
faisait
faire-part
faire une pause
faire un rêve
faire semblant
faire sauter
faire pression
faire plaisir
faire partie
faire l'innocent
faire l'effet
faire la fête
faire la cuisine
faire grief
faire en sorte
faire du cross
faire des recherches
faire des ravages
faire des progrès
faire des jeux
faire défiler
faire confiance
faire chaud
faire changer
faire attention à
faire appel à
faire allusion à
faire ... que
faire (cost money)
faire
Fair
faim
faillit
faillir
faille
faculté
façon
faciliter
facilement
facile
fâcheuse
face-à-face
face à face
face à
face
façade
fabuleux
fabriquer (colloquial)
fabriqué
fable
eye-liner
exubérant
extrêmement
extrait
extraire
extermination
extérieur
exprimer
exprime
expressions
expression
exprès
expositions
exposition
exploser
exploits
exploiter
expliquer
expliquant
explications
explication
expérimenté
expérimentant
expérimentale
expérience
expérience
exode
exister
existences
existence
exilés
exige
exercices
exercice
exercer
exemple
exemplaires
excusez-moi
excuse
exclu
excitation
exceptionnellement
excepté
excellait
excédée
examiner
examinée
examinant
examens
examen
exactement
exact
éviter
évier
évident
évidence
évidemment
éventuellement
éventuel
éventail
événements
éveiller
eux
euros
européen
Europe
euro
eu parlé
eu donné
étudiez
étudier
étudiant
études
étude
êtres humains
êtres
étreindre
être humain
être haut placé
être considéré comme
être
étranges
étrangère
étranger
étrange
étrait
étonnante
étonnait
étoiles filantes
étoilée
étoile
étirés
éthique
Ethiopie
êtes
éternité
éternels
étendre
éteint
éteindre
été
États-Unis
États
état de
état
Etat
étape
étangère
étalées
étages
étage
établies
et/ou
et que
et quart
et demie
et demi
et ainsi de suite
et
estimer
estime de soi
estime
est-ce que
est servi
est mis sur
est
essuie-mains
essentielles
essentiellement
essence
esse
essayez
essayer
essayé
essayais
essaya
essai
esquisser
esprit
espérons
espérer
espère
espèces
espèce
espagnol
Espagne
espadrilles
espacement
espace mf
espace (m/f)
espace
escorta
esclave
esclavagisme
escient
escalier
escale
erronée
erreur
erre
ère
équivalents
équivalent
équivalant
équipement de plongée
équipement
équipe
équilibre
épuisé
éprouver
éprouvants
éprouvais
éprouvaient
époux
époustouflante
épouses
épouse
époque
épinard
épices
éphémères
épaules
épaule
épargner
épandre
épaisseur
épais
envoyer chercher
envoyer
envoyé
envoyaient
envoya valser à terre
envoya
envoie
envisagez
envisageriez
envisager
environs
environnement
environ
envieux
envier
envié
envie
enviaient
envers
Envergure
envahit
envahi
entretien
entre-temps
entrèrent
entrer en activité
entrer dans
entrer
entreprise
entrepreneuriales
entrepôt
entrepot
entrejambe
entrée principale
entrée
entre la vie et la mort
entre
entraîneuse
entraîneur
entraînement physique
entraînement
entrailles
entoure de
entourage
entièrement
enthousiasme
en-tête
enterrement
entendre
entendez
entendant
ensuite
enseveli
enserrait
ensemble
enseignement
enseigné
enseignant
enrichir
enregistrés
enregistrer
enregistrement
enregistrée
énormément
énorme
ennuyeuse
ennuya
ennuis
ennui
ennemi
enne
enlever
enlaidie
enjambant
engagement
engagé
enfumer
enfreindre
enfin
enfiler
enfer
enfants
enfantine
enfantin
enfant
enfannt
enfance
énervé
énergie
enduire
endroit
endommager
en-dedans
encre
encore une fois
encore là
encore des
encore
enchanté
enceindre
encaisser
encadrer
encadrement
encadré
en vrac
en vouloir à
en voilà un
en ville
en vertu de
en vaut
en vain
en utilisant
en tuant
en train de
en toute saison
en tout cas
en théorie
en terre
en tant que telle
en tant que
en sûreté
en studio
en somme
en solo
en soirée
en soi
en silence
en serrant
en s'appuyant sur
en rose
en rien
en revue
en revenir
en revanche
en retour
en retenant
en retard
en réparation
en recherche de
en réalité
en réalisant de
en rapport
en rang de
en rang
en raison de
en quelque sorte
en profondeur
en prime
en pressant
en poussant
en poursuivant
en plus du
en plus
en plein
en phase
en partie
en particulier
en outre
en mon temps
en mettant tout au pis
en mettant l'accent sur
en mesure
en même temps
en matière de
en marbre
en ligne
en l'honneur de
en janvier
en imposer
en haut de
en haut
en guise de
en guerre
en grand
en général
en gare de
en garde
en garçon
en fin de
en feu
en faveur de
en fait
en face de
en exercice
en être a
en équilibre
en entrant
en entier
en effet
en direction de
en développant
en dessus
en dessous
en dessin
en désordre
en dehors
en définitive
en découdre
en d'autres termes
en danger
en cours
en contact
en construction
en conséquence
en colère
en classe
en cédant
en ce temps-là
en ce sens que
En ce qui me concerne
en ce moment
en catimini
en bois
en bloc
en bas de
en bas
en avoir le cœur net
en avoir
en avant
en avance
en aval
en attente
en arrière
en appeler à
en animent
en amont
en accordant
en +
en
emprunter
emportes
emporté
employés
employer
employées
employée
employé
emplois
emploie
emploi
empirer
empesé
empêcher
empêché
empêchaient
empaler
émotions
émotionnelle
emmener
emme
émission
émietté
embuscade
embûches
embûcher
embrasser
embarras
embarquement
embarcation
émaillait
émail
e-mail
email
élu
éloigner
éloigné
elles
elle
élite
élire
éliminer
éliminent
éliminée
élèves
élevés
élève
éléphant
élément
électricité
électricienne
électricien
électorale
élections
élection
eh bien
ego
église
égayée
égaré
égalité
également
égale
égal
effroi
effrayant
efforts
effort
efforçais
effondrement
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effleurait
effets
effet
effectuée
effectué
effe
effacés
éducation
éditrice
édition
éditeur
éditer
écussons
écrivez
écrivaine
écrivain
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écrire
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écran
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écouter
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économique
économie
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école secondaire
école
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éclat
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échanger
échange
écartés
écarter
écarteler
écartées
ébats
eaux
eau de toilette
eau courante
eau
e
dynamique
dut
durs
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dureront
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durer
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dura
dur de pas se faire plaisir
dur
duquel
duperie
duo
d'une part
d'une manière concise
d'une manière charmante
d'une manière
d'une façon
d'un instant à l'autre
d'un air
dûment
dulse
duc
du tout
du soir
du retour
du reste
du moins, il n'est pas blessé
du moins
du matin
du coup
du coin de l'œil

du
drôlesse
drôle
droite
droit
dring
drill
draps de lit
drapeau
drap
drames
drame
draguer
douzième
douze heures
douze cents
douze cent un
douze
douzaine
doux
doutés
douter de
douté
douleur
douille
doudou
douche
douceur
doucement
douce
doublure
double vé
double
d'où
dotées
dotée
doté
doser
dose
dos
dort
dors
dormir
dormez
dormais
d'ores et déjà
dorénavant
dopage
dont de
dont
donnez
donner
donnée
donné
donne
donnait sur
donnait
donna
donc que
donc de
donc
don
dommages
domaines
domaine
dollar
dois
documentation
doctoresse
doctorante
docteure
docteur
djellaba
dizaines
dizaine
dix-septième
dix-sept
dix-neuvième
dix-neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
dix-neuf
dixième
dix-huitième
dix-huit
dix mille trois cent quarante
dix huit cent soixante
dix
divorcée
divorcé
divorce
divisé
divertissement
divertir
diversement
divers
divagation
dîtes
dit
district
distribue
distrayait
distinctement
distinct
distance
dissuadée
disque
disponibilité
disparut
disparue
disparu
disparaître
disent
discutez
discuter
discret
discours
dirlo
dirigiste
dirigerions
dirigé
direts
directrice
directions
directeur
directement
direct
dire
diplômes
diplomate
dîner
dindon de la farce
dindon
dimanche
dilemme
dijon
digne
digestion
digérer
difficile
différer
différents
différentes
différente
différent
différence
différant
dictées
dicos
diamètre
dialogue
diabolos menthe
diabolos
diabolo
diablesse
diablement
diable
d'habitude
d'excitant
devoirs
devoir
devinez
deviner juste
deviner
dévergondée
devenir
développés
développement
développé
développant
dévelopement
devanture
devant
dévalent
devaient
d'eux-mêmes
Deuxième Guerre mondiale
deuxième
deux points
deux mille un
deux mille cent un
deux mille
deux fois par semaine
deux d'entre eux
deux cents
deux cent un
deux cent deux
deux
deus ex machina
deuil
détruits
détruit
détruisent
détruire
détresse
détours
détourner
détourné
détester
détesté
déterminer
détention
détendre
déteindre
détala
détails
détaillés
détaillé
détail
detail
détaché
destruction
destinées
destin
dessus
dessous
dessoûlait
dessinés
dessiner
dessinées
dessinée
dessin
desservir
désormais
désordre
désolé
désobéir à
désobéi
désirée
desirée
desirada
désillusion
désignait
désespoir
désespérément
désertification
déserté
désert
descriptivist
descriptions
description
descendre
descendent
descendants
descendant
désapprover
dès que
des pensées vagabondes
dès lors
dès
des
derrière
dérouler
dernier-né
dernières-nées
dernièrement
dernière
dernier né
dernier
dérangeant
déraille
depuis combien de
depuis
dépôt
déplorait
déplacement
dépendre
dépend de
dépeindre
dépassait
départir
département
départ
dénuées de
dents
d'entre
dentiste
dentelle
dent
densité
dense
denier
démolition
demoiselles
démocratiquement
démocratie
demi-tarif
demi-siècle
déminer
demi-finale
demi-bouteille
demi
demeurer
demeuré
démesurément
démentir
déménager
d'emblée
démanteler
demander pardon
demander
demandé
demande
demandait
demain soir
demain midi
demain matin
demain après-midi
demain
deluxe
déloger
délire
délices
délice
delfeil
délégués
délégations
délégation
délai
déjeuner
déjà
dehors
dégouté
dégoût
dégouline
dégoulinant
dégeler
dégâts
dégage
défunt
défraîchie
défoncer
défiler
défense de
défense
défendu
défendre
défait
déduire
dédié
dédicace
dedans
déçu
décroître
décrivez
décrire
décrêpé
découvrir
découvre
découverte
découvert
découragé
découpeur
découpée
décision
décidé
décidai
décevoir
décès
décerner
décennies
débutant
débutait
débuta
début
débusquer
debout à
debout
déboulait
débonnaire
déboires
déblaient
débit
débat
débarrasser de
débarquement
de très près
de travers
de toute façon
de temps en temps
de temps à autre
de suite
de si loin
de service
de rien
de près cependant
de plus belle
de pis en pis
de pas en
de nouveau
de même sexe
de manière à
de mal en pis
de loin
de l'après-midi
de la part de
de façon surprenante
de façon réfléchie
de façon possessive
de droite à gauche
de ce fait
de bonne heure
de base

de
davantage
d'autres
d'autrefois
d'autre part
d'autant
date limite
date de naissance
date
dash
darse
d'arrache-pied
d'après ce que
d'après
dansez
dans son ensemble
dans l'idée de
dans leur ensemble
dans les
dans l'après-midi du lendemain
dans l'après-midi de la veille
dans la suite
dans la merde
dans la confusion
dans
dannikites
dannikite
dangereux
dangereuses
dangereuse
danger
Danemark
dancing
dame
dalle
d'ailleurs
d'accord
d'abord
cyprien
cyprès
cycle
cyan;
cuvette
curieux
curer
cure-dents
culturelle
culture
cultiviez
cultiver
cultivées
cultivé
culotte
cul
cuit
cuisses de grenouille
cuisses
cuisse
cuisinière
cuisines
cuisiner
cuisine
cuir
cuiller à café
cuiller
cueillir
cucu
Cuba
cry
crut
crûment
cruel
cru
croyez
croyance
croyais
cross
croix
croître
croiser
croisé
croisa
croire
crochu
crocheter
croc-en-jambe
Croatie
critique (m/f)
cristal
cris de cœur
cris
criminel
crimes
crime
crier
crié
crie
criant
cri
creusot
creuser profond
crêpe (m/f)
créoles
créole
crème solaire
crème mf
crème (m/f)
crème
créer
créé
création
créatif
créateur
crayon de couleur
crayon
cravatés
cravate
crasse
crâne
craindre
crado
cracher
couvrir
couvre-lit
couvrant
couverte
coûter cher
coûter
couteau à pain
couteau
cousine
cousin
courut
courus
courtoisie
courtes
courte
court métrage
courses
course à pied longue distance
course à pied
course
cours
courir
coureur
courbe
courants
courante
courant
Cour suprême
cour de récréation
cour
coups de
couples
couple
couper court à
coupée
coupe du monde
coupe
coupant
coupable
coup d'œil
coup d'œil
coup de pied
coup de feu
couloir
coulisses
couleur
couler
coulée
couilles
cou-coupé
couche
cou
cotenir
cotée
Côte d'Ivoire
côte d'azur
Côte basque
côte à côte
côté
côte
costumés
costume
cosmétique
corvette
cortège
corseter
corrompre
corrigerons
corriger
correspondre
correspondance
correspondait
correspond
correction
correct
corps
coréenne
Corée du Sud
Corée du Nord
cordes
corde
corbeille à papiers
Coran
coquilles Saint-Jacques
copyright
copine
copies
copier
copains
copaine
convoi
convive
converser
conversation
convenir à
contrôles
contrôle
contre-offre
contre-offensive
contrefaçon
contre
contrat
contraste
contrarié
contraint
contractions
continûment
continues
continuer
continue
continuais
continu
contigu
contextes
conteste
Contes d'Hoffman
contes
conter
contenues
contents
content
contacts
consultants
consule
consul
constance
consonnes
consommation
consommable
consolé
consolation
consolateur
consistent
consiste
consistait
considère
considérant
conserver
conservateur
conséquences
conséquence
consentir
consentement
consentant
conseils
conseillère
conseiller municipal
conseiller
conseiller
consécutif
conscient
conscience
consacrer
connue
connu
connnerie
connexion
connexes
connerie
conne
connasse
connard
connaissance de cause
connais
conjugales
congés
congé
confus
conforter
confondre
conduite
conducteurs
concordance
concombre masqué
conclave
concilier
concierge
concevoir
concerne
concepts
conception
comté
comte
comptez
compter
compte
comptait
compromis
compresis
comprenez
comprendre
comprenant
comprenait au
comprenait
comprenais
compréhensive
compositrice
compositeure
composer
composai
comportant
comportaient
compliqué
compliment
complice
compléter
complète
complet
complaire
compétence
compenser
compatriote
compassée
comparaison
compagnie
compagne
compact
communs
communications
commune
communauté
commun
commodément
commode
commit
commission
commis
commercial
commentée
commentaire
comment vous appelez-vous ?
comment vas-tu ?
comment t'appelles-tu ?
comment dit-on
comment ça va
comment appelle-t-on
comment allez-vous ?
comment
commencer
commencé
comme and
comme
commanfo
commando
commander
commande
comité
comète
combinez
combinées à
combiné à
combinant
combinaison (clothing)
combinaison
combien de temps
combien
combattre
combattant
combats
combat alpin
combat
colonne vertébrale
colonialisme
colonial
colocataire
collision frontale
colline
collier
coller
collègues
collègue
collège
collective
collecte
colle
collant
col
coins des rues
coins
coincer
coin fenêtre
coiffés
cogne
coffre-fort
cœur net
cœur
co-écrit
codé
code
cochère
coca
club
clowneries
clous
clou
clôture
clope
clochettes
cloches
cloche-pied
climat
cligner
clients
clientèle
client
clés
clef
clé
classons
classes
classe
clarinette
clandestins
clairin
clairement
claire
clair
claims
civilisé
civile
civil
citoyen
cité
citations
ciseler
ciré
circulation
circonstances
circonflexe
cinquième
cinquantième
cinquante-neuf
cinquante-deux
cinquante et un
cinquante
cinquantaine
cinq cent vingt-deux
cinq cent vingt
cinq
cinéma
cinéaste
ciné
cimetière
ciment
cil
cigarette
Cigale
cieux
ciel
Cie
ci-devant
ci-dessus
ci-dessous
ci-contre
cicatrice
ci-après
ciao
ci
Chypre
chute de météorites
chu
chronométrée
chronologie
chroniqueurs
chronique
choux
chou-fleur
chou
chose
choquait
chopé
choix
choisir
choisi
choir
chocolatine
chocolat (deceit)
chocolat
choc
cho
chirurgienne
chirurgien
chiottes
chiot
Chine
chimiste
chignon
chiffres
chiffre
chienne
chien
chiche
chic
chibre
chez
chevrotine
chevrier
chèvrefeuille
chèvre mf
chèvre (m/f)
chèvre
cheville
cheveux
cheveu
chevet
chevalier Bayard
chevalier
cheval
chérissais
chèrement
chère
chercheuse
chercheur
chercher à
cherche
chercha
cher
chèque de voyage
chêne
chemisier
chemisette
chemiser
chemise
chemin du retour
chemin de fer
chemin
chef-d'œuvre
chef d'œuvre
chef d'État
chef de poste
chef
cheerleader
ché pas
ché bien (coll.)
ché
chaussures de tennis
chaussures
chaussure
chaussés
chausser
chaumière
chauffeur
chatte
châtié
châtain clair
chat perché
chat
chassez
châsses
chasser
chasse-neige
charnière
charmer
charité
charges
chargée
chargeait
charcuterie
charbon
char
chaque
chapitre
chapelle
chanteuse
chanteur
chanter faux
chanter
chant
chanson
chanoinesse
chanoine
changerait
changer de
changer
changent
changement
change
chandail
chance
champion
Champagne
champ de tir
champ
chambres d'hôtes
chambrées
chambrée
chambre
chaleur
chalet
châle
chaise
chaire
chaîne
chahid
chagrins
chagrinées
chagrin
chacun des
chacun
chacal
chabine
ceux
cette tour fait 20 mètres de haut
cette fois
cette
cet après-midi-là
cet après-midi
cet
c'est-à-dire
c'est pourquoi
c'est le 2 janvier
c'est Jean
c'est ce que c'est
cessez
cesser
cessé
ces
cerveau
certes
certains des
certains
certaines
certainement
certain
cerf-volant
cerf
cérémonie
cérémonial
cependant
centre-ville
centre-est
centre
Centrafrique
centimètres
centimes
centième
cent un
cent quatre-vingt-douze
cent onze
cent deux
cent
censé
c'en est fait
celui de
celui
cellule
celles-ci
celles
celle-ci
celle
célibataire
celer
célèbre
célanire
cela
ceinture
ceindre
cédille
cédez
céder
ceci
ce tantôt
ce sont des Japonais
ce soir-là
ce soir
ce qui
ce qu'
ce midi-là
ce midi
ce matin-là
ce matin
ce jour-là

ce
CD
caverne
cave
cavalier
cavalerie
causent
cause
catholique
cathédrale
catégorie
catéchisme
catch
catastrophe
casser net
casser
casse-noisettes
cassé
casse
casques
casque
caserne
cascade
cas
carte de visite
carte de France
carte
cartable
carrière
carreaux
carreau
carré
carpe diem
carosse
Caroline du Nord
carnaval
caresser
carême
carafe d'eau
caractère
car
capter
capitaux
capitalistes
capitale
capitaine
capacité
cap
caoutchouc
canon
cannes à sucre
cannes
canne
candidate
candidat
cancre
canaliser
canadien
Canada
campus
camps
camping
campagne
campagnard
camp
camionneuse
camionneur
camion-citerne
camion
Cameroun
caméra cachée
Cambridge
cambre
camarade de classe
camarade de chambre
camarade
Calvados
calmer
calme
Californie
caler
cale
calcula
calcul
cal
caissière
caissier
caisse
cailloux
caillou
cahier
cage
cafétéria
café
cadre
cadienne
cadette
cadenassés
cadeau
cadavre
cacher
cache-nez
caché
cachait
cable
ça va ?
ça va
ça joue
ça fait longtemps
ça et là
ça
bz
buviez
buvard
but
bus
burn
Burkina Faso
bureau
building
bruyant
Bruxelles
brutale
brut
brunet
brun
brûlants
bruits
bruit
brouillons
brosse à dents
brosse à cheveux
brosse
broncher
brodequins
brochure
broccoli
britannique
brillants
brillant
brillamment
brillait par
brillait
brièvement
briefing
bridge
bridage
brevet
Brétigny
Bretagne
brest
bref
bravo
brave
bras dessus bras dessous
bras
branler
branche
boyaux
boxeur
boxer
boutonnière
bouton de porte
bouton de manchette
bouton
bouteille
bout
bousculés
bourse
bourrine
bourrées
bourrade
bourgeoise
bourgeois
boulot
boulevard
boule
boulangère
boulanger
bouillir
bouillie
bougrement
bougre
bougie
bouger
bouge
bougainvillées
bouffer
boueux
boudeuse
bouderie
bouder
boucle
boucher
bouche bée
bouche
bossé
boss
Bosphore
bordel
bord de la mer
bord
booker
bonus
bonté
bonsoir
bonnes vacances
bonnes fêtes
bonnement
bonne mine
bonne journée
bonne heure
bonne dernière
bonne
bonjour
bonhomme
bonheur
bondée
bonbon
bon week-end
bon usage
bon marché
bon frère
Bon Dieu
bon anniversaire
bon
bôm
bols
bois
boire
boh
bof
bœufs
bœuf (bœu)
bœuf
boétie
bocal
blondinets
blond
blog
block
bleues
bleu canard
bleu
blessés
blessée
blessé
blennorragie
bleau foncé
blé
blattes
blancheur
blanches
blanc
blâmable
blagueur
bitume
bite
bitako
bise
bis
biologie
binaire
billion
billets
billet de bus
billet
bilan
bijoux
bijoutier
bijouterie
bijou
bihebdomadaire
bière pression
bière
bienvenue
bienvenu
bientôt
bien vacant
bien sûr
bien sur
bien que
bien intentionné
bien des
bien davantage
bien cuit
bien
bicyclette
bibliothèque
bibliothécaire
biberonner
biberon
biais
bi
Bhoutan
beurre
beur
béton
bête noire
bête
bestiaux
besoins
besoin
Berry
bergère
bergerac
berger
bénin
bénéfique
bénéficie
bénéficiaient
belle-fille
belle
Belgique
belge
beige
bée
bébé
beauté
beaucoup de
beaucoup
beau ajouter
beau (adv.)
beau

Bayeux
bavard
battu
battre
bâtons
bâton
bâtis
bâtir
bâtiment
bath
bateau-mouche
bateau-citerne
bateau
bâtard
bataillon
bas-voter
bastion
bassement
basse-cour
basse
baskets
basket-ball
bases
basé sur
base
bas-côté
bas
bars
barres
barrée
barre
barmaid
Barcelone
barcarolle
barbe
bar
bannissez
banlieues
bang
bander
bande dessinée
bande
bancal
banc
banane
banal
bambinos
bambine
ballon
balle
baleines
balcon
bal
baissés
baissers
baisser
baisse
baissaient
baisers
baiser
baisées
bains
bain-marie
bain
bail
baignoire
baignée
baie
bah
baffes
bacs
bâclai
backing
bacchantes
baba
ayons donné
ayez donné
ayants
ayant parlé
ayant fini
ayant eu donné
ayant eu
avril,
avouer
avoir une prise
avoir une conduite intime
avoir tort
avoir recours à
avoir raison
avoir peur
avoir marre
avoir lieu
avoir les moyens
avoir le cœur net
avoir l'air
avoir la main verte
avoir intérêt
avoir grand-faim
avoir froid
avoir faim
avoir eu donné
avoir du succès
avoir droit à
avoir des vivres
avoir de mal
avoir besoin de
avoir beau
avoir âge
avoir affaire à
avoir accès
avoir
avocats
avocate
avocat
avis
avions
avion
aviatrices
avez
aveux
aveugler
aveuglément
aveu
avertir
aversion
avenue
aventures
aventurer
avec violence
avec véhémence
avec tristesse
avec patience
avec le temps
avec entêtement
avec du temps
avec difficulté
avec délices
avec concision
avec colère
avec charme
avec beaucoup d'imagination
avec beaucoup de talent
avec
avant-hier
avant-coureur
avantageux
avantages
avant que
avant de
avant
avancés
avancer
avancement
avancée
avancé
avance
avaler
avale
avait raison
avait
aux mains de
aux environs de
aux côtés de
aux alentours de
aux alentours
aux
autrui
autres
autrement
autrefois
autre chose
autre
autour des
autour de
autour
autoroute
autorisées
autorisé
autorisant
autoportrait
autonomes
automorphisme
automobile
automne
auto-école
auto
authentique
auteure
auteur
autant que
autant de
autant
austère
aussitôt
aussi
Auschwitz
aura affaire
auquel
auprès de
auparavant
aujourd'hui
augmenter
augmente
auditrice
auditeur
au-dessus de
au-dessus
au-dessous
au-delà
au-dehors
au-dedans
audace
aucune
aucun
aube
au(x)
au viol
au travail
au tour de
au total
au sujet de
au suivant
au secours
au risque de
au revoir
au point que
au plus … au plus (BE)
au pis aller
au pied de
au nez de
au moment de
au mois de janvier
au mois de
au moins dix personnes blessées
au moins de
au moins
au maximum
au maintien
au loin
au lieu de
au lendemain
au fur et à mesure
au fond de
au fond
au feu
au défi de
au début de
au cours de
au courant
au contraire
au cœur de
au cas où
au camp
au + word = uh oh!
au
attouchement tendre
attitude
atterrir
attention
attentes
attentats
attendus
attendre
attendant
attend de
attelée
atteint
atteindre
attaque
attaqué
attaque
attacher
atout
atomes
atome
atlantique
athlète
astreindre
astral
astéroïde
astérix
assurément
assumer
assortir
associez
association
assistante
assistant
assistance
assises
assise
assis
assignée
assigné
assiette
assidûment
assidu
assez de
assez
asservir
asseoir
assembler
assemblée
assaut
assassinat
assasse
assaillir
aspiré
Asie
as
artistes
artiste
artisane
artisan
artificiel
articles de toilette
articles
article de table
article
art
arrondissement
arrivés
arriverait
arriver à la cheville
arriver
arrivée
arrive
arrivaient
arrière-plan
arrière-pensée
arrière-boutique
arrhes
arrêtez
arrêter
arrête
arrêt de bus
arrêt
arrérages
armoiries
armes
armement
armée
armé
arme
armature
Arizona
Argentin
argent
arganier
archives
architectes
architecte
arc-en-ciel
arc-boutant
arc
arbres
arbre
araignée
arabs
arabe
après-midi
après-guerre
après-demain
après tout
après
appuyer sur
appuyer
appuyé
appui-tête
approvisionnement
approprié
approfondies
approcher
approbation
apprenez
apprendre
apprenaient
applique
applaudissements
appelle
appeler
appelée
appelait
appel de l'affaire
appel
appartient
appartiens
appartenait
appartement
apparentées
apparent
apparence
apparemment
apparaître
apparaissez
apparaissant
apointement
aperçois
apercevoir
apaisé
août,
anxieux
antithèse
antillaise
antidéplacement
ans
anonymement
ânonnait
anoblir
annuler
annulaire
annonçons
annonce
anniversaire
années
année
annales
animosité
animé
animaux
animatrice
animateur
animal
angora
angoisses
anglophone
anglican
anglais
ânesse
âne
ancien régime
ancien
ananas
analyses
an ti fi
an ké tchouyé-w
an
amuser
amuse
amputé
ampoule
amoureux
amour (m/f)
amour
ammareuse
amitié
amis
amies
amie
ami
âmes
Amériques insulaires
Amérique
Amérindiens
américains
américain
amer
amener
améliorer
ambulance
ambigument
ambigue
ambigu
ambassade de France
amateurs
amas
amarre
amande
Amadou
alternatives
alpiniste
alpinisme
alpin
alphabet
alors que
alors
allure
allô
allitération
allez
aller sur
aller par quatre chemins
aller droit
aller chercher
aller au lit
aller
allen en boîte
allait
alimentaire
aliénés
aliénée
algérienne
Algérie
Alger
algébrique
Alexandre
alerter
alentours
alentour
album
albinos
Alaska
Alabama
ajoutés
ajouter
ajoutait
aisément
aisé
aise
air
ainsi
aîné
aimante
ailleurs
aigu
aigre-doux
aie donné
aider
aide-de-camp
aide
Aïda
agriculture
agresseur
agrément
agonie
agir bassement
âgés
agent
âge moyen
âgé
âge
agacées
africain
afin que
Afghanistan
affreux
affreusement
affluer
affirma
affiché
affectueusement
affectionner
affection
affecterait
affectait
affamé
affaires
aérosol
aérien
adultes
adresser
adorer
adore
adorait
adorais
adoption
adopter
adolescents
adolescence
admirer
admiration
admirait
admiraient
administrer
admettre
Adirondacks
adieu
adhésif
Adélaïde
addition
actuellement
activité
activer
action
actif
acres
acheteurs
acheter
acharné
accueillir
accueillant
accueil
accroître
accrocher
accrochée
accroché
accro
accouplement
accouchée
accoster
accords
accompli
accompagner
accompagnait
accident de car
accident
accès
acceptation
acceptable
accent
abymes
absurdes
abstraits
absorbée
absolument
absolu
absence
abondant
abondamment
abominable
Abidjan
abandonner
abandonnent
à vrai dire
à tue-tête
à travers
à tout instant
à tout à l'heure
à tort
à tire-larigot
à temps
à témoin
à ta grande surprise
à son tour
à son regard
à revers de
à qui mieux mieux
à quelle heure
a priori
à présent
a posteriori
à plusieurs reprises
à plat ventre
à pied
à peu près
à peine
à partir de
à part
à mon tour
à mon intention
à mon avis
à moins que
à même
à ma grande surprise
a lus
à l'unanimité
à long terme
à l'heure
à leur goût
à l'étroit
à l'avenir
à l'avance
à l'aise
à l'agonie
à la maison
à la garde
à la fois
à la fin
à la condition
à la cheville
à la bourre
à la base
à jamais
à haute voix
à grosses gouttes
à grand-peine
à genoux
à gauche
a fortiori
à force de
à fond
à dessein
à demain
à court de
à côté
à chaque fois
à ce sujet
à ce moment-là
à cause de
à brûle-pourpoint
à bon
à
a
voltigeur
une bonne partie
un oui
un non
un jour
un département d'outre-mer
tonnerre du sort
tomer
toma
toilette
thibault
tetris
tels que
taupé
tante derog
tandis que
sus
sur notre dos
sûr de savoir
supliante
stream
statu
sous-peintures
sous prétexte de
sous les yeux
sortir en foule
sortir à flots
sol
sois de
so
single
s'imaginer
imaginer
s'habiller court
s'étaler fall over
servez à la table
serpent boa
sergent major
sera au paradis
septante-deux
septante et un
sentir mauvais
sentir bon
s'en tenir à
s'en prendre à
s'en bat les couilles
s'en aller
selles
seine
seiner
s'effacent
se voir
se sucer la bite
se rire de
rouler coll
rossignol coll
rond drunk
risquer gros
rococo derog
rire verb
Je n'ai pas confiance dans le fait que mon français parlé spontané sera au même niveau de qualité que mon français écrit soigneusement préparé.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le Main Street, mais alors je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis 12th-grader.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le dortoir de Main Street, mais maintenant je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis un élève de douzième année de quatre ans.
Bonjour, je m'appelle Logan, je vivrais normalement dans le dortoir de Main Street, mais maintenant je suis à Atlanta, d'où je viens, et je suis un élève de douzième année de quatre ans. Je n'ai jamais pris de cours de français auparavant, alors je suis impatient d'essayer quelque chose de nouveau et de vous rencontrer tous.
porte-monnaie
des pèse-lettres
qu'il fût
mûr
elle s'est laissé mourir
un imprésario
portefeuille
douceâtre
blanchâtre
boursoufler
souffler
chariot
charrette
vingt-trois
cent trois
cure-dents
cure-ongles
cache-flamme
céderai
puissé-je
il plaît
il se tait
la route la voûte
il ruisselle
amoncèle
elle s'est laissée aller
elle s'est laissé appeler
des jazzmen
des lieder
zéro
un
deux
trois
quatre
cinq
six
sept
huit
neuf
dix
onze
douze
treize
quatorze
quinze
seize
dix-sept
dix-huit
dix-neuf
vingt
vingt et un
vingt-deux
vingt-neuf
trente
trente et un
trente-deux
trente-neuf
quarante
cinquante
soixante
soixante-dix
soixante et onze
soixante-douze
soixante-dix-neuf
quatre-vingts
quatre-vingt-un
quatre-vingt-deux
quatre-vingt-neuf
quatre-vingt-dix
quatre-vingt-onze
cent
cent un
cent deux
cent soixante
cent soixante-dix
deux cents
deux cent un
deux cent trente-six
mille
mille un
mille six cents
deux mille
dix mille
un million
un million trois cents
deux millions huit cent mille
cinq cents millions
un milliard
six milliards
premier
deuxième
troisième
quatrième
cinquième
sixième
septième
huitième
neuvième
dixième
onzième
douzième
treizième
quatorzième
quinzième
seizième
dix-septième
dix-huitième
dix-neuvième
vingtième
vingt et unième
vingt-deuxième
vingt-neuvième
trentième
trente et unième
trente-deuxième
trente-neuvième
quarantième
cinquantième
soixantième
soixante-dixième
soixante et onzième
soixante-douzième
soixante-dix-neuvième
quatre-vingtième
quatre-vingt-unième
quatre-vingt-deuxième
quatre-vingt-neuvième
quatre-vingt-dixième
quatre-vingt-onzième
centième
cent unième
cent deuxième
deux centième
deux cent vingt-quatrième
millième
mille unième
mille quatre centième
dix millième
Bonne journée
bonne soirée
Faites de beaux rêves
Laissez-moi tranquille
dégage
Au voleur
au viol
au feu
urgent
portefeuille
affaires
puis-je
choper
défense de
soigné
courant
norme
soutenu
cultivé
châtié
littéraire
commun
standard
fautes
solécismes
ignoble
abominable
faute
monstre
authentique
outrage
langue
avancé
mises en garde
chroniques
chroniqueurs
bon usage
imparfait
subjonctif
passé simple
temps
époque
emploie
façon
sûrement
mauvaise
rires
ché pas
mal
pur
hein
y a
osent
générations
grammairiens
professionnels
amateurs
domaine
parsemé
embûches
interdits
cédez le passage
pachave
attention
disparaissant
attendant
à l'intérieur de
au bout de
auprès de
autour de
à côté de
en face de
en dehors de
au delà de
en dépit de
près de
duquel
auquel
féliciter de
excuser de
s'inquiéter de
s'irriter de
profiter de
soufrir de
être reconnaissant de
être stupéfait de
quiconque
quoi que
toutes les fois que
à chaque fois que
quand
Quand nous réfléchissons au grand dessein du grand Parent de l'Univers dans la création de l'humanité, et aux améliorations dont l'esprit est capable, tant en connaissance qu'en vertu, ainsi qu'à la prédominance de l'ignorance et du vice, du désordre et de la méchanceté, et à la tendance directe et à l'issue certaine d'un tel cours des choses, de telles réflexions doivent susciter dans les esprits réfléchis une sollicitude sérieuse pour trouver la source de ces maux et leur remède ; Et une petite connaissance des qualités des jeunes esprits, de leur susceptibilité et de leur ténacité à recevoir des impressions, prouve que le temps de la jeunesse est une période importante, dont l'amélioration ou la négligence dépendent des conséquences les plus lourdes, pour les individus eux-mêmes et pour la communauté.

Une considération sérieuse de ces choses et une observation de la négligence croissante de la jeunesse doivent exciter une douloureuse anxiété pour l'événement et peuvent bien déterminer ceux que leur bienfaiteur céleste a bénis avec une capacité par conséquent, à promouvoir et à encourager les écoles ou académies publiques gratuites, dans le but d'instruire la jeunesse, non seulement dans la grammaire anglaise et latine, l'écriture, l'arithmétique, et les sciences où elles sont communément enseignées, mais plus spécialement pour leur apprendre le grand but et la véritable affaire de la vie.

Souhaitant ardemment que de telles institutions puissent croître et s'épanouir, que leurs avantages soient étendus et durables, que leur utilité soit si manifeste qu'elle ouvre la voie à d'autres établissements fondés sur les mêmes principes, et qu'elles se révèlent finalement d'éminents moyens de promouvoir les intérêts du Grand Rédempteur, c'est à son patronage et à sa bénédiction que tous les amis du savoir et de la religion les confient très humblement.


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Les devoirs du Président sont de présider les réunions, de convoquer les réunions, de nommer les commissions et d'approuver les décisions prises par les commissions.
     
 
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