Notes

Dans une monde ou l’Eglise Chrétienne garde le pouvoir en utilisant la direction divine, le temps commence à changer quand une idée prend sa place ; l’homme peut contrôler leur destin. Tandis que le pouvoir de l’Eglise était érodé par l’humanisme de Renaissance, Machiavel, étant un diplomate, a vu ce change et il a développé une route non conventionnelle dans l'étude de la théorie politique. Le Prince, écrit dans un style d’un manuel pour les chefs de la Renaissance, décrit les façons sur la manipulation et l’ingénierie de la nature humaine pour l’intérêt de l’Etat. En faisant ça, il scrute la définition et l’utilisation du mot « vertu » et il examine la question si la fin justifie les moyens. Machiavel forme un lien fort entre ces deux éléments en montrant les lecteurs la vérité derrière un souverain puissant et les mesures qu’il prend pour l’avantage de son Etat.
La société modern a une compréhension diffèrent de la mot « vertu ». Selon nous et selon l’Eglise Chrétienne, « vertu » est la façon d’agir avec persévérance en accord avec la loi divine. Cependant d’après Machiavel, la moralité doit prendre la deuxième place que l'utilité et la sécurité de l'Etat. Ainsi nous pouvons déduire que Machiavel choisit la perspectif Romain quand il approche la vertu. La qualité de la vertu, incarnée dans une chef militaire Romain est une qualité qui possède ambition et poursuite de la gloire. Ces sont opposent l’idéologie Chrétienne de la moralité et la modestie. Il remarque aussi que ambition et poursuite de la gloire sont les qualités qui appartient la nature humaine et l’homme n’est pas une être vertueux à la page 68, « Il ne serait pas bon sans doute, si les hommes étaient tous gens de bien; mais comme ils sont méchants, et qu'assurément ils ne vous tiendraient point leur parole, pourquoi devriez-vous leur tenir la vôtre? ». Toutefois Machiavel fait une observation essentielle ici. Il conseille que le Prince doit toujours agir vertueux dans l'intérêt de la population mais il ne doit pas agir vertueux dans l’intérêt de la vertu. La même peut être dire pour le vice aussi. Donc un souverain ne doit pas éviter la vertu ou le vice s’ils bénéficient l’Etat. Tous les deux sont les aspects qui une chef doit utiliser pour l’avantage de l’Etat ainsi ces sont les moyens justifient la fin. Chaque action de la Prince devrait être pour l'Etat, non pas pour les valeurs morales. Comme nous pouvons voir à la chapitre 18 « Ainsi donc, pour en revenir aux bonnes qualités énoncées ci-dessus, il n'est pas bien nécessaire qu'un prince les possède toutes ; mais il l'est qu'il paraisse les avoir. », Machiavel adopte la perspectif Romain du mot « vertu » mais il conseille de faire sembler comme une valeur Chrétienne en cachant les intentions vrais.
Le succès d'un Prince est jugé par les conséquences de ses actes. Mais il convient de noter que c’est une question de l’opportunité politique, pas un modelé de comportement social. Il est seulement excusable lorsqu'elle est effectuée pour le bien du public. Comme il a été mentionné dans le paragraphe précédent ; la vertu et le vice doivent être les moyens justifient la fin, non la fin eux-mêmes. Donc ces méthodes doivent être contrôlées. Machiavel donne les exemples d’Agothes et d’Oliverotto a la chapitre 8. Ils sont les chefs qui utilise le vice pour accomplir ses buts mais Agothes arrête ses actions quand il réaliser ses rêves, tandis que Oliverotto continue. Pour lui, le vice devient la fin, pas un moyen donc son Etat était détruit. L’image est aussi important que l'action parce que ce que les gens vont suivre. Pour les gens et pour le public, ce sont toujours à propos de les conséquences. Personne ne se souciait quand Agothes a utilisé la violence pour la fin, mais quand il est devenu la fin soi-même pour Oliveretto il a été défait. Donc, la fin justifie les moyens seulement pour les gens. Les personnes ne verront que les résultats finaux. En effet nous pouvons le voir clairement à la page 70, « car les hommes, en général, jugent plus par leurs yeux que par leurs mains » et « dans les actions des hommes, et surtout des princes, qui ne peuvent être scrutées devant un tribunal, ce que l'on considère, c'est le résultat. Que le prince songe donc uniquement à conserver sa vie et son État : s'il y réussit, tous les moyens qu'il aura pris seront jugés honorables et loués par tout le monde. Le vulgaire est toujours séduit par l'apparence et par l'événement : et le vulgaire ne fait-il pas le monde? ». Selon les gens, la fin justifie les moyens mais selon le Prince, les moyens justifient la fin puisque le Prince doit décider les moyens qu’il va utiliser pour accomplir la fin. Si les moyens deviennent la fin, le souverain est détruit.
Contrairement aux philosophes politiques avant lui, Machiavel ne croit pas l’objectif de l’Etat soit une nourricière de la moralité mais il pense que l’Etat doit assurer le bien-être de ses citoyens. Pour faire ça, une chef d’Etat doit considérer tous les façons possibles pour accomplir la victoire parce que c’est qui est important pour les gens. Le public va toujours voir les résultats finaux. Soit ils ignorent les moyens, soit ils sont aveuglés par les actions qui le Prince prend en faveur de la sécurité de l'État en utilisant de l'illusion de la vertu. Ainsi, pour les citoyens du Prince la fin justifie les moyens et ils resteront toujours dans le noir.