Notes

Montesquieu

Écrivain et philosophe français, Montesquieu a marqué le monde intellectuel en tant que philosophe de l’Histoire et figure fondatrice de la science politique

Son vrai prénom est Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu,Il est né le 18 janvier 1689 à La Brède (Guyenne, près de Bordeaux) et mort le 10 février 1755 a Paris. C'est le fils aîné de Jacques de Secondat (1654-1713) et de Marie-Françoise de Pesnel , il est écrivain et philosophe. Il est catholique. Son fils est Jean Batiste de Secon Académie ,comme Académie il a fais la française (1728-1755), la Royal Society,l' Académie royale des sciences de Prusse Académie de l'Académie de Stanislas.ll était connu pour son ouvrage de l'Esprit des Lois , mais aussi les Lettres persanes . Né au château de la Brède, près de Bordeaux, il devient conseiller au parlement de Bordeaux. Un héritage qui lui permet de délaisser sa charge dès qu'il le peut et il se passionne pour les sciences, la politique et la philosophie. Sa citation et .Il ne faut toucher aux lois que d'une main tremblante. "La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent ; et si un citoyen pouvait faire ce qu'elles défendent, il n'aurait plus de liberté, parce que les autres auraient tout de même ce pouvoir."

Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu,
est un penseur politique, ancien de la sociologie, philosophe et écrivain français .
Homme passionné par les sciences, plein d'esprit.
Après ses études de droit, il devient conseiller auprès du parlement de Bordeaux en 1714.
En 1716, il hérite de la fortune de son oncle.
Il arête sa charge dès qu'il le peut, Montesquieu s'intéresse au monde.
Il se passionne pour les sciences et fait des expériences puis oriente sa curiosité vers les hommes et l'humanité à travers la littérature et la philosophie.
Montesquieu tente d'enlever la logique des différentes institutions politiques par l'étude des lois considérées comme simples rapports entre les réalités sociales. Il envisage trois types de gouvernement : la république, la monarchie et le despotisme. Il y défend le principe de séparation des pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire.
Très critique envers l'absolutisme et ses travers sociaux, Montesquieu qui croit à la nécessité des réformes souhaite pour la France une monarchie constitutionnelle à l'anglaise.

Au Livre XV de L'Esprit des lois, Montesquieu accuse d'abord les fausses justifications ou justifications traditionnelles du droit d'asservir, servitude contractuelle, droit de conquête, conversion religieuse et coutume. Par la suite, il n'en détaille pas moins les « raisons naturelles » ou véritables qui fonderaient la servitude, avant d'énoncer la nécessité de la limiter et de proposer d'en réguler juridiquement les abus et les dangers. Or, jamais il ne condamne l'esclavage et ne propose à aucun moment de l'abolir définitivement. Plusieurs chapitres du Livre XV sont consacrés aux justifications possibles de la traite négrière transatlantique .
C'est avec une ironie amère que l'on peut remarquer qu'au Livre XIV (14), pour fonder sa thèse naturaliste de l'esclavage, Montesquieu a recours au « soleil de la science ». Le « savoir physiologique » qu'il mobilise, inspiré de théories germanique, doit lui permettre de créer , dans une perspective qui se veut scientifique, une mise en rapport des passions et des caractères humains avec le climat afin de présenter « combien les hommes sont différents ». C'est à partir de l'examen « au microscope, instrument emblématique de la révolution scientifique des modernes », des « modifications d'une langue de mouton soumise » à des variations de température, que Montesquieu entend « mettre en évidence les variations de la sensibilité selon la température de l'air. »

Une des idées de Montesquieu, soulignée dans "De l'esprit des lois et esquissée" dans les Lettres persanes ( iranien ) , est la théorie des climats , selon laquelle le climat pourrait influencer substantiellement la nature de l'homme et de sa société.
Il va jusqu'à affirmer que certains climats sont supérieurs à d'autres, Montesquieu publie anonymement Les Lettres persanes ( iranien ) en 1721 ,un roman épistolaire ( relation par lettre ) qui fait la satire ( satire : critique de moqueries ) amusée de la société française de la Régence ( mettre en place un gouvernement en attendant le roi ) ,vue par des iranien fictifs. Le roman met en cause les différents systèmes politiques et sociaux, y compris celui des iranien.
L'institution de l'esclavage est centrale dans l'œuvre majeure de Montesquieu, De l'esprit des lois, puisque quatre Livres lui sont consacrés : les Livres XIV, XV, XVI et XVII examinent, respectivement, les rapports des lois en général, des lois de l'esclavage civil.
Montesquieu, dès 1716 , fonda un prix d'anatomie à l'Académie de Bordeaux ; en 1721 , il lut un Mémoire contenant des observations faites au microscope sur des insectes, le gui de chêne, les grenouilles, la mousse des arbres, et des expériences sur la respiration des animaux plongés sous l'eau ; en 1723 , une dissertation sur le mouvement relatif, et une réfutation du mouvement absolu ; en 1731 , un Mémoire sur les mines d'Allemagne, et sur les intempéries de la campagne de Rome. L'Académie, si occupée dans cette période des questions d'anatomie et de physiologie, trouvait en Montesquieu un de ses auditeurs et de ses coopérateurs les plus assidus.

Montesquieu est l’auteur des Lettres persanes et de sa grande œuvre L'Esprit des lois en 1748 .
Alors que les manuscrits d’écrivains sont rares au XVIIIe siècle, les brouillons n’étant souvent pas conservés après la publication, Montesquieu gardait lui-même précieusement tout ce qui pouvait lui être utile un jour, pour corriger et augmenter ses œuvres publiées, en écrire de nouvelles ,il laisse un recueil manuscrit de 2230 pages en trois volumes, conservé au château de La Brède et remis par ses descendants à la bibliothèque de Bordeaux. Ces pages relèvent rarement de sa propre écriture : comme beaucoup d'écrivains de son temps, Montesquieu a recours à des secrétaires, auxquels il dicte ses lettres comme les chapitres de ses œuvres. Montesquieu diffusé ces œuvres grace à ces lettres persanes et aux comptoirs de presse.
Cet ensemble d’informations, de remarques et de réflexions, a été publié sous les titres Pensées et Spicilège .
Les principales critiques selon Montesquieu: «on ne peut être vertueux dans une monarchie; La toute-puissance du climat ; Montesquieu n'a rien d'original; Montesquieu bafoue la religion».

La première oeuvre de Montesquieu est La Damnation éternelle des païens qu'il a crée en 1711 dans laquelle il montre que les philosophes de l'Antiquité n'ont pas mérité l'enfer, ses oeuvres les plus célèbres sont Lettres persanes 1721 Les considérations (1734) De l'esprit des lois (1748) . En 1754, il publie Lysimaque, essai politique qui est sa dernière œuvre, après ça, il continu à retravailler ses anciennes oeuvres
Plusieurs éditeurs ont compilé les écrits de Montesquieu bien que certaines souffrent de lacunes.
- Éd. Masson
- Éd. Roger Caillois dans La Pléiade, 1949
- Éd. Seuil, collection « L'Intégrale », 1964
- Éd. Société Montesquieu, sur l'initiative de Jean Ehrard, 1988-2021
Montesquieu commence l’écriture du premier volume de ce manuscrit de travail à peu près vers 1726-1727 et le poursuit jusqu’à la fin de sa vie, l’un de ses secrétaires intervenant encore en 1754. Sur ce feuillet autographe, au début du cahier, on peut lire :
« Je me garderai bien de répondre de toutes les pensées qui sont ici. Je n’ai mis la plus part que parce que je n’ai pas eu le temps de les refranchir et j’y penserai quand j’en ferai usage. »