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Lors de la lecture d’un code barres, le faisceau lumineux émis par le scanner est absorbé par les barres noires sans être réfléchi, alors qu’il est réfléchi par les espaces clairs. A l’intérieur du scanner, une cellule photosensible reçoit la lumière réfléchie et la convertit en un signe électrique. Le code EAN peut être composé de 8, 12 ou 128 chiffres, et c’est de ces chiffres et des barres au-dessus qui forme le code barre. Ces deux-là ne peuvent pas être dissociés, ils sont complémentaires. Pour la lecture d’un code-barre, il est important d’avoir un dispositif , nommé sous le vrai nom de lecteur, douchette ou scanner code barre. Le code barre donne à lui seul une information facile à identifier : l’origine du produit. En ce qui concerne la France, les codes accordés commencent par des chiffres allant de 350 à 379. Le n° de lot est obligatoire sur les emballages primaires, comme les pots, tubes, flacons, qui sont en contact direct avec la formule mais aussi emballages secondaires comme les étuis en carton. La seule autorisation prévue est : si les dimensions du produit sont jugées trop petites, le n° de lot figurera uniquement sur l’emballage secondaire. Il n’a pas de place attitrée et peut apparaitre sur le pli du tube, le dessous du pot, le haut du flacon. Il est obligatoire qui soit inscrit quelque part. Il a été pour vérifier la traçabilité d’un produit.

Les codes à barres sont des pixels fournissent des informations sur un produit particulier. Ils sont représentés par différentes lettres et différents chiffres, codés par des barres de différentes longueurs et largeurs. Un lecteur de codes-barres est une machine vision qui lit ces codes-barres, c’est-à-dire la saga de chiffres, de lignes et les espaces entre les lignes du code-barres. Le code-barres comprend généralement douze chiffres sous les lignes, dont les 6 premiers sont les numéros d'immatriculation du . Les cinq chiffres qui suivent sont le n° d’article du produit. Quant au dernier chiffre, il s’agit du chiffre de contrôle, qui permet au lecteur de codes-barres d'être sur que le code a été scanné convenablement. UNE scanner de code-barres inclut trois parties différentes, à savoir le capteur, le système d’éclairage et le décodeur. Un scanner éclaire le code en se servant d’une lumière rouge pour ' balayer ' les éléments de couleur sombre et d’un code à barres. de même, le code est converti en texte correspondant. Le décodeur analyse les données de l’image et envoie les infos au port de sortie. Le converti, à son tour, entre dans un système informatique qui a une base de données sur le fabricant et les renseignements du produit, y compris son coût et sa quantité.

Les codes-barres se composent de petits traits de couleur noire et blancs qui peuvent être des caractères. On lit le code-barre grâce à un scanner : celui-ci de la lumière sur l’étiquette et les traits la réfléchissent. Cette contrat pro de traits blancs et de couleur sombre correspond à des chiffres ( 0 et 1 ) qui créent un code binaire. C’est la norme EAN qui est la plus utilisée dans l’étiquetage de produits alimentaires : on voit alors des codes-barres fabriqué de deux colléctions de six chiffres. La première série expose le modèle du tandis que la seconde correspond à le modèle de ce billet. Les étiquettes RFID sont plus polyvalentes que les codes-barres car elles peuvent contenir 4 millions de caractères, alors que les codes-barres n’en consignent que 20. Les lecteurs de puces RFID peuvent identifier plusieurs produits , ce qui représente un grosse gain de temps par rapport aux codes-barres. Il n’y a pas non plus besoin d’un contact visuel direct. Ainsi, le lecteur RFID pourra identifier en quelques secondes tous les produits qui se trouvent dans un sac opaque. Les RFID sont aussi très difficiles à reproduire ou à recopier. Elles sont plus technologiques que les codes-barres. En revanche, leur coût est très important. Un investissement néanmoins avantageux pour sécuriser les marchandises.

Le choix d’un lecteur code barre vous s'avère complexe car les et les produits sont nombreux. Vous avez sûrement entendu parler des mots qui suivent : Laser, CCD, Douchette, Pistolet, Scanner, omnidirectionnel, sans fil, avec fil, lecture avec diode, 2D, technologie Imager, RF, etc... etc... mais vous ne les maîtrisez pas. Nous pensons que les les informations ci-contre pourront vous aider. Conscient que cet outil est devient culte pour l’exploitation de votre activité, nous avons essayé à travers les indications plus bas de vous apporter quelques renseignements dans le but de maîtriser votre achat. Les lecteurs code barre avec fil / filaires sont reliés directement à une base ( ordinateur, caisse tactile, appareil de mesure… ). Ils se connectent en USB, en PS2 ou RS232. Dans la plupart des applications métiers, les lecteurs préconisés sont des lecteurs USB. Ils emploient RADIO ou BLUETOOTH pour leur permettre de parcourir et donner des données en ligne de la base à laquelle ils sont reliés. Le système optique de collecte extrait alors le faisceau laser réfléchi sur le code à barres et le canalise sur un photodétecteur. Ce système bloque en plus la lumière ambiante pour éviter qu’elle n’interfère avec le laser. Les atouts : permet une lecture efficace même en changement. Recommandé pour les tâches de coca exigeant une cadence de numérisation élevée et une grande tolérance au changement. Ils ont une portée assez importante pour décoder des tags éloignés avec rigueur.

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