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Le mot « hypnose » est considérable. En effet, on y associe ce que l’on croit connaitre, ce que l’on a déjà vu… Et souvent, cela fait peur. Tomber sur un bruit de doigts, perdre la gestion, tout oublier… Ces histoires, même si elles sont fausses, perdurent encore aujourd’hui. Alors, c’est quoi l’hypnose ? Peut-on « supporter » ? Tout le monde est il « hypnotisable » ? Tout le monde peut être jeté, mais pas vraiment de la même façon. Un bon thérapeute va concrétiser l’induction neuroleptique qui fonctionne sur vous, dans la mesure où un satisfaisant humoriste connait détecter la bonne histoire ! Ensuite, l’hypnose ne fera pas d'ailleurs agir tous de la même façon. En spectacle, l’hypnotiseur préférera les personnes très réactives et révélatrices, car c’est mieux « pour le show » visuellement.Chaque jour, toutes les 90 minutes environ, une personne se met en état sédatif. C’est par exemple le cas lorsqu’une personne est prise par un bon film, ou qu’un chauffeur est dans ses idées et arrive chez lui sans se rappeler de son itinéraire. Ces situations se rapportent en vérité à l’hypnose. C’est par conséquent un processus qui se déclenche de manière naturelle chez tout le monde. Dans une optique de gérance de la tension, l’hypnose va avoir les mêmes effets que quelques médicaments et va marchander la cadence du coeur et l’hypertension. L’avantage de l’hypnose est qu’il n’y a besoin d’aucune substance synthétique. C’est la personne qui effectue une activité, en ingurgitant les services dans son propre inconscient.Le fréquence de la respiration et le rythme cardio-vasculaire dirigent au ralenti. Le patient constate une changement au niveau de son énergie musculaire, et peut goûter différents signes physiques tels que picotements, lourdeurs des adhérents, …. S’agit-il d’une forme de manipulation ? La réponse est Non, suivant professionnels. A l’inverse de l’hypnose de arène, ils font remarquer que l’hypnothérapie ne ne s'arrête pas uniquement à mettre en place le affected person dans un état de inquiète, qui est d’ailleurs presque obligatoire pour faire effondrer les faits, les hantises et les rigidités. Mais, surtout, elle participe à inciter le client à se bâtir, à pomper en lui pour récupérer les bien qui l’aideraient à davantage monter.« Dormez, je le désire ! » Cette formule mythologie est dorénavant réservée au music-hall… Pratiquée par un psychothérapeute, l’hypnose est déclenchée de manière atténuée. Une séance prend quarante cinq minutes. Allongé sur un sofa, le individual ferme les yeux ou fixe un périmètre explicite dans la pièce de lingerie. Assis sur des chaussures à deux pas de lui, le guérisseur l’invite à se amuser. C’est la phase de « préinduction ». Certains professionnels utilisent un équipement sonore qui délayé une chanson rassurante, et touchent dans un micro d’une parler et monocorde. Ils délivrent au patient de concentrer quelques parties du corps : c’est la période d’« prévision », qui lui offre l'opportunité de fixer son attention en soi. Une calme peut s'établir.Le thérapeute vérifie l’état de l'individu en lui pressant de préparer une main ou de croiser les doigts. si elle répond à la demande, c’est qu’elle se situe bien en état d’hypnose. Ensuite, le guérisseur répète des recommandations, directes ( « Votre souffrance au bras disparaît » ) ou indirectes ( « Vous êtes dans un endroit sympa » ). A la fin de la séance, le affected person se réveille en gentillesse au terme d’un compte à contresens, pour récupérer la gestion de sa force et revenir à la réalité sans sentiment de malaise. Puis, affected individual et omnipraticien commentent la séance.Selon les plus récents effectifs de Tabac Info Service, la France compte 16 multiples personnes fumeuses, dont une aspect grandissante de personnes. Parmi ces personnes, 60% déclare avoir envie d’arrêter. “Il s’agit d’un prétexte très omniprésent de consultation” explique l'hypnotiseur. Bien fréquemment, ces fumeurs ont essayé plusieurs techniques pour arrêter la tabac : à la gris, cigarette électronique, remède, médicaments, avant se tourner vers l’hypnose. Comme l’explique Stéphane Malochet : “Les campagnes de sensibilisation, les glose sur les jeu de tabac, tout cela expédition un message à l’esprit conscient du fumeuse et lui montre, forfaitaire, ‘Si tu continues, tu vas mourir’”. Mais ils savent en connaissance de cause que leur pratique est mortel... et cela ne leur suffit pas pour arrêter.

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