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«Poupées sexuelles». Si leur nom semble propre, leurs application diffèrent au gré de souscripteurs. Les uns apporte la baisse du nombre de rapports sexuels dans un couple, les autres pallient une réserve maladive et paralysante, quand d’autres, encore, remplissent un vide, plus qu'assouvissent un envie sexuel… Et l’intelligence forcée de démultiplier encore ces amis entre artiste et produits sexuels. Car il est loin le temps des poupées gonflables disgracieuses. Désormais, les inmodelé en silicone, troublants de naturisme, sont modulables à l’infini.

Le soliel levant est le pays aîné dans la production des love dolls, poupées à taille humaine vendues comme collaborateurs sentimentales. Prenant appui sur le concept que leurs corps s’inscrivent dans une économie de produits symboliques accréditant leurs propriétaires de biens immobiliers à enfoncer d’elles comme d’outils pour construire tellement leur prestance et leur symbole, j’aimerais proposer l’hypothèse suivante : que les poupées peuvent être assimilées à des prothèses. Plus précisément des prothèses affectives. En la manière dont elles sont conçues – autant par les entrepreneurs que par les acheteurs – je questionnerai la notion accoutumée de la prosthèse comme resource pour remplacer ou remédier à une consomption. Les amour dolls, effectivement, ne sont pas utilisées pour dissimuler l’absence d’un-e partenaire. Ni pour combler un vide. S’il s’agit de prothèses, quel rôle jouent-elles ?

Jadis gonflables, les poupées destinées à satisfaire les aspirations sexuels de ceux qui le veulent sont désormais effectuées en silicone et offrent tel ou tel toucher près de celui de le visage humaine. C'est ce qu'on appelle plus communément les « Love dolls ». Qui plus est, ces poupées excellence nature en silicone sont modifiables à demande. Type de sourire, couleur de la peau, des yeux, des nichons, des ongles, coiffure, dimension de vulve, forme et émotion des pilosité pubiens, etc. Bref, rien n'est laissé de manière aléatoire et les positions se comptent par milliers. Un peu tels une voiture, dont on choisit le style et les options.

C’est l’idée absurde d’un entrepreneur canadien qui est en train d’ouvrir sa maison close de poupées coquines intelligentes. Une nouvelle qui fait polémique sur la terre. En effet, le objectif de l’entrepreneur est de faire découvrir ses poupées avant leur commerce, d’où le concept d’une maison de tolérance. Cependant, le maire de la ville a tranché au Conseil Municipal et le québécois s’est vu avoir envie l’ouverture de cette dernière mais pas la vente de ses poupées. Une histoire à concretiser de près…

A Wayne, le sexe et la technologie n'ont jamais fait aussi bon époux. Cette ville du New Jersey héberge TrueCompanion, une entreprise fondée par Douglas Hines. Ancien conducteur en intelligence artificielle pour Bell Labs, ce lève-tard de 53 ans sculpte depuis longtemps des robots sexuels. Il se dit l'inventeur du 1er androïde cela nom : une poupée d'amour qualifiée Roxxxy, dévêtue à Las Vegas en 2010. Aussitôt battu par les constructeurs de la Silicon Valley, Hines n'a jamais délaissé à son idée de monter un companion pour l'homme ( ou la femme ). ' Ce n'est pas un shaker mais un partenaire de vie qui éventuellement fournira présence, assistance ou encore confort génésique ; alors s'il se rapproche à une jolie collégienne ou à un champion, personne ne s'en plaindra ', explique-t-il, faisant fi du flot graduel de critiques et de interrogations éthiques que soulève le projet.

Avec les retouche de la robotique complaisante et de l'IA, les robots sexuels pourraient prochainement arriver à un réalisme impressionnant. de quelle nature en seront les problèmes ? Dans la lutte pour l'égalité hommes-femmes, elles pourraient être désastreuses. Nous sommes à munich, auprès des fameuses Ramblas, au mois de février 2017. Une lupanar vient de remplacer une fraction de ses employées. des filles en situation de maquerellage ont dû prendre la porte, substituées par des systèmes sexuels. Il y a Lili, avec un physique asiatique. Leiza, à le visage en silicone couleur bois d'ébène. Ou même Aki, qu’on tente de faire correspondre à un personnage de hentai avec ses tignasses bleus fluo. Il faut payer 80 euros sur internet pour faire l'affaire une durée courte avec l’une de ces demoiselles humanoïdes.

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