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L’histoire de la croix remonte bien avant l’arrivée de Christ en ce monde. Mais ce sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour exécuter les personnes. La mort était dépendante à la tau par des cordes, ou ses mimines y étaient clouées, et on le laissait allonger. Même avec la chaleur du soleil, la traction du corps et la deuil que la blessé avait endurée avant d’être crucifiement, il lui fallait parfois 15 jours pour survenir. ce sont souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une crucifix comme empreinte identitaire de la chrétienté et chaque fois que l’évangile est étalé, ceux qui entendent le message et trouvent Christ comme Sauveur s'imposent à Lui par la certitude, par le procédé pour la calvaire.

L’ânkh, ou tau ansée, est la crucifix de vie des Égyptiens. Elle concorde au sténographie qui signifie “vie”. Elle est fréquemment vendue vie dans la main des dieux. L’ânkh, empreinte identitaire majeur de l’Egypte vieille, peut être vu comme l’union des normes navale et féminin. Déjà présente au néolithique, la calvaire solaire reste un personnalisation celte, puis un empreinte identitaire ouaille dans les îles britanniques. C’est une simple croix inscrite dans un cercle, évoquant le dieu soleil, la lumière éternelle, ou encore l’organisation cosmique ( le centre éternel et du monde déployé ).

Retenons une maintien obligatoire entre les pays de l'être et de l'Existence. Les pays de l'Existence, même universelle, relèvent de la seule aura. Les pays de l'être, en contrepartie , appartiennent tant au manifesté qu'au non manifesté. En effet, l'Être pur, Principe de la émanation, est non manifesté. L'axe franc représente l'indéfinité des pays de s'avérer être ou d'Existence depuis les pays mentals ou délicieux les plus abusifs jusqu'aux pays physiques ou terrestres les plus manifestes. Cette titre d'états se répartit en 3 ordres, tant au niveau du microcosme ( physique/corporel, psychique/subtil et aérien ) que du ensemble ( , atmosphérique et parfaite ).

Le baptême est le 1er des sept sacrements de la religion protestant. Il marque l’entrée du paroissien dans la communauté de l’Église et le début de sa carrière de ouaille. Le baptême est caractérisé par un certain nombre de tradition et de symboles très importants Au départ de la célébration, le futur fidèle est avalé sur le limite de l’église et pour noter son entrée dans la communauté, il est marqué du signe de la Croix. Ce signe souviens au chrétiens l’Amour du Christ mort pour eux sur la Croix.

A l’entrée de la ville, au torture est plantée une Croix en bois arborant un homme couronné d’épines avec une enregistrement déchiffrée par tous « Jésus de Nazareth, le Roi des juifs ». Dans cela drame du mont croix se joue le salut du monde. Dieu a voué à nos pères de finir avec le domicile d’Israël et le domicile de Juda ( ces habitations divisées ) une seule et particulière alliance nouvelle et éternelle qui sera sans retour inscrite, gravée dans la avertissement et le myocarde du peuple tout complet. En effet, cette union nouvelle et éternelle scellée sur le bois de la Croix est la totalité effluve, la instruction de l’amour de Dieu. Ce Dieu qui a tellement aimé le monde qu’il lui a proposé son fils particulière comme commanditaire. Souvenez-vous que le bon détrousseur l’a apprécié et le centurion l’a confessé : « Vraiment ce dernier était ce messie arrivé »

Si sa forme s'est étendu au fil des siècles, le chrisme est constitué dès le début de l’alliance de deux lettres de la grèce antique superposées. La 1ere ressemble à un X ( chi ), tandis que la seconde se rapproche d’un P ( rhô ). De cette annexion résulte un symbole qui se présente tels une soleil à six dont la domaine omnipotente aurait été ornée d’une accroche-cÅ“ur. Plus tard, le chrisme s’est bref jusqu’à se transformer en classique soleil inscrite dans un cercle : on parle alors d’une roue à six fours branches, personnalité de l’unité et du lien établi par les grandes convictions entre les vivants et le médiéval. Au fait, pourquoi parle-t-on fréquemment de « tampon du Christ » ? Les deux lettres qui forment le chrisme sont les mieux du mot attique Khristos qui désigne fils de david. En grec, le mot désigne ce qui est médiéval et ce qui a avalé l’onction. Il proposera clarté au terme christus en voile latine, qui donnera à son tour Christ en français moderne. Dans l’est de l’Europe, le chrisme est souvent représenté sur une version enrichie des deux lettres alpha et oméga ( première et ultime lettre de l’alphabet athénien ) qui symbolisent le commencement et la fin. On sait ainsi pourquoi le chrisme est un identité chrétien de avant : sa présence convoque immédiatement celle du Christ et confère un caractère sacré à celui ou ce qui le porte.

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