Les scientifiques qui ont étudier la question de la race et du QI savent que les conditions socio-économiques peuvent faire varier le quotient intellectuel, mais ces conditions socio-économiques ne peuvent pas expliquer des écarts internationaux aussi importants, même a l'échelle des Etats-Unis, les afro-américains fréquentant les écoles américaines, et grandissant dans un environnement occidentalisé depuis des siècles présentent des QI qui restent beaucoup plus faibles que la moyenne des blancs, et cela malgré le fait que les afro-américains ont en moyenne entre 20% et 30% d'ADN européens, on ne peut pas expliquer un tel écart de QI sans prendre en compte les facteurs anthropologiques qui influent sur le QI, surtout quand on prend en comparaisons les afro-descendants et les asiatiques aux Etats-Unis. Et asiatiques au sens large, même les indiens, les iraniens et les pakistanais s'en sortent très bien d'un point de vu socio-économique et éducatif, alors évidement il y a le fait que les immigrants indiens, pakistanais ou iraniens ne sont pas toujours représentatifs de leur pays d'origine, ils sont à la base les déciles les plus intelligents au sein de leur population d'origine, mais le contraste est saisissant. Les mongoloïdes chinois, japonais ou coréens vivants aux Etats-Unis ont subis énormément de pression socio-culturelles, ils ont été victime de racisme oui, pourtant cela ne les a pas empêché de prospérer, de s'enrichir, aujourd'hui le revenu moyen des asiatiques mongoloïdes aux Etats-Unis est plus élevé que la moyenne des blancs, les universités les plus prestigieuses sont pleines d'asiatiques américains. Les 10% des iraniens, des indiens et des pakistanais les mieux formés, les plus diplômes de leur pays d'origine prospère également aux Etats-Unis ce qui relativise fortement l'idée d'une société américaine bloquant structurellement les perspectives économiques et sociales des minorités, ça ne fonctionne pas comme ça dans les faits. Si les noirs sont pauvres aux Etats-Unis, cela n'est pas du a un problème structurel mais bel et bien a un problème biologique. Tu me dit que le QI des afro-américains s'améliore, je penses que c'est très simplement du a un phénomène assez simple, le recensement raciale ce fait par déclaration personnelle, on déclare soit même sa race, et la totalité des afro-américains ont une petite part d'ascendance européenne, même un métis avec 40% d'ascendance africaine aura tendance à se déclarer comme afro-américain, puisque c'est ce a quoi les autres l'identifieront et ce à quoi il s'auto identifiera cependant aujourd'hui, de plus en plus de couples mixtes se forment aux Etats-Unis, beaucoup plus qu'il y a 50 ans ou 60 ans, et il y a logiquement beaucoup d'enfants de ces unions mixtes, mais dans le recensement raciale par auto-déclaration, beaucoup de ces métis vont avoir tendance à s'identifier comme afro-américain plutôt que comme métis, alors même qu'une option "métis" leur ai proposer dans les recensement raciaux. L’amélioration du QI des afro-américains peut s'expliquer autant par une amélioration structurel de leur condition de vie, lié à une éducation plus performante, des système sociaux plus encadrants, notamment pour les enfants, mais elle s'explique aussi par l'augmentation, même numériquement limité mais suffisante de la part d'ascendance européenne dans le patrimoine génétique des afro-descendant, deux population placé dans le même environnement avec une possibilité d'hybridation tendront à se fondre l'une dans l'autre, les afro-américains ultra-minoritaire aux Etats-Unis tendent a devenir génétiquement plus proche du groupe majoritaire par un phénomène d'hybridation progressive même très lent parfois. Les hybrides interraciaux tendent a présenter des caractéristiques anthropologiques intermédiaires entre leur deux parents, et les afro-américains avec une part d'ascendance mixte présentent des capacités intellectuels intermédiaires entre leur deux groupes raciaux, ça c'est un phénomène prouvé par l'étude d'adoption interraciale du Minnesota, qui montre que les enfants métis présentent des capacités intellectuelles intermédiaires entre celles des nègres moins métissés et celle des blancs.
