Notes

C'était en 1997, où tout commença, dans la petite ville de Saint-Etienne, à l'Est de la France, ma mère accoucha d'un bébé, ils étaient là, tout les deux, mon père et ma mère, enfin, ce fut rapide.
Mon père, lui, n'était pas très heureux de moi, sa progéniture. Après être resté à côté de ma mère, pendant tout l'accouchement, il retourna chez lui, mais le chemin du retour ne se passa pas comme prévu.
Pendant quelques instant il fonda en larme, tout ce qu'il allait enduré lui remonté ses sentiments, le fait d'être père, être responsable. Les larmes qui coulaient lui obstrua la vue, c'est alors que retentit des klaxons, dans un instant bref il reprenna le contrôle de sa voiture, déjà axé sur le bord de la route, mais c'était déjà trop tard...

Ma mère, dans son lit d'hôpital, apprenna le décès de son mari, ce fut un évènement boulversant. Mais ceci dit, 7 ans après, comme la tradition locale le veux, un mercredi matin banale, avec une balle au pied et des chaussures cramponné, ce souvenir qui me paraissait si lointain, m'était pourtant familier, comme si je m'en rappelais. à 8 ans, je me rappelais d'une tragédie qui eu lieu il y a des lustres de celà. Ce jour là, le soir même, je demandais à ma mère de me racontais l'histoire de mon père, et pourtant, rien, comme si il l'avais bléssée, peut être pour l'avoir rendu responsable seule d'un enfant.

J'ai maintenant 15 ans, les études ne m'ont pas été favorables, et j'ai préféré suivre la voie professionel, quoi de mieux qu'à Saint-Etienne pour travailler dans les mines, mais le "progrès" fait que les mines ne sont plus en état de marche, elles sont abandonnés, délabrées. Alors, avec mes amis, nous avons commencé à mettre en place un petit deal de marijuana, aux alentours des lieux étudiants, ma mère ne se posa jamais de question par rapport à la provenance de l'argent que je gagnais.

1 an après, comme tout les soirs, je préparais à mangé pour ma mère qui s'affaiblissait, le travail acharné pour payé toutes ces charges, à elle seule, celà lui minais la vie. mais elle n'était pas là ce jour ci, toujours pas revenu de son travail de misère. j'attendait alors 10 minute, et au bout de la 5ème, un appel retentit, je décidait de décroché, pour une fois que c'est un appel non répertorié. on m'annonce que c'est l'hopital, et que ma mère est souffrante. je grimpais aussi vite que possible dans ma voiture et je m'empressa d'y aller. Arrivé sur les lieux, il se fut quelques minutes pour trouvé la chambre de ma mère. Elle était là, dans son lit, toute pâle, comme un mort dans un cercueil, mais le sourire au lèvre, cette image de ma mère ne s'est jamais, ne serait-ce qu'une seule fois, échappé de ma tête, même une photo n'aurais pas immortalisé ce moment. On m'annoncé qu'elle était atteinte de l'hépatite C, qu'elle l'était depuis longtemps mais jamais diagnostiquer, et il était déjà trop tard... je passais alors mes derniers instants avec elle, ma mère, qui a été une source d'inspiration pendant tant d'année,
elle m'a donné la force de tout les jours, faire le plus possible pour la rendre heureuse, je l'a voyais, elle souffrais, son foie, l'a faisait souffrir.

Mais une autre plaie l'enfoncé, depuis bien longtemps, celle de l'histoire de mon père, curieux que je suis, je lui demanda de me raconté ce qu'il se passait avec mon père, c'est alors qu'elle me dit, espacé de longue respiration montrant son état piteux, que mon père avait quitté ma mère dès qu'il appris sa grossesse, il n'y avait plus de boulot et donc, il était partit dans une ville appelé Los Santos,
où les mines sont réputés abondante et l'état de la ville toujours en progression. Mes derniers instants auprès de ma mère ont était la plus grande souffrance que j'ai pu ressentir jusqu'ici,
mais une chose m'a retenu, le fait qu'elle voulait pas que je retrouve mon père pour lui faire du mal, mais pour passer tout ces moments perdu, à ses côtés, qui sait, peut être que je me plairais là bas,
là où le travail afflue jours et nuits, au côté de mon père, l'avenir nous le dira.

Cepandant un voyage en amérique coûte beaucoup d'argents, et il faut un passeport, je décida alors de vendre la maison et d'aller faire un passeport le plus rapidement possible.. et vous vous rappellez
quand j'ai dit que je commençais un petit deal de marijuana ? j'ai mentit. Avec mon groupe d'amis, nous étions tous en manque d'argent, nous avons décidé de faire quelque braquage et vole à main armé,
et il se peut que j'ai fait une erreur, j'ai laissé entrevoir mon visage, dans un braquage, mais à qu'une seule personne. Cette personne s'avérait travailler à la Mairie, et par un pure hasard, cette personne était désigné pour faire mon papier me permettant d'échapper à cette vie misérable. Elle appela la sécurité, puis les policiers.

À 18 ans, j'écopais alors d'une peine de 10 ans. En prison, je ne réussis pas à vivre, mais à survivre, je me suis lié avec quelques personnes de toute ethnie, appartenant à plusieurs gang, mais quelqu'un se disait de Los Santos, il aurait fait partie des Los Sicarios, un gang plutôt reconnue, surtout aux Etats-Unis. Nous sommes devenu ami, puis m'a donner des conseils, comment rentré aux Etats-Unis avec un casier judiciaire par exemple.
Après 4 ans, avec une bonne conduite, j'ai réussis à sortir de cette prison, j'avais donc 22 ans, toujours pas de travail, pas de famille, pas de logement, mais à peu près assez d'argent pour rentrer aux etats-Unis et de quoi y vivre quelque temps.

Dans l'avion, je fêtais mes 23 ans, avec une vidéo, celle de ma mère, sur son lit de mort, à cette époque elle vivait encore, je m'en veux de ne pas avoir passé plus de temps avec elle. je me présente donc au service d'immigration de Los Santos, avec un faux passeport et un nouveau nom, celui de Eric Reptile.