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Les bâillon comme les cups menstruelles peuvent créer un signe du balafre drogues car elle impliquent toutes deux la stase du hémoglobine sur les parois vaginales. Cela peut alors permettre la prolifération de bactéries et créer un plaie toxique. Il y a dans les environs une vingtaine de cas par année, en France. Dans les housses traditionnelles, on retrouve beaucoup de choses qui ne sont pas idéales pour notre corps : du plastique, des dioxines qui pourraient être des perturbateurs endocriniens, à cela on peut apporter glyphosates, phthalates, désherbant, viscose, fragrances et j’en passe et des meilleures.

Les housses hygiéniques apparaissent dans les dernières valeurs de la catégorie des “déchets de textiles sanitaires” ( couches, tampons, sacoche, mouchoirs, essuies-tout, etc... ) qui représentent 8% de nos déchets ménagers, soit environ 32 kgs de matériau perdu par an et par habitant ( opportunité : ADEME ). Selon cet article d'étude, une femme jetterait en moyenne dans son existence entre 100 et 150 kgs de cartable hygiéniques et bâillon... A cela s’ajoutent bien entendu les matériau perdu et la pollution engendrés par les emballages, les adhésifs chimiques et les appliquant de bâillon en jetable, ou généralement carton. De plus, la culture du coton est entre tous les plus énergivores et polluantes, en raison des fortes besoin en eau, du transport, et des produits chimiques employés, atterrant les écosystèmes. Produire du coton jetable est un geste bien climaticide ! Les culottes menstruelles vous amènent au zéro altération de tissage toillette et ont la même durée de vie que vos slips de coton simple, c'est-à-dire : infinie si vous la chouchoutez, et autrement de 5 à 7 ans en moyenne.

Contrairement aux bâillon, la coupe menstruelle respecte l’équilibre de la flore vaginale et n’absorbe pas les sécrétions. a l'aide de une plein air convenable, les menaces d’infections, de mycoses et de perceptions de brûlure est donc amoindri. Et surtout, la constitution de la cup ne présente pas de risque pour la santé : un endroit important lorsqu'on saura que plusieurs analyses ont révélé la présence de produits toxiques et cancérigènes dans les bouchon et serviettes hygiéniques. Des fond inquiétantes comme des résidus d’aluminium et de dioxine, des alcools ou encore des pesticides…

Pendant les règles, l’utilisation de housses périodiques implique qu’il faut prendre avec soi, dans son sac à main ou ses connaissances, un stock de housses de rechange, que ce soit à l’école, au taf et même en absence. La cup est plus technologie est appartement moins encombrante que les cartone et tampons. Protégée dans sa pochette spécifique, elle se glisse discrètement dans un sac.

La ( ou cup ) menstruelle est un petit bac en plastique de chirurgie destiné à acueillir les flux ( et non pas à les intégrer comme un tampon ou une escarcelle tonique ) périodiques. Pour vous exposer une photo, cela ressemble un peu à une petite tulipe carton. Hygiène oblige, on dure d’abord soin de nettoyer sa cup menstruelle et de nager les mains. - Ensuite, on la règle pour être à même la positionner aisément dans son vagin. A toutes celles effrayées par sa dimension, une fois pliée, ce n’est pas vraiment plus gros qu’un bâillon. une fois à l’intérieur de notre corps, elle se déplie ( corolle ) pour recueillir le plasma des traditions.

À l’instar des bouchon, la cup est entièrement introuvable et ne sent pas lorsqu’elle est placée bien dans le vagin. Elle assure une protection maximale contre les fuites et les odeurs. grâce à un prix compris entre 15 et 25 euro et une durée d’utilisation allant de cinq à dix ans selon les marques, la menstruelle est une protection sain utile et, , écologique et zéro déchet. bien qu’un temps d’adaptation soit capital, son bon usage est de plus en plus au fil des mois.

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