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Êtes-vous plutôt Shônen, Shôjo ou Seinen ? Dans la ferme manga, ces trois mots caractérisent des « publics cibles » attendu l’âge et le sexe du lecteur. En effet, si le Shônen s’adresse aux jeunes garçonnets et le Shôjo aux jeunes teens, le style Seinen concerne davantage les adultes. Voici une variété de titres emblématiques pour davantage intercepter les subtilités de chaque genre. Avant toute chose, révélons que ces autorité par âge et par sexe sont issues de lignes éditoriales qui, jamais, ne cantonnent les lecteurs et lectrices dans un style limpide. Il faut clairement comprendre qu’un diacétylmorphine change dans un Shônen et une héroïne dans un Shôjo. Toutefois, femmes et garçons pourraient tout à fait fonctionner dans les genres d'après leur spécificité. Il ne faut voir aucune calamité à cette typage.Pour trouver une empreinte des plus grands mangas de l'univers, il faut revenir au beau milieu du XIIe siècle et dérouler les quatre rouleaux d’emakimono intitulés ' Chojujingiga '. On y voit des animaux qui adoptent des démarche humaines pour notamment s'entrainer au sumo. L'humour est de ce fait déjà la combinaison première du manga. Cependant, on ne parle pas encore de manga. Il faudra adhérer la fin du XVIIIe siècle afin que le terme se généralise, notamment à l'aide des ouvrages prochains : Mankaku zuihitsu ( 1771 ) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai ( 1798 ) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo ( 1814 ) de Minwa Aikawa. En 1814, Katsushika Hokusai présente son Hokusai Manga, un tableau dans laquelle il relate la vie du peuple à Edo. dans le cas où l’appellation manga est de ce fait usité de manière régulière, sa définition est assez multiple. Selon les différentes traductions, le manga est à la fois un cliché incapable, une schéma baroque voire une esquisse. Depuis le 20e siècle le mot est synonyme de bande dessinée suite à l'afflux corpulent d'albums au soliel levant.Commençons par les Kodomo, il s’agit de mangas qui a pour destin à un très jeune public, les sculpture y sont en général assez simples. Ce sont des affaire truffées d’aventures, avec de juvéniles acteurs et leurs bandes d’amis. Il n’y a pas impérativement d’antagoniste, on n’y decrit pas uniquement de thématiques très mauvaises non plus. On reste sur du « bon enfant » et les dislocation se finissent indéfiniment par un avantageux end. Je suis sûre que tous ici en a déjà vu au moins un et a grandi avec. Au cas, y en a-t-il ici qui connaissent Pokémon ? Parmi d’autres grands noms de ce style nous devons également parfaitement parler : Hamtaro, Keroro, Doraemon, Chi – la vie de chat, Magical Doremi, Yo-kai Watch, Astroboy, Digimon ou Beyblade. Notez que je ne me limite pas constamment au format papier « manga », mais que j’y contient également des animés pur et dur.Ensuite passons aux Shojo ! Les mangas pour femmes ! En général, il s’agit de épître, souvent à l'intérieur du millieu scolaire ( collège ou lycée ). Le figurant est le plus souvent une demoiselle, la pensée des petites figurines sont généralement le site médian de la intimité et leur mise en scène est tout exceptionnellement soignée. La revenu du fait que le féminin y sont le plus souvent plus travaillés, plus illustratifs et plus mort. Parmi les noms communes dans ce style nous pouvons parler : Nana, Vampire Knight, Fruits Basket ou Gokinjo. Mais de temps à autre ces remue-ménage se teintent de magique ! C’est la catégorie des Magical woman, des demoiselles équipées de effets magiques ! La Magical lady est un peu le pendant féminin des surhomme. Obligée de marier son existence répétitive, ses études ( école primitif, collège ou lycée ) et sa vie de aruspice / protectrice du monde, il lui arrive généralement des problèmes quand l’amour commence à s’en mélanger. Souvent accompagnée d’autres acteurs dotés d'être capable de, la Magical girl se classe dans un classeur un peu plus typé action, même si la pensée des figurines sont indéfiniment bénéficiant d'un traitement avec un soin clair, l’aspect « vie quotidienne ».En effet prenons par exemple le manga Doraimon mais également un autre manga très utile chez nous par sa clan télé : Hamtaro. Ces 2 mangas ne sont résolument pas adressé à un public en premier lieu lieu qui trouvera ces dislocation trop petit avec plus ou moins de carnage pour les garçonnets et plus ou moins de strophe pour les femmes ce ne sont donc ni des shonens ni des shojos. Mais ils ne sont pas non plus adressés à un public en fait ou déjà porno, ces 2 mangas ne sont à ce titre pas non plus des seinens. Voici l'une des nombreuses bornes de ces trois types : ils n'englobent pas tout les mangas car quelques sont trop peu créés en France. Pour Doraimon et Hamtaro le mot exact est Komodo qui veut dire bambin. Il n'y a pas de distinction de cul pour ces jeunes lecteurs et lectrices car les jeunes enfants ont le plus souvent les même goûts. Les désintégration montrent sont d'un ton joueur contrairement aux catégories pour encore jeunes qui ont parfois des heures très mauvaises avec la morbidité ou la déloyauté.Le héros du manga shōnen a ordinairement un adversaire qui est sont antinomique, on doit le baptiser d’anti-héros. Celui-ci a un comportement opposé au héros et au cours de tout le manga il y’aura rivalité, une compétition entre ces deux personnages. Il est jovial de noter que les fans seront aussi en rivalité car certains préférons le courageux, quand d’autre préférons le anti-héros. Le terme « shojo » en japonais veut dire demoiselle ( ah en effet cela est l’inverse du shōnen ). Le shojo va de ce fait s’adresser aux adolescentes japonaises. Les récits abordent des thème multiples comme par exemple la musique, la gymnastique, l’école, la expansions avec des désordre d’amour plus difficile que les séries romantiques.



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