Notes

Appareils photo, smartphones, tablettes digitaux,
Appareils photo, téléphones portables, tablettes digitaux, GPS autonomes… la plupart des appareils électroniques intègrent désormais un connecteur micro-USB ( ou mini-USB ). Pour recharger la batterie, on connecte un câble USB, lui-même relié à un outil pour adapter secteur. Un seul et unique chargeur pourrait donc suffire pour recharger la batterie de tous ces appareils. Vitesse , risques d’endommagement éventuels… Voici tous ce dont vous avez besoin savoir.

Un chargeur est constitué d’un câble et d’un adaptateur domaine. Tous les câbles USB 2. 0 proposent la même intensité de courant, 500 mA ( les câbles USB 3. 0, de plus en plus importants, peuvent fournir 900 mA ). La différence entre deux chargeurs vient de l’adaptateur secteur, de manière plus exacte de sa puissance de charge, exprimée en w ( W ). Cette puissance est le produit de la tension ( V ) par l’intensité ( A ). Les adaptateurs des petits objets électroniques affichent un voltage de 5 ou 5, 25 W. Ce qui les distingue les uns des autres est par conséquent leur intensité, qui fait varier la vitesse . Chez samsung, par exemple, le chargeur du téléphone intelligent Galaxy S4 ( 5 V et 2 A, donc 10 W ) est deux fois plus puissant que celui de l’Ativ S ( 5 V et 1 A, donc 5 W ). Charger complètement une batterie de même capacité ( 2 600 mAh, par exemple ) sera donc, en théorie, deux fois plus rapide avec le chargeur du Galaxy S4 ( en pratique, quand la fin de la charge approche, l’intensité diminution : il n’y a donc plus de différence entre un chargeur 5 W et un 10 W ).

Non, il n’y a pas de risque d’endommager la batterie. Les chargeurs livrés avec nos appareils sont « intelligents » : ils sont capables de déceler une éventuelle incompatibilité de tension et adaptent alors les watt qu’ils livrent. Voilà pour la théorie. En pratique, les fabricants se protègent et suivent de n’utiliser que le chargeur fourni avec l’appareil. Au moindre problème, se mettre d'accord sur le fait qu’on a utilisé un autre chargeur pourra faire annuler la garantie. Nous déconseillons par ailleurs l’usage de chargeurs bas de gamme d’origine douteuse.

cliquez ici pour plus d'informations . 1 et USB 2. 0 d’un ordinateur soumettent une intensité de 500 mA ( jusqu’à 900 mA pour les livraison USB 3. 0 ). C’est peu, ce qui explique que la charge soit longue quand on connecte une machine par ce biais. C’est même trop peu pour recharger certains objets gourmands, comme une grande tablette digital, par exemple. Dans le cas particulier d’un iPad, notez que la charge est envisageable si la tablette est en veille.

Des risques, non, mais une consommation inutile, oui. D’abord parce qu’un chargeur consomme toujours un petit peu d’électricité lorsqu’il est branché au domaine. de même, certes, les chargeurs astucieux stoppent la charge une fois la batterie pleine. Mais si l'équipement reste stylé, le chargeur rechargera cycliquement la batterie qui se sera uniquement déchargée, d’où des microcycles de charge inutiles. quand la charge est terminée, mieux vaut donc débrancher l’adaptateur de la prise de courrant.

Certains fabricants épaulent de charger entièrement la batterie de son appareil neuf avant de l’utiliser, et dans certains cas même, ensuite, d’attendre que la batterie soit pleinement déchargée avant de la charger. il faut mises en garde héritées des batteries sujettes à un phénomène nommé « effectivement mémoire », qui rétréci les performances lorsque la batterie n’est pas pleinement pleine avant d’être sollicitée, et ensuite rechargée. Les avancées technologiques Ni-Cd et Ni-MH sont les plus concernées. Les batteries composé de de lithium ( Li-ion ), les plus courantes dans les téléphones de nouvelles générations, les tablettes tactiles digitaux ou les appareils photo, ne le sont pas, ou bien très faiblement. Recharger la batterie sans attendre la décharge intégrale n’est donc pas très important. Il est même conseillé de préférer aux cycles de charge complets plusieurs recharges de écourtée durée.

Une batterie est sensible au froid : l’autonomie de votre machine diminuera à mesure que descend le curseur du thermomètre. Mais elle retrouvera son niveau de performance une fois la température remontée. Tous les types ne sont pas sensibles aux mêmes températures, mais à partir de 0°C, mieux vaut préserver son appareil dans une poche au chaud pour préserver son autonomie. L’humidité et la chaleur peuvent, elles, abîmer définitivement la batterie. Au-delà de 45°C, la batterie, sous pression, devient dangereuse. D’où l’importance de ne pas laisser son appareil au soleil ou dans un lieu trop humide.
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