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Tout savoir sur Sommeil
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Le bien-être. Un terme on ne peut plus tendance et repris à toutes les condiments, à tort ou à raison. De manière assez intentionnelle, nous sommes en effet à la recherche permanente de cet état que l’on souhaite tant atteindre et qui défile par de nombreux facteurs quotidiens… On pense assez de manière naturelle au confort dans le cadre de la santé mais il de plus intimement lié aux concepts de bonheur, de ( ré ) confort ou encore de réussite, et il prend tout son sens tant dans le physique que dans le psychologique. Un seul mot qui illustre parfaitement le fameux adage Mens sana in corpore sano, un état sain vers lequel on tend, du corps jusqu’à l’esprit.

Le mot nutraceutique ne dispose pas d’une réelle définition officielle. Il résulte de la contraction du mot “nutrition” et du mot “pharmaceutique”. Cette étude de l’étymologie est très parlante, elle met en lumière l’idée que traduit le terme de nutraceutique, à savoir des produits de santé d'origine naturelle, pour une santé idéale sur le temps. Cette approche touche, en effet, un équilibre physiologique. La nutraceutique est une solution santé et bien être plus naturelle. En effet, la nutraceutique réunit tous les présents d'origine naturelle, sous forme de compléments alimentaires, qui se passent bénéfiquement sur l’organisme et répondent à une problématique de santé. Ainsi, cette approche consiste en un postulat à savoir qu’une alimentation variée, équilibrée, volontaire et éthique peut considérablement améliorer l’état de santé global d’une personne. Entre le médicament qui guérit et l’alimentation qui guérit, la nutraceutique joue donc de prévention et d’optimisation. Source concentrée de substances alimentaires directement assimilables, les compléments alimentaires permettent de combler les déficiences d’un régime alimentaire mais également d’atténuer ou éliminer certains inconforts quotidiens, des personnes même en bonne santé ( stress, inconfort de digestion, douleurs articulaires, sommeil difficile… ).

Quand on compte au sport, on a parfois des images extrêmes qui nous viennent en tête. Efforts, transpiration, souffrance… ces idées négatives peuvent peser lourd sur notre motivation. Pourtant, les activités qui améliorent notre rythme cardiaque ne sont pas les seules à nous maintenir en forme. Trois autres variétés d'entrainement sont autant importants : la renforcement musculaire, l’équilibre et les allongements. Chaque type d’exercice est fondamental et offre un pleinement indispensable pour maximiser les avantages de la séance et réduire les risques de blessure. En renforçant les muscles, par exemple, on protège les articulations, et en s'approchant l’équilibre, on employe la force des muscles et la gestion pour stabiliser les mouvements. Impossible de pratiquer ces exercices lorsqu’on manque de flexibilité, ainsi il vaut mieux varier chaque entraînement. Certains sports, comme le yoga, permettent d’incorporer l’ensemble de ces exercices. Autrement, voici d’autres idées à coupler à volonté.

Se sentir fatigué après un effort physique soutenu, un stress émotionnel, un surmenage ou une insuffisance de repos est normal, car cette sensation disparaît en se reposant. Dans ces différentes occasions, la cause est évidente et n’entraîne que pas souvent la consultation du médecin. Cette forme de fatigue, appelée fatigue réactionnelle, peut aussi survenir durant une convalescence ( après une maladie infectieuse, une hospitalisation, une intervention chirurgicale, un accouchement, etc. ) il y a dans tous les cas de fatigue soutenable une intrication des facteurs physiques et mentales : toute fatigue physique prolongée retentit souvent sur le psychisme et inversement. La difficulté est d’apprécier la part respective du versant physique et psychique de l’asthénie. Ainsi, une fatigue accuentant d’intensité au cours de la journée est plus en faveur d’une cause organique. pour finir, en cas de carence en magnésium, les nerfs et les muscles de tout le corps sont tendus, une tension qui s’aggrave en cas de stress, provoquant alors un surcroît de fatigue.

Souvenez-vous, la semaine dernière nous vous avons parlé de votre horloge biologique interne et de la sécrétion de mélatonine à la soirée tombée. Celle-ci cesse dès que vous êtes exposé à la lumière du moment. Pour que votre cerveau fasse bien la différence jour/nuit il est donc important de ne pas conserver dans l'ombre la journée et de veiller à créer une obscurité suffisante dans la chambre au cours de la nuit. Si votre besoin de sommeil est de 7h journalier, plus vous faites une sieste longue en journée et moins vous dormirez la soirée. Ainsi si vous faites une sieste d’1 heure ou plus, assez naturellement vous ne dormirez que 6 heures ou moins la soirée suivante. N’imaginez pas à tort que vous ne dormez pas suffisamment la soirée ! Si vous ressentez le besoin de faire une petite sieste en début d’après-midi pensez à ne pas la prolonger au delà de 20 à 30 minutes, même si c’est pour récupérer d’une soirée un peu courte la veille. Pour respecter cette durée, pensez à mettre un réveil.

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