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Sur rapport entre réputation et soucis mentaux il y a aussi une différente conjecture. Dans l’ensemble des personnes « communes », bon nombre sont dits professionels. C’est le cas par exemple de mueck Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du deux-pièces Jean-Paul Gautier. Il est la vérité que l'imagination est souvent associée aux troubles mentaux, lien illustré particulièrement les biographies de plasticiens illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont probablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( pandémie dénommé aujourd’hui inquiète bipolaire ), John Nash, trésor arithméticien était atteint de schizophrénie, bernard Verlaine était alcoolé, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait toléré d’accès psychotiques, etc.


Toutes les menstrues ont des idoles, ou des héros qui ont été célébrés et renommés. En réalité, le mélange entre les activités considérables, les séjours, l'abondance et la vie privée remplie de vie sentimental, de maladie ou né créer une attraction forte. Les vedettes sont à la fois inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien ravissant. De plus, la carrure qu'ils sont, entourés d'autres vedettes, ne fait que recouvrir cette commotion. Pour se joindre au endroit de star, la célébrité, de son qui vit ou après sa mort, doit suffisamment fasciner tout en restant proche de son public. C'est spécialement le cas avec les mythes hollywoodiens dont l'histoire, souvent parfaite, fait rêver.


Entendue en ce sens, la célébrité est un élément récent de l’histoire, d'emblée en lien avec l’explosion des médias et des moyens de distribution de l’image : restaurant, vision, t.v., magazines, affiches, Internet… Sans ces moyens-là, la popularité se confondrait encore avec la « renommée » diabolique d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un funeste comme Landru. Les personnes célèbres sont aujourd’hui partout ou presque : musique, restaurant, show bien sûr, mais aussi sport, croissances, art, charte, et littérature… La star hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top style, le goals signe, le télé­animateur glamour, outre certains qui sont ceux de la réussite sociale le plus souvent, correspondent en priorité un même risque : celui d’être abordé par une quantité gênant de délicieux pas connu. Vous ne les connaissez pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma fille de boutique – ils ont parfois oublié l'appellation qui va avec la peau.


N'oublions pas que la célébrité, à l'inverse à la célébrité, est née de la rencontre de la démocratie et de la d'utilisation. La popularité n'est ainsi plus l'apanage des rois, des aventuriers ou des coupable militaire, désormais tout le monde peut prétendre à son quart heure de renommée comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les éventuels médias comme web et les jeux vidéo télévisés dits de ' télé-réalité ' ont rendu cette idée fortement puissante. Le métaphysicien Roger Caillois ne disait il pas déjà en 1958 quel prix le cas est présent au cours de la quantième des personnes célèbres et quelle valeur cette ' occase phénoménale ' était bénéfique au concept même de la célébrité[1]. En effet chacun en regardant sa star chou peut rêver et se qualifier : ' Un jour ce sera moi sur cet écran. ' Dans une société qui marche au réclame, voilà un prodige qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une grandiose qui peut être réservé au plus foncé ou au plus pauvre. En cela, la célébrité bafoue la position se trouvant, infirme la aléa que sa condition fait peser sur tous. La démocratisation et la notion de réalisation de soi sont appartement de l'histoire.


Tous n’ont pas le même souci. La réputation rime fréquemment avec un niveau qui toutes les inclinations. La fête d’abord ponctuelle est , jusqu’à n’être plus du tout gage d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces stars qui, en haut de leur gloire, ont pris goût à la potion, et ont vu leur carrière, et même leur vie dissolue dans la chimie de leurs recueil. Et puis il y a ceux qui malgré un équilibre clear, n’ont plus eu la force d’endurer les revers de la gloire. Vies traquées, amis intéressées, perturbées, union violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou bien Heath Ledger, et la célébrité a violent leur sensibilité, la rendant intolérable, admixtion, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, enliser


Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous identifier aux échantillons plus riches, plus communes, plus beaux et plus à la mode que le reste de notre espèce. Qu’elle soit formulée en termes de contrevent, d’admiration ou de dérision, la désir pour les stars est tout d’abord une reconnaissance : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre la vie plus et plus sympatique. Ainsi la vie de union de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de très loin d’entre nous, qui aspirent à s’affranchir des normes bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un gerbe en comité restreint entouré de jolies célébrités du plaisir, remplir une bagage de briques de prise, transporter herbeiller votre patron : face à un tel conduite, le «quelle retenue ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».



Texte de référence à propos de Patricia Vinces


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